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La force des choses.

Chapitre 3

Inceste
Aurélie remit de l’ordre au salon, et prit le chemin de la salle de bain d’où sortait Hugo vêtu d’un tee-shirt et boxer noir moulant une légère érection.
— Bri, t’a mis dans un sacré état, sourit Aurélie en désignant le bas-ventre d’Hugo.— M’man ! Hugo répondit avec une moue indignée.— Tu devrais te soulager, sinon tu vas finir par exploser, rit Aurélie.— C’est fait ! rétorqua-t-il crânement.— J’ose même pas imaginer dans quel état tu as laissé la salle de bain, Aurélie continua à rire.— Elle est encore praticable ? Elle poursuivit sans lui laisser le temps de répondre.— Je te taquine, fais de beaux rêves, mon chéri ! Aurélie déposa un léger baiser sur la joue de son fils et lui fit un sourire coquin suivi d’un petit clin d’œil complice avant d’entrer dans la salle de bain.— Bonne nuit, m’an !
Aurélie se déshabilla, et passa sa main sur son sexe humide pour le caresser, elle s’arrêta, prit son téléphone pour envoyer un message à Brigitte « Au lit dans 10 minutes, j’ai besoin d’un solo », une émoticône représentant un diablotin terminait le message, la réponse de Brigitte fut rapide « Moi aussi, à toute », le message était accompagné de la photo d’un sexe d’homme de belle taille en pleine érection.
Aurélie s’installa sur son lit, vêtue d’une nuisette noire, dont la dentelle qui enveloppait difficilement sa poitrine ne cachait rien des seins lourds qui pouvaient à chaque mouvement s’en échapper, la transparence permettait facilement de découvrir son ventre et son sexe mit à nu par une épilation intégrale. Les deux oreillers calés sous son dos lui permettaient d’obtenir une position suffisamment confortable pour s’assurer une agréable masturbation. Aurélie se munit de ses oreillettes Bluetooth, et se pencha pour prendre son vibromasseur Rabbit rangé dans le tiroir de la table de nuit. Le téléphone fixé sur un pied, posé sur le lit se mit à vibrer, la sonnerie retentit dans les oreillettes, Aurélie décrocha, pressant d’un doigt l’oreillette.
— Je vois ton cul ! s’exclama Brigitte.— Attends, je prends mon jouet.— Le Rabbit !— Oui, j’en ai besoin, je suis en feu ! Aurélie se retourna, le Rabbit à la main.— C’est une vraie bite qu’il te faut !— Quand les mecs auront un gland rotatif pour aller dans les coins comme mon Rabbit, là ! Je recommencerais peut-être à baiser. Les deux femmes furent prises d’un fou rire.— Alors ! Qu’est-ce que tu as fait avec Hugo ? J’ai vu qu’il n’arrêtait pas de bander ce soir, même en sortant de la salle de bain, après que tu sois partie. Aurélie posa le Rabbit entre ses cuisses entrouvertes. Sa main commença à caresser son clitoris.

Une main entre les cuisses, Brigitte démarra le récit de l’épisode survenu avec Hugo. Aurélie était fortement excitée d’entendre la voix de Brigitte décrivant crûment la scène dont son fils était acteur. Son sexe ruisselait sous ses doigts qui s’activaient sur son clitoris. Le vrombissement du Rabbit se fit entendre dans la chambre, la main habituée à la manipulation du jouet le présenta facilement à l’entrée du sexe trempé, et sans aucune difficulté, la pénétration se fit de façon brutale, Aurélie avait besoin de sentir son sexe rempli et d’être prise sans ménagement, elle avait besoin que ses contractions vaginales soient soumises à une contrainte, elle s’activa sur ce sexe de remplacement s’imposant de violents va-et-vient. Sa main gauche virevoltait sur son sein droit, maltraitant le téton dressé d’excitation, le pinçant ou le faisant rouler sous ses doigts.
— Je te laisse te finir, rit Brigitte qui venait de terminer son récit.— Attends, j’ai presque fini, répondit Aurélie d’une voix haletante.— T’inquiète, je t’envoie une vidéo qui devrait te plaire, on me l’a envoyée il y a dix minutes. Bisous, je vais me faire un petit solo de mon côté aussi.— Bisous.
Brigitte raccrocha et Aurélie ferma les yeux en continuant sa masturbation de façon frénétique, la notification du téléphone retentit et Aurélie ouvrit d’un doigt la vidéo promise par Brigitte. Un homme branlait un sexe assez large de belle dimension au-dessus d’une vasque de salle de bains, un boxer sur les genoux, Aurélie comprit rapidement qu’il s’agissait d’Hugo, reconnaissant sans peine les lieux à défaut du sexe de son fils qu’elle découvrait pour la première fois sans qu’il soit masqué par un quelconque sous-vêtement.
Son excitation était à son apogée, elle se déchaîna en regardant son fils se branler sur la vidéo, tout en continuant à faire pénétrer au plus profond de son sexe le vibromasseur qui s’activait par des mouvements rotatifs à l’intérieur de son vagin. Des images du sexe de son fils la pénétrant de façon violente se mêlaient dans sa tête, et lorsqu’elle vit Hugo jouir, les jets de sperme venant s’écraser sur la vasque et le miroir de la salle de bain, le râle de son fils retentissant dans ses oreillettes. Aurélie en sueur et dégoulinante de mouille jouit à son tour dans un râle qui résonna dans toute la maison, son cerveau explosant en feu d’artifice, prise par des spasmes violents, tremblante, haletante, elle éteignit le vibromasseur, le laissant en elle encore quelques instants pour continuer de sentir les battements de son sexe sur le jouet inerte, le temps de se laisser descendre, comblée, vidée, de vivre encore quelques instants la volupté d’un orgasme puissant.
Aurélie se leva pour rejoindre la salle de bain, une toilette rapide du Rabbit et de son sexe gluant s’imposait. En sortant, elle fut face à Hugo qui sortait des toilettes, Hugo fixa l’ensemble du corps de sa mère dans cette nuisette qui ne lui laissait aucun besoin d’imagination, sa gorge, ses seins, son ventre, son sexe et ses cuisses étaient pleinement visibles ce qui lui provoquèrent une érection immédiate, Aurélie fit disparaître le Rabbit derrière son dos et lui lança un sourire espiègle.
Avant d’ouvrir la porte de sa chambre, Hugo tourna la tête pour découvrir sa mère de dos qui allait entrer également dans sa chambre, Aurélie se pencha pour ramasser quelque chose qui semblait être à terre, Hugo avait sous ses yeux, les cuisses légèrement ouvertes, le sexe rouge rosé, dilaté et humide qui laissait entrevoir l’entrée vaginale, et les fesses rondes et hautes de sa mère, sa main saisit son sexe pour le branler à travers le boxer de façon compulsive, sa mère se relava et pénétra dans sa chambre sans se retourner, souhaitant une bonne nuit à son fils. Hugo y répondit dans un long souffle d’excitation.

A l’approche de ses quarante ans, Aurélie s’était redécouvert des envies de sexes, qu’elle avait pu assouvir avec quelques partenaires rencontrés sur des applications, et lors de masturbations qui devinrent plus régulières. Cette période fit exploser son couple, se terminant par une séparation suivie d’un divorce.
Hugo dont elle avait la garde était devenu un jeune homme sous ses yeux, et lorsqu’il commença à porter des regards inquisiteurs sur cette nouvelle mère au comportement plus extraverti et beaucoup moins pudique, à l’espionner lors de moments d’intimités, à détailler ses courbes, tout en arborant des érections dont elle était la cause, cela lui avait fait émerger des fantasmes d’inceste dont elle se sentait honteuse. Aujourd’hui, elle n’avait plus aucun ressentiment face à ses fantasmes, dont elle avait appris à vivre avec et préférant se dire qu’il ne s’agissait que d’un jeu sans conséquence entre une mère et son fils, bien qu’elle sût que cela allait parfois trop loin.

Hugo, rempli des images de sa mère, jouit une dernière fois, bien que lointaine, Aurélie profita du râle de son fils avant de s’endormir satisfaite du plaisir partagé.
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