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La force des choses.

Chapitre 5

Inceste
C’est après minuit qu’Aurélie rentra de la soirée passée avec sa nièce. La maison semblait calme et la porte de la chambre d’Hugo ne laissait percer aucune lumière. Elle partit se doucher, et sortante nue de la salle de bain, elle enfila un tee-shirt léger dans le couloir, son regard se porta sur la chambre d’Hugo qui restait sourde à ses appels. Légèrement attristée de ne pouvoir s’amuser de ses charmes auprès de son fils, elle se décida à entrer dans sa chambre.
Une odeur âcre mêlée de sueur, de mouille et de sperme exalté par la chaleur de l’été l’enivra dès l’ouverture de la porte. Elle alluma et referma la porte derrière elle, son regard se posa sur le lit défait, et s’arrêta sur les traces auréolées à peine sèches. Aurélie s’avança vers le drap, ses doigts passèrent sur les taches pour en récolter quelque échantillon qu’elle porta à sa bouche, aucune odeur et aucun goût ne lui parvenaient, le tissu en avait absorbé tous les arômes.  Aurélie repensa aux messages que lui avait envoyés sa sœur deux heures plus tôt. « Merci pour les robes, Hugo a été adorable. » Et celui qui suivit « Tu as raison, il est super chaud et ça m’a fait du bien. » Ce dernier message était accompagné d’émoticônes représentant des diablotins et quelques sourires coquins.
La nuit fut âpre pour Aurélie, les images de ses rêves érotiques lesbiens où se mêlait sa sœur et Brigitte, et celles de son fils la prenant de façon bestiale avaient ponctué son sommeil de nombreux réveils. Le téléphone sonna la fin d’une nuit agitée, où la première pensée lui parvint comme une évidence. « Je prends un mec pour me calmer ou je baise avec Hugo ».
Dans l’attente du week-end, la journée passa difficilement. L’esprit encombré de pensées sexuelles, Aurélie avait dû mal à se concentrer sur les tâches les plus simples. Son sexe lui rappelait régulièrement ses besoins, lui imposant les marques les plus visibles et humides entre ses cuisses. À dix-neuf heures, Aurélie quitta avec soulagement son travail de façon précipitée pour rejoindre Brigitte. Il lui fallait parler à une amie qui n’avait aucune malveillance et aucun moralisme exacerbé.
Les deux femmes s’étaient retrouvées sur la terrasse, et comme à leurs habitudes un verre de rosé frais était posé sur la table du jardin. La chaleur du mois de juin avait cédé la place à une température plus clémente précipitée par l’orage tombé le matin même.
— Je suis dégelasse.— Tu as juste envie de l’homme que tu aimes le plus. Il n’y rien de dégelasse là-dedans.— Ça ne se fait pas.— Si, on t’écoutait, on ne baiserait plus, on ne serait bonne qu’à avoir des enfants sans aucun plaisir.— J’en ai envie, merde, mais comment garder une relation normale après ça ?— Si c’est vraiment ce que tu veux, il faut que tu te dises que déjà, il ne peut être ton amant, ton mec, ton mari. Il faut que tu admettes de le partager, de le laisser vivre sa vie sexuelle avec une autre, moi par exemple. Brigitte essayait de dédramatiser la situation.— Salope ! Aurélie se mit à rire et poursuivit sur un ton toujours sérieux, je veux juste sentir la chaleur de ses mains sur moi, qu’il me baise ! Et pouvoir apaiser le malaise qui me ronge.— Arrête de m’exciter, je mouille déjà depuis dix minutes ! Bon, je vais essayer de t’aider. N’ayant pas eu de fils, Brigitte reportait son phantasme sur Aurélie.— Comment ? — Déjà, va prendre une douche et mets une petite robe sexy, sans rien en dessous.— D’accord. Aurélie arbora un sourire apaisé.Le fait que Brigitte pouvait écouter sans aucun jugement lui faisait du bien, elle se sentait pousser des ailes. Elle se leva et s’empressa de baiser la bouche de Brigitte, qui profita de l’occasion pour passer sa main sur la hanche et rejoindre la fesse de son amie, sans qu’Aurélie s’en offusque.— Coquine !

Hugo était descendu et n’avait pas manqué la scène qui lui provoqua irrémédiablement une érection visible trahissant son excitation. Arborer son sexe bandé de façon provocatrice lui apportait un sentiment de fierté, il s’avança d’un pas déterminé vers les deux femmes.
— Salut, sexy ce soir. Hugo se sentait une assurance nouvelle depuis la soirée passée avec sa tante.— Et tu n’as pas tout vu ! Relança Brigitte.— Viens embrasser ta mère.Aurélie, les yeux pétillants dévoraient Hugo dans les moindres détails, il posa ses lèvres sur la joue de sa mère. Et d’un geste léger, elle effleura de sa main le sexe bandé de son fils.— En forme à ce que je vois, c’est pour nous tout ça ? Et sans laisser répondre Hugo, elle poursuivit, je vais me doucher, vous préparez quelque chose à manger.— M’an, je t’ai raté ce matin. Hugo avait été déçu de ne pas avoir profité des courbes de sa mère dès son réveil. — Ne me rate pas ce soir, mon chéri. Répondit Aurélie en lui lançant un clin d’œil.
Aurélie avait passé une robe aguicheuse, qui laissait voir sa pleine poitrine à chaque mouvement d’épaules ou de bassin. La position assise remontait jusqu’en haut des cuisses la robe trop courte, et dévoilait son sexe si l’on y prêtait une attention trop appuyée.
Le repas se passa dans une atmosphère étrange. Aurélie et Brigitte échangeaient des anecdotes salaces ponctuées de mots obscènes. Hugo était excité, par les histoires qu’il entendait, par les propos et le vocabulaire utilisés par sa mère, et surtout par les courbes, les chaires que les deux femmes lui laissaient voir sans aucune retenue. Les clins d’œil entre les deux complices se multipliaient à la vue des regards lançaient par Hugo et de son érection qui ne faiblissait pas. Le dîner se termina, et Brigitte devait maintenant assurer la suite.
— Et maintenant ? lança Aurélie en regardant suppliante Brigitte dont elle attendait de l’aide.— On se regarde un film, Hugo va nous faire un petit massage pour nous détendre de notre dure semaine de travail. N’est-ce pas Hugo ? La proposition de Brigitte ne laissait que peu de place à un refus.— D’accord. Répondit Hugo, présentant une mine faussement contrariée. Mais caresser les deux femmes le réjouissait. La soirée ne pouvait se terminer par une simple « branlette » pensa-t-il.— Aurélie, on retire nos robes, faut quand même qu’Hugo soit gagnant. Et puis c’est pas les premières femmes qu’il voit une femme nue.
Hugo mit un film, éteignit les lumières, le salon était plongé dans une légère pénombre parfois trahie par la clarté des scènes diffusées par le téléviseur. Brigitte entraîna Aurélie vers le canapé, elle se laissa porter et n’objectât aucune résistance lorsque Brigitte l’aida à retirer sa robe « On sera mieux comme ça » lui avait-elle chuchoté. Aurélie se trouva nue devant son fils sans qu’elle ne ressente le besoin de lui cacher son corps. Hugo paré d’un large sourire dévorait des yeux les seins ronds et lourds, le ventre et le sexe rasé exposé par sa mère.
— Elle est belle, non ? demanda Brigitte qui se déshabillait également.— Elle est plus que ça ! Répondit Hugo.— Merci, mon chéri, Aurélie était heureuse de son effet et sa nervosité se dissipait pour laisser place à une excitation que son corps trahissait, elle se tourna pour lui dévoiler ses fesses.— On te fait de l’effet, on dirait ? Fais-nous voir. Demanda Brigitte.— C’est vrai ça, fais-nous voir. Hugo pouvait toujours refuser pensait Aurélie.
Hugo se précipita pour retirer son tee-shirt et boxer. Il était fier d’exhiber son sexe large, bandé à l’extrême pointant vers les deux femmes.
— Joli paquet ! — On en mangerait ! surenchérit Aurélie qui passa sa langue sur ses lèvres.— Je m’allonge sur le canapé, tu me fais mon massage, je l’ai bien méritée. Aurélie se dirigea vers le canapé, et frôla de la main le sexe d’Hugo, qui frissonna de cette caresse.— Moi, je m’installe sur le fauteuil, j’attends mon tour.
Allongée sur le canapé, Aurélie offrait son corps comme un cadeau à son fils. Hugo prit place à la hauteur des cuisses, il posa délicatement sa main sur le mollet pour venir remonter vers les cuisses et les fesses. Un soupir suivi d’une reprise de respiration forte se fit entendre dans le salon. Aurélie relâchait ce bouillonnement réprimé depuis une heure. Avec délicatesse, les doigts caressaient la peau, les cuisses s’ouvraient autorisant des caresses plus profondes. Hugo glissa ses doigts pour effleurer le sexe trempé de sa mère. Ce premier contact poussa Aurélie à gémir, elle tourna instinctivement la tête vers Hugo. Leurs regards fiévreux s’unir emplis de tendresse et d’amour.
Brigitte était captivée par la sensualité du spectacle qui s’offrait à elle. Elle prit place sur le fauteuil, et nerveusement ses mains parcouraient son corps sans vouloir précipiter une jouissance qu’elle aurait aimé partager avec eux, mais dont elle ne voulait gâcher l’instant.
Aurélie se cambra levant ses fesses pour laisser la main d’Hugo la posséder. Il caressa les lèvres ruisselantes, et ses doigts vinrent au contact du clitoris avec lequel il commença à jouer. Les râles d’Aurélie emplissaient le silence à peine masqué par le son du film. Elle se décida à lui faire face, à assumer pleinement son besoin de sexe. Se détachant des caresses de son fils, elle se retourna pour s’allonger sur le dos, écartant outrageusement les cuisses et dans un souffle court, elle lui dit.
— Lèche-moi ! Furent ses seuls mots.
Hugo plongea entre les cuisses de sa mère, sa bouche s’empara du clitoris gonflé, il l’aspira, le branla entre ses lèvres, sa langue se mit à virevolter sur le clitoris bandé, ses doigts pénétraient le sexe détrempé, les mains d’Aurélie s’étaient plongées dans les cheveux de son fils, appuyant sur le crâne, pour qu’il ne s’arrête pas. Aurélie jouit dans un râle violent, les spasmes lui parcouraient le corps, son visage était tendu à l’extrême, Hugo continuait à dévorer sa mère de sa bouche avide des plaisirs qu’il lui offrait. Enfin, elle dégagea légèrement la tête de son fils, son souffle saccadait essayé de reprendre un rythme plus calme dans de grandes et lentes respirations. Elle se redressa et Hugo mima son geste.  Elle prit la tête d’Hugo dans ses mains et l’embrassa de légers baisers parcourant sa bouche, ses joues, son front. Elle commença à laper la mouille et la salive présentes sur le visage de son fils et elle posa une nouvelle fois sa bouche sur ses lèvres. Sa main partie à la recherche de la bite d’Hugo, elle l’empoigna fermement et se mit à branler son fils. Elle se dégagea de l’étreinte et descendit vers la bite tendue et dure, sa bouche avala le membre et Hugo ivre gémit bruyamment. Les bruits de succion parcourraient le salon et Brigitte seule se masturbait violemment laissant pénétrer ses doigts dans son cul ouvert alors que son autre main s’activait sur sa chatte dégoulinante, elle laissait échapper des râles de plaisir et de jouissance, qu’elle essayait de masquer pour ne pas perturber le spectacle qui se déroulait sous ses yeux.
La bite était léchée, aspirée, la langue s’activait sur le gland, la salive d’Aurélie se répandait sur le membre et les couilles de son fils, elle le branlait fermement. Hugo avait empoigné la chevelure de sa mère qu’il maltraitait et dont sa mère répondait par des râles de satisfaction, cet encouragement sonore l’invitait à être plus dure. Aurélie se délectait de cette possession virile, elle aimait être prise brutalement, se sentir chienne auprès des hommes avec qui elle baisait. Aurélie lâcha des mains la bite et sa bouche s’activa au rythme imposé par son fils, sa bouche n’était plus qu’un sexe que son fils défonçait pour son unique plaisir, elle était sa chose et elle en jouissait.  — Putain, m’an je vais pas tarder à jouir.
À ces mots, Aurélie prit les couilles dans ses mains pour les caresser, les malaxer, alors que son fils continuait à lui labourer la bouche. Il relâcha la pression sur la tête de sa mère, elle comprit qu’il allait jouir. Elle continua seule à le sucer sans qu’il ne lui impose le rythme. Hugo jouit et les jets de spermes épais se répandirent dans la bouche de sa mère. Elle se remit à le branler, et continuant à le sucer, elle avala consciencieusement le liquide au goût de sexe si particulier.
Hugo regardait sa mère avaler son foutre et s’effondra sur le canapé. Sa bite s’échappa, libérant la bouche de sa mère. Aurélie se réjouissait de l’intensité de l’orgasme qu’elle lui avait donné. Les yeux brillants, elle fixait le regard de son fils sur elle, alors que ses doigts partirent à la recherche des traces de sperme laissées sur ses lèvres et son menton pour venir les porter à sa bouche.
Et lorsque la tension redescendit, Aurélie fut la première à prendre la parole.
— Putain, Hugo tu m’as défoncé la bouche. Dit-elle avec un large sourire.— Désolé, maman.— J’ai adoré te sucer. Sa main se posa sur le sexe encore dur et se mit à le masser.— J’ai encore envie. Ajouta-t-elle— Viens me baiser.
Aurélie se retourna, se mit à quatre pattes, sa tête plongea dans un coussin, et ses fesses se présentèrent à son fils. Hugo se redressa, caressa le sexe brûlant de sa mère, il prit sa bite à pleine main et l’engouffra entre les lèvres chaudes et humides. Lorsqu’il fut enfoncé au plus profond que son sexe le lui permettait, il commença de long et lent va et viens.
Cette cadence ne dura pas très longtemps, le cul de sa mère en voulait plus et se mit à forcer le rythme de la pénétration, pour qu’elle soit plus profonde et rapide. Instinctivement, Hugo porta des coups plus appuyés au sexe maternel. Les respirations, les râles, le bruit des sexes trempés envahissaient une nouvelle fois le salon. Les mains d’Hugo avaient empoigné les hanches et augmentaient les impacts violents de sa bite au fond du sexe de sa mère. Aurélie cria une dernière fois et s’effondra sur le canapé jouissant d’un orgasme puissant, se contractant, laissant couler des larmes d’un abandon absolu. Hugo la suivit, continuant à la pénétrer, avant qu’il ne jouisse à son tour, déchargeant son sperme. 
Les deux corps trempés de sueur se confondaient dans la pénombre du salon immobile, à peine perturbé par l’orgasme sonore de Brigitte.
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