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Le Forgeron

Chapitre 3

Divers
Le lendemain matin, le soleil était déjà bien haut dans le ciel quand Marc se réveilla dans sa petite chambre, illuminée d’une lueur blanche éclatante. Marc s’était endormis nu sous son drap, il mit donc un pantalon de cuir et alla déjeuner. Son père, Paul, était déjà à l’atelier en train de travailler et remarqua à peine son fils passer, il eut un petit sourire en coin en pensant à ce qu’il avait bien pu faire hier soir pour rentrer si tard. Pour cette journée spéciale, Marc voulait être bien présentable pour Marie, il alla donc se laver dans la rivière et il rasa sa barbe de 3 jours pour ne garder que le collier. Par ailleurs, il avait ramené l’onguent magique et un mètre ruban qu’il utilisait parfois dans son travail pour certaines mesures. Il voulait voir concrètement l’avant et l’après. Il se mesura donc quand il fut en pleine érection: 31 cm de long pour un diamètre de 7 cm. Il se demandait comment il avait pu avoir une massue aussi grande, une bénédiction pour les jaloux, un cauchemar pour lui. Puis, il prit de l’onguent, en mit au creux de sa main et frictionna sa queue dans un mouvement masturbatoire. Doucement, il sentit que son chibre rétrécissait et il appliqua donc de la lotion encore un moment. Puis, voyant que l’effet s’était arrêté, il reprit le mètre ruban et mesura: 25cm en longueur, 6 cm de diamètre. « C’est beaucoup trop! » se dit Marc, alors recommença l’opération en mettant la seconde couche. Cette fois-ci, il fut assez satisfait: 19cm de long pour 5cm de diamètre, cela paraissait plus raisonnable. Il se lava les mains, remis son pantalon et rentra pour chercher des vêtements convenables pour un rendez-vous avec sa bien-aimée.
À l’approche de midi, Marc décida d’aller chercher Marie, mais celle-ci, impatiente, était déjà en route, et ils se croisèrent à mi-chemin. Elle avait une longue robe verte qui s’accordait parfaitement avec ses yeux de la même couleur, et comme elle épousait bien les formes avantageuses de Marie, le jeune homme eut un moment d’arrêt devant tant de charme. Le jeune forgeron avait mis son plus beau pantalon de cuir noir, ainsi qu’une chemise en lin blanche et très large, ce qui amplifiait quelque peu la carrure de Marc. La fille avait un panier en osier à la main, couvert d’une nappe à carreaux rouge et blanc qui cachait leur futur repas de midi. « Tu connais un endroit où on pourrait manger tranquillement, juste toi et moi? Demanda Marie.— En remontant la rivière, on arrive à des cascades cachées par des arbres d’un côté, et de l’autre il y a une grande prairie, ça te dit? Répondit Marc. »Elle accepta en sachant qu’ils allaient pique-niquer là où, 2 jours plus tôt, elle avait surpris son amoureux nu, et en train de défoncer dans tous les sens les pauvres filles du boulanger. D’ailleurs, Marie les avait vues au village, elles avaient une démarche assez particulière, elles devaient avoir mal, tellement le pieu de Marc avait été profond. Elle espérait être assez « grande » intérieurement pour éviter ce genre de problème. Ils arrivèrent enfin au lieu dit et installèrent la nappe sur laquelle Marie sortit quelques mets: des tranches de jambon, de la salade, du pain, et pour le dessert une tarte aux fraises qu’elle avait préparé le matin même avec amour. Ils se donnaient chacun la béquée, ils discutaient et rigolaient ensemble. Ils étaient allongés sur la nappe, sur le côté, très proche l’un de l’autre et se faisaient face. Marie posa une main sur le torse de Marc et caressa ainsi ses pectoraux à travers la chemise de lin. Le jeune homme, un peu troublé, se ressaisit et tenta quelque chose. Il piqua une fraise de la tarte, la coinça avec ses gros doigts entre le pouce et l’index et présenta la fraise à la bouche de la jeune femme. Mais au lieu de lui faire manger, il vint caresser tout doucement les lèvres de Marie avec la fraise. Il fit 2, 3 tours puis lui fit manger la fraise. Marie, légèrement échauffée, fit la même chose avec la fraise sur les lèvres de Marc. Celui-ci recommença son petit manège, mais à la fin, Marie, goba la fraise pour aller sucer les doigts de son amoureux. Il reçut ça comme un signal, et il approcha sa tête contre celle de Marie pour s’embrasser intensément.
Marc s’allongea sur le dos, et Marie s’allongea sur Marc tout en l’embrassant. Elle se redressa pour desserrer les liens qui tenaient fermées la chemise de Marc, et après l’avoir ouverte elle put caresser les abdos saillant et en suivant la ligne de poils, elle termina sur le torse velu de son amant. Elle continua ses caresses sous forme de massage, à chaque passage elle se penchait de plus en plus pendant que Marc passait caresser le bas du dos puis les fesses de Marie. Puis, à force de se pencher, Marie fut complètement allongée sur Marc, ses seins plaqués contre le torse musclé du jeune homme, elle avait pris le visage de son forgeron entre ses mains et pendant qu’elle l’embrassait, elle parcourait de ses doigts fins le collier de poils qui entourait le visage de Marc. Ils restèrent enlacés un bon moment à s’échanger des baisés et à se caresser, Marc avait déboutonné le haut de la robe de Marie, libérant sa poitrine généreuse. Ensuite, Marie sent une bosse grossir contre son bas-ventre et comprend vite que le prochain quart d’heure allait être très chaud. Elle plaça sa main sur la bosse qui continuait à grossir, elle croisa également le regard de Marc: ses beaux yeux noirs la fixait avidement, elle sentait le désir monter en lui… et dans son pantalon. Marc vit alors sa partenaire descendre le long de son corps tout en lui donnant quelques baisés au passage, et arrivée à l’entrejambe, elle déboutonna le pantalon de cuir et comme Marc ne portait rien en dessous, elle put sortir la verge qui l’avait tant impressionnée quelques jours plus tôt. Mais elle fut surprise en voyant qu’il n’avait pas la même taille, elle dit qu’il n’était pas encore au maximum de son érection bien qu‘elle était déjà de belle taille, alors elle commença à le masturber vivement.
Marc mit sa main sur la tête de Marie qui commença donc à le sucer: elle prit d’abord le gland en bouche dont sa langue le titillait, puis l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Pendant la fellation, elle le sentit encore grossir dans sa bouche, augmentant son propre plaisir. Elle accéléra le mouvement et entendit Marc gémir et respirer de plus en plus vite, mais elle s’arrêta en sentant qu’il allait venir. Elle se mit debout, dominant de sa hauteur la grande masse de muscle couchée par terre et qui la regarda enlever complètement sa robe et lui retirer son pantalon. Ils étaient totalement nus, Marc observait le physique magnifique de sa bien-aimée qui se dirigeait vers lui, et remarqua qu‘elle avait réussi à raser son minou pour ne laisser qu‘un petit triangle de poils. Elle se plaça ensuite juste au-dessus de sa tête, il avait donc une vu imprenable sur la vulve et le cul de la jeune femme. Elle s’accroupie pour s’asseoir sur le visage de Marc et s’étaler sur lui pour reprendre la queue en bouche.
C’est donc en 69 qu’ils commencèrent leurs ébats, les langues s’activaient des deux côtés: l’un sur les lèvres, l’autre sur le méat et les grosses veines bleues qui irriguaient la verge. Marc était au maximum de l’excitation, Marie le sentait bien et voyait que la queue ne serait pas plus grande, elle était déçu de voir qu’elle n’aurait pas droit à la grande barre de fer qu’elle avait vu. « Les effets des gâteaux auraient-ils disparu? Il faut que je retourne voir la sorcière» pensa-t-elle, et puis elle se dit que la taille qu’elle avait entre les mains était déjà honorable, alors autant en profiter un maximum.
Entre ses jambes, elle sentait la langue de Marc s’enfoncer profondément dans son con, ce qui la faisait gémir et serrer ses jambes contre la tête de son compagnon. Elle serrait si fort qu’il faillit s’étouffer, il avait relevé le cul de Marie avec ses mains puissantes. Par la suite, il lui mit un doigt pour aller chercher le point G, et quand il ressentit un tressaillement dans le corps de Marie, il sut qu’il avait touché juste, alors il s’activa sur cette zone. La jeune femme avait sorti la queue de sa bouche pour lâcher, d’abord, des gémissements, puis des cris intenses de plaisir lorsque Marc lui enfonça 2 doigts. Trop excitée pour attendre plus longtemps, elle se retourna pour s’enfiler doucement sur la grande queue de son bel étalon, faisant sauter son pucelage au passage, mais heureusement en saignant très peu. Une fois au fond, elle commença un mouvement de va-et-vient en appuyant ses mains sur le torse velu de Marc. Celui-ci la tenait par les fesses et amplifiait le mouvement pour qu’elle puisse sentir en elle toute la longueur de son chibre ainsi que le gland, relativement gros, lui ramoner tout le vagin. Elle se rendait compte qu’elle avait eu raison de résister aux avances des autres garçons du village afin de se réserver à son grand amour. Et en effet, pour sa première fois, elle était au paradis: labourée jusqu’au fond par son ami d’enfance, sur lequel elle avait fantasmé pendant longtemps, et qui était devenu un jeune homme merveilleux. Le couple continua un moment ses ébats toujours dans la même position avec Marie à cheval sur Marc qui sentait la sauce monter à nouveau. Il la prit plus fermement par les fesses et accéléra le mouvement de va-et-vient, faisant accroître le plaisir et les petits cris de Marie qui atteint l’orgasme rapidement, suivit de Marc qui lâcha un râle grave tout larguant un flot puissant et abondant de sa semence dans le vagin étroit de Marie. Elle sentait la chaleur s’écouler dans le creux de son ventre, la grosse queue de Marc empêchant le fluide de ressortir. Marie s’était effondrée sur Marc, essoufflée comme une bête après avoir été poursuivie par un prédateur. Ils se reposèrent, enlacés l’un dans l’autre, Marc toujours fiché en elle, puis se retira et allongea Marie à côté de lui sur la nappe qui fut marquée par une grande tache lorsque le mélange de mouille et de sperme sortit du trou ravagé.
Après un quart d’heure de sieste où Marie s’était endormie à moitié couchée sur Marc, la tête posée sur son torse, un petit vent frais de fin d’après-midi se leva. Marie frissonna, car elle était toujours nue et la chaleur dégagée par le corps de son amant augmentait la différence de température. Elle se réveilla et sortit Marc des bras de Morphée en lui caressant tendrement le visage. Il tourna le visage vers la main de Marie pour y déposer un baiser, il la prit dans la sienne pour embrasser le dos de la main, enfin il ouvrit ses yeux pour se plonger dans ceux de sa bien-aimée. Elle put y voir tout l’amour qu’il avait pour elle, une tendresse insoupçonnée venant d’un colosse comme lui. Ils se rhabillèrent, nettoyèrent la nappe où Marc fit attention de na pas se mouiller l’entrejambe, ils remballèrent tout dans le panier et partir. Marc aurait voulut passer la nuit avec Marie, mais elle refusa, son père aurait été trop inquiet. Ils se promirent de se revoir très vite, qu’à la moindre occasion, ils feraient en sorte de se voir. Marc la raccompagna jusqu’au village, mais n’entrèrent pas directement: voir une jeune femme au bras d’un homme qui n’est pas son mari était mal vu. Ils eurent un dernier baiser passionné derrière un arbre et se séparèrent.
Le soir même, à la forge, Marc et son père, Paul, étaient en train de dîner lorsque Paul lui annonça qu’il devait partir pendant 3 jours avec le chef du village. Celui-ci était venu dans l’après-midi pour lui annoncer qu’il avait besoin de lui pour aller mobiliser les hommes dans autres villages. En effet, il avait reçu des nouvelles par les marchands de passage: les barbares venus du Sud continuaient leur progression. Le roi avait déjà envoyé une armée et des espions, en attendant, il mobilisait toutes ses troupes ainsi que tous les hommes sachant se battre. Le chef du village avait donc compris qu’il fallait déjà mobiliser tous les hommes de la région en attendant les émissaires du roi. Il voulait la présence du forgeron car il était une personnalité en tant que meilleur forgeron de toute la région. Bref, ils en auraient pour 3 jours, le temps d’écumer tous les autres villages. « En mon absence, je te confis la forge, et tout le boulot qui va avec! » dit Paul avec un grand sourire. Marc fit celui qui était dégoûté, alors qu’à l’intérieur il essayait de contenir sa joie.
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