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Le Forgeron

Chapitre 4

Divers
Très tôt le lendemain matin, Paul partit pour le village où il devait rejoindre le chef et 2 autres hommes qui constituaient cette délégation improvisée. Marc se leva une heure plus tard, déjeuna, et alla se laver dans la rivière où il eut une belle surprise: l’effet de l’onguent agissait encore, mais quand sa queue toucha à peine l’eau, il y eut un « ploc » et elle retrouva sa taille extraordinaire. Ensuite, dans sa chambre, il sortit la petite boîte de bois noir et mit 2 couches de lotion: son sexe retrouva sa taille « normale » de 19cm sur 5, comme il le remesura. Puis, il voulut rendre visite à Marie pour l’emmener ensuite à la forge où ils seraient tranquilles pendant 3 jours. Dans le ciel, des nuages gris et sombre menaçaient de lâcher leur eaux, et c’est-ce qu’il se passa. Marc fut arrosé alors qu’il n’avait pas fait un quart du chemin. Il rentra chez lui, complètement trempé, et à nouveau avec un énorme chibre qui avait repoussé à cause l’eau infiltrée dans son pantalon. Il se sécha, remit à nouveau 2 couches d’onguent et jeta un coup d’œil dehors: la pluie avait cessé, et les nuages semblaient moins menaçant. Il enfila des vêtements secs et repartit. Il commença à courir pour se dépêcher et ne pas se retrouver à nouveau sous la pluie. Mais le chemin de terre était gorgé d’eau et donc instable si bien que Marc tomba de toute sa masse dans une grande flaque de boue.Rebelote: trempé, sa queue avait à nouveau grossi, et cette fois-ci, sale et couvert de boue. Il rentra, dépité, sous la pluie qui avait recommencé. Il abandonna l’idée d’aller voir Marie, mais au cas où celle-ci viendrait, il voulut remettre de la pommade sur sa queue, mais quand il vit qu’il ne lui en restait plus beaucoup, il se dit qu’il devait d’abord aller chez la sorcière. Il attendit que la pluie cesse un moment et partit dans la forêt.
Au même moment, Marie marchait dans la forêt, sur un chemin de pierre et sombre à cause de l’épais feuillage des arbres. Elle déboucha sur une grande clairière qu’elle connaissait bien pour y aller souvent depuis 3 ans maintenant. Elle resta sur le chemin caillouteux entre les plantes toujours aussi bizarre. Du haut de sa tour d’observation, qui était couverte grâce un mécanisme spécial qui dépliait une toile épaisse et qui la couvrait de la pluie, la sorcière Clara regardait à travers sa longue vue magique. Celle-ci lui permettait de voir ce qu’elle voulait, à travers tout. Elle avait donc vu l’arrivée de Marie, et elle avait ri quand elle avait vu Marc tombé dans la boue. Elle l’avait vu entré dans la forêt: « Il doit être à cours d’onguent… qu’elle bonne idée j’ai eu de déclencher cette pluie! Se dit-elle. Allons voir ce que veut notre cher Marie. »Marie était à la porte de la maison de la sorcière et lorsqu’elle voulut frapper elle entendit: « Entrez!! ». Marie pénétra donc dans le salon toujours aussi encombré d’objets et de choses étranges. « Bonjour Marie, commença la sorcière, que veux-tu cette aujourd’hui? Comme d’habitude?— À vrai dire, j’avais quelques questions sur la poudre. Tu m’as dit qu’avec des doses répétées, la queue de l’homme pouvait avoir une taille définitive? Demanda Marie.— Oui, répondit Clara qui eut soudain comme une illumination mais attendit la suite.— Pourtant, il y a quelques jours j’ai vu mon homme prendre les filles jumelles du boulanger et il avait un tel gourdin qu’elles avaient du mal à marcher après. Et hier quand on s’est amusé ensemble, il avait une belle queue mais pas le gros gourdin que j’avais vu. Ça va faire 3 ans que je lui fais des gâteaux et des tartes où je mets la poudre et apparemment, elle perd vite de son action… — Ton copain, ça ne serait pas Marc par hasard ? Le grand et beau brun musclé qui se trimbale tout le temps avec son marteau de forgeron ? Demanda Clara avec un sourire malicieux.— Ou… oui, comment…? Balbutia Marie.— Il est venu me voir pour que je lui rétrécisse sa queue: il ne voulait pas te faire mal lors de votre premier rapport. Ce n’est pas mignon? »Marie fut très surprise de l’apprendre, mais également très reconnaissante envers Marc qui l’aimait à s’en faire rétrécir la queue. La sorcière continua: « Pour l’efficacité de la poudre, ne t’inquiètes pas, elle est bien permanente désormais. Je pense même que tu devrais arrêter de lui en donner sinon, ça risque de grossir encore. Mais si tu tiens tant à avoir son énorme chibre, tu as juste à lui mettre de l’eau dessus pour enlever l‘effet de l‘onguent : résultat immédiat! »Marie acquiesça d’un air pensif en repensant aux pauvres jumelles. « En parlant du loup » dit Clara en désignant la fenêtre: Marc arrivait. « Ça te dit de voir à quoi tu auras droit s’il ne met pas l’onguent ? » Demanda la sorcière, avec un air d’envie non dissimulé. Marie accepta, alors Clara la cacha derrière un grand rideau dans sa chambre où elle fit deux trous pour les yeux. Deux minutes plus tard, Marc était là, assis devant la table de la sorcière: « Est-ce que je pourrais avoir du "rétrécissant" ? Demanda Marc.— Déjà?— J’ai eu quelques problèmes qui ont fait que…» répondit Marc, toujours intimidé par les yeux violets de Clara.Elle ne connaissait que trop bien les problèmes qu’il avait eu: d’une part c’est elle qui avait déclenché la pluie, et d’autre part, elle avait fais exprès de lui donner un petite dose pour qu’il revienne vite la revoir. Elle adorait se faire payer en nature par Marc.
Elle prépara la lotion qu’elle mit dans la petite boîte en bois noir que le jeune homme avait ramené. Elle fit le tour de la table et se planta devant lui. Elle lui tendit la boîte et juste avant qu’il ne la prenne, elle relava sa main pour qu’il la loupe. « Tu sais bien qu’il faut payer avant… » Dit elle avec son plus beau sourire. Marc lui rendit son sourire, se leva et enleva sa chemise en chanvre. Ils s’embrassèrent et commencèrent à se caresser. Ils se retrouvèrent nus très vite et Marc porta Clara dans sa chambre. Marie vit son amant lâcher la sorcière sur le lit à plumes et s’allonger sur elle qui écartait les jambes pour ensuite les mettre autour des hanches du jeune homme. Il la dominait de toute sa masse, l’écrasant légèrement lorsqu’il l’embrassait goulûment.
Soudain, Clara pensa soudainement aux jumelles, et elle eut une idée. Elle lui ordonna de se relever. Il y avait un miroir à la gauche de Marie et elle ne put s’empêcher de mettre une main sous ses jupes pour se caresser quand elle vit le reflet des deux amants et notamment le marteau de Marc. Elle bavait d’envie de le prendre et de l’avoir au plus profond d’elle. La sorcière qui se tenait à côté de lui, passa sa main devant le miroir en prononçant une formule dans une langue inconnue. La surface du miroir ondula d’où une copie de Marc en sortit. Celui-ci en resta bouche bée, surtout lorsqu’il s’aperçu qu’il n’avait plus de reflet. Clara ramena Marc à la réalité et emmena ses deux mâles vers le lit. Elle se mit à genoux sur le lit et elle prit les deux grosses queues, l’une dans sa bouche, l’autre dans une main. Elle suçait et branlait en même temps. Ils étaient encore mous, alors elle voulut essayer d’avoir les deux glands dans sa bouche. Elle réussit avec difficulté, et elle eut mal lorsque les deux commençaient à durcir et grossir dans sa bouche, elle dut les retirer un par un. Ensuite, elle les suça chacun leur tour tout en branlant l’autre en même temps. Dès qu’ils furent bien durs et bien dressés, elle allongea Marc sur le lit, la queue bien droite sur laquelle elle vint s’empaler doucement, et commença des va-et-vient. Le faux Marc monta sur le lit enjamba le corps du vrai pour présenter son énorme membre que la sorcière dut prendre à deux mains et qu’elle lécha à défaut de pouvoir lui suçait plus que le gland. Le chibre était aussi dur qu’une barre de fer, si bien qu’elle s’aidait de cela pour remonter et descendre le long du pieu qui la perforait.
Marie mouillait abondamment en voyant se spectacle, elle avait les mains et les cuisses de trempées, elle se cramponnait au rideau pour ne pas s’effondrait de plaisir et continuer à regarder.
Clara accéléra la masturbation du faux Marc qui se retint autant qu’il put, mais après quelques minutes de ce traitement, il prit la tête de la sorcière entre ses mains et enfonça son gros dard au plus profond de la gorge de la jeune femme. Après 3 grands allers-retours de plus en plus profond, il éjacula une quantité invraisemblable de foutre qui noya presque Clara, dont le sperme lui ressortait même par le nez. Elle avala comme elle put pour respirer à nouveau et retirer le braquemart de sa bouche. Il bandait toujours comme un taureau, la pine bien luisante de bave, alors il se plaça derrière la sorcière qui se faisait toujours limer la chatte par le vrai Marc. Il arrêta son mouvement, Clara se cramponna à ses épaules, les seins plaqués contre son torse velu pendant que le faux Marc positionnait son énorme membre à l’entrée de son gros cul. Il enfonça doucement le gland qui eut du mal à rentrer, puis, une fois à l’intérieur, il pénétra un peut plus vite en la maintenant par ses hanches bien rondes. Grâce à sa force, il la maîtrisait et l’empêchait de se retirer. Si au début de la pénétration, elle n’émettait que des gémissements, elle criait de plaisir lorsque le faux Marc planta son glaive jusqu’à la garde. Les deux hommes attendirent un moment pour qu’elle puisse s’adapter aux deux pieux. Elle s’était encore plus cramponnée à Marc, en enfonçant ses ongles dans sa chair, son corps plus que jamais plaqué contre lui, avec seulement sa croupe de relevée.
Marie qui se trouvait à la droite du lit, voyait la scène avec un désir monstrueux d’être à la place de Clara. Derrière son rideau, elle ne pouvait voir l’action que d’un seul côté. Toutefois, elle remarqua qu’en regardant dans le miroir, elle avait une vue magnifique sur les deux queues enfouîtes dans les pauvres trous de la jeune sorcière. Un nouvel éclair de plaisir la traversa lorsqu’elle se frotta le clitoris en s’imaginant prise par les deux colosses.
Les deux Marc se regardèrent et, d’un clin d’œil, se mirent en branle tout les deux, en même temps. Des cris remplirent la chambre, Clara était littéralement ramonée dans ses deux cheminées pour son plus grand plaisir. Le faux Marc qui l’enculait, avait une main sur l’épaule de la jeune femme, et l’autre sur une de ces hanches généreuses. Il accéléra le ramonage, sortant sa queue jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le gland et la bourrait d’un coup à grande vitesse, lui arrachant un nouveau cri. La pauvre femme ressentait des coups de butoir de toutes parts, elle sentait même les grosses boules du faux Marc lui tapaient les fesses lorsqu’il l’enfilait d’un seul bloc. Elle était totalement déchirée de l’intérieur, provoquant des orgasmes à répétitions.Le vrai Marc, en dessous, la pilonnait de son côté, à chaque coup, il lui touchait le fond. Comme elle était maintenue par sa copie, il pouvait tripoter la poitrine généreuse de Clara et voir ses jolies yeux violets pleurer et s’exorbité à chaque aller-retour. Marc avait éprouvé une nouvelle sensation lorsque son double était rentré dedans. Il avait senti l’autre queue à travers la paroi vaginale. « Que c’est bon! » avait-il pensé, et lui-même sentait les grands coups de marteau de son clone lorsqu’il la pilonnait.
Les allers-retours durèrent 10 bonnes minutes, puis les mouvements s’accélérèrent, faisant crier Clara à pleins poumons. Marie frottait encore plus vite sa vulve, complètement trempée, mais ses gémissements étaient couverts par les cris de la sorcière. Et soudain, tout s’immobilisa. Les deux Marc étaient fichés en elle et larguèrent un flot incroyable de leurs semences dans un râle grave et intense. Tous s’effondrèrent les uns sur les autres, la pauvre Clara prise comme une tranche de jambon entre deux tranches de pain et qui viendrait de se faire beurrer de l’intérieur.
Le vrai Marc qui était encore en dessous, supportait toute la masse des deux autres mais il réussit à les faire basculer sur le côté du grand lit. Les deux jeunes hommes se retirèrent de leur trou respectif: une bonne quantité de fluide gluant et blanchâtre s’écoula de son con, tandis que de l’autre côté, une rivière de foutre s’écoula de son cul. En effet, la sorcière lui avait bien rempli les bourses à toc et même plus grâce à la magie. D’ailleurs, Clara avait posé une main sur ses trous béants pour récupérer de la semence et la porter à sa bouche. En voyant cela, les deux Marc lui mirent deux doigts dans chaque antre dégoulinant puis lui mirent dans le bouche pour les lécher avidement.
Après avoir lécher un maximum de foutre, Clara fit un signe de la main et la copie de Marc descendit du lit pour aller devant le miroir, et il rentra dedans. Marc fut soulagé et très content de retrouver son reflet. Il s’allongea et Clara se blottit contre lui, toute heureuse. « Ta copine a beaucoup de chance de t’avoir, tu sais? » dit-elle en lui caressant le visage. « MARIE! » s’écria-t-il en se relevant d’un bloc. Il souvint soudainement pourquoi il était venu, et il devait repartir au plus vite. Il se rhabilla en quatrième vitesse, récupéra sa boîte d’onguent et partit en courant à toutes jambes dans la forêt. Clara resta planté là, sous le choc d’avoir vu son amant détaler aussi vite. Elle secoua la tête pour reprendre ses esprits et se souvint que Marie était cachée derrière le rideau. Elle ne voyait pas les yeux à travers les fentes, elle devinait juste une grosse bosse qui bombait le rideau. Elle s’approcha en marchant avec difficulté, normal après le ramonage qu’elle venait de subir. Enfin, elle tira le rideau pour découvrir Marie, assise par terre, le dos contre le mur, les jambes ramenaient contre sa poitrine. Elle serrait un objet dans sa bouche qu’elle avait prise au hasard pour s’empêcher de gémir trop fort, car elle s’était enfoncée sa main entière dans le vagin, une grande flaque de mouille inondant le plancher. « Et qui va devoir se taper le nettoyer maintenant? » pesta la sorcière.
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