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Le Forgeron

Chapitre 5

Divers
Marie était rentrée au village, Marc à la forge, et restèrent chez eux le restant de la journée où il plut tout le temps. Le lendemain, un beau soleil illuminait toute la vallée, la baignant dans sa chaleur d’été. En allant se laver à la rivière, Marc avait vu qu’il ferait beau et que Marie était susceptible de venir alors il avait mis de l’onguent rétrécissant. Le jeune forgeron avait commencé tôt pour rattraper son retard de la veille. Il martelait le fer vigoureusement sur la grosse enclume, lui donnant progressivement la forme d’une épée. Il y avait un grand tonneau d’eau à côté de l’enclume qu’il utilisait lorsqu’il fallait faire une trempe, mais au stade où était l’épée, il y avait encore quelques étapes avant de la plonger dans l’eau. Il s’était retourné pour remettre l’épée dans le foyer, puis il actionnait la manette qui commandait le soufflet. La chaleur qui régnait dans la pièce et celle du feu le faisait suer à grosses gouttes et le bruit du soufflet couvrit l’arrivée de Marie. Celle-ci était venue vers 11h et l’avait observé un moment, cachée dans un coin sombre de la pièce. Elle voyait toute cette montagne de muscles enveloppée dans son tablier de cuir, s’activer sur la barre de fer et lui donner la forme longiligne d’une épée. Pendant que Marc était dos à Marie, en train faire monter le fer à bonne température, la jeune femme alla rapidement mais discrètement se placer derrière Marc. Il la dépassait d’au moins une tête et demi et sa carrure était tout juste suffisante pour que Marie puisse se cacher derrière. C’est pourquoi Marie l’enlaça en passant ses mains sous le tablier de cuir, se colla à lui et en se mettant sur la pointe des pieds, elle lui murmura à l’oreille: « Bonjour mon cœur! J’espère que je ne t’ai pas trop manqué hier? » Il faillit sursauter de peur, car il était tellement concentré dans son travail qu’il n’avait rien vu venir quand des bras l’avaient encerclé, mais fut calmé rapidement en entendant la voix suave de sa bien-aimée. Il arrêta le soufflet et posa l’épée sur des braises assez chaudes pour le maintenir à une bonne température, car il se doutait qu’il ne reprendrait pas le travail avant un petit moment…
Les mains de Marie couraient le long du corps transpirant de son forgeron, passant sur son torse velu dégoulinant de sueur et suivit le ligne de poils à travers les abdos pour arriver plus bas à un endroit plus touffu et humide sous le pantalon de cuir. Marc avait mis ses grandes mains sur les fesses de Marie, toujours derrière pour la plaquer contre lui. Elle sentait l’odeur piquante de transpiration mélangée au soufre et au fer, mais son excitation montait grâce aux caresses de son amant, et de ses caresses à elle sur le corps sculpté de Marc. Celui-ci défit les nœuds de son tablier de cuir et le jeta à terre. Il se retourna pour faire face au merveilleux visage de Marie et plonger son regard dans ses yeux verts, puis approcha son visage pour l’embrasser passionnément. Le jeune forgeron la fit reculer jusqu’à buter contre la grosse enclume, ensuite il enleva la large chemisette grise de Marie qui ne portait rien en-dessous pour l‘occasion, puis, tout en lui caressant les seins d’une mains, il lui enleva sa longue jupe noir sous laquelle elle ne portait rien non plus. Il se caressèrent un moment, elle toute nue, lui, avec juste son pantalon qu’elle finit par enlever et commença à lui astiquer la queue d’une main pendant que l’autre s’accrochait au coup de taureau de son compagnon.
Au bout d’une dizaine de minutes de ces douces caresses, l’excitation était à son comble: Marie l’avait remarqué en voyant Marc bandait très fort, son chibre était dure comme une barre de fer dans ses mains, et elle qui mouillait sur les 3 doigts du jeune homme qui préparaient son passage dans le vagin. Elle s’assit sur l’enclume et se retrouva face aux bijoux de famille de Marc. Sa queue était humide de transpiration, et l’odeur qui s’en dégageait, était très piquante et peu ragoûtante. Elle approcha son visage pour goûter à son gland: le goût était vraiment horrible, elle voulut reculer mais les grosses mains de Marc s’étaient posées sur sa tête et la maintenait fermement. Celui-ci la força en appuyant bien fort pour contrer sa résistance, si bien qu’elle goba jusqu’aux poils dont l’odeur, tellement forte, qu’elle faillit tomber à la renverse si elle n’était pas retenue.
Le jeune homme se retira et recommença à la doigter. Jugeant alors qu’elle était prête, elle enjamba l’enclume pour s‘asseoir dessus en travers, et se bascula en arrière, sa tête touchant presque le grand tonneau d’eau juste à côté de l’enclume. Marc la couvrit de baisés allant de sa bouche, puis dans le cou, passa entre ses deux gros seins, la lécha jusqu’au nombril. Enfin, il arriva entre ses jambes où il commença à lécher ses petites lèvres tout en lui titillant le clitoris d’une main, et les tétons de l’autre. Il lui enfonçait sa langue le plus profondément possible, ce qui la faisait gémir à chaque passage, son collier de poils chatouillait l’intérieur des cuisses de Marie, ajoutant une nouvelle sensation de plaisir. Marc finit par se redresser, il plaça les jambes de la jeune femme contre lui, et enfonça son vit dans le vagin bien dilaté et humide. Elle était à la bonne hauteur, si bien qu’il put s’aventurer au plus profond de sa bien-aimée. D’une main il lui caressait les seins tandis que l’autre appuyait sur son bas ventre pour bien la plaquer contre l’enclume. Marie se cramponnait au tonneau d’eau, la tête posée sur son rebord, et avec lumière orangée du foyer sur sa droite, elle admirait la grande carrure sublimement sculptée de son amant qui l’emmenait progressivement au 7ème ciel…
Pendant qu’il la ramonait, elle s’était cambrée pour l’accueillir plus profondément, et bascula sa tête en arrière. Ainsi, elle put voir que le tonneau contenait de l’eau et cela lui donna une petite idée. Elle plongea une main dans l’eau, et en prit dans le creux de sa main, mais les secousses de Marc la renversèrent. Elle recommença et fermant le poing cette fois-ci et fit plus attention aux mouvements brusques. Marc, concentré sur le bas-ventre de la jeune femme, ne vit pas le petit de manège de Marie et fut donc très étonné lorsqu’il la surprit à projeter de l’eau sur son entrejambe et qui toucha sa queue. Soudain, il eut un « ploc » suivit d’un « AAAHH!!! », c’était Marie qui criait à cause de la douleur fulgurante due à l’énormité du pieu qui venait de grossir d’un coup! Marc fut à la fois surpris et choqué, et se retira rapidement, arrachant ainsi un nouveau cri de douleur intense à sa compagne. « Mais pourquoi tu as fais ça??? » s’écria Marc, le gourdin entre ses mains, et la jeune femme lui répondit d’un ton cinglant: « Quoi? Tu fais profiter de ton braquemart aux jumelles du boulanger et à la sorcière. Ne ment pas, je t’ai vu les défoncer avec ta grosse queue! Et moi je veux la même chose!— Mais ça va te faire mal! Tu as bien vu quand tu as asperger ma queue, tu as crié de douleur!— C’est qu’avec un truc pareil, tu aurais fais gueuler n’importe qui. Il n’y a pas de raisons que tu en fasses profiter les autres et pas moi, alors tu vas me la mettre bien au fond, et me ramoner comme les autres! Conclut Marie »Marc fut rassuré de voir que Marie voulait tâter de son gros marteau. Alors il s’approcha d’elle qui était toujours allongée sur la grosse enclume, se tenant au tonneau, les jambes bien écartées et relevées, ainsi que le grand trou humide au milieu qui n’attendait que lui. Il eut une idée assez cocasse en la voyant ainsi. Il s’approcha, tenant son gros manche bien droit : « Tu veux vraiment essayer ça! » lui dit-il en tapant 3 fois son énorme queue sur l‘enclume qui résonna comme s‘il avait frappé avec un marteau, montrant ainsi la dureté de son membre imposant. Elle fut surprise, et eut peur sur le coup, mais elle se résolut à affronter la bête, et elle acquiesça vivement.
Il lui mit d’abord le gland dont l’introduction fit gémir Marie, puis se pencha sur elle pour aller poser ses mains sur le bord du tonneau, entre celles de Marie. Ainsi positionné, il avait une vue sur le magnifique visage de sa jeune compagne qui regardait le pieu à peine enfoncé en elle, et se demandait ce que pouvait bien préparer Marc. Celui-ci approcha le visage du sien pour l’embrasser, puis redressa sa tête: « J’espère que ça va te plaire » dit-il, et son visage se changea, ses yeux noirs, si doux, devinrent inquiétants, un sourire en coin, accentué par la lumière du foyer, lui donnait un air cruel.Et soudain… « PAF! », suivit d’un cri strident de Marie qui venait de se faire littéralement empaler jusqu’au fond, et la douleur était telle qu’elle se demanda s’il n’était pas rentré dans l’utérus. Les yeux exorbités, elle regardait le visage de Marc qui avait eu une grimace au moment de la pénétration et qui reprenait peu à peu son sourire inquiétant. Il resta fiché en elle un moment, le temps qu’elle prenne la mesure de manche, dont les 7cm de diamètre sur les 31 de long lui occupaient tout le volume et même en dépassait largement. Enfin, il releva son bassin pour faire ressortir son chibre, en y laissant juste le gland. Puis, il l’empala à nouveau, mais ressortait aussi vite, il faisait des allers-retours rapides en utilisant toute la longueur de son pénis. Il la martelait, si bien qu’elle se retrouva littéralement prise entre le marteau et l’enclume. Les coups de butoir au fond de sa chatte lui secouaient les entrailles, le pilonnage en règle qu’elle subissait, la faisait hurler d’abord de douleur, puis de plaisir violent où elle avait des orgasmes presque en continu. Il cognait et re-cognait le fond du vagin, son énorme gland lui raclait tous les bords, passant à chaque fois sur son point G qui était titillé grâce aux grosses veines bleues du pilon de chair, ses grosses couilles lui tapant les fesses. Une dizaine de minutes plus tard, le martelage cessa quand Marc se ficha pour de bon au fond de la grotte de son amante pour lui déverser un flot incroyable de foutre. Il se retira en relevant Marie pour la mettre assise sur l’enclume et lui présenta son membre devant sa bouche. Elle réussit à engloutir un peu plus que le gland, mais ne pu aller plus loin. Elle lui nettoya donc la queue en avalant bien le restant de semence, pendant que la majeure partie du fluide lui ressortait par la vulve.
Fatiguée et complètement déchirée, elle s’effondra à genou contre son compagnon, les bras enlacés autour de ses grosse cuisses, la tête juste à côté de l’énorme marteau de chaire. Marc, lui aussi bien épuisé, rassembla ses dernières forces pour porter Marie jusqu’à sa chambre, la déposer délicatement sur son lit et se coucha à ses côtés. Midi était passé, il avait faim, mais était trop fatigué pour faire le moindre geste, alors il s’endormit aux côtés de sa bien-aimée.
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