Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 215 J'aime
  • 2 Commentaires

Formation Professionnelle

Chapitre unique

Hétéro
Début octobre 1991.
C’était un dimanche soir.Je venais d’arriver à l’hôtel après quatre heures de route, et de prendre possession de ma chambre.J’étais là dans le cadre d’une formation professionnelle jusqu’au jeudi soir.
C’était un hôtel d’affaires avec de nombreuses salles de séminaires, pas un établissement pour touristes.Je descendis au restaurant pour dîner. Il n’y avait personne dans la salle, excepté une gentille serveuse qui me laissa choisir une table, puis me tendit le menu lorsque je fus assis.
Lorsqu’elle fit demi-tour pour retourner au comptoir, je me permis de jeter un œil à sa silhouette plutôt agréable.C’est là que je m’aperçus qu’il y avait une femme attablée à l’autre bout de la salle.Elle me regardait, et m’adressa un sourire lorsque nos regards se croisèrent.Je lui répondis par un signe de tête.
La serveuse revint prendre ma commande deux minutes plus tard.Je regardais à nouveau ses jambes lorsqu’elle eut fait demi-tour.Je vis alors la femme du bout de la salle se lever et venir vers moi.Elle portait un tailleur, veste et pantalon noir, sur une chemise blanche.
Durant son approche, l’idée que c’était peut-être une professionnelle du sexe me traversa, mais la tenue vestimentaire ne collait pas.
— Bonsoir, me dit-elle.— Bonsoir Madame.— Visiblement, vous êtes seul et moi aussi. Seriez-vous d’accord pour que nous partagions votre table pour dîner ?— Eh bien, pourquoi pas ?

Elle tira la chaise face à moi et s’installa.
— J’ai horreur de prendre un repas toute seule quand je ne suis pas chez moi.— C’est vrai que ce n’est pas très agréable et il me semble que l’on a tendance à manger plus vite, ce n’est pas bon, paraît-il.— Pas faux... Je suis là pour le boulot, vous aussi ?— Oui.— Je vais suivre un stage sur « le Management et le Leadership ».— Ah oui ! Moi aussi.— Vous travaillez pour quelle société ?— Je ne veux pas être impoli, mais je n’ai pas vraiment envie de parler boulot un dimanche soir, si cela ne vous dérange pas ?— Oui, bien sûr. Excusez-moi.— Y a pas de mal, je préférerais qu’on parle d’autre chose, c’est tout.— OK. Vous êtes de quelle région ?— J’habite dans la vallée de l’Eure.— Donc pas loin de chez moi. Je vis à Versailles.— Dans le Château ?— Bien sûr, tant qu’à faire.
Elle sourit.Ses dents blanches et bien alignées entre ses lèvres pourpres bien dessinées pouvaient aisément vous charmer.Elle était brune, les cheveux coupés court avec une grande mèche en travers du front.Cela lui allait bien.Ses yeux étaient « bleu glacier » et cernés d’un mince trait noir sur le pourtour de l’iris.Une légère ombre sur les paupières et un trait de crayon noir autour de l’œil lui procuraient un regard intense.Les traits de son visage un peu allongé étaient fins et délicats. En d’autres termes, elle était belle.
Elle sortit délicatement de ses doigts fins et manucurés, une cigarette d’un paquet de Marlboro Light.Je fumais la même chose à l’époque. Elle me tendit le paquet ouvert.
— Non merci, pas maintenant.
Elle alluma sa cigarette. A l’époque, on pouvait fumer partout.
La serveuse arriva avec mon entrecôte.
— Vous pourrez m’amener le dessert ici ?— Bien sûr Madame. Répondit la serveuse avant de tourner les talons.— Donc, nous allons nous voir toute la semaine. Alors, faisons connaissance si vous voulez bien, me dit ma compagne de table.
— Comment vous appelez-vous ?— Laurent. Et vous ?— Mylène. Je vous trouve bien jeune pour la formation qui nous attend. Quel âge avez-vous ? Si ce n’est pas indiscret, bien sûr.— J’ai déjà entendu que seules les réponses peuvent l’être. J’ai vingt-quatre ans.— Vous êtes donc un « jeune cadre dynamique » comme on dit maintenant...— On ne parle pas de travail, s’il vous plaît.— Exact, désolée. En tout cas, ça me va de vous voir toute la semaine. Vous avez l’air sympathique et très charismatique pour votre âge. J’aime les hommes charismatiques.— Merci.
Me ferait-elle du rentre-dedans ? pensai-je.
— Vous me semblez également être une femme qui a de l’aplomb.— Peut-être, mais je suis plus âgée que vous. Ça me rend un peu plus sûre de moi. Et j’ai connu des échecs qui m’ont endurcie, au travail comme dans ma vie privée.
Elle me montra sa main gauche en agitant les doigts.
— Vous voyez, pas d’alliance. Divorcée. Mon mari m’a quittée pour une autre ; plus jeune et moins chiante, paraît-il. Vous avez une petite amie ? Oh ! Excusez ma curiosité.— Vous avez regardé si j’avais une alliance, et comme je n’en porte pas, vous vous êtes dit que je pouvais être en couple, mais pas encore marié. Eh bien non. Plus de petite amie. Moi aussi je suis seul. Elle me trouvait ennuyeux. Maintenant, elle est en couple avec un mec qui a cinquante ans et un compte en banque confortable.
La serveuse vint débarrasser mon assiette après avoir servi le dessert de Mylène.
— Vous désirez autre chose, Monsieur ?— Un café, s’il vous plaît. Vous en voulez un aussi ?— Non, merci. Répondit Mylène. Je suis gourmande, alors va pour la tarte tatin. Mais pour le café, c’est bon, je suis déjà suffisamment excitée.— Si vous êtes réellement gourmande, ça ne se voit pas à votre silhouette.— C’est gentil. Vous m’avez donc regardée en détail !— Pas à ce point-là, mais vous n’êtes pas ronde.— Vous me trouvez comment alors, pour une vieille ?— Vous n’êtes pas vieille. C’est de la fausse modestie.— Et j’ai quel âge selon vous ?— Ma mère a quarante-cinq ans, mais elle en paraît quarante. Je dirais que vous avez quarante ans.— Aie, aie, aie. Vous me comparez à votre mère. Ça fait mal, mais c’est logique. En plus, je suis plus âgée qu’elle, j’ai quarante-sept ans.— Ne le prenez surtout pas mal. Ma mère est très belle, et mes potes l’ont toujours regardée avec envie.
Mon café arriva.
— Vous voyez la serveuse. Elle est jeune et plutôt pas mal. Mais vous, vous êtes belle et pleine de charme. L’âge ne garantit rien.— Je ne sais pas si vous êtes sincère, mais c’est très aimable.— Je pense ce que je dis.— Alors, permettez-moi de vous faire une proposition. Comme je vous le disais, je suis très excitée par votre présence, donc, pas de café.Je n’ai pas fait l’amour depuis que je suis séparée de mon mari, c’est-à-dire plus d’un an.Alors, je termine mon dessert et je monte dans ma chambre me faire belle pour vous.Si cela vous tente, vous me rejoignez chambre 201 dans trente minutes.
Elle avala sa dernière bouchée de tarte tatin, s’essuya délicatement les lèvres avec sa serviette, puis se leva et quitta la salle du restaurant.
Je n’ai pas réagi, surpris par la proposition. Je sentais mon visage s’empourprer et mon cœur battre la chamade.J’ai bu mon café et suis monté dans ma chambre. En chemin, ma décision fut prise. Oui, j’allais aller la rejoindre.J’ai pris une douche fraîche pour me calmer. Je bandais déjà.Je me suis rasé, puis j’ai enfilé un jean sans même mettre un caleçon, une chemise blanche propre et mes chaussures sans chaussettes.J’ai regardé l’heure. Dans mon excitation, j’avais fait vite et n’avais plus qu’à patienter dix minutes.J’ai allumé la télévision et zappé sur toutes les chaînes disponibles. Les dernières étaient des chaînes pour adultes. J’ai éteint la télévision.J’ai quitté ma chambre du cinquième étage et je suis descendu lentement par les escaliers pour ne pas être en avance. Je n’en revenais toujours pas.
Au moment convenu, je frappai à la porte marquée du numéro 201.Pas de réponse.Je frappai à nouveau un peu plus fort.Pas de réponse.Ça m’a calmé d’un seul coup. Elle s’était foutue de moi. J’étais comme un con dans ce couloir d’hôtel derrière une porte qui restait fermée.J’allais faire demi-tour lorsque la porte s’est ouverte.
— Entrez, je suis prête. Ai-je entendu.
Je suis donc entré, lentement.Mylène se tenait debout face à moi dans l’entrée de sa petite suite.Elle était vêtue d’une robe rouge qui épousait admirablement sa féminité. Elle avait chaussé des escarpins rouges en daim avec des talons hauts et très fins.
J’ai refermé la porte derrière moi.
— Comment me trouvez-vous ?— A tomber par terre.— Merci, n’exagérez pas, mais surtout, merci d’être venu. Je n’en étais pas du tout certaine, mais du coup ça me rassure sur moi-même.— Ne soyez pas inquiète concernant votre charme, Mylène. Vous souhaitez que l’on se tutoie ?— Non. Si cela ne vous dérange pas, je trouve assez troublant le vouvoiement dans ce contexte.— D’accord Mylène.— J’aime quand vous prononcez mon prénom. Venez. Me dit-elle en me tendant la main. Prenez-moi dans vos bras.
Je m’exécutai.
Chaussée de ses talons aiguille, elle n’était pas beaucoup plus petite que moi. Elle me regardait dans les yeux. Je l’enlaçai par la taille qu’elle avait fine avant de l’embrasser. D’abord, je pris ses lèvres entre les miennes. Je sentais son souffle chaud dans ma bouche et ses mains tremblantes sur ma nuque. Mes mains descendirent sur le bas de ses reins et ma langue s’immisça doucement entre ses lèvres.Puis nous nous embrassâmes plus ardemment. Mes mains descendirent jusqu’à ses fesses pour la plaquer contre moi. Je bandais comme un dingue. Cela dura un moment.Elle se mit à frotter son pubis langoureusement sur ma cuisse, tandis que je malaxais sa croupe.Je voulus déboutonner sa robe, mais elle me retint.
— Je voudrais commencer par m’occuper de ce que je sens de très dur sur mon ventre.
Elle me repoussa délicatement vers le canapé jusqu’à ce que je m’assois.
— Vous pouvez sortir votre sexe de votre pantalon s’il vous plaît ?
Demandé comme ça, comment refuser ?
Sitôt fait, elle s’agenouilla devant moi, entre mes jambes. Elle se saisit de mon sexe turgescent d’une main tandis que l’autre se posait sur mes testicules. Elle me regardait dans les yeux tout en sortant sa langue pour lécher ma verge tendue, de bas en haut jusqu’à mon gland sensible, ce qui engendra une secousse dans tout mon membre.
Elle recommença plusieurs fois. Puis, elle enfourna tout ce qu’elle pouvait, sans s’étouffer, de mon sexe dans sa jolie bouche. Elle se mit à le téter avec ses lèvres et sa langue tout en entamant un va-et-vient sur celui-ci.
Sa main se joignit à la manœuvre, serrant ma tige très fort, allant et venant lentement.J’étais aux anges et laissais échapper quelques gémissements.Elle était tellement douée dans l’art de la fellation, et c’était fantastique.Je vins très vite sous ses gestes d’experte. Elle sentit la sève monter et d’une pression ferme de la main, elle bloqua l’éjaculation qui se présentait. Elle me regarda alors à nouveau dans les yeux tandis que je me cambrai dans le canapé en la regardant faire. Elle relâcha la pression et me masturba énergiquement. Mon sperme emplit sa bouche, elle l’avala au fur et à mesure sans arrêter de m’astiquer.
Lorsque la source fut tarie, elle lapa les dernières gouttes de ma jouissance du bout de la langue.
Elle se leva en reculant légèrement. Elle me regardait toujours dans les yeux.
— C’était bon. ?— Divin. On ne me l’avait jamais si bien fait Mylène.— Merci. J’espère ne pas vous avoir épuisé parce que je suis complètement excitée.
Elle se jucha sur la table de salon juste derrière elle et commença à onduler au rythme de la musique douce qu’elle avait mise.Puis lentement, elle dégrafa sa robe, avant de la laisser tomber à ses pieds, puis l’éjecta de la table.Elle se mit à caresser son corps, ondulant toujours sur la musique. Elle caressait sa taille, puis ses hanches et le haut des cuisses. Elle remonta ses mains en passant sur ses fesses pour aller jusqu’à ses seins qu’elle saisit d’abord en coupes comme pour me les exhiber avant de les malaxer fermement. Elle se pinçait les tétons régulièrement. Sa main droite descendit vers son ventre, la main gauche agaçant toujours son sein ferme.
Elle caressa son bouton d’amour, à travers la dentelle rouge et noire de son string identique à celle de son soutien-gorge.Elle se faisait du bien. Cela se ressentait aux mouvements langoureux de sa tête et à ses yeux fermés. Son string et ses doigts fins luisaient. Le besoin de pénétration dut l’envahir, sa main venait de passer dans le string.
Ses doigts s’immisçaient entre ses lèvres et des bruits de succion accompagnaient son massage intime.Elle se retourna, toujours perchée sur la table de salon et toujours en ondulant du bassin. Elle me faisait sa danse des fesses. Mylène ne présentait pas une seule trace de cellulite, pourtant source d’angoisse pour la presque totalité des femmes. Elle était un peu musclée, elle faisait du sport, c’est certain.
Elle se pencha en gardant les jambes bien raides, faisant glisser le mince bout d’étoffe qui cachait son sexe jusqu’à ses pieds. Un filet de cyprine s’étirait de sa vulve dégoulinante à son string. La raie de ses fesses était parfaitement glabre, et son anus était doré alors que ses petites lèvres étaient brunes. Elle me regardait entre ses jambes tendues en souriant. Ce faisant, elle reprit sa masturbation, insérant de deux à trois doigts dans son vagin à un rythme soutenu. Sa chatte bavait de plus en plus.
— Vous bandez à nouveau. Me lança-t-elle.— Tout à fait.— Je vois ça.
Elle se mit à genoux sur la table tendant sa croupe vers moi, et me dit :
— Prenez-moi Laurent !
Je m’introduisis en elle avec une facilité déconcertante alors que je me trouvais gros et dur.Elle laissa échapper un « Mmmmmh » de plaisir, puis contracta son vagin sur mon membre viril.
— Défoncez-moi, s’il vous plaît Laurent !
Je me mis à la labourer sans ménagement. Elle jouissait à chaque coup de boutoir. Je m’en régalais et m’en donnais à cœur joie. Je savais que je pourrais la pilonner un bon moment après qu’elle m’ait vidé les couilles de sa bouche experte. Elle gueulait presque, sa tête coincée entre ses avant-bras posés sur la table étouffait un peu ses cris de plaisir.
— Plus fort !
J’aurai bien voulu, mais je me donnais déjà au maximum.Elle était extraordinairement cambrée. Je la tenais fermement par les fesses en essayant de cogner plus fort. Elle geignait à chaque fois que mon bas-ventre la cognait. Ses jambes commençaient à trembler.Un orgasme s’empara d’elle, ses jambes remuaient dans tous les sens tandis que je continuais de la culbuter. D’un coup, elle se dégagea de ma queue et s’allongea sur la table, les jambes toujours tremblantes. Les soubresauts se calmèrent et elle reprit son souffle progressivement. Elle rouvrit les yeux et me regarda.
— Ce que c’est bon, me dit-elle.— Vous êtes très belle Mylène. J’ai tellement envie de vous baiser encore et encore.— Pas de problème. Mais une petite pause s’impose. C’est trop sensible pour l’instant. Nous serviriez-vous à boire ?— Qu’est-ce que vous voulez ?— Je crois qu’il y a du champagne dans le mini-bar.
Je nous servis deux coupes et nous trinquâmes.Elle s’était assise dans le canapé, j’en fis de même.Elle attrapa de sa main gauche mon sexe en érection et elle me dit :
— Elle est en acier trempé cette bite, Laurent.— Je suis jeune et vous m’excitez tellement que c’est normal.
Je ne pus me retenir de l’embrasser. Elle n’avait toujours pas lâché mon sexe et commençait un va-et-vient ferme et me décalottait le gland totalement à chaque cycle.
— Vous n’avez pas encore touché ma chatte, ni de la main ni de la bouche. Ça ne vous tente pas ?— J’y pensais justement.— Ne vous gênez surtout pas alors.
Nous nous retrouvâmes donc à nous masturber mutuellement.Sa petite toison brune, coupée courte était douce sous ma main. Mes doigts glissaient allègrement entre ses plis intimes. Nous étions bien, à demi étendus sur ce canapé. Mylène avait de belles jambes que j’admirais. Elle avait calé ses talons aiguille sur le rebord du plateau en verre de la table de salon, les cuisses de plus en plus écartées pour laisser le champ libre à ma main.
Ses grandes lèvres gonflées laissaient bien dépasser les petites. J’introduisis l’index et le majeur dans son vagin pour lui masser le point G.Mylène se cambra progressivement et abandonna ma bite, entièrement concentrée sur son plaisir.J’en profitai pour me glisser entre ses jambes et venir titiller son clitoris tendu hors de son capuchon. Je l’agaçai de gestes rapides du bout de ma langue. Mon index et mon majeur étaient toujours en elle alors que mon annulaire effleurait son anus. Elle entamait des mouvements de bassin qui faisaient entrer mes doigts plus profondément, y compris dans son petit trou parfaitement lubrifié lui aussi. Elle gémissait à nouveau de bonheur.
J’entrepris de lui masturber la chatte et l’anus avec plus de vigueur en continuant d’énerver son clitoris de rapides coups de langue.Sa liqueur divine se mit à couler abondamment dans ma main pour se répandre finalement sur le canapé. Elle se mordait la lèvre inférieure sous les sensations procurées.Moi, je n’avais plus qu’une envie, c’était de la fourrer. Ma bite bandée comme un arc n’en pouvait plus.Je sortis ma tête et ma main de son nid d’amour pour lui attraper les chevilles et l’écarter en grand.Je fléchis les genoux pour viser l’entrée de sa grotte avec mon gland tout rouge et gonflé. Puis, lentement, je coulissai mon piston dans sa culasse dilatée, jusqu’à la garde.Je la secouais sans ménagement, ses seins tressautaient au rythme de mes coups de reins. Elle les saisit fermement et pinça ses tétons en érection.Lentement, je ralentis la cadence jusqu’à aller tout doucement, sortant mon sexe à chaque cycle pour mieux l’investir violemment au retour. Je faisais claquer nos bas-ventres l’un contre l’autre en lui arrachant un râle à chaque fois.
Après quelques minutes de ce manège, je sentis que j’étais au bord du plaisir. Je continuai pourtant sans rien changer. Lorsque l’inéluctable montée de sève arriva, je voulais exploser au fond de sa grotte.
Mais mon gland rata sa cible et un spasme projeta un jet de sperme entre ses seins.J’allais m’excuser, mais elle ouvrit ses yeux en les plongeant dans les miens, et se saisissant de ma queue pour me branler, elle déversa ma liqueur poivrée un peu partout sur son corps.De son autre main, elle étala le résultat de ma jouissance sur sa peau en sueur.
Nous avons ensuite terminé le champagne, avant d’aller prendre une douche.Elle tenait à me laver.Mais elle se concentrait tellement sur ma queue pourtant ramollie, qu’après avoir fini notre toilette, nous pouvions déjà envisager une nouvelle incursion de ma verge tendue dans son vagin encore glissant.D’un mouvement d’une grande souplesse, se tenant à la robinetterie d’une main, elle posa une cheville sur mon épaule.
— Baisez-moi encore, Laurent.
Bien évidemment, je ne pus résister à sa chatte ainsi offerte.
Les trois jours suivants furent comme un rêve.Elle m’allumait toute la journée, puis le soir et une partie de la nuit, on baisait.Nous avons fait l’amour trois à quatre fois chaque jour.Parfois, c’était dans sa chambre.Mais je l’ai prise aussi dans les toilettes de l’hôtel un midi lors de la pause déjeuner, allongée sur le capot d’une voiture sur le parking du restaurant où nous venions de dîner, le lundi soir dans sa voiture, le lendemain elle m’a sucé au cinéma, je l’ai masturbée au restaurant pendant le repas, je l’ai prise en levrette dans une ruelle, ainsi qu’assise sur moi sur un banc dans un jardin public dans la nuit.
Nous sommes rentrés chacun chez soi le jeudi en fin de journée, non sans un pincement au cœur.
Nous ne nous sommes jamais revus, ni même parlé.
Je voulais fonder une famille, avec femme, enfants et tout le toutim.
J’en garde un souvenir cependant impérissable.
Diffuse en direct !
Regarder son live