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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Françoise : mon histoire

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Chapitre 1 Lingerie rouge
Dans la petite ville de province ou j’habite, je passe généralement pour une jolie femme Bourgeoise, élégante, bien dans sa peau ; quarante six ans, deux filles jumelles de 27 ans, un fils de 24 ans. Sans trop de problèmes d’argent je suis marié à Jean un homme séduisant, rencontré en Fac. Je ne travaille pas mais en femme active, je m’occupe de plusieurs associations de bienfaisances, en bénévole évidemment.Je mène une vie tranquille, auprés d’un mari qui n’a pas hésité pour faire carrière d’accepter à 50 ans un poste de directeur au siège de sa société, il occupe un grand bureau au sommet d’une tour parisienne. Toujours en voyage, il ne rentre qu’en fin de semaine, géneralement le vendredi, lorsque ses affaires le lui permettent. Après 28 ans de vie commune, je le sais fidèle.Coté sexe, je dois reconnaître que c’était plutôt calme, jusqu’à ce dimanche matin ou après m’avoir baisé pepere, Jean décréta que l’habitude d’amour menaçait notre couple et, que nous devions rompre la monotonie
Le week-end suivant, Jean rentra à la maison, le regard malicieux, une superbe pochette beige à la main. Ce dimanche là avant le rituel de baise, il me tendit la pochette : A l’intérieur deux paquets cadeaux : j’ouvris le premier et découvris avec surprise, une fine lingerie rouge un bustier de soie, un string de pute, des portes jarretelles et de superbes bas noirs. J’éclatais de rire devant ce cadeau osé et je ne sais pas encore pourquoi, je refusais de passer cette acoutrement, je n’ouvris pas le deuxième paquet, je rangeais la pochette dans un chevet. Jean n’insista pas, je me couchais sur le lit, j’écartais les cuisses et je me fis baiser comme d’habitude. Ce fut bien sans plus.
J’avais déjà oublié cette histoire, lorsque le matin suivant, seule dans la maison, je jetais un regard machinal par la fenêtre. Je dois dire que notre villa est la plus imposante du lotissement ’Beau regard’, et que de la fenêtre de ma chambre j’ai une vue imprenable, sur les jardins des propriétés voisines.Stupéfaite, je vis ma pétasse de voisine lascivement allongée sur son transat, revêtue d’une fine lingerie rouge, jambes écartées une main se caressant les seins, l’autre enfoncée dans son slip. Elle était belle à en crever ! Rougissante je battis rapidement en retraite dans la salle de bain. L’eau ruisselante sur mon corps, ne parvint pas à effacer de mon esprit l’image de cette femme offerte se masturbant au soleil.Je passais le reste de la matinée à accomplir quelques taches domestiques, je savais ma voisine du genre veuve joyeuse, elle a malheureusement perdu son mari dans un accident de voiture il y a quelques années mais jamais je ne l’aurais imaginé adepte des plaisirs solitaires.Vers le milieu de l’après midi, l’esprit toujours encombré, je me trouvais devant ma table de chevet, sachant déjà que j’allais franchir l’interdit.
Je saisis la pochette beige et devant ma psyché, j’entrepris de me déshabiller, je commençais à enfiler le léger bustier. Mes seins toujours fermes remplirent facilement les balconets, le slip cachait fort mal les poiles noirs de ma chatte, le porte jarretelles est les bas appelaient des chaussures à talons hauts que je m’empressais d’aller chercher dans le dressing. Ainsi parée mon miroir me dévoila une superbe femme dans la plénitude de la quarantaine, désirable un peu putain.Le deuxième paquet gisait à mes pieds, je l’ouvris, il contenait une cassette vidéo, grise, froide affreusement banale.
La vidéo dans le magnétoscope, catin à moitié nue, je m?assois sur le canapé froid, jambes ouvertes et j’actionnais la télécommande.Apres un rapide épisode neigeux, une superbe femme apparu, mon âge, habillée bon chic bon genre. Les cheveux noirs, la poitrine triomphante elle marchait dans la ville, un paquet à la main.Cette femme, peut être moi rentrant à la maison, ne fuyait pas le regard sournois des hommes qu’elle croisait.Arrivée dans sa demeure, la femme monte dans sa chambre, se déshabille, contemple son corps parfait dans une immense glace. Bientôt habillée d’une superbe lingerie rouge, elle glisse sa cassette dans un magnétoscope, s’assoit sur le canapé et l’?il fiévreux contemple le film x ou deux créatures gouinentSes mains descendent le long de ses seins, caressent les bourgeons dressés, sa langue happe les mamelons offerts, ses doigts commencent une course folle sur sa vulve béante, un doigt deux doigts vont et viennent dans un tendre mouvement de piston.Oubliant toute retenue, mes propres mains s’emparent de mon corps, reproduisant à l’unisson les caresses de cette femme, mes doigts s’engouffrent dans mon sexe humide. Les joues en feu, je me branle, je me pistonne, me lèche les seins.Tout à ma caresse onirique, je n’entends pas la porte d’entrée qui s’ouvre.Lorsque après un bon orgasme, je retrouve mon contrôle, c’est pour apercevoir ma propre fille Sandra, debout contre le chambranle de la porte, jupes relevées, les mains dans le slip.Toute honte bue, devant le spectacle de ma salope de fille en train de se branler en matant sa mere, j’écarte encore une foi mes jambes et les yeux rivés dans ceux de Sandra, je recommence à me caresser. Frottant mon clito je suce mes doigts pleins de ma mouille, j’accompagne de ma jouissance, sa jouissance. Un nouvel orgasme s’empare de nous et nous libère dans un cri commun.
Je suis la première à reprendre vie, le cerveau bloqué, incapable de penser, je bouscule ma fille qui jupes relevées la main encore dans son sexe trempé est accroupie dans le coin de la porte, je fuis dans la salle de bain, la douche ne me fait aucun effet, à demi-inconsciente j’essaie de retrouver mes sens dans la préparation du dîner.J’entends la porte de la chambre de Sandra se refermer, et plus rien ne se passe jusqu’à l’heure du dîner.Sans un mot assise face à Sandra je commence à manger ma salade de tomates, curieusement Sandra semble joyeuse, levant la tête elle plonge son beau regard bleu dans mes yeux et j’entends ses paroles.’-qu’est- ce que dira papa, lorsque je lui raconterai, que j’ai surpris sa salope de femme à se masturber en cachette en matant un film porno est qu’elle n’a pas hésité à se caresser le minou devant sa propre fille.’
Morte de honte peu habituée à ce genre de langage, je m’entends répondre-’ Sandra je t’en supplie ne dit rien à ton père.’Sandra pris le temps de manger, elle avait une manière perverse de se lécher les doigts après chaque bouchée, me contemplant amusée. A la fin du repas elle repris la parole.-’Si je ne dis rien a papa, que m’offres - tu en échange ?’-’Je ne sais pas. Demande ?’La réponse ne vint pas et la semaine s’écoula normale

Chapitre 2 Ivre de caresses
Le vendredi Jean rentra accompagné de notre fils Xavier : Xavier est un éternel étudiant, il suit à Paris des cours de gestion et profite parfois du retour de son père pour nous rendre visite Sandra ne dis rien.
Le samedi Estelle mon autre fille, jumelle de Sandra, nous rendit visite. Elle est mariée depuis peu à Cedric, un jeune coq imbu de sa personne, vaguement commercial, souvent en voyage d’affaire.Toute la journée mes yeux imploraient Sandra de ne rien dire, Sandra faisait celle qui ne comprend pas, se jouant de moi elle prenait plaisir à parler de choses et d’autre évitant de croiser mon regard. La journée passa en futilités et en rires.Le dimanche matin, jambes écartées, le sexe brulant, j’accueille mon mari. Pour la première foi peut-être, je prends la verge tendue dans ma main et la guide doucement dans ma chatte humide. Lorsqu’elle est bien rentrée en moi et que Jean commence à me limer, je ne retire pas ma main la laissant entre nos deux sexes Mes doigts branlent mon clito pendant que Jean me pistonne, Lorsque Jean se retire repu, il dit simplement -’Ben ma cochonne, nous avons bien joui pour une foi.’
Le dimanche soir chacun reparti à ses occupations et je me retrouvais seule à la maison avec SandraSandra est infirmiere, à l’hôpital de notre ville et elle n’a jamais éprouvé le besoin de quitter la maison.En fin de soirée, après avoir regarder le navet dominical à la TV Sandra avec un immense sourire me regarda tendrement et dit-’Tu vois maman je n’ai rien dit, et je ne dirai rien si tu acceptes mes conditions toutes mes conditions.Ma petite maman il faut te faire une raison à quarante cinq ans tu es une véritable obsédée sexuelle et une salope de premiere. Désormais tu vivras comme la véritable cochonne que tu es ! et nous serons complices.’Elle s’assit face à moi, releva doucement sa jupe, laissant apparaître le slip blanc duquel s’échappaient quelques touffes blondes ; Qu’elle était belle ainsi impudique ! Incapable de détourner mon regard de ce tendre minou issu de ma propre chaire, je l’entendis dire.-’Toi aussi tu es belle maman, contemple bien ma chatte qui déjà mouille pour toi.et dis-moi comme je suis belle et désirable’-’Oui, Sandra ta chatte est belle Laisse moi la toucher, ’ ; et déjà j’avançais ma main?-’Pas si vite ’dit-elle en refermant ses jambes. Me laissant seule avec mon envie elle se leva prestement, me fit un rapide bisou dans le cou, et disparu dans sa chambre, non sans m’avoir prévenu.-’Ne bouge pas putain, je reviens et laisse tes mains tranquilles’Un petit quart d’heure plus tard, alors que je cherchais en vain à éteindre le feu qu’elle avait allumé en moi, elle réapparut, tenant à la main sa minijupe bleue et son petit tee schirt blanc ; Elle s’était changée et avait revêtu une de mes petites robes d’étéElle me lança ses habits et dit simplement .?’Mets ça !’Lorsque je revêtit sa jupe et enfilais son tee-shirt, je sentis son odeur de femme, son parfum m’enivra décuplant le désir qui brûlait mon vagin.Devant moi ma fille revêtue de ma robe, le regard perdu vers je ne sais quelle étoile se caressait, sa main virevoltait par-dessus son slip.Mes mains ne résistèrent pas à la vision des caresses de cet ange solitaire, elles s’approchèrent de mon sexe béant, Alors l’ordre fusa, sec-’Laisses tes mains tranquilles, ton plaisir c’est moi qui le décide.’Doucement elle retira son slip plein de mouille et l’approcha de son visage elle le renifla longuement, s’emplit de son odeur, me regarda lascivement, comme abandonnée dans je ne sais quelle extase interdit, puis elle me lança sa culotte au visage, et à nouveau sa voix claqua -’Enfile le pétasse.’Implorante mouillée complètement ivre d’amour je m’empressais d’enfiler sa culotte ruisselante.La voix repris métallique,-’Vas devant la glace et contemple cette femme habillée comme sa fille, les seins dressées, la jupe relevée, la culotte mouillée.’La voix se fit câline, tendre ?’Vois comme tu es belle maman, habillée en Sandra, vois comme tes seins sont beaux, comme ta chatte appelle ta propre caresse vois comme tu m’aimes, comme tu t’aimes.Alanguie, je me jetais dans cette contemplation narcissique, je me voyais Sandra, j’étais moi, j’étais Sandra, la mouille dégoulinait sur mes cuissesEnfin l’ordre tant attendu arriva.-’Vas y branle-toi.’Mes mains prirent possession de ma vulve, un doigt, deux doigts trois doigts, je commençais à me pistonner sans ménagement, les yeux fixée sur cette putain qui se masturbait, obéissant en bonne gouine aux ordres de sa fille ; La jouissance fut longue totale, animale.Sandra derrière moi une bougie dans le sexe psalmodiait,-’vas-y connasse bourre-toi, faits toi câlin, tu es belle maman, branle-toi encore, montre comme tu t’aimes, serre les cuisses ouvre les cuisses, frotte-toi, pénètre-toi, bouffe ma culotte, respire ma mouille, joui salope?’Dans un long cri de chienne en chaleur je m’affalais sur le parquet,Sandra me pris tendrement dans ses bras, m’embrassa longuement, me caressa, me chatouilla, me lécha le sexe, les seins, les fesses, le cul, me pistonna d’une main habile et me donna un second orgasme tendre doux libératoire.La nuit était déjà bien avancée, lorsque nous décidâmes d’aller nous coucher.Devant la porte de la chambre Sandra m’annonça que désormais lorsque les autres ne seraient pas là, nous coucherions ensemble. Elle ajouta en pénétrant dans mon lit, si nous dormons ensemble ce n’est pas pour s’aimer, mais pour te surveiller, car tu aimes ton corps à la folie et je ne tolérais jamais que tu te masturbe seule. Maintenant C’est moi et moi seule qui décide ou, quand, comment.Enlacées nous nous enfoncèrent dans un lourd sommeil, sans rêves.

Chapitre 3 La promesse.
Le lendemain, j’étais sous la douche lorsque ma tendre tourmenteuse entra, nue, dans la salle de bain.-’Alors putain, tu as aimé te faire jouir, hier soir ?’-? oui’-? oui qui ? ?-’oui Sandra’-’c’est bien. -Tu t’aimes ?’-’oui Sandra je m’aime ?-’tu aimes te câliner, te masturber, rendre ton corps fou ?’-’oui Sandra, j’aime me branler, me contempler, me caresser’-’Très bien maman tu es une bonne pute, tu comprends vite. -As- tu envie de te caresser ce matin ?’-’oui Sandra j’en ai envie’-? Parfait, ce matin je reste à la maison, j’ai des cours à préparer, je serai dans le petit bureau, tu pourras remettre la cassette et te faire jouir, mais attention je laisse la porte ouverte et je veux t’entendre crier. ?
Je passais la matinée vautrée sur le canapé à regarder le film de cul, en me branlant en ma paluchant. Lorsque épuisée, rassasiée de mouille, je relâchais mes caresses, la voix de Sandra résonnait.-’T?arrête pas, maman chérie, recommence et couine plus fort, sinon je raconte tout à papa’C’est ainsi que je devins totalement amoureuse de mon corps, de mes doigts, de ma chatte de mon cul, de mon odeur de ma fille. Après deux jours de plaisir solitaire quasi ininterrompu, j’étais devenu une parfaite branleuse. Ma salope de fille m’avait rendue nymphomane de mon corpsLe dimanche suivant, je pris la main de mon mari et le conduisis devant la fenêtre. Dans le jardin d’en face, la pétasse se masturbait au soleilLe regard rivé sur cette fille qui se branlait, j’embrassais tendrement Jean, je saisis doucement son sexe et commençais un doux va et vient, une main enlaçant sa verge, l’autre appuyée sur ma chatte je nous branlais tous deux. Lorsque Jean gicla sur mon ventre j?atteignis l’orgasme. Après un court repos Jean me jeta sur le lit et me lima longuement. Se fut formidable.
Les vacances de Pâques approchaient, Estelle, son mari en voyage, décida de venir passer quelques jours à la maison.La première journée toutes à leurs retrouvailles, Sandra et Estelle en parfaites s?urs jumelles ne se quittèrent pas, la maison résonnait de leurs rires et de leurs gloussements. Bientôt elles décidèrent d’aller faire les boutiques. Elles rentrèrent habillées et coiffées de la même façon, cultivant à outrance la ressemblance, comme elles savaient si bien le faire lorsque plus petites elles s’amusaient de la confusion qu’engendrait leur état.Assises au salon, nous bavardions gentiment de choses et d’autres, lorsque Sandra ou peut-être était-ce Estelle ? Cria-’Vas-y putain ! Montre-nous comme tu as si bien appris à te masturber ? Pas de chichis branle-toi fort. ’Interdite, je contemplais mes deux filles, qui le regard provocant commençaient devant moi sans retenue à s’embrasser. M’ignorant totalement, elles s?allongèrent dans un splendide soixante neuf.Devant le spectacle offert par ces deux corps identiques de beauté soudée dans une monstrueuse caresse incestueuse, je ne pus me retenir et j’entamais une longue masturbation, enfonçant dans ma chaire mes doigts à l’unisson de leur plaisir. Je criais comme une truie, lorsque l?orgasme me prit.La bouche pleine de leur tendre sécrétion, mes filles m?enlacèrent et me baisèrent. Pantelante, la peau a vif, je m’abandonnais à la douceur de leur envie quand soudain ensemble elles me pissèrent dessus. Affolée puis humiliée, j?offris mon corps à cette douche perverse, furieuse de ma déchéance, mais ivre de bonheur, je n’étais qu’un sexe brûlant, ouvert.
Lorsque épuisée nous reprimes connaissance, Estelle dit à Sandra.-’Tu as raison maman est une sacrée cochonne, mais elle ne doit pas prendre son pied en solitaire, il lui faut une véritable queue, une grosse bitte dans son con. Demain nous la mettrons au male.’
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