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Franck voulait savoir, alors je lui ai montré...et fait !

Chapitre 1

Gay
Il faisait bon ce soir-là, et on sentait bien que le printemps allait bientôt arriver. Je marchais en direction de mon appartement, encore quelques secondes, avant d’atteindre l’avant-dernière intersection, et je serais arrivé à la maison.J’avais passé une belle soirée avec mes potes, mais j’avais hâte de rentrer. Soudainement au beau milieu du passage piéton, j’entends klaxonner.Je n’ai pas tourné la tête, mais je me suis dit tout de même que ce n’était vraiment pas l’heure de faire autant de bruit.Puis j’entendis :
— Alain !— Franck ?
Quelques échanges plus tard, nous étions assis en terrasse, côte à côte et tout en discutant nous regardions passer les gens.Puis il me dit :
— Au fait, tu as eu des nouvelles du vieux dont tu m’avais parlé ?— De quel vieux tu me parles ?— Tu sais bien, celui avec lequel vous aviez fait des trucs cochons, dans un parc, je crois, et ensuite dans son Cayenne...— Hou la, quelle mémoire ! Moi j’avais oublié.— Bah voyons, me dit-il. — Une histoire comme ça, ça ne s’oublie pas, ce n’est pas tous les jours que ça arrive, me répondit-il en souriant.— Oui c’est vrai, mais je n’y pensais plus.
Et comme il semblait être très intéressé, je lui ai raconté les détails de ces 2 rencontres.Cette discussion semblait l’avoir excité, car il était très curieux de détails, et je voyais bien sa bosse grossir au fur et à mesure, entre ses jambes.Et moi, elle m’avait rappelé quelques souvenirs, et j’étais un peu émoustillé, je dois bien l’avouer. Franck quant à lui, semblait assez fier de lui et d’avoir provoqué cette réaction.Et puis, sans qu’il ait eu le temps de ne rien dire, j’ai posé ma main sur sa braguette et j’ai commencé à lui caresser le sexe.Il s’est senti un peu gêné et a commencé à tourner la tête dans tous les sens.
— Tu ne m’en croyais pas capable ? Allez, avoue que ça t’a excité que je te parle de ça.
Il n’osait plus bouger et ne disait plus rien, j’étais assez fier de moi, mais pour autant, je n’ai pas bougé ma main.
— Hooo, mais il me semble bien que tu commences à bander non ?

Pas un mot ne sortit de sa bouche, mais sa tête faisait toujours des va-et-vient de gauche à droite. Tout à fait naturellement, j’ai commencé à caresser ses boules. Personne ne faisait attention à nous, il commençait à être tard. Mon ami a juste écarté un peu les cuisses et j’en ai profité pour glisser mes doigts sous ses couilles. Je les malaxais doucement et discrètement, c’était bon et excitant à la fois, de braver cet interdit. Après quelques secondes de ce petit manège, il a laissé tomber son blouson sur ma main, pour dissimuler un peu ce qui se passait.Plus caché à présent, j’en profitais pour le masturber doucement de bas en haut, et sa queue commençait sérieusement à bien durcir.
— On pourrait nous voir, me lança-t-il.— Mais non, t’inquiète pas, tout le monde se fiche bien de nous. Et c’était la vérité.
Ma main droite continuait ses va-et-vient et sa queue était devenue dure comme du bois. J’avais doucement glissé son zip et déboutonné sa ceinture, sa grosse bite était maintenant libérée. Heureusement qu’il avait eu l’idée de mettre son blouson sur ma main.

Soudainement, je me suis levé en lui disant :
— Bon maintenant, il faut que je rentre, il est tard, le laissant là, sa queue à l’air, cachée sous son blouson, mais en totale érection. Il semblait dépité.— Mais non attends, je vais te déposer.— C’est pas la peine, ne t’inquiète pas, j’habite à 2 blocs, j’en ai pour 10 mn à pieds.— Si si, je vais te déposer.— Bon comme tu voudras, mais ce n’est pas nécessaire, je peux rentrer à pied, tu sais...
Et nous voilà en route dans son gros 4x4. Pendant les quelques minutes qui ont suivi, on n’a pas échangé un mot, je pense qu’il était gêné, excité encore et ça se voyait, mais gêné.
— Ça va ?— Oui oui bien, répondit-il d’un air faussement embarrassé.— Ça t’a excité tout à l’heure, mon salaud.— Heuuuu oui enfin pas trop, mais j’ai été surpris.
Je me suis alors retourné de 1/4 sur le côté gauche dans sa direction, pour me retrouver donc face à lui, et je lui ai répondu :
— Ha oui ? Et ça, c’est quoi ? En prenant sa queue avec ma main droite et à pleine main.
J’ai senti qu’il bloquait sa respiration, mais il n’a pas répondu, je lui ai alors descendu son zip comme tout à l’heure, sorti sa bite de son pantalon et j’ai commencé à le masturber lentement. Lui, ne bougeait pas, aucune réaction, il conduisait comme si rien ne se passait, mais il bandait comme un taureau.
Comme il ne restait que quelques minutes, avant d’arriver chez moi, je me suis dit "je vais lui faire un peu de bien, comme ça, il saura à peu près ce que j’ai vécu avec le vieux dont il me parlait". Je me suis penché en avant et j’ai commencé à lécher sa grosse bite, qui n’attendait que ça. Toujours aucune réaction, mais sa bite réagissait pour lui.Je l’ai sucé comme ça, tout en lui malaxant les couilles, ça n’aura pas duré plus de trois minutes, et il a balancé toute sa purée.J’ai juste eu le temps de m’écarter et de diriger sa queue sur sa chemise, tout en continuant de le masturber. Quel orgasme ! Il n’arrêtait pas de gicler et j’étais assez fier de moi. Le truc c’est que moi aussi je commençais à être excité. Je me suis redressé et je lui ai dit :
— Prends la 2eme rue à droite et gare-toi.— D’accord, me répondit-il tout tremblotant encore. Après quelques secondes, c’est ce qu’il fit, puis il arrêta son moteur.— Je vais sur la banquette arrière, viens, j’ai encore un moment.
C’est comme ça qu’on s’est retrouvé tous les deux dans le noir, assis côte à côte dans le même sens. Lui côté chauffeur et moi côté passager.
— Alors c’était bon ? Tu as aimé ?— Heuuu oui grave, c’était la première fois avec un garçon.— Eh bien maintenant, tu vois ce que c’est de faire ça avec un homme pour la première fois, comme pour moi, avec le vieux dont tu m’as parlé.
Et puis j’ai baissé ma braguette et j’ai sorti ma queue de mon jeans, je ne porte jamais de caleçon.
— C’est à ton tour maintenant, pour que tu fasses l’expérience jusqu’au bout.
Avec ma main gauche, je l’ai pris derrière la nuque et je l’ai penché jusqu’à ma bite. Il n’a pas vraiment résisté, et n’a pas dit un seul mot. Il a ouvert grand sa bouche directement, et ma queue s’est engouffrée jusqu’au fond de sa gorge.
— Vas-y Franck bouffe-la bien, tu vas voir comme c’est bon de lécher une bite pour la première fois.
Il s’appliquait bien et manifestement, ça devait faire un bon moment qu’il pensait à ça ; comme beaucoup d’hommes, sans jamais vouloir se l’avouer, ou même ne jamais passer à l’acte.Il ne savait pas en entamant cette discussion ce soir, qu’il serait là, 1/2 h plus tard, sur la banquette arrière de son 4x4, en train de faire une pipe à un mec.
— Huuuum en tout cas je me régalais. Sa bouche était chaude et humide et il s’appliquait bien le salaud.— Attends une seconde, lui dis-je. Alors j’ai sorti ma bite de sa bouche, et j’ai vite enlevé mes chaussures et mon jeans, puis j’ai repris sa nuque et l’ai dirigé de nouveau entre mes jambes.— Il libéra ma queue quelques secondes, pour me dire :— Je peux toucher tes couilles, te les caresser ?— Vas-y, fais-moi tout ce que tu veux, et c’est ce qu’il a fait. Il me bouffait bien la queue, tout en me malaxant doucement les boules.
Sans me lâcher, il a défait son pantalon et il a tout enlevé lui aussi. C’est là que j’ai vu, qu’il bandait de nouveau. Il s’est alors agenouillé devant moi, resté assis sur la banquette, j’ai écarté mes cuisses à fond, et il a avalé ma queue jusqu’à la garde. Wow ! Il me suçait bien le salaud. J’étais tellement excité c’est fou, pourtant je ne suis pas homo du tout, mais je me suis surpris à me laisser glisser vers lui, afin de libérer mes fesses de la banquette. Je crois qu’il a compris immédiatement où je voulais en venir, et il a commencé à titiller mon petit trou. Mmmmm putain comme c’était bon...
— Ouiiii c’est bon ça, oui caresse le bien. Il faisait ça vraiment très bien. La chance du débutant, de trouver tout de suite le bon endroit, ou alors l’excitation d’une première fois qui montait en lui, je ne sais pas, mais ma queue était dure comme du bois. J’ai écarté mes fesses avec mes doigts, afin qu’il n’ait pas d’hésitation, quant à mes envies. Soudainement, et malgré les glapissements de sa langue, j’ai entendu un bruit qui venait vers nous. J’ai bloqué sa bouche au fond de ma queue tout en disant :— Chuuuuut j’entends du bruit. Quelques jeunes s’approchaient de nous sur le même trottoir, et Franck de me dire, en retirant ma queue de sa bouche :— T’inquiète pas, les vitres sont teintées et on ne peut pas nous voir de l’extérieur, même en se collant sur les vitres, me chuchota-t-il.
Quelques secondes plus tard, 6 ou 7 jeunes, de 20 à 25 ans environ, se posaient sur le trottoir, juste à côté de nous. Ils commencèrent à discuter tranquillement, l’un d’entre eux s’adossa même, sur la portière arrière, je pouvais distinctement le voir à quelques centimètres de nous.

Je ne sais pas si c’est le fait qu’ils pourraient nous voir, même si d’après Franck, ça n’était pas possible, mais cet épisode avait augmenté mon excitation et doucement, j’ai dirigé de nouveau sa bouche sur ma queue.
— Vas-y pompe-moi bien.— Maintenant, avec tous ces gens-là ? me répondit-il tout doucement.— Mais oui, tu m’as dit qu’on ne pouvait pas nous voir, alors ne fait pas de bruit et on va tester tes vitres teintées. Franck recommença alors ses va-et-vient lentement, le long de ma bite. Je dois avouer que voir tous ces jeunes dehors à quelques centimètres de nous, augmentait merveilleusement mon excitation. Peut-être, un peu exhibe ? Je ne m’étais pas posé la question, mais je me suis aperçu que ça me plaisait.
Puis, en chuchotant, je lui ai dit :
— Mets-toi à 4 pattes derrière moi...!— Nooon pas ici quand même. Malgré ce qu’il m’avait dit à propos de ses vitres teintées, il semblait tout de même un peu inquiet.— S’ils pouvaient nous voir, ils nous auraient déjà vus, t’inquiète pas...
Et doucement, sans faire bouger la voiture, je me suis glissé devant lui à 4 pattes, en m’appuyant mes coudes, sur la banquette.

J’avais pris soin de bien écarter mes cuisses, et je sentais bien qu’il était excité à mort. Sa queue était brûlante et dure comme du bois. C’était la première fois qu’il allait faire ça avec un mec, m’avouera-t-il plus tard, et moi, je n’en pouvais plus, de toutes ces envies, qui envahissaient mon corps tout entier. Je n’étais pourtant pas du tout gay. Juste deux aventures, aussi particulières qu’insolites, avec deux hommes différents.
Pourtant ce soir-là, dans ce 4x4 je n’avais qu’une envie, c’est de me faire prendre, de me faire baiser comme une pute. Je voulais être sa chose et sentir son dard entrer en moi ; me sentir femelle, et sentir sa bite faire des va-et-vient dans mon anus.
C’est ce qui arriva, après quelques secondes de tâtonnements. Je sentais le bout de son gland hésitant, il ne savait pas trop comment s’y prendre, et ça se voyait. J’ai alors pris les devants, j’ai guidé sa queue entre mes fesses, et quand j’ai senti qu’il était bien là où il devait être, d’un mouvement de bassin, j’ai reculé sèchement sur sa tige et j’ai senti en une fraction de seconde son gland envahir mon cul. Putaiiiin comme c’était bon !

J’ai dû bloquer ma bouche avec ma main droite pour éviter de crier et nous faire remarquer par les jeunes dehors.Franck n’osait plus bouger. Il était à genoux derrière moi, et ses mains reposaient elles aussi, sur la banquette. Je sentais son souffle chaud sur mon dos et sur ma nuque, il était juste au-dessus de moi. Une fois de plus, j’ai dû prendre l’initiative du mouvement, et j’ai commencé lentement, à pousser mes fesses sur sa tige. Je m’enfonçais en lui, petit à petit, presque cm par cm.
Je sentais bien qu’à chaque coup de reins, sa queue durcissait de plus en plus. Mmmmm comme c’était bon de sentir que je procurais un tel plaisir... J’allais et venais sur sa bite et mon cul déjà dilaté mouillait de plaisir.
Je me suis penché vers la moquette, glissé ma main entre mes jambes et j’ai commencé à me branler doucement. Sans oublier de temps en temps, de glisser un peu plus loin et de saisir ses boules, qui étaient aussi dures que sa bite. Sa peau était tendue et ferme, rien ne pendait.
La présence inattendue de ces jeunes, qui parlaient et riaient à seulement quelques cm, c’était très excitant. Ils s’adossaient tour à tour sur la voiture, ils auraient presque pu nous toucher.
— Vas-y, lime-moi bien le cul, lui disais-je en chuchotant. J’étais vraiment très excité, et il accéléra un peu la cadence, craignant toujours d’être surpris. Soudain une fille du groupe mit une main de chaque côté de son visage et se mit à fixer l’intérieur de la voiture.
Franck arrêta immédiatement de bouger, il était comme pétrifié, et moi toujours aussi excité, sachant que la fille ne pourrait pas nous voir. Je poussais un peu mes fesses vers lui, comme pour lui rappeler qu’il était en train de m’enculer, dans les règles de l’art.Je m’enfonçais en lui, doucement et lentement et soudainement, j’ai senti son jet inonder mon trou. Huuuuum il jouissait le salaud, comme ça, sans rien dire. Il s’écoulait en moi, saccade après saccade, son liquide était chaud.Pendant tout ce temps, la fille ne détourna pas son regard, comme si elle cherchait quelque chose, ou comme si elle se doutait de quelque chose. Toujours est-il qu’elle ne vit rien. En revanche, moi je sentais bien la queue de Franck qui bougeait entre mes fesses pour libérer les dernières gouttes de sperme qui lui restaient.
Dire que j’étais juste en train de rentrer chez moi il n’y avait même pas 1 heure ! C’était juste incroyable, et je me retrouvais là, à 4 pattes à l’arrière d’une voiture, en train de me faire sodomiser par un pote, même pas un ami, juste un pote ; qui de plus est, ne m’intéressait pas du tout.A près de 50 ans, et après avoir baisé des dizaines et des dizaines de nanas, si on me l’avait raconté, je ne l’aurais pas cru.De taille moyenne, Franck n’était pas vraiment un séducteur. Plutôt banal, une quarantaine d’années, bref Monsieur tout le monde.Lui, avait dû fantasmer plusieurs fois dans sa vie même, sur des hommes et je suis certain que quand je lui avais raconté mon histoire, avec le vieux, il avait dû en être excité.Toujours est-il qu’il venait de vider ses couilles dans mon cul et il en tremblait encore.En revanche, moi j’étais un peu frustré, alors, tout doucement pour éviter de faire vibrer la voiture, je lui ai indiqué de se coucher sur le côté, sur la banquette.
— Tu as encore envie ? me chuchota-t-il à l’oreille tout en s’exécutant.— Ouvre grand la bouche ! Et immédiatement j’ai enfourné ma queue au fond de sa gorge.— Maintenant, c’est à ton tour, suce bien ma bite, vas-y bouffe la bien.
Le salaud s’appliquait bien, il léchait mon prépuce avec gourmandise comme si c’était une glace. Il le titillait, tantôt avec le bout de sa langue comme s’il s’amusait avec, tantôt il le mangeait tout entier. Il était occupé, plus particulièrement de mon gland, c’est ma zone sensible. Et puis, après quelques minutes, il a ouvert grand la bouche sans rien faire, il s’est laissé pénétrer, et me faisait une gorge profonde des plus excitante.Il ne bougeait plus, sa bouche était fixe et grande ouverte et il me l’offrait. Je n’ai pas hésité et j’ai baisé sa bouche avec volupté.Nous avions toujours cette crainte de faire du bruit ou de faire bouger la voiture et que les jeunes s’aperçoivent de quelque chose. Mais ils étaient bruyants et ils bougeaient également de temps en temps la voiture en s’appuyant dessus. Alors on ne risquait pas grand-chose. J’étais très excité de baiser la bouche de Franck qui ne faisait que déglutir et ça augmentait d’autant mon excitation.

J’avais les yeux fixés sur une fille qui était appuyée contre le mur, avec une jupe ou une robe je ne me souviens plus, tellement courte, que quand elle bougeait un peu, je pouvais deviner sa petite culotte blanche. Je me disais alors que ces garçons étaient bien bêtes de passer autant de temps à discuter avec de telles créatures, si provocantes, plutôt que d’essayer de les baiser. C’est ce que je faisais indirectement par la pensée.Je regardais cette jeune fille, pendant que je baisais la bouche de mon pote, et ça m’excitait grave. J’avais vraiment l’impression que c’est elle qui me suçait. Ma queue durcissait et grossissait de façon exponentielle. Je n’allais pas tarder à inonder mon pote, alors je suis sorti de sa bouche et je lui ai dit de faire 1/2 tour sur lui-même. J’ai plié doucement ses jambes pour qu’il se retrouve en position de fœtus et j’ai commencé à tourner mon majeur autour de son petit trou, il s’est immédiatement mis à frémir.

Manifestement, il n’était pas insensible à ce que je m’apprêtais à lui faire. J’ai mouillé mon doigt à plusieurs reprises, j’ai craché entre ses fesses, et j’ai commencé à rentrer doucement, mon doigt dans son anus, cm par cm pour ne pas lui faire mal. Je trouvais tout de même qu’il était bien dilaté. J’ai alors soulevé un peu sa cuisse droite et j’ai glissé ma queue entre ses jambes.À présent, je faisais des va-et-vient entre ses jambes, contre ses couilles et je sentais bien qu’il commençait à bander de nouveau.J’avais toujours les yeux rivés sur cette jolie petite brune qui gigotait de plus en plus. Je me demandais si elle ne cherchait pas tout simplement à exciter un de ces jeunes cons ou tous. J’ai pris ma queue dans ma main, et je l’ai dirigée sur la corolle de Franck.
— Je vais t’enculer, tu vas adorer.— Tu crois que...— Chuuuut, laisse-toi faire, je vais te baiser comme une petite salope, tu vas voir, tu vas aimer ça. J’ai craché encore quelques fois, mais cette fois sur le bout de ma queue. J’ai soulevé sa fesse droite et je me suis présenté, à la porte de son intimité.— Ça va me faire mal ? Mais je ne lui ai pas répondu, je n’ai pas voulu lui faire peur.
J’ai continué à glisser mon gland à l’intérieur de son anus et je me suis arrêté dès que la tête est passée, car il avait l’air d’avoir mal et il se retenait de ne pas crier.
— Pas trop mal ? lui ai-je répondu presque à l’oreille.
Ma queue était dure et à l’apogée, je me doutais bien qu’il devait avoir mal, mais il s’est retenu. J’ai alors sorti ma queue doucement de son cul, et je l’ai sodomisé encore, mais avec 1 puis 2 doigts. Toujours en crachant sur mes doigts pour bien le lubrifier. Au bout de quelques minutes il s’est relaxé, j’ai bien senti que son trou s’était dilaté. Mes 2 doigts rentraient et sortaient sans forcer et je voyais bien que son cul était bien ouvert. C’est le moment, je me suis dit. J’ai craché une dernière fois dans son trou et sur le bout de mon gland, j’ai repris de le baiser encore.Cette fois, une fois mon gland passé, j’ai bien écarté ses fesses avec mes pouces, et j’ai poussé lentement jusqu’au bout. Le petit salaud avait l’air d’aimer ça, car après une dizaine de va-et-vient, j’ai bien senti qu’il n’y avait plus de frottement et qu’il mouillait du cul.
— C’est bon ! Je n’ai presque plus mal.— Oui c’est bon, tu vas voir tu vas aimer ça petite salope.
Pendant que je l’enculais, mes yeux étaient de nouveau tournés vers cette petite pute dehors. Entre temps, le petit groupe s’était dissous et il ne restait plus que cette brune et 2 garçons. Elle était appuyée contre le mur, les jambes écartées et sa jambe droite repliée également sur le mur. Si elle avait été seule, même quelques secondes, je lui aurais proposé de rentrer dans la voiture, parce qu’elle m’excitait énormément cette petite pute, qui ne devait pas avoir plus d’une vingtaine d’années. À chaque coup de queue que je donnais à Franck, c’est dans sa chatte que je la sentais ! J’aurais vraiment aimé la baiser cette petite pute, alors du coup, je me satisfaisais d’enculer ce mec qui était couché sur le côté devant moi, et qui m’offrait son cul.
Elle bougeait et elle bougeait encore, à croire qu’elle le faisait exprès, sachant que sa robe si courte, dévoilait à chaque mouvement, son entre cuisses et sa petite culotte blanche. Je la voyais parfaitement bien, je distinguais bien ses hanches bien dessinées et son décolleté si provocant. L’immeuble sur lequel elle était adossée n’était qu’à 1 m de la portière, j’aurais presque pu la toucher.

Mais pendant que mes yeux se promenaient sur cette bombasse, ma queue elle se faisait du bien dans le petit trou de Franck. À présent, j’étais à moitié debout, à moitié seulement, car la hauteur de la voiture ne permettait pas d’être totalement redressé. J’étais sur lui, la jambe gauche au sol et la droite sur la banquette. Avec mes deux mains, je maintenais bien écartée sa fesse droite, pour bien lui ouvrir le cul et je le pinais de plus en plus fort. Et puis soudain, j’ai vu que l’un des deux mecs s’approchait de la fille. Elle s’est mise à rire comme si elle défiait, après quelques secondes, le gars a tendu sa main vers elle et l’a posée sur sa chatte, ce qui a provoqué chez elle un petit tremblement. Chez moi, une réaction immédiate, et ma queue est devenue encore plus dure, comme si c’était encore possible. Décidément, cette petite pute attirait toute ma convoitise.
— Sérieux ? lui a-t-elle lancé en souriant... C’est vraiment tout ce qu’elle trouvait à lui dire ?— Ben ouais c’est tout, lui répondit-il. L’autre garçon n’avait pas bougé, il semblait plutôt surpris. La fille s’est contentée juste de plaquer ses deux mains contre le mur et d’écarter encore un peu plus ses jambes. Non, mais quelle salope, j’aurais payé pour être à la place de ce petit con.

Sa main à présent, caressait sa petite chatte sur sa minuscule culotte. Manifestement, ce garçon n’avait pas une grande expérience avec les femmes, et il la caressait plutôt maladroitement. Qu’importe, cette petite salope ne devait attendre que ça, car elle frissonnait à chaque mouvement. Ce petit jeu durait depuis quelques minutes, quand le deuxième comparse ne s’est pas approché timidement de la fille, et a enfoncé sa langue au fond de sa bouche. La pute ne disait pas un mot, elle s’est juste contentée d’écarter encore plus ses cuisses. Je bandais dur et de plus en plus, mon excitation augmentait à chaque seconde et à chaque caresse davantage.
Je labourais le cul de Franck de plus en plus lentement, je ne voulais pas jouir tout de suite, je préférais prendre du plaisir encore, en tentant de m’identifier comme un troisième, qui s’occuperait de cette bombasse en chaleur.
Il était tard c’est vrai, et même si personne ne passait plus dans cette rue, il est vrai que n’importe qui aurait pu les voir depuis une fenêtre, mais ça ne semblait pas déranger la petite garce.

Quand j’ai vu que celui qui l’embrassait sortait le sein droit de la brunette et que son pote commençait à glisser un doigt à l’intérieur de sa chatte, je n’ai pas pu me retenir et j’ai balancé tout mon sperme dans le cul de ma victime.
— Putaiiiiiin salooooope tu me fais jouiiiiiiir... ce sont les seuls mots qui sont sortis de ma bouche, car c’était vraiment très fort. Personne n’a entendu, excepté Franck, qui lui n’avait rien vu de la scène, puisqu’il était resté tout le temps couché sur la banquette, me donnant gentiment son cul. Je suis resté comme ça à l’intérieur de son anus pendant une minute environ sans bouger, en attendant que ma bite se dégonfle un peu.
Pendant ce temps, le premier gars avait sorti sa queue de son jeans et la petite salope n’avait pas tardé à le branler.Quand j’ai vu comment tournaient les événements, je me suis dit que s’ils allaient la baiser dans la rue ; alors à ce moment-là, pourquoi pas leur proposer de rentrer dans le 4 x 4, ils y auraient été plus à l’aise.
Je vous raconterai la suite plus tard, parce que ça a été vraiment épique, oui épique, c’est vraiment le mot et... surprenant.
À bientôt...
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