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François et mon Q serré

Chapitre 1

Hétéro
Après toutes les expériences vécues avec François, la routine de la vie conjugale reprit son cours rassurant et, dans mon esprit, cette période de sexe débridé, restait une parenthèse, et je voulais qu’elle le reste. J’avais tout de même constaté quelques changements. J’étais sexuellement plus demandeuse, au plus grand plaisir de mon mari. Je m’abandonnais plus facilement au plaisir !Et je le gratifiais quasi à chaque fois de pipes goulues. Bien sûr, je recroisais François à l’occasion. Ses clins d’œil et sa tendance à laisser sa main passer subrepticement sur mes fesses, me laissaient penser qu’il n’avait rien oublié de nos ébats.Malgré tout, nous ne fîmes que nous croiser, sans pour autant envisager à nouveau d’aller plus loin et six mois s’écoulèrent avant que nous nous retrouvâmes seuls dans une même pièce, où il entra alors que je faisais du rangement de papiers administratifs pour le club équestre où nous montions tous les deux.Alors que je classais des documents dans une étagère, il me salua d’un : « Bonjour Sabine » chaleureux auquel je répondis sans me retourner, absorbée par ma tâche. Ma concentration fut vite mise à mal lorsqu’il se plaça dans mon dos, attrapant mes hanches et me déposant un baiser dans le cou, me faisant sursauter et frissonner à la fois.Un « toujours aussi jolie et excitante » suivit cette manœuvre. Par provocation, et malgré un « merci » sorti de ma bouche, je fis mine de poursuivre mon travail. Cela le ne découragea aucunement et je sentis bien vite sa main sur mes fesses qu’il malaxa effrontément au travers mon pantalon d’équitation. Mon rangement se fit plus lent et il réussit à me déconcentrer de mon travail, que je continuai malgré tout. Visiblement cela ne lui suffisait pas car, bien vite, sa main passa sous mon pantalon et le tissu de ma culotte pour caresser mes fesses à même la peau, chose rendue possible par l’élasticité de ce type de vêtement de monte. Dès lors mes mains qui, jusque-là servaient à ranger les documents sur les étagères, ne me servirent plus qu’à m’appuyer sur celles-ci alors que François se mettait à malaxer chaque globe de manière appuyée. Imperceptiblement, je m’étais légèrement penchée en avant pour tendre ma croupe à la rencontre des massages de mon bourreau. Se sentant encouragé, il glissa sa main le long de mon sillon pour arriver à glisser deux doigts sur ma fente puis entre mes lèvres, m’arrachant d’involontaires gémissements de ma bouche.Un « t’aime ça finalement coquine » finit par entériner ma capitulation.« J’ai réussi finalement à te détourner de ta tâche, on dirait ».Il me fit me cambrer alors un peu plus, afin d’accéder plus facilement à ma fente, de mieux en mieux besognée par ses doigts virevoltants. Je haletais silencieusement, ne voulant pas ameuter quelqu’un même si à cette heure le club était désert. Il joua ainsi un moment, à alterner les va-et-vient entre mes lèvres et mon clito, facilités par l’humidité abondante de ma chatte.Décidément, que ce mâle avait prise sur moi ! Car comment expliquer que je n’avais pas plus protesté que ça, me retrouvant croupe tendue, ses doigts fouillant ma chatte dégoulinante, au milieu du secrétariat ….Je fus même flattée par le « ton cul m’a manqué, petite salope !» qu’il me glissa entre deux introductions de doigts dans mon vagin, déjà bien dilaté. La bourgeoise dévergondée, que je pensais loin, ne faisait en fait que se cacher sous la surface de la routine et une vulgaire main au cul appuyée, avait suffi à la tirer de sa léthargie apparente.François ne cessait de s’occuper de ma croupe. D’une main sur mon épaule, il me fit presque pencher à 90° contre les étagères pendant que la main, qui me fouillait la chatte, remonta lentement jusqu’à ce que les doigts poisseux de cyprine, précédemment dans ma fente, viennent se poser sur mon anus.Sans attendre, il introduisit deux de ses doigts dans mon anus. Mon sphincter, pourtant serré, n’ayant opposé qu’une résistance toute symbolique. Il se mit à faire des va-et-vient entre mes fesses en tournant ses doigts dans mon rectum, me faisant découvrir des sensations et un plaisir honteux, inconnus jusqu’à présent. Ma rondelle avait déjà certes fait l’objet de caresses plus ou moins appuyées, mais jamais elle n’avait été sollicitée et dilatée ainsi. J’avoue qu’un tel traitement m’arracha des feulements et des grognements impudiques, qu’en bonne mère de famille, je n’aurais cru pouvoir exprimer. Je me sentis très femelle à ce moment précis, repoussant à nouveau les limites de mon éducation et de ma morale. Cependant, je sentis des picotements traverser mon ventre, m’annonçant un orgasme aussi inattendu qu’imminent.Ma respiration et mes gémissements s’accélérèrent et je fus frustrée lorsque François cessa net ses caresses et retira sa main de mon pantalon pour me chuchoter à l’oreille :
—Rejoins-moi chez moi, j’ai envie de glisser autre chose que mes doigts entre tes fesses de salope. Dans un état second après ce début d’orgasme interrompu, je me retrouvai au volant de ma voiture à effectuer les 4 km qui séparent le centre de chez François, guidée seulement par le désir ardent d’aller jusqu’au bout de la découverte de ce nouveau plaisir.Je me présentai donc à la porte de François et je ne fus pas surprise lorsqu’à peine avais-je appuyé sur sa sonnette qu’il ouvrit la porte, me faisant rapidement entrer. A peine passé le seuil, il se jeta sur moi m’enlaçant et m’embrassant avidement.Ainsi capturée dans ses bras, il me guida directement dans sa chambre où il entreprit d’ôter en partie mes vêtements. Ainsi, pantalon, culotte ne restèrent pas longtemps en place et je me retrouvai vite en polo, le bas complètement nu, sur son lit, lui-même ayant réussi dans un même temps à se mettre dans la même tenue. Je pus à nouveau admirer son sexe épais et tendu qui m’avait déjà donné beaucoup de plaisir lors de nos précédents ébats.Je n’eus cependant pas le temps de profiter de la vue car un « à 4 pattes salope » accompagné de gestes directifs me firent me retrouver en position de levrette, croupe relevée et la tête dans les draps, face au miroir de son armoire. François fébrile, se dépêcha d’enfiler un préservatif sur son membre dur et je n’eus pas à attendre longtemps avant de sentir cogner son gland à l’entrée de ma chatte. Il me pénétra d’une longue poussée faisant cogner son gland directement au fond de mon vagin, m’arrachant ainsi un cri de surprise et de plaisir mêlés. —T’en avais envie, Sabine ! Ça rentre tout seul ! Sous tes airs de bourgeoise, tu es vraiment une belle gourmande ! Tu as vraiment un cul d’enfer ! Ce sont les femmes mariées comme toi les meilleures à dévergonder ! Je vais finir ton éducation de petite chienne...
 Il se mit à me pilonner fermement jusqu’à ce qu’à nouveau ma respiration s’accélère, m’arrachant, au passage, des vocalises de plaisir. Encore quelques va-et-vient supplémentaires auraient suffi pour que je jouisse mais François se retira de ma fente pour aussitôt placer son gros gland contre ma rondelle. Alors que d’une main il me retenait par l’épaule, l’autre tenait fermement son sexe à l’entrée de mon rectum qu’il pénétra d’une poussée ferme et appuyée. Un cri de surprise et de douleur jaillit de ma bouche lorsque mon anneau céda, laissant pénétrer ce sexe de taille généreuse entre mes fesses. Je me sentis de suite à la fois envahie et empalée. L’image de mon visage dans le miroir reflétait l’effort que cette pénétration me demandait, les traits déformés par le plaisir et l’effort physique. Je me voyais très chienne dans cette position avec mon mâle derrière moi, concentré sur sa besogne ! Le monstre ne pouvait prendre possession que très lentement de ce sanctuaire jusque-là inviolé !Les tentatives précédentes avaient toutes échouées à l’entrée du fait de l’étroitesse. Je ressentis chaque millimètre de cette barre me pénétrer. Je soufflai sous l’effort, l’appréhension et l’excitation.Je lâchai de vive voix des « mon dieu, non ! Arrête, non continue ! ». Mais François agrippa mes hanches de ses deux mains pour pouvoir mieux maîtriser la poussée, concentré sur son objectif, m’empêchant ainsi toute fuite en avant.
— Comme t’es serrée salope ! Mais t’inquiète, je vais tout te rentrer et après ça tu en redemanderas ! Je vais t’apprendre à aimer la sodomie, petite bourgeoise !
Lentement mais sûrement, son sexe prit possession de tout mon rectum et, à bout de souffle, je sentis ses testicules enfin cogner contre ma vulve, sensation nouvelle pour moi !Jamais je n’aurais pensé pouvoir accueillir un tel engin et d’ailleurs je ne m’étais jamais imaginée pouvoir offrir mes fesses de cette manière. Mon étalon resta quelques minutes ainsi fiché en moi, laissant le temps à mes chairs de prendre la dimension de son sexe.Mon appréhension se dissipa en même temps que mon rectum se dilatait et je commençai à prendre un certain plaisir à me sentir ainsi clouée sur un tel membre.Les légers coulissements de ce sexe me firent du bien et au fur et à mesure qu’ils prirent de l’ampleur, la sensation se mua en plaisir. Je recommençai à gémir lorsque François entreprit de long va-et-vient, bien agrippé à mes hanches.Encouragé par mes vocalises, ses coups de reins se firent plus rapides. Désormais, il réussissait à faire des allers-retours de toute sa longueur. Dans le miroir, mon visage se déformait de plaisir et je feulais comme jamais, ce qui excitait mon sodomiseur. Il grognait lui aussi de plaisir et transpirait sous l’effort.
— Tu vois que tu aimes ça te faire enculer, petite bourgeoise ! Tu as un cul d’enfer, serré à souhait ! Putain que tu es bonne ! Un petit cul vierge y a rien de mieux ! Et comme je suis le premier, tu te souviendras de moi toute ta vie de petite chienne dévergondée ! Alors j’arrête ou je continue, dis-moi ?! — Continue, arrivai-je à glisser entre deux feulements.
Les coups de reins se firent plus puissants, me soulevant le cul à chaque coup de butoir, m’arrachant des cris de plaisir bruyants. Le claquement de son bas ventre, contre mes fesses et mes cuisses, rajoutait à mon excitation et je m’imaginais comme une pouliche saillie par son étalon. Je perdis toute notion du temps. François pilonnait mes fesses comme jamais et je sentis un orgasme dévastateur arriver. « Plus fort » m’entendis je lui réclamer en criant presque, la tête enfoncée dans l’oreiller, mes mains agrippées au drap. « Encore, oui, encore, prends-moi le cul !»Les spasmes de l’orgasme commençaient lorsque qu’agrippé fermement à mes hanches, il se ficha au plus profond de mon ventre plaquant ses couilles contre ma vulve et réussissant tout de même à faire tournoyer son membre dans mon fondement avec son bassin.
— Jouis salope, je t’encule à fond là ! Ça monte ! Je vais remplir ton cul de bourgeoise.— Vas-y, Ouïe, ouai, ouïe, oh mon dieu, je fus dévastée par les ondes d’un orgasme qui me terrassa. Mon ventre se contracta, de même que mon anus enserrant fermement la grosse queue de François qui palpitait, profondément enfoncée au fond de mes fesses alors qu’il éjaculait puissamment. J’eus l’impression de sentir les jets chauds malgré le préservatif. Mes sensations semblaient décuplées par cette jouissance anale à la différence d’un orgasme vaginal.Je m’écroulai sur le ventre le sexe de mon amant toujours fiché en moi.Il se retira doucement et alors que je plongeais dans une torpeur post-coïtale, les yeux à semi clos, je sentis François m’attraper doucement la tête et placer son gland gluant de sperme odorant sur mes lèvres.
— Nettoie-moi bien la queue petite salope !
Il enfonça alors son sexe dans ma bouche et machinalement ma langue tourna autour de son membre à moitié flasque, ne laissant aucune trace de semence que j’avalai mécaniquement au grand bonheur de mon amant. Ce nettoyage étant devenu pour lui un passage obligé lors de nos ébats.Il caressa mes fesses avant de claquer une petite fessée comme l’on remercie une bonne pouliche.
— Tu en as fait du chemin sabine ! De petite femme rangée à salope qui se laisse défoncer le cul ! Je ne me serais pas douter que tu avais autant de potentiel ! Maintenant que les bases sont acquises, on va pouvoir envisager explorer d’autres pratiques …
Mon éducation semblait ne devoir que commencer….
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