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François et son sexe magique

Chapitre 1

Gay
Il y a quelques années, du haut de mes 19 ans, j’ai déménagé dans une grande ville pour les études. J’avais loué un minuscule studio, près de mon campus. J’étais heureux de quitter la maison familiale pour établir mon autonomie et vivre selon mes désirs. Malheureusement, je ne connaissais personne dans cette ville.
— Tu vas te faire des amis, tu vas voir ! me disait mon entourage.
Me faire des amis n’était pas un atout que je maîtrisais. En effet, je pouvais parfois être assez timide. J’appréciais la compagnie, mais je n’allais pas faire d’efforts pour la trouver.

Malgré tout, je voulais garder une vie active et divertissante. C’est pourquoi j’avais décidé de me remettre à la natation et de m’inscrire au club de nage amateur du centre sportif près de chez moi.
Nous étions une dizaine de participants et au fil des séances, j’appris à connaître un homme nommé François. Nous discutions souvent avant la séance et parfois après. Nous avons donc appris lentement à nous connaître. Je savais qu’il occupait un poste important dans une grande entreprise et il savait que j’étudiais la sociologie. François avait de courts cheveux poivre et sel, un corps mince et musclé et devait avoir une quarantaine d’années.
Un jour, au moment où je sortis du centre sportif après l’entraînement, François m’interpella.
— Félix, mes plans de samedi sont tombés à l’eau. Je me retrouve donc seul pour la soirée. Si tu souhaites te joindre à moi, tu es le bienvenu.
J’hésitai un moment. Je connaissais peu François et je trouvais cela étrange qu’il me lance cette invitation, car il avait l’âge de mes parents.
— Rien de bizarre, quand je rencontre des gens qui ont l’air intéressants, j’ai envie d’apprendre à mieux les connaître, ajouta-t-il en constatant mon hésitation.
Je finis par accepter son invitation. François sembla heureux de ma réponse. Il m’invita ensuite à apporter mon slip de bain, car il possédait une piscine creusée dans sa cour et que, bien qu’elle fût plus courte qu’un bassin de 25 mètres, il serait possible d’y nager quelques longueurs.
Avant de nous quitter, nous échangeâmes nos numéros de téléphone. Il m’informa qu’il me texterait l’adresse.
Le lendemain, je reçus son adresse. Je vérifiai le lieu sur google map et constatai qu’il habitait dans un quartier assez nanti. Au moins, ce n’était pas trop loin. Je pourrai m’y rendre en bicyclette. Il m’informa également que je pouvais arriver vers 16h. Je n’avais qu’à apporter mon maillot.
Le samedi venu, je quittai mon studio vers 15h40 avec des bières et mon slip de bain dans un sac à dos. À l’extérieur, le temps était merveilleux. Aucun nuage ne polluait le ciel et la chaleur était clémente. Toutefois, j’arrivai chez François en sueur. Sans surprise, le quartier dans lequel il résidait était magnifique. De grands arbres aux feuilles vertes bordaient les terrains des grandes maisons qui s’alignaient dans les rues courbées. La maison de François n’était pas la plus imposante, mais dégageait un charme non négligeable.
En tenant ma bicyclette d’une main, je me rendis à sa porte et cognai. François ouvrit la porte, me salua, puis m’invita à passer sur le côté de la maison pour le rejoindre à l’arrière. Derrière la maison, je découvris une cour extérieure très bien aménagée et très discrète. La fameuse piscine dont il m’avait parlé était devant moi. Il y avait également un joli coin pour manger.
François me rejoignit à l’arrière. Il portait un short et une chemise blanche à manches courtes. Je lui montrai les bières et nous décidâmes de nous installer sur les chaises longues aux abords de la piscine. Nous discutâmes pendant un bon moment en buvant lentement nos bières. Lorsque ces dernières furent vides, François me proposa d’aller nager, ce que j’acceptai. C’est alors qu’il se leva, déboutonna sa chemise et retira son short. À ma surprise, j’aperçus un slip de bain rouge. Je fus surpris, puisqu’aux entraînements de natation, il portait toujours un slip noir.
Puisque François ne me regardait pas, je pus observer la bosse qui remplissait l’avant de son maillot. Avec un slip rouge, il est très facile de discerner ce qui se cache sous la couche de textile.
Il me regarda. Je levai rapidement les yeux vers son visage.
— Tu portes déjà ton maillot ?— Non, répondis-je.
Je me dirigeai donc vers mon sac pour en sortir le slip et alors que François entra dans l’eau, je baissai mon short. Avant de mettre mon slip de bain bleu foncé, je pris un moment pour sentir le vent chaud sur mon pénis. Je mis le maillot et regardai rapidement mon pénis moulé par le mince textile. Comme à l’habitude, mon membre pointait vers la gauche. Je me retournai et sautai dans l’eau pour rejoindre François. Dans l’eau, François me proposa de faire une petite course d’endurance, ce que j’acceptai.
Après la course que François avait remportée de justesse, ce dernier s’assit sur le bord de la piscine, ce qui permit de dévoiler ses organes génitaux très moulés par son slip imprégné d’eau. Je pouvais très bien distinguer la forme de son sexe. Je décidai de rester dans l’eau. À plusieurs reprises, alors que nous discutions, je tentai de regarder furtivement son magnifique entrejambe. À un moment, je sentis qu’il faisait exprès pour exhiber son paquet emballé.
J’appris qu’il était maintenant célibataire et qu’il était père de deux jeunes adolescents.
— Et toi Félix, tu as une copine ?— Ben... Non, je n’en ai pas.
Il rigola devant mon hésitation.
— En fait, continuai-je, je n’en ai jamais eu. — C’est normal, tu es jeune. Ne t’en fais pas avec ça. Au fait, tu as quel âge ?— J’ai 19 ans.— Bien voilà! Un très beau jeune homme de 19 ans comme toi ne tardera pas à se trouver une partenaire.
Il m’invita ensuite à sortir de la piscine afin de profiter du soleil de fin d’après-midi. En sortant de l’eau, je sentis mon maillot humide se coller contre mes organes génitaux. Je fus légèrement excité par cette sensation. Nous nous installâmes sur les chaises longues et continuâmes la discussion. Mon pénis était moulé et facilement identifiable.
— Mais, tu as déjà eu des expériences sexuelles ?
Je fus surpris par la question.
— Non, pas vraiment, dis-je en baissant les yeux. — C’est dommage. En plus, tu as l’air bien équipé.
Il baissa les yeux sur mon entrejambe. Ébahi, je rougis automatiquement et sentis mon pénis gonfler légèrement. Je mis ma main devant mon pénis pour cacher ce début d’érection et lui renvoyai le compliment.
— Toi aussi. C’est évident avec ton slip rouge.
Il baissa les yeux sur son propre entrejambe. Mon pénis arrêta son expansion.
— Merci Félix. C’est gentil, mais je ne suis vraiment pas membré comme un acteur de film porno.
Il se leva devant moi.
— Tu veux que je te montre.
Je ne pus retenir un rire nerveux. J’avais très envie de voir son pénis, mais j’étais également interloqué par la situation.
— Ne t’inquiète pas Félix, je suis vraiment à l’aise. De toute façon, on prend nos douches ensemble après les entraînements.
En effet, nous prenions nos douches ensemble après les entraînements. Cependant, j’avais tellement peur de me faire remarquer à regarder le pénis d’un autre homme que je n’ai jamais osé observer les pénis des autres dans les douches communes.
Je lui donnai mon accord et il retira son slip. Je vis apparaître devant moi un pénis au repos de taille moyenne. François était circoncis, ce qui dévoila un gland poli rouge pâle qui semblait si vulnérable. Sa verge était légèrement plus foncée que le reste de son corps et menait jusqu’à ses poils foncés longs et humides qui fournissaient son pubis et ses cuisses. Ses testicules poilus se cachaient derrière sa verge et pendaient à égale longueur.
Sous ma main qui était restée sur mon entrejambe, je sentis à nouveau mon sexe grossir.
— Et puis ?— Il est... tu as un beau pénis François.
Je lui demandai à propos de sa circoncision et il m’expliqua que c’était de naissance. Il s’approcha de moi et prit son pénis entre ses doigts pour me le montrer.
— Je ne comprends pas comment c’est fait, la circoncision, dis-je.— Tu n’es pas circoncis ?— Non.— Regarde, dit François en me pointant la partie qui joint sa verge à son gland. Tu peux toucher si tu veux.
J’hésitai avant de toucher le pénis de François. Je levai les yeux sur son visage et il me fit un signe de tête pour me convaincre d’y toucher. Je pris alors son pénis avec ma main libre. Mon pénis était maintenant en érection complète dans mon slip de bain. Après l’avoir examiné brièvement, je lâchai son membre.
— Je comprends mieux, dis-je en lui faisant un sourire.
François se recula, remit son slip de bain et se réinstalla dans la chaise longue. Je pris subtilement de grandes respirations afin de faire disparaître mon érection, ce qui fonctionna.
— Et toi ?— Moi ? dis-je stupéfait.
Je savais ce qu’il voulait dire. J’étais terriblement excité, mais j’avais aussi peur d’avoir une érection et de me retrouver dans l’embarras.
— Tu dis que tu n’es pas circoncis. Alors, tu me montres ?
Je ne dis rien.
— Tu n’es pas obligé tu sais, dit-il en me faisant un clin d’œil. On prend ça cool ici.
Je n’étais plus en érection totale, mais je n’étais pas au repos pour autant. François me fit un beau sourire, comme pour m’encourager. Je pris mon courage et, tout en restant assis sur la chaise longue, je retirai mon slip pour dévoiler mon pénis qui en temps normal, aurait été plus petit que celui de François. Mon membre était légèrement incliné vers la gauche et mon prépuce laissait apparaître l’extrémité de mon gland. La sensation d’être nu devant un homme était géniale. Cependant, j’étais très concentré à ne pas avoir d’érection. Je vis François qui m’examina. J’attendais impatiemment qu’il dise quelque chose.
— Tu es bien membré mon Félix.
Un rire fut la seule chose qui sortit de ma bouche.
Tout en restant assis, François se pencha vers moi. Ma respiration s’accéléra, et mon pénis resta en mode mi-dur. Sans me demander, il prit mon prépuce entre ses doigts. Il était la première personne, à l’exception de moi-même, à toucher mon pénis. Ses doigts chauds décalottèrent mon gland. Je ne pus me retenir, mon pénis gonfla rapidement. Les doigts de François quittèrent ma mince peau.
— Je suis désolé, François. J’ai de la difficulté à me contrôler. — Ce n’est vraiment pas grave, j’étais comme toi à ton âge. Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. Ça te va si je continue mon exploration ?
François me regardait avec un grand sourire. Je lui donnai l’autorisation de continuer, et ce, même si mon pénis était en érection complète.
Il approcha alors lentement ses doigts vers mon gland, puis le frôla de l’index. Dès qu’il me toucha, un spasme traversa mon corps.
— C’est très sensible, dis-je.
Il tenta de remettre son doigt, mais mon ventre se contracta aussitôt qu’il me toucha et un son aigu sortit de ma bouche. François me fit un sourire et recula légèrement.
— Est-ce que tu veux... que je le prenne dans ma bouche ? demanda-t-il calmement.
Mon rythme cardiaque s’accéléra d’un coup. Il voulait me sucer ? Maintenant ? J’eus de la difficulté à croire que tout cela était vrai. J’étais très excité, mais j’avais également peur, car je n’avais jamais vécu de relations sexuelles.
Il était là, le visage devant ma verge, ses yeux dans mes yeux, attendant ma réponse.
— Oui, dis-je.
J’eus droit à un grand sourire. François baissa les yeux et fixa ma verge qui se trouvait à une cinquantaine de centimètres de son visage. Il prit la base de ma verge, approcha son visage de mon gland et sortit la langue.
Je sentis sa langue chaude et humide se coller contre mon sexe. L’extase. Je levai les yeux vers le ciel tout en restant concentré sur les sensations qui parcouraient ma verge.
François déplaçait doucement sa langue sur mon gland, puis commença à lécher ma verge. Il descendit jusqu’à mon scrotum, le lécha et goba un de mes testicules. Un spasme de plaisir traversa mon corps.
Après s’être attardé sur mon scrotum, François revint vers mon gland en bécotant ma verge. Ma respiration se faisait bruyante. Il arriva au bout de mon gland et donna un baiser avant de faire disparaître mon gland dans sa bouche chaude.
Mon excitation était si importante que je sentais que mon pénis allait exploser.
Alors que François réalisait des va-et-vient sur ma verge, je sentis sa langue rouler autour de mon gland.
Une sensation de plaisir intense se développa dans mon bas-ventre. Je mis rapidement ma main sur l’épaule de François.
— Je vais venir.
François continua son mouvement. La sensation d’orgasme remonta ma verge et arriva à mon gland. Je fermai les yeux et me cambrai le haut du corps. À ce moment, j’éjaculai en plusieurs jets une quantité phénoménale de sperme dans la bouche de François en lâchant, malgré moi, des cris graves de plaisir. François avala l’entièreté de ma semence.
Je retirai mon gland de sa bouche et une petite goutte de sperme sortit de mon urètre. François vint donner un baiser sur la goutte de sperme et un filament de sperme se créa lorsqu’il recula.
L’homme mature qui venait de boire ma semence se leva à ma hauteur. Ma verge, faible, reprit sa taille de repos.
— Tu veux prendre une douche ? me demanda François d’une voix calme.
J’acceptai et il m’entraîna à l’intérieur. Mon slip de bain resté sur le bord de la piscine, j’étais nu lorsque j’entrai dans la maison de François. Lui, portait toujours son magnifique slip rouge contenant une verge qui, sans être en érection, semblait occuper plus d’espace.
Une fois dans la salle de bain, nous nous retrouvâmes face à face. François descendit son slip et je regardai sa verge, plus grosse que la mienne. Il était maintenant évident qu’elle était mi-dure. À cette vue, j’eus à nouveau une érection.
Il me prit dans ses bras et colla mon corps imberbe sur son corps chaud et poilu. Mon pénis se colla entre nos deux bas-ventres et je sentis le sien grossir sur ma cuisse droite. Malgré le fait que je ne connaissais pas beaucoup l’homme qui me tenait dans ses bras, une sensation de bonheur m’envahit.
François approcha son visage du mien et m’embrassa passionnément. Sa langue chaude et humide envahit ma bouche. Après ce baiser, François était en érection complète. Il me prit par la main et me fit entrer dans la douche où un chaud jet d’eau commença à mouiller nos corps.
À ce moment, je désirais extrêmement lui faire une fellation. François sembla lire dans mes pensées. Il déposa ses mains sur mes épaules et m’invita à me mettre à genoux devant lui. Mon visage arriva à hauteur de son pénis en érection qui courbait légèrement vers la droite. Je commençai par le masturber doucement avec une main et j’allai baiser ses testicules. Les poils présents sur son scrotum chatouillèrent mon visage. Je pris un grand plaisir à lécher et à gober ses testicules. À entendre ses gémissements, je supposai que François passait aussi un bon moment. Je remontai vers son gland en léchant sa verge. Je frottai ensuite mes lèvres sur son gland avant de le laisser entrer dans ma bouche.
Je suçai François pendant quelques minutes puis il me fit arrêter. Toujours en érection, je me levai pour revenir à sa hauteur. François prit son pénis entre ses doigts et vint frotter son gland sur le mien. La vue de nos glands et la sensation qui accompagnait ce moment me firent presque éjaculer à nouveau.
Par la suite, François prit un savon et commença à savonner mon corps. Il lava mon torse, mon dos, mes bras, mes jambes, ma verge et termina par mes fesses. Il lava entre mes fesses et je sentis ses doigts venir frôler mon anus. Un frisson me parcourut le corps.
— Je vais t’enculer, dit-il.— Oui François, encule-moi. Je n’ai jamais fait ça, mais je veux que ce soit toi qui me dépucelles.
Je n’avais jamais été aussi excité.
François me fit sortir de la douche. Nous nous séchâmes avec des serviettes qu’il fournit. Ensuite, il m’emmena à sa chambre. Il me coucha sur le dos et me fit replier les genoux sur le torse.
— Si tu dis «stop», j’arrête.— D’accord, répondis-je.
François prit une bouteille de lubrifiant, s’en appliqua sur les doigts et commença à me détendre l’anus. En réalisant de petits cercles autour de ma rondelle, le lubrifiant passa du froid au chaud. Je sentis alors un doigt tenter d’entrer en moi.
— Ça va ?— Oui, entre en moi !
François enfonça lentement son doigt dans mon canal et commença un mouvement de va-et-vient avec le doigt en question. Je gémis. J’étais si excité que je commençai à toucher mon sexe.
L’ouverture s’agrandit. François m’avertit qu’il avait maintenant deux doigts à l’intérieur de moi. Les va-et-vient s’accélérèrent au même rythme que ma respiration.
Je signalai à François que j’étais prêt à recevoir son sexe à l’intérieur de moi. François lubrifia son membre, puis vint tapoter son gland sur mon anus. J’étais impatient de sentir François en moi.
Mon anus se dilata doucement pour laisser passer le pénis en érection de François. Je lâchai malgré moi des gémissements de douleur. L’homme mature continua son entrée en moi.
— Je suis complètement entrée. Bravo Félix.— C’est trop bien François. Baise-moi !
François commença les va-et-vient. Mon corps de jeune homme était à sa merci. Je me retrouvai entre plaisir et douleur. Mes mains étaient maintenant agrippées aux draps du lit. Après quelques minutes, le plaisir l’emporta et je commençai à avoir des spasmes venant du bas-ventre. François continua ses mouvements de plus en plus intensément.
— Je vais venir, dit-il.
Je fus confus par mes sensations, car j’avais l’impression que j’étais également sur le point d’avoir un orgasme. Le plaisir en moi devenait de plus en plus intense. Une puissante sensation d’extase m’envahit. Je hurlai de plaisir et du sperme commença à couler de mon pénis sur mon ventre. Au même moment, François ferma les yeux et expulsa tout l’air de ses poumons. Il éjacula en moi.
Plus rien.
J’eus l’impression de me réveiller d’un coma. J’étais sur le lit de François, en sueur, les yeux fixant le plafond et le souffle court. François retira doucement le pénis qui venait de me faire vivre des sensations extrêmes. Ce pénis était magique.
Je sentis du liquide couler de mon anus.
Une grande quantité de sperme se trouvait sur mon ventre et dans mon nombril. Un filament de sperme rejoignait mon gland à mon ventre. Je venais de vivre le meilleur orgasme de ma jeune vie, un orgasme prostatique.
Merci François.
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