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Françoise

Chapitre 2

Erotique
Cette première aventure sexuelle avait été extraordinaire. Pétrir les seins de Françoise, de vrais beaux gros seins, mettre mes doigts dans son sexe trempé et le pouce dans son œillet, me faire branler et sucer et connaître ma première vraie jouissance en lui donnant en même temps du plaisir ... whaaaa ... ça tournait en boucle dans mon esprit d’ado bouillonnant et je ne rêvais que de recommencer. Attendre sa venue la semaine prochaine allait être très très long, mais j’avais un nombre incroyable d’images dans la tête pour me donner du plaisir à répétition.
Pas de chance, un cours avait été décalé au mercredi suivant et je dus attendre deux longues semaines avant de la revoir. Autant dire une éternité. Pour ne pas éveiller quoi que ce soit chez ma mère, je ne parlais pas de la venue de Françoise et ne savais pas à quelle heure elle serait là.
Mercredi suivant, milieu de matinée, à force tourner en rond, j’allais prendre ma douche et en me branlant un bon coup pour faire passer la pression. Cette femme obnubilait mes pensées, peuplait mes rêves érotiques et me faisait bander à sa simple évocation. Prendre mon sexe en main était donc une évidence, j’en décalottais le gland uniformément violacé et gorgé d’un sang fougueux, mon autre main caressait mes bourses comme Françoise l’avait fait et je commençais de larges mouvements de va-et-vient, d’abord doux puis de plus en plus rapides. Françoise était dans ma tête, je la revoyais prendre mon sexe entre ses lèvres et happer mon manche tendu à l’extrême. Sa langue tournait autour pendant que ses yeux pétillants me regardaient avec un air si sexy.
Je n’étais pas loin de l’extase et d’envoyer mes giclées de sperme contre le mur de la douche. « Eh bien mon cochon, on se fait plaisir tout seul !!! J’espère que tu penses à moi ! » La voix de Françoise venait d’envahir la salle de bain et je la voyais me regarder dans un grand sourire bienveillant. Je n’avais même pas eu le temps de dire quoi que ce soit que dans le même temps, je débandais et la voyais sortir de la salle de bain.
Abattu par ce plaisir loupé, je quittais la douche, me séchais et mettais mon peignoir en maugréant pour retourner vers ma chambre en espérant qu’elle s’y trouve. Joie bonheur ... elle était là, de la meilleure façon que je ne l’aurais imaginé. De dos, sur mon lit, à genoux, la tête tournée vers la porte, elle m’attendait le cul en l’air, provocante, impatiente et si sexuelle. Et surtout, surtout, au-delà de toutes mes idées, sa jupe était remontée, sa culotte baissée et son si beau cul à l’air qu’elle balançait de manière nonchalante de gauche à droite. Vision de rêve, mon humeur venait de remonter en flèche et ma queue avec.
— Alors mon petit Marc coquin ... on se branle sous la douche, on n’attend pas sa Françoise pour continuer son apprentissage ?
Le rouge aux joues, je bafouillais et elle reprit « on a pas trop de temps, ta mère va m’appeler, viens vite, caresse mes fesses, vite » Là ! difficile de dire non, je m’approchais du lit tout en défaisant la ceinture de mon peignoir. Mes mains se posaient sur ses fesses, commençant à les caresser doucement puis à les pétrir. Dans tous les sens, mes doigts courraient sur cette peau tant désirée, j’attrapais un globe, puis l’autre, je reprenais une fesse, l’écartais, dévoilant sa raie, ouvrant son œillet. D’une main, je tenais une fesse, de l’autre, mes doigts parcouraient son sillon, descendaient vers sa chatte que je voyais déjà suinter de mouille.

Mes doigts arpentaient son sexe et son cul, passant de son clitoris à son trou du cul, plongeant entre les lèvres mouillées pour y pénétrer. Un doigt, puis deux, j’entrais, je sortais, la branlant comme la dernière fois qu’elle avait tant appréciée sauf que cette fois, elle tendait son cul en l’air, se cambrant. Son buste avait pris appui sur le lit, elle avait la bouche ouverte et les yeux fermés, un râle de plaisir s’échappait de ses lèvres.
— Salaud, petit salaud, tu vas encore me faire jouir ... mmhhhh ouiii, c’est trop bon, mets ton sexe, Marc, donne-moi ton sexe, prend moi, mmmhhhh.
Difficile de dire non. J’étais déjà au bord du lit, la queue tendue à l’extrême. Avec mes doigts, j’ouvrais sa chatte dégoulinante et y posais mon gland qui n’attendait que ce moment. Inexpérience quand tu nous tiens ... d’un coup, j’enfilais Françoise de toute la longueur de ma bite. Un cri étouffé par les draps lui échappa et elle en eut le souffle coupé « AAAaaaaaahhh OOoohhh c’est boooon, vas-y enfonce toi, prends-moi fort, tiens-moi les hanches ».

Mes mains se posaient sur ses hanches pour la tenir et je commençais mes va-et-vient. Pas de chichis, je lui tenais la peau à pleines mains, tirant dessus et balançant mon bassin à grands coups. Sans le savoir, j’allais au fond de son vagin, mon ventre claquait son cul, je ressortais, re-rentrais, c’était divin. Des hanches, mes mains changèrent de position, attrapèrent ses deux globes, les écartant tout en continuant de la prendre avec force. J’écartais son cul au maximum, j’avais la vue sur ma queue qui entrait et sortait de Françoise, juste au-dessus, l’œillet de son trou du cul palpitait. Je me lâchais complètement, j’étais en rut, je la bourrais à grands coups, sa tête qui s’était redressée se balançait dans un râle continu « AAAAaaahhhh c’est trop bon, continue, encore, encore, encore, prends-moi ».
Malheureusement, la fougue de la jeunesse ... je sentis que ça allait partir très vite. Ma queue déjà à son maximum enfla encore et le gland au fond de Françoise aussi. J’explosais en évitant de crier comme j’aurais tant aimé le faire, presque en apnée, poussant une dernière fois le mandrin au fond de son sexe. 3, 4, 5 giclées partirent au fond d’elle avec une pression que je n’avais encore connue. « OOOOooouuuuuiiiiiii je jouiiiissss ... Aaaaaahhhh » Françoise avait elle aussi profité de notre intense chevauchée.
Je m’effondrais sur son dos, l’écrasant sur le lit, ma queue sortant d’elle avec des flots de sperme mêlés de son jus et ma bouche s’emparait de la sienne, nos langues se mêlaient dans une pelle mémorable. Je venais de découvrir la sexualité, j’étais sur un nuage en haute altitude et visiblement elle avait apprécié.
— Je suis heureuse d’avoir été la première avec toi, me dit-elle. Elle avait très bien compris que j’étais puceau, mais ça n’avait d’importance ni pour elle ni pour moi. Elle m’avait transformé en homme et elle en avait aussi tiré du plaisir. « Si tu en as envie, il faudra qu’on trouve d’autres moments pour mieux profiter l’un de l’autre », me dit-elle. « Je vais devoir te laisser sinon ta mère va nous tomber dessus et ça ne m’arrangerait pas trop », ajouta-t-elle avec un clin d’œil.

C’est ainsi que ce dépucelage prit fin, mais je savais que mon histoire avec Françoise n’était pas terminée.
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