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Fraternité étudiante

Chapitre 1

Gay
J’en rêvais depuis tellement longtemps ! Et voila, maintenant ça y était, j’étais étudiant dans une université américaine. Oh, pas une grande, pas une prestigieuse, mais c’était celle que j’avais choisie, qui correspondait à mes moyens, dans une petite ville américaine.Je n’eus pas trop de mal au début. Mon anglais était assez bon et, en quelques jours je me sentis suffisamment à l’aise pour bien comprendre l’essentiel. 
J’étais logé dans un bâtiment, semblable aux autres du campus, dans une chambre de quatre, tous américains sauf moi. Je me liais assez facilement d’abord avec mes colocs et avec quelques types de ma section, avec quelques rares mecs du dojo aussi, mais nous étions peu nombreux à pratiquer le judo.Au bout de quatre à cinq semaines pourtant, les choses se détraquèrent. Ce fut peu après le départ de Dan, un grand roux athlétique; il avait quitté notre chambrée sans crier gare A plusieurs reprises, je l’avais croisé et je n’obtins comme réponse que :"J’ai changé de bâtiment". Mais peu à peu, sans que j’y prisse garde au départ, le vide se fit autour de moi. On me parlait de moins en moins. Un midi au resto universitaire je m’assis à côté de deux gars que je connaissais un peu. Ils se levèrent et changèrent de place. Je restai interdit, me demandant ce que j’avais pu leur faire. Le soir, même chose avec trois gars, pas les mêmes. Avant qu’ils partent je leur dis que c’était OK, qu’il ne fallait pas qu’ils se déplacent, et j’allais me chercher un coin ailleurs. Mais partout où j’allais je compris qu’il se passerait la même chose. Je me trouvais un endroit tranquille, m’assis et réprimai mes larmes. J’allai ensuite au Dojo pour me changer les esprits. Personne ne voulut se battre contre moi, ce qui n’est pas du tout dans l’esprit du sport.
Le soir aucun de mes deux colocs ne m’adressa la parole, dans une atmosphère pesante, gênée. Je profitai de l’absence de William pour interroger l’autre. "Tu sais ce qui se passe"?— Non.— Te moque pas de moi, je suis pas fou. C’est parce que je suis français ?-  Je peux rien te dire mais je crois que tu es la cible de LA Fraternité.— La Fraternité ?Il ne voulut rien dire. Je ne sus rien de plus.Le lendemain midi, j’allais m’asseoir seul dès le départ pour ne pas avoir à subir une humiliation. Très vite je remarquai un première année qui subissait le même sort que moi. Je ne le connaissais pas autrement que de vue, mais il était visible qu’il était ostracisé lui aussi. Je m’approchais de lui mais il me repoussa tout en me sifflant discrètement "Ce soir minuit, derrière la piscine".A minuit j’y étais, lui aussi : "Salut, moi c’est Ben"Je me présentai : "Jean-Charles"— Oui, tu es le français, je sais qui tu es.— Tu peux me dire ce qu’il se passe pour toi et pour moi ?Il me raconta alors que sur le campus, il y avait plusieurs fraternités dont une particulièrement secrète qui avait pour elle toute seule le bâtiment "Endeavour". Pour n’importe quelle autre on pouvait y adhérer mais pour celle là, ils venaient nous chercher. C’était le seul bâtiment du campus où vivaient 40 troisièmes années, quarante secondes et quarante premières. Les premières étaient en cours de recrutement. On était en train de faire pression sur nous pour qu’on accepte quand on viendrait nous chercher. Si on disait oui, on déménagerait là-bas. Si on disait non, notre vie serait un enfer et nous n’aurions plus qu’à quitter le campus. Je fis remarquer que nous n’avions qu’à regarder qui habitait "l’Endeavour" et demander une explication. Il souleva son T-Shirt et éclaira son torse avec sa lampe. Il y avait des bleus énormes."Crois-moi, on ne les interroge pas. Nous n’avons plus qu’à attendre séparément qu’on vienne nous chercher. S’ils nous voient ensemble ils vont croire que nous nous liguons contre eux et c’est terminé pour nous".
Je lui demandai d’autres explications. Mais il ne put rien me dire ou pas grand chose. Il n’en savait pas beaucoup plus. Personne n’était admis chez eux. S’ils se liaient à tout le monde sur le campus c’était uniquement pour le travail et le sport. Ils faisaient leurs fêtes ente eux et tous respectaient un silence strict. Ils n’avaient pas le droit de boire quand ils étaient invités ailleurs que chez eux, pour éviter de parler sans doute La Fraternité était si influente et riche (on disait qu’elle finançait certaines activités du campus dont personne n’aurait pu se passer) que ceux qui n’y appartenaient pas n’osaient pas lever l’interdit dont elle marquait ses proies.
Ben me fit observer qu’il avait sans doute repéré un troisième gars comme nous. Je lui parlai du départ de Dan "Il y est sûrement déjà entré" me dit-il.Le surlendemain, comme j’étais seul à table, Kyle et un autre gars que je ne connaissais pas, vint s’asseoir à côté de moi. J’aimais beaucoup ce troisième année avec qui je m’étais déjà trouvé à la piscine ou au resto. J’avais, depuis mon entretien avec Ben, remarqué qu’il habitait "Endeavour"."Salut"
— Salut!-Tu vas bien?— Je suis un peu seul depuis un moment. Tu n’avais pas remarqué ?-ça peut s’arranger.-Comment ?— Viens rejoindre ma fraternité.— C’est quoi ?— Il ne faut pas être curieux. Tu dis oui ou tu dis non.— Qu’est-ce que je devrais faire ?— Garder le secret et accepter tous nos rites initiatiques et ensuite les lois de la fraternité.— Quelles sont-elles ?— Tu les découvriras.— Et si je refuse, ou si je n’accomplis pas tous les rites ?— Paris n’est pas si loin... Mais je le regretterais.— Je vais réfléchir."Tu n’as pas le temps. C’est maintenant. Il ne nous reste que quatre places et je veux que tu en sois. On accueille très rarement des étrangers.J’hésitais un peu puis me lançai avec une mélange d’orgueil et d’appréhension."OK"!— Cool ! Après demain soir 19H30 devant la porte de l’Endeavour. Survêtement, douche obligatoire... et repose-toi bien avant, les nuits d’initiation sont... longues". Cela fut dit avec un air de mystère. Il partit en me serrant la main.Aussitôt, comme par enchantement, je redevins fréquentable. On se remit à me parler. Mes deux colocs, vite mis au courant je ne sais pas comment,  me dirent "Alors tu vas nous quitter"?— Attendez, je n’ai pas dit que j’allais accepter définitivement.— Ils acceptent tous. Tu peux préparer tes valises.Le lendemain soir j’étais à la porte comme convenu à l’heure dite. Elle se déverrouilla et Kyle me fit entrer."Cool que tu sois là"— Je suis tout seul?— Non. Les autres sont déjà arrivés.On me fit mettre un bandeau. Je suivis Kyle qui me tenait par la main. Nous descendîmes des marches. Il poussa une porte. Plusieurs cris de joie fusèrent."Enlevez vos bandeaux"! Je découvris les trois autres gars dont Ben, plus un black, Charly et un autre grand type, Marcus celui que j’avais repéré comme subissant le même sort que nous. Devant nous étaient assis une vingtaine de mecs recouverts de cagoules et de grandes capes.
Ils avaient un cordon autour du cou mais la médaille disparaissaient sous la cape. Ils étaient en tongs. A côté de nous se tenait Kyle, le mec qui l’accompagnait quand il m’avait parlé au resto plus deux autres types que je ne connaissais pas.Un des mecs cagoulés, assis sur une sorte de trône, s’adressa à nous. "Vous êtes devant le Grand Conseil de la THTATPCSBLCCCBS (VHVOVPFDSBLABCE en anglais). Il parlait vite. Je ne compris pas toutes les lettres de l’acronyme et n’en devinai évidemment pas le sens."Je suis le Grand Maître".Puis il interrogea Kyle et chacun de ses comparses en leur posant les mêmes questions pendant que de leur main droite ils nous tenait l’épaule."Tu nous amènes un mâle" ?— Oui Grand Maître.— Crois-tu qu’il a les qualités requises pour rentrer dans la Fraternité ?— Oui Grand Maître.— A l’issue de son initiation, s’il t’accepte comme parrain, le garderas-tu ?— Oui Grand Maître.— Et s’il en choisit un autre ?— J’accepterais son choix.— Bien.Puis il s’adressa à nous sur un ton de commandement qui n’acceptait pas de réplique."A poil" !
Nous nous déshabillâmes, pour ma part sans gène, étant habitué à me dévêtir devant d’autres hommes dans les vestiaires. Mais les trois autres avaient plus de pudeur car ils cachèrent leur sexe de leur main. Du coin de l’œil, je les vis en profiter pour se toucher discrètement, histoire sans doute de donner à leur bite une proportion plus avantageuse. Il y eu un tonnerre d’applaudissements, des cris, des hourras; Mais on nous ordonna de mettre nos mains dans le dos et je découvris le sexe de mes trois partenaires, tous les trois circoncis contrairement à moi. J’entendis des commentaires plus ou moins salaces, certains que je ne compris pas n’ayant pas assez sans doute de vocabulaire vulgaire ou ordurier à ma disposition en anglais. Mais je devais en apprendre vite et beaucoup au cours de la nuit.On nous prit nos vêtements et on nous fit boire un grand verre de mauvais alcool, probablement du bourbon, pour nous désinhiber sans doute. Après quoi, de toute la soirée, nous n’aurions droit qu’à de l’eau ou des boissons énergisantes."Et maintenant vous allez prêter serment. Prenez vos couilles dans la main gauche, levez la main droite et répétez après moi"!
Le grand maître s’était mis debout comme les 19 autres. En se levant certaines capes s’entrebâillèrent et je vis qu’ils étaient nus dessous. J’eus le pressentiment de ce qui allait m’arriver. En un éclair, je me dis qu’il n’était plus temps de se poser des questions sur ma sexualité. Cela défila dans mon esprit en un instant comme le fait la vie de ceux qui vont mourir dit-on. Jamais je n’avais été intéressé par la sexualité. J’étais bien sorti avec une fille pendant mon année de seconde mais c’était plus pour faire comme tout le monde et parce que chacun s’interrogeait sur le fait que je n’avais pas de copine. Après je ne m’étais consacré qu’aux études et au sport sans m’intéresser plus que ça au cul, à part quelques branlettes de temps en temps, normal. Là je dus reconnaître que les trois autres mecs à poil, l’atmosphère chaude de la pièce où régnait déjà l’odeur de la chaleur masculine, car ils devaient nous attendre depuis un moment, tout me titillait. Mais il fallait jurer et il détacha chaque partie du serment pour que nous le redisions."Je jure de garder secret ce que je vais voir et faire ce soir, même si j’échoue dans mon initiation. Si je suis accepté dans la THTATPCSBLCCCBS, j’en apprendrai les lois sous l’aide de mon parrain à qui j’obéirai sans discuter et je les respecterai ma vie durant emportant mon secret avec moi dans ma tombe à mon dernier jour. Je me soumettrai au Grand Maître et au Grand Conseil de la confrérie et à tous les anciens".
Puis vint un second serment :"Prenez les couilles de votre voisin de droite. Et maintenant jurez". Et, comme la première fois, tenant les couilles de notre voisin à l’exception des deux mecs à chaque extrémité qui avaient une main libre qu’ils levèrent solennellement en l’air, nous prêtâmes serment."Je jure d’être fidèles à mes frères et de les servir en bonne camaraderie et de les assister."
Cela fait, on nous mit deux par deux. Je me retrouvai avec Marcus. On nous ordonna de nous allonger, disposés en 69  et, l’un après l’autre de raser les couilles et la queue de notre partenaire, mais il fallait maintenir le pubis intact. Cette opération m’excita et, comme je rasai Marcus, je me mis à bander en étant très gêné quand même. Dès que cela fut remarqué, il y eut un déferlement d’applaudissements et d’acclamations et ma gène disparut. Ma queue étant bien droite, Marcus n’eut aucun mal à m’épiler la tige et les burnes et, pendant qu’il le faisait, je fus le seul à qui on ordonna de lécher les couilles de son binôme. Je fis semblant d’hésiter, d’être un peu dégoûté, mais je m’y livrai franchement très vite et avec satisfaction. Ma vie basculait d’un coup. Je me rendais compte que j’aimais les hommes, que je n’avais jamais attendu que cela. Je me faisais pour moi-même mon propre coming-out.
A son tour, la queue de Marcus prit de belles proportions. L’autre couple ne semblait pas manifester autant d’ardeur. Puis ce fut le tour de raser la rondelle. Quand ce fut finit, on nous annonça que nous avions passé avec succès la première étape de l’initiation. C’était maintenant le tour de la deuxième. On nous demanda si nous acceptions de poursuivre. Il n’y eut qu’un seul oui bien unanime, bien décidé. Alors, les mecs cagoulés se mirent tête nue, et nous dûmes les embrasser chacun sur la bouche, certains enfonçant leur langue le plus profondément possible, puis,  la queue à l’air désormais bien gonflée voire tendue, nous sortîmes tous les quatre de la pièce sous bonne escorte et avec des claques qui nous tombaient sur le cul et des mains baladeuse sur nos sexes lisses.
A suivre...
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