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Fraternité étudiante

Chapitre 5

Gay
Il m’expliqua ce que serait le programme à partir de ce jour.
D’abord, comme chaque nouvel arrivé, j’appartenais aux aînés. Un calendrier était établi pour 80 jours ou, pour chacun, un deuxième ou un troisième année était inscrit et avait le droit de me tirer à volonté, de me partager, bref j’étais sa chose. S’il oubliait de venir, il perdait son droit à l’exception des membres du Grand Conseil qui, outre leur jour dédié pouvaient user de moi quand ils l’entendaient, seuls ou à plusieurs. Biens sûr, si en dehors de ces jours je cédais aux avances de quelqu’un, y compris un première année, c’était tout à fait mon droit et même Kyle ne pouvait s’y opposer alors qu’autrement, en tant que parrain, il avait tous les droits sur moi.
Autrement, le week-end, comme tous les premières et deuxièmes années, je devais répondre présent pour les "visiteurs". Ces "visiteurs" étaient d’anciens membres de la Fraternité qui avaient le droit de venir quand ils voulaient, de choisir le ou les garçons qu’ils voulaient pour le temps qu’ils voulaient pendant le week-end. C’étaient ces anciens membres qui finançaient la Fraternité. Parfois il n’en venait aucun, quelquefois plusieurs.
"Et comment nous choisissent-ils"?— Nous avons tous été filmés et photographiés lors de notre soirée d’initiation, comme toi hier. Cela fait un catalogue dans lequel ils piochent en arrivant.— Et c’est tout ?— Non, il y a Jeff.— Ah oui, Jeff.— Il vient quand il veut, prend le nombre de gars de première année qu’il veut, pour 10 minutes, pour une heure ou pour la nuit. C’est un deal entre la Frat et lui... je crois hélas que tu lui plaît bien.— Et pour nous ?— Pour nous deux ?— Oui ?— Et bien, en dehors de ce bâtiment personne ne doit rein savoir. On doit faire comme avant.— Et si au bout de quelques semaines ou mois on ne s’entend plus, si... si on ne s’aime plus ?— Quoiqu’il arrive tu es à moi pour l’année... et il est impossible que je ne t’aime plus... mais si toi tu ne m’aimes plus, alors je te rendrais ta liberté... je te le promets.— Je t’aime, je t’aime et je t’aimerai toujours. Cela n’arrivera pas.
A ce moment là, le mariage gay n’existait pas en France ni dans tous les états des Etats-unis. Kyle se pencha vers moi et droit dans les yeux me dit : "Quand nous aurons fini ici, nous partirons tous les deux dans le Massachussets";— Pourquoi le Massachussets ?— Parce que là-bas nous pourrons nous marier  et qu’alors je ne serais plus obligé de te partager avec quelqu’un d’autre.— Puisses-tu dire vrai.
Après cette conversation, nous remîmes de l’ordre dans nos affaires. Je retournai dans mon ancienne chambre, et prit congé de mes anciens colocs qui ne me posèrent aucune question et en ramenai toutes mes affaires.
Dans le courant de l’après-midi, je reçus la visite d’un membre du Grand Conseil qui vint me donner la liste des quatre-vingts deuxièmes et troisièmes années qui devaient venir me sauter. Le planning était affiché dans la salle du conseil au sous-sol avec mon nom, celui de Kyle, le numéro de notre chambre. Il suffisait d’allumer l’un des ordinateurs de ladite salle et d’y ouvrir le dossier à mon nom pour y trouver les images de moi qui avaient été prises la veille.
Je reçus ma première visite le soir même, d’un troisième année qui frappa, entra, se présenta, se débraguetta et m’ordonna de le sucer sous le regard de Kyle qui ne fut pas convié. La bite était normale et le mec pressé. Je ne fus pour lui qu’un vide-couilles. En moins de dix minutes, il vint au bout giclant à petites doses au fond de ma gorge. Il complimenta Kyle et partit en espérant que je voudrais bien le recroiser un jour. Je pensais en moi-même qu’il pouvait aller se brosser et qu’en dehors d’une soirée partouze où le hasard nous rapprocherait peut-être, il pouvait toujours m’attendre.
Presque tous les jours je reçus mon lot de visites. Souvent, le mec venait seul, sans s’annoncer. Il frappait à la porte, se présentait si je ne le connaissais pas, se déloquait en précisant ce qu’il attendait de moi et, la plupart du temps, il m’enculait. Plus rarement, c’était moi l’actif.
Quelques-uns, comme le règlement les y autorisaient, venaient accompagnés d’un ou deux bons potes. Il arrivait assez fréquemment que Kyle soit prié de se joindre à nous. Ce qu’il faisait de fort bon gré.
Quelques mecs, que je connaissais déjà pour la plupart, prenaient rendez-vous : "Salut, c’est mon tour demain. Tu veux que je passe à quelle heure"?
D’autres se présentaient carrément à poil, sans prévenir, et je dus reconnaître que, bien souvent, surtout après vingt heurs, la plupart des mecs vivaient nus dans leurs piaules et les couloirs. Beaucoup laissaient la porte de leur chambre ouverte. On pouvait les voir, en train de travailler, de se branler, de se baiser.
Le matin, personne ne s’habillait pour aller aux douches mais il était rare que l’on baise aux aurores. Les cours commençaient à l’heure et on ne les séchait pas.
Je recevais aussi souvent la visite de Jeff, plus qu’à mon goût. Non que je fusse rebuté par son âge car il savait tringler comme personne étant tout aussi attentif à son plaisir qu’à celui de son partenaire. Mais comme il était particulièrement endurant, il restait très longtemps. Et souvent, comme il gueulait ses trips sans discrétion, sa voix attirait d’autres mâles qui venaient alors se joindre à la curée. Jeff dans mes fesses, c’était presque le gang bang assuré.
Comme j’étais en libre service quasiment tous les jours, j’avais pris la décision de vivre en jockstrap, un cadeau de Kyle qui m’en avait offert un lot. De sorte que, quelle que fût l’heure de la soirée où l’on venait me troncher, je me trouvais prêt à me mettre à quatre pattes ou à m’allonger sur le lit en écartant mes jambes qui prenaient d’ailleurs une souplesse de plus en plus avérée.
Les vendredis soirs et les samedis, c’était free-style. Les types qui le souhaitaient, en dehors des cérémonies obligatoires, se retrouvaient dans la pièce du sous-sol où s’organisaient souvent des partouzes. On baisait très tard dans la nuit, sans capotes car, comme nous n’étions autorisés qu’à forniquer avec les membres de la fraternité, il n’y avait en principe pas de risques. Pour ceux qui souhaitaient sortir en ville ou aller faire du sport ces soirs là, il n’était pas rare que, rentrant vers minuit ou plus tard, ils croisent dans les couloirs des mecs en train de se défoncer, ou d’autres regagnant leur chambre, la raie des fesses bien graissée, du sperme séché sur l’abdomen ou coagulé dans les poils pubiens ou pendant en perles le long du menton, surtout pour les barbus. D’autres en avait dans les cheveux, dans les plis du nez, sur les orteils. Certains allaient se doucher, d’autres se couchaient directement avec ces signes de virilité, comme autant d’hommages à leur charme, qu’ils gardaient sur eux comme un trophée.
Il y avait trois groupes à la Fraternité. Les adeptes du rasage intégral, aucun poil nulle part, sauf peut-être sur la tête, ceux pour l’épilation partielle, couilles, raie du cul et parfois torse et aisselles mais jamais le pubis et, enfin, les adeptes du poil. Je notai chez ces derniers une forte propension à  se faire arroser de graisse d’homme et à la laisser longtemps sur leur toison, où ces traces blanchâtres de l’orgasme se figeait avec lenteur, souvent entre les deux seins.Ces soirs de week-end, Certains couples passaient la soirée en amoureux, ce qui nous arrivait parfois à Kyle et à moi.
Cependant, ces deux jours étaient aussi réservés aux anciens. Outre ces anciens, il y avait aussi quelques membres qui avaient été introduits dans la Fraternité pour services rendus, tel que Jeff mais aussi un jeune médecin gay qui venait se vider les couilles chez nous contre consultation gratuite. Ces personnes venaient, étaient reçues par les troisièmes années qui étaient de garde à l’accueil pour le week-end (toujours par deux), consultaient le catalogue et, alors, on venait nous chercher ou on les amenait directement à notre piaule à moins qu’ils ne décident de rejoindre le sous-sol si une partouze y était en cours, ce qui arrivait fréquemment.Le deuxième ou troisième week-end après mon arrivée dans la Fraternité, alors que j’étais peinard un samedi soir, après 21 heures, en pyjama pour une fois, dans ma piaule à glander pendant que mon chéri était devant un jeu vidéo, on vint frapper à notre porte.
Sebastian, l’un  des troisièmes années de garde, qui m’ avait cassé le cul avec un chibre magnifique trois ou quatre soirs plus tôt, vint me dire qu’il y avait des visiteurs et que je serai leur pute pour la soirée.
Pour plus de commodité, ils souhaitaient venir dans ma piaule. Je n’avais pas le droit de refuser. On verrait avec les clients si Kyle devait rester. Sebastian s’en fut les chercher. Kyle pouvait rester et on l’inviterait le cas échéant. Les mecs étant assez voyeurs et exhib; on devait laisser notre porte grande-ouverte. Cette configuration permettrait à tous ceux qui passaient dans le couloir de s’arrêter et de mater. Pour peu que les visiteurs soient attirés par les bites qui ne manqueraient pas de se tendre quand les gens s’arrêteraient plus de trente seconde, cela tournerait vite en partouze ou en gang bang. Ce ne m’était encore jamais arrivé, sauf avec Jeff, mais je l’avais déjà vu faire.
Pour le moment nous n’étions que quatre. Les visiteurs s’appelaient Alexander et Chad. Alexander était le plus âgé, un type de soixante à soixante-cinq ans et deux fois moins pour Chad. Ils se ressemblaient beaucoup, presque deux mètres chacun, très costauds, yeux bleus, avec pour le senior un ventre assez gros mais ferme et des cheveux blancs et les poils à l’identique sur tout son corps burnes et cul exceptés où ils étaient plus foncés. Le benjamin était plus athlétique et encore très brun avec une forte densité pubienne.
J’avais eu le temps d’enlever mon pyjama et de de me mettre en jockstrap.
Après nous avoir salué, les mecs attaquèrent directement. Ils avaient encore leur costard et le vieux qui me fit l’effet d’être un gros porc, me saisit par la tête pour me rouler une méga pelle. Sa bouche était immense et sa langue gigantesque. Il l’agita profondément et violemment en moi, bavant et soufflant comme un bœuf par les narines. De sa main droite il m’avait agrippé la grappe qu’il pétrissait de sa grosse main moite.
Dans mon dos, le plus jeune avait ouvert sa braguette et frottait déjà sa quéquette entre mes fesses. Je le  sentais déboutonner sa chemise, défaire sa cravate puis sa ceinture....
A suivre
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