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La fraternité du Sybian

Chapitre 1

Inceste
La fraternité du Sybian
Chapitre 1

Manuel et moi avons réussi le coup du siècle.Il y a quelques mois, nous avons acheté, à deux, un Sybian (NDR : selle de masturbation) pour le faire essayer aux filles de l’université que nous réussissons à ramener chez lui ou chez moi.Ce bidule est formidable pour faire perdre la tête aux filles, croyez moi !Jamais, nous n’aurions espéré avoir autant de succès.À preuve, nous avons même été invités dans un party de filles, à condition que nous apportions le Sybian avec nous.Durant la soirée, après avoir pris suffisamment de verres, elles ont commencé à l’essayer, l’une après l’autre !Quel spectacle et quel plaisir nous avons eu à les regarder, soit frôler l’orgasme ou d’autre, l’atteindre sans retenue, filmant leurs exploits avec ma caméra HD pour pouvoir s’en délecter plus tard.
Jamais, en un laps de temps si court, nous n’avons eu lui et moi la chance de faire jouir autant de filles, nous rendant tous les deux populaires dans les cercles féminins.
Nous avons entrepris de modifier l’appareil pour le rendre plus facilement démontable et avons découvert que lorsque les filles ne peuvent mettre les pieds au sol ou sur un quelconque appui, durant qu’elle chevauche la selle, la pression sur le pubis en est encore plus grande et le résultat encore plus manifeste.Fort de notre expérimentation, j’ai rapporté le Sybian chez moi pour fabriquer une base qui ressemble un peu à un chevalet haut sur pattes, laissant la cavalière sans possibilité de prendre appui.De plus, avec ce look, il ressemble un peu à un cheval de rodéo que l’on peut louer lors de grandes soirées.
Manuel et moi, avons émis des règles strictes et incontournables.Quiconque monte le Sybian, doit s’y soumettre pendant un minimum de 10 minutes, sans arrêt.Imaginez la monture, en plein milieu d’une salle bondée de filles pendant un party.Il y en a toujours une pour s’élancer en s’asseyant sur la selle.Nous en profitons alors pour lui montrer le carton bien en vue sur le côté, rappelant la règle.L’hôtesse de la party en est toujours avisée, si bien que nous nous assurons sa collaboration, ce qui démarre souvent notre soirée de voyeur.

Bien installé au centre de ma chambre, je dessine les dernières modifications sur l’ordinateur pendant que Manuel fabrique un déclencheur qui fera partir la caméra HD automatiquement, dès que nous mettrons le Sybian en marche. Tout pour se faciliter la tâche et ne rien manquer de l’action.
Sans crier gare, mais surtout sans frapper, maman entre dans ma chambre, un tas de linge propre dans ses bras.
« Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez là tous les deux, vous ne faites pas un son ! » Déposant la pile sur mon lit.
Maman connait bien Manuel, nous avons grandi ensemble et il a toujours été mon meilleur ami.Elle l’a gardé à maintes reprises lorsque nous étions petits.Manuel, est comme un frère pour moi.
Tournant la tête avec stupéfaction, elle regarde le Sybian qu’elle voit pour la toute première fois.
« J’ai déjà essayé de faire du rodéo sur un truc semblable ! Dit-elle, prenant le Sybian pour un étalon mécanique... Qu’est ce que ça fait ici ?– Je...le répare... » Lui mentis-je
Maman ne connait visiblement pas le Sybian et je suis pris de court lorsqu’elle monte le pied sur la chaise adjacente et enfourche la selle en un mouvement rapide.
« Ne monte pas là-dessus, s’il te plaît ! Lui dis-je, aussitôt.– Non ! Non ! C’est correct ! » Réplique Manuel, en me tirant sur ma chaise alors que j’allais l’aider à descendre.
Mon regard se tourne alors vers lui et je vois bien le sourire sur ses lèvres pendant qu’il se lève.
« La règle c’est la règle ! Me dit-il, d’un regard convaincant.– T’es malade, Man’, c’est ma mère ! »
Je sais très bien que Manuel reluque ma mère depuis des années, ce n’est pas un secret pour lui et moi.Nous en avons parlé souvent et je sais qu’elle fait partie de ses fantasmes.Je dois dire qu’elle est fort jolie et que, physiquement, pour une femme dans la quarantaine, elle est plutôt bien découpée.
« Vous ne tiendriez pas longtemps ! » Lui dit-il, sur un ton défiant, ne laissant aucun doute sur son incapacité.
Manuel connait bien maman et il sait très bien qu’elle est une battante, une gagnante !
« Manuel ! Ce n’est pas cool ! Lui dis-je, sur un ton offusqué.– Ce n’est pas grave, Nicolas ! » Me lance maman, toujours inconsciente de la nature de l’engin.
Bien qu’elle soit vêtue d’un jean serré, je me dis qu’elle doit bien ressentir les formes de latex au centre de la selle sous son pubis.
« Il fonctionne, ton bélier ?– Très bien, lui répond Manuel, mais vous ne tiendrez pas les dix minutes obligatoires !– Han ! C’est ce qu’on va voir, jeune homme ! Répliquant sur le même ton défiant.– Dix minutes obligatoires, sans possibilités de "Choker" (se désister) ! Dit-il, en levant la main pour qu’elle valide le pari.– Si je tiens dix minutes, tu viens faire la vaisselle après tes cours pendant un mois ! »
En désespoir de cause, je me lève de ma chaise pour intercéder dans le pari.
« Faites pas ç…– Pari tenu ! »
Je n’ai pas le temps de plaider ma cause que Manuel frappe fortement dans la main de maman.Manuel saisit alors la commande du Sybian et l’ouvre en montant rapidement l’intensité, jusqu’à ce qu’il décèle une réaction chez maman.
« OH MY GOD !! Dit-elle, totalement prise par surprise... Je ne pensais pas que c’était ça ! Regardant Manuel et moi... OH MY GOD !!! » Répète-elle, visiblement troublée par ce qu’elle ressent.
Sourire aux lèvres, Manuel fier du guêpier dans lequel il a piégé maman, scrute le corps de ma mère.Habillé d’un jean très serré, d’une blouse blanche et de délicats souliers noirs, je sais qu’il se délecte de sa victoire et de ce qu’il voit.
« Tu ne m’avais pas dit que c’était ça, Manuel ! dit-elle, voyant, elle-même, qu’elle était piégée.– Ah! Un pari c’est un pari ! Dix minutes ! » Répond-il, en lui montrant sa montre.
Manuel augmente alors la cadence et l’on peut clairement entendre le Sybian vibrer entre les jambes de maman.Maman avale de travers et se compose un visage respectable, mais lui et moi, voyons très bien le langage corporel qui trahit sans équivoque le plaisir qu’elle ressent entre ses cuisses.Il tourne alors la tête vers la caméra HD pour voir qu’elle c’est bien enclenché.Je réalise du coup que nous sommes en train de filmer maman assise sur la monture vibrante.
« T’aurais..., pu me le..., dire ! » Me dit maman en me regardant gentiment et en montrant la caméra de son regard.
Elle savait qu’elle s’était mise elle même dans le pétrin et que je n’y étais pour rien, tentant vraisemblablement de sauver les apparences.Sachant qu’elle était filmée, maman regardait la caméra en tentant de ne montrer aucune expression.Manuel éleva alors l’intensité d’un autre cran, tirant un involontaire gémissement de la gorge de maman.Elle plaqua par réflexe, son index contre ses lèvres et ses dents, puis soudain, un spasme rapide traversa sa colonne accompagné d’un gémissement qu’elle tenta de réprimer.
Je pouvais voir sa respiration accélérer et signe qui ne ment jamais, elle se léchait les lèvres de plus en plus régulièrement.Résistant tant bien que mal, le temps jouait contre elle.Peu à peu, maman commençait à plier l’échine au sens propre.Sa tête penchait de plus en plus vers ses jambes, ses cheveux cachant maintenant son visage.C’était aussi pour elle, une bonne façon de se substituer à notre regard.
Manuel savourait le contrôle qu’il avait sur elle.Me regardant, il augmenta la cadence de vibration, en me montrant qu’une fois de plus, nous étions venus à bout d’une autre femme.Maman ne put résister à ce dernier assaut.
« OH... MY... G..od.... ! » Dit elle en relevant seulement la tête, yeux fermés, bouche ouverte, savourant le plaisir que lui donnait le Sybian.
Des spasmes traversaient par ondée son corps pendant qu’elle tentait, sans grand succès, de bien se tenir devant nous.Je connais bien maman et je sais qu’elle tiendra, elle aime trop gagner.
« Il vous reste encore 5 minutes à tenir ! » Répliqua Manuel, pour bien lui faire comprendre qu’elle n’avait fait que la moitié du supplice.
Puis d’un geste brusque, il mit le Sybian à pleine puissance.Je crois qu’à ce moment précis, tout à déboulé pour elle et moi.
Bougeant les pieds et les orteils, maman s’est volontairement débarrassée de ses souliers, en les laissant retomber sur le sol, et plutôt que de rester penchée discrètement vers le devant, elle a relevé son corps, en se penchant vers l’arrière, en prenant appui d’une main sur le derrière de la selle, pendant que son autre main est entrée dans sa blouse, en se déposant sur son épaule qu’elle caressait doucement.
La voyant agir ainsi, je me suis levé de ma chaise pour m’approcher d’elle.J’ai senti l’érection intense que j’avais dans mon pantalon de la voir ainsi. Jamais de ma vie, je n’avais rêvé de la voir jouir, mais à ce moment, je remerciai Manuel de l’avoir ainsi poussée.Maman bougeait son bassin contre le Sybian dans un mouvement terriblement érotique.Sa main glissait à l’intérieur de sa blouse, de son épaule vers le haut de son sein.Je savais qu’elle avait terriblement envie de se caresser en le malaxant, mais bien que son bassin bougeait sans retenue, elle résistait encore à se laisser aller complètement devant nous.Puis au bout d’un moment, elle n’a pu résister à l’intense orgasme que lui donna le Sybian.
Ouvrant les yeux, elle fixa la caméra bouche ouverte en haletant, pendant que des sons qu’elle tentait de réprimer sortaient de sa bouche.Proche d’elle, je regardais maman jouir.Manuel me pointa du regard le devant du jeans qui était clairement trempé.Terminant son orgasme avant le délai, elle se pencha rapidement vers l’avant en se cachant le visage de nouveau, attendant docilement que le supplice s’arrête, bien que ses doigts tendus vers Manuel montraient que c’était suffisant.
« Vous voulez que j’arrête ? » La nargua-t-il.
Elle fit signe que non, supportant le tout jusqu’au bout.Manuel ferma le tout au bout d’une interminable attente.Maman resta penchée un instant en reprenant sa convenance, prenant conscience de ce qui venait de se produire.Elle débarqua d’un coup, se penchant pour ramasser ses souliers.Le fond et le derrière de ses jeans était vraiment trempé.Voulant quitter rapidement, elle se tourna en me regardant d’un air décidé.
« Tu détruis ça ! Accompagnant sa requête d’un regard qui ne laisse pas place à discussion, puis elle partit.– Sens ça, Man’ ! Dit Manuel, en glissant ses doigts sur la selle et en les collant contre mes narines... Incroyable, non ? »
Je ne pus répondre, bien que l’odeur me plaise et m’excite terriblement.Penché vers la selle, Manuel le nez collé sur celle-ci, humait au maximum le parfum du plaisir de maman.
Yug99
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