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La fraternité du Sybian

Chapitre 6

Inceste
La fraternité du Sybian
Chapitre 6

Un mois passe, depuis la soirée avec Mélissa.Maman, à ma grande surprise, n’est pas revenue à l’assaut, me laissant vraiment la chance de prendre l’initiative.Son attitude à mon égard a vraiment changé. Elle est beaucoup plus attentionnée envers moi, amourachée même.Ce qui est loin de me déplaire, j’en ai parlé à Manuel ce matin même, en tchattant avec lui sur internet.En fait, je lui ai tout raconté ! Il en est presque tombé par terre, j’ai eu peine à me débarrasser de lui, tellement il était harassant de questions.
Cette semaine, sont les derniers jours de cours pour moi avant mes vacances d’étéMes travaux déjà remis, ce n’est qu’une formalité de me présenter en classe.M’étant levé avec une trique d’enfer, je descends torse nu, vêtu uniquement de mon boxer, à la cuisine pour déjeuner.Maman, dans la cuisine, prépare les lunchs comme à chaque matin.Un point diffère cependant, sous sa grande robe de chambre bien nouée, je vois bien qu’elle porte déjà des bas de nylon et ses escarpins délicats noirs, ce qui n’est pas coutume.
Voyant bien que j’ai remarqué son accoutrement, elle me fait un joli sourire en regardant l’immense tente dans mon boxer.Je ne peux m’empêcher de remarquer le maquillage délicat et subtil qu’elle porte, accentuant la beauté de son visage et surtout de ses yeux.À 42 ans, maman est vraiment une très belle femme :
« Si j’étais toi, dit elle, je m’assoirais sur le champs, ton père va entrer ! »
N’ayant que le temps de tirer la chaise et m’asseoir, papa surgit dans la cuisine en saisissant la boîte à lunch que lui tend maman, l’embrasse, me salue et part.Le temps d’entendre la voiture s’en aller, ma mère s’avance vers moi en dénouant la ceinture de sa robe de chambre, puis d’un coup, l’ouvre et la retire.
Je suis foudroyé en voyant maman !Déjà prête à quitter pour le boulot, elle est super…, bandante !Je n’en reviens pas !
Habillée d’une petite jupe kilt à plis, à mi-cuisse, de bas de nylon noirs avec ses jolis escarpins et portant une blouse courte dont le tissu blanc, presqu’indécemment translucide, laisse bien voir son soutien-gorge minimaliste.
« Wow ! Tu vas aller au boulot habillée comme ça ? Lui demandé-je, ne l’ayant jamais vue aussi provocante.– Une chance que tu t’es assis ! Il n’aurait pas pu ne pas voir, Nicolas !– Ouais ! Je me suis levé avec ça !– Je pensais que c’était moi qui t’avais fait ça ! Dit-elle, feignant être déçue.– Ne t’en fais pas, maman ! Elle est comme ça à cause de toi présentement ! » Me levant de la chaise, en m’approchant d’elle.
C’est la première fois, que j’ai conscience qu’elle s’habille en se cachant du regard de papa.
« Il n’aurait pas pu ne pas remarquer ton…, look juvénile provocant ! » Dis-je en me levant pour faire le tour, en détaillant son corps.
Maman reprend ses activités, mais visiblement, son attention est portée vers mon pénis en érection.Je la regarde marcher ainsi vêtue et je suis sidéré par la beauté de ses jambes et de son cul.
« Tu veux du lait pour tes céréales ? » Me demande-t-elle.
Dans l’instant actuel, ce n’est pas des céréales que j’ai envie de manger, et ça, elle le sait bien, me regardant la dévorer des yeux.Se penchant bas, jambes pliées pour prendre le lait dans la porte du frigo, maman tourne la tête un instant en regardant mon boxer, échappant le litre de lait une fraction de seconde dans la porte, en le relevant aussitôt.Près d’elle, je lui tends la lingette humide en avançant d’un pas, pour qu’elle ramasse le dégât, me collant à la porte, feignant fouiller la tablette au-dessus de sa tête.Maman essuie l’intérieur de la porte, mon pénis directement devant son visage.Semblant troublée, elle frotte nonchalamment le plastique, regardant en fixant mon pénis qui tente désespérément de percer mon boxer.De la voir, à genoux, maquillée, habillée comme ça à mes pieds, me fixer sans relâche, m’excite trop !Mon pénis se met à pulser d’excitation.
« C’est moi qui te met dans cet état Nicolas ? Dit-elle, en parlant nerveusement.– Habillée comme ça, maman ! Tu devrais rester ici avec moi ? »
Maman ferme les yeux en prenant une grande inspiration, puis se relève :
« Faut vraiment que j’aille au travail, Nicolas ? Sur presque un ton de désespoir.– Tu vas vraiment faire capoter les hommes jeunes et les moins jeunes qui travaillent pour toi ! »– C’était ça, le but ! Avoua-t-elle, en souriant de mon commentaire.– T’as l’air d’une écolière, arrangée comme ça ! Surtout avec tes longs cheveux libres sur tes épaules !– Je pensais me faire une queue de cheval ! Dit-elle en les saisissant de ses mains et en les tirant derrière sa tête... Comme ça ! Qu’est-ce que tu en pense ?– Je pense que libres, c’est mieux ! »
Elle les laisse retomber sans les placer, ses cheveux se retrouvant un peu pêle-mêle.Je mets mes mains sur sa tête en mélangeant vraiment ses cheveux.
« Comme ça, t’es super bandante !– J’ai remarqué ! Dit-elle, en faisant allusion à ma queue tendue devant elle.– Tu aimerais que je les laisse tout déplacés comme ça pour aller au travail ?– Oui, j’ai envie que tu restes comme ça, mais ici, avec moi !– Je ne peux vraiment pas, Nicolas ! Je dois bosser !– Ton patron va te virer, arrangée comme ça !– Pas de danger ! C’est un pervers ! S’il en avait le droit, il me ferait travailler nue !.. Je pensais même lui demander une augmentation aujourd’hui ! Dit-elle, se référant à son habillement.– Tu vas vraiment m’abandonner avec ça ? » Dis-je, en regardant mon boxer.
Maman me regarda un instant, cogitant dans sa tête.Je vois bien qu’elle soupèse un tas de truc à l’intérieur d’elle.Soudain, elle se mord la lèvre, me tend sa main et me dit à voix basse :
« Viens, suis moi ! »
Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais nous nous dirigeons vers ma chambre et maintenant, c’est moi qui commence à cogiter rare !Tout juste avant d’entrer, elle se tourne vers moi en approchant son corps du mien, puis met ses mains à moitié sur mes joues et sur mon cou, en me caressant doucement sous les oreilles.Elle approche son visage contre le mien, me donnant un petit baiser dans le creux du nez, et me dit d’une voix douce et complice :
« Il ne faudra jamais que ton père sache ça ! » Dit-elle en déposant un petit baiser sur ma bouche.
Entrant dans ma chambre, elle se dirige vers mon lit et en retire toutes les couvertures.
« Tu pourrais ouvrir les rideaux ? » Dit-elle, en me faisant comprendre que l’on se verrait mieux, m’exécutant immédiatement, alors que je réalise que je tremble de tout mon corps.
La fenêtre, tout près de mon lit, éclaire bien la scène, malgré la grisaille à l’extérieur.Maman, assise élégamment sur le rebord du lit semble réfléchir à la situation.Elle a sûrement fantasmé souvent sur ce moment, mais jamais envisagé que nous soyons, elle et moi, rendus là.Nerveuse, elle prend doucement place dans le lit, à plat ventre, en prenant bien soin de placer sa jupe qui ne couvre que la moitié de ses cuisses.Je me ravis, de la voir ainsi couchée, sa tête tournée vers la fenêtre du côté opposé.Toujours vêtue de ses délicats souliers, je scrute ses chevilles fines, détaillées par ses bas de nylon noir et l’éclairage gris de l’extérieur.La position de ses pieds, pointés vers le pied du lit, font ressortir le magnifique galbe de ses mollets bien formés, mon regard continuant son exploration en remontant vers ses cuisses, puis vers ses fesses que je devine sous sa jupe.La tête appuyée sur mon oreiller, ma mère a les deux bras bien relevés au-dessus en s’y agrippant.
« Tu es vraiment très belle maman ! »
Elle bouge alors comme pour incruster son corps dans le matelas, calant bien l’oreiller sous sa tête, puis elle me dit sans même me regarder :
« Apprivoise-moi ! »
Merde ! Ses paroles, ont l’effet d’une bombe de libido dans mon corps.Immobile devant moi, je ne suis pas certain de bien saisir le sens et la portée de ses dires.Je m’assois doucement près de ses pieds, et avec beaucoup d’hésitation, je dépose le bout de mes doigts sur ses chevilles en glissant mes doigts sur le tissu doux, alors que je me délecte de ses formes délicates.Du bout des doigts, j’en dessine les contours puis les serre fermement de ma main.Maman laisse échapper un petit gémissement de contentement, qui me fait comprendre que je suis sur la bonne voie.Réalisant maintenant qu’elle va me laisser explorer son corps, je me mets à trembler encore plus et je sens mes mains devenir froides et moites.De sa cheville, je remonte lentement sur son mollet de ma main grande ouverte, en savourant de la paume, la douce sensation de ses bas, des ses formes enivrantes et de la chaleur de son mollet.
J’ai toujours fantasmé sur ses chevilles et ses mollets, je ne sais pas pourquoi, mais elles m’ont toujours fait un effet trouble.Je la caresse doucement en redescendant sur sa cheville, remontant jusqu’au sous son genou.Sans même quitter sa jambe du regard, je lui dis :
– Je capote sur toi, maman, comme je ne l’ai jamais fait pour une autre fille ! »
Maman laisse échapper un autre gémissement.
« Mmm ! Tu aimes ça ? Me demande-t-elle.– Oh oui ! T’avoir comme ça devant moi ! J’aimerais tellement te filmer ! »
Elle soupire en m’entendant dire ça.Je sais bien qu’elle est nerveuse aussi.
« Ça te plairait vraiment ? Dit-elle, en brisant le silence qui nous entoure.– Ouais ! T’as des jambes à rendre fou ! Lui dis-je, sur un ton passionné, glissant ma main en montant sur le dos de sa cuisse pour la première fois, arrêtant ma montée à la lisière de sa jupe, retournant vers son genou.– Si ça te tente ! » Dit-elle en me surprenant.
Ne faisant ni un ni deux, je tourne la caméra sur son trépied en cadrant le lit et la démarre.Rapidement, je regagne ma place, assis près d’elle sur le rebord du lit.Je pose de nouveau la main sur sa cheville, refaisant le chemin complet pour la caméra.Décidant alors d’y aller, je monte de nouveau ma main, mais cette fois, serrant sa cuisse, je repousse sa jupe en me rendant jusqu’à l’intérieur de son entrecuisse.La tension devient alors très élevée et très palpable entre maman et moi.
« Ça fait drôle de se sentir filmée !– C’est excitant, non ?– Je ne sais pas ! Finit-elle par dire.– Ça me trouble !– Tu vas voir, on le regardera, toi et moi, ensemble !– Mmm ! Laisse échapper maman à cette image.– T’as vraiment un beau…, cul ! Lui dis-je, en la complimentant, remontant complètement sa jupe sur sa taille.– J’aime ça quand tu me parles comme ça ! Dit maman, semblant aimer mes commentaires.– J’ai toujours rêvé de t’avoir disponible en te laissant faire ! Empoignant fermement ses fesses de ma main, au travers de ses collants de nylon... Tu vas voir, c’est très excitant de se regarder sur vidéo ! Glissant ma main entre ses cuisses.– Mmm ! Gémit-elle, en sentant ma main s’introduire... Ça commence déjà à me plaire ! Me dit-elle, à voix basse.– D’être filmée ? » Voulant être certain qu’elle ne l’oublie pas.
Ma main glisse maintenant sans relâche, du haut de sa cuisse vers l’intérieur de son entrejambe.
« Oui ! D’être filmée…, en me laissant faire par toi, comme tu dis ! » Dit maman nerveusement.
Je sens bien qu’elle commence à s’échauffer, sa tête commençant à participer et son corps, répondant à mes douces caresses.Sentant la chaleur monter entre nous, et envahir ma chambre silencieuse, je m’approche un peu plus d’elle, en penchant ma tête vers la sienne, me retrouvant à moitié étendu.Je glisse alors le bout de mes doigts, sur le derrière de son autre cuisse jusqu’à atteindre le derrière de son genou.
« Mmm ! J’aime ça quand tu fais ça ! »
Maman apprécie vraiment la délicate caresse.Voyant le succès que j’obtiens, je refais le même trajet en remontant sur sa fesse.Maman est prise d’un intense frisson.La vision que j’ai alors est quasi orgasmique.Couché sur le ventre les bras bien remontés au-dessus de sa tête, maman entrouvre alors sa jambe, en remontant son genou vers le haut, jusqu’à ce qu’il forme un angle droit.Je la regarde s’exposer en s’ouvrant sous ma caresse insistante derrière sa cuisse.
« Tu sais que t’es vraiment bandante ! Lui dis-je, en toute honnêteté, continuant à glisser ma main.– En tout cas, on ne pourra plus plaider l’innocence à la caméra ! Dit maman, en se référant à ce que nous faisons, elle et moi.– Non ! Que je lui réponds, en glissant ma main sous sa cuisse repliée, en m’approchant de son sexe... Une mère laisse son fils la caresser ! Qu’on mettrait sur les sites de vidéos ! Dis-je, pour pimenter l’instant.– Mmmmm ! Dit-elle, en bougeant un peu son bassin, en réponse à ma main glissant dans l’aine tout près... T’as des copains qui en rêveraient ? »
Je me penche alors plus près de ses cheveux pour lui parler :
« Ça commence à t’exciter d’être filmée ? »
Elle ne répond pas, mais secoue sa tête positivement sans hésitation.
« Pense que je pourrais le montrer à Manuel ! » Je lui propose pour la première fois depuis que maman est dans mon lit.
Elle relève ses épaules et tourne la tête pour me regarder avec surprise.Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, que je plaque à pleine main son sexe en l’empoignant fermement.Me regardant toujours, son bassin répond à ma caresse en basculant dans ma main dans un mouvement giratoire.Je profite de sa position relevée pour glisser mon bras entre son épaule et son cou, déposant ma main sur son sein, toujours protégé de sa blouse.Ma main glissant toujours sur son sexe, je me mets à palper son sein de l’autre, en approchant ma bouche de son oreille.
« Ça t’excite de savoir que Manuel te regardera ? Lui dis-je, à voix basse, pour que la caméra ne capte rien.– Tu vas lui montrer ?– Oui C’est sur ! » Pendant que je la frotte entre les cuisses.
Hésitante, tentant de réfléchir avec le quelque peu de réserve qui lui reste dans la situation.Soudain, je sens maman craquer un peu.
« Ahhh ! C’est bon…, ta main… ! Gémit-elle, d’un coup.– Laquelle ?– Ahhh ! Les deux… » Parle-t-elle, doucement, en gémissant encore et en tremblotant d’excitation.
Mon pénis pousse fortement sur mon boxer, et je dois me concentrer pour me calmer et ne pas éjaculer en la voyant dans cet état.
« Attends ! » Dit-elle, en me repoussant légèrement.
Elle détache nerveusement sa blouse sans la retirer, puis détache l’agrafe de son soutien-gorge sur le devant.J’ai peine à croire lorsqu’apparaissent ses seins à mes yeux, mais surtout lorsqu’elle me prend la main pour l’appuyer contre elle.Je sens alors l’intense chaleur de sa peau nue, la mollesse et la douceur de sa chair dans la paume de ma main.Je l’entends alors gémir de plaisir en sentant ma main caresser son sein, sa main sur la mienne.
« Ahhhhhhhh ! Oui…, c’est bon ! »
La sentant perdre contrôle et trouver du plaisir à se laisser aller, je lui dis :
« Ça faisait longtemps que tu rêvais que je te caresse les seins ? » Lui demandé-je, pour l’étriver.– Oui…, longtemps… !– Souvent ?– Oui…, très souvent… ! » Répond-elle, en s’excitant.
Délaissant son entrejambe, je remonte ma main en saisissant le haut de sa blouse.
« Tiens ! Montre bien tes seins à Manuel ! Tirant sa blouse vers l’arrière, dévoilant sans pudeur ses seins à la caméra, sa blouse à moitié descendue dans son dos, libérant tout le haut de son corps... T’es vraiment belle ! Lui dis-je, en déposant des petits baisers sur ses épaules et à la base de son cou.– Tu vas…, me rendre folle…, Nicolas ! » Faisant allusion à Manuel et à mes baisers.
Je palpe toujours son sein pendant que mon autre main retourne sur son sexe.Maman ne se cache plus et ne se retient plus, bougeant grandement son bassin contre ma main.
« T’as déjà rêvé qu’on te prenait lui et moi en même temps, hein ? » Lui parlant à voix basse à l’oreille.
Maman hésite et tarde à répondre.Je pousse alors mon majeur fortement contre son collant et sa petite culotte en faisant de petits ronds concentrés sur ce que j’imagine être la région sensible de sa vulve.Elle tire alors la tête vers l’arrière, m’avouant de son corps que je touche à ma cible.
« Ohhhh ouiii… ! Ohhhh oui…, toi et…Manuel… ! »
Cette fois, je sais bien que la caméra a capté ce qu’elle a dit à voix haute.J’augmente la cadence sur son sein et entre ses cuisses, sentant qu’elle se perd sous mes caresses.
« Toi et…, Manuel…, tous les deux avec moi…, aaahhhh…. ! Maman dérape solide, en parlant à voix haute, sans réserve.– Ça t’excite rare ? »
Elle tire alors sur le rebord de son collant et de sa petite culotte en tentant de la descendre, presque frénétiquement, pendant que je l’aide rapidement à les descendre sous ses genoux.La mâchoire me tombe en la voyant remonter son genoux en s’offrant à moi et à la caméra.Portant toujours ses escarpins noirs aux pieds, son collant descendu et sa petite culotte blanche sur le haut de son mollet, le mollet de son autre jambe bien remonté, est complètement dénudé jusqu’à sa cheville.Je profite de ce moment d’exhibition volontaire en tirant sa blouse hors de ses bras, maman se laissant faire en tirant son bras pour m’aider.L’image est hautement érotique.Presque nue devant moi, les cuisses grandement ouvertes par son genou remonté, maman semble prendre un plaisir fou à s’exhiber indécemment.
« Je savais que ça te plairait, la caméra ! Lui dis-je, n’attendant pas de réponse... Et que Manuel te voie te laisser aller avec moi ! »
Je prends tout mon temps en descendant ma main sur ses fesses nues que je caresse en savourant l’instant et chaque centimètre de son cul.Je glisse le bout de mes doigts en titillant la zone autour de sa vulve, sans la toucher, faisant monter la chaleur et le désir en elle.
« Ahhhhhh… » Gémit-elle longuement en remuant ses fesses sous mes doigts.Maman relève de nouveau ses épaules en se tournant la tête vers moi :– J’ai envie que tu me pénètres, Nicolas ! Me dit-elle, avec désir.– Avec mes doigts ? Pas certain d’avoir bien saisi.– Avec…, ce que tu veux ! J’ai envie…, de toi ! »
L’aveu est trop fort !À ces mots, j’éjacule instantanément dans mon boxer, sans même me toucher, incapable de résister à ce que dit maman.Me retenant de crier, je glisse ma main entre ses fesses en dirigeant deux doigts sur l’entrée de son vagin qui m’accueille sans aucune résistance, abondamment lubrifié par son état avancé d’excitation.Tellement excitée, maman ne tient pas compte de mon état et ne recule d’aucune façon.Sentant mes doigts la pénétrer profondément, elle se met à gémir sans relâche, sonnant aigu, comme une truie que l’on va égorger.Je fais entrer et sortir mes doigts vigoureusement en elle, pendant que son cul valse comme une danseuse.
« T’es vraiment une maman chaude ! Lui dis-je, en se laissant pistonner de la sorte.– Maman est…, chaude, Nicolas ! Chaude… ! Répète-t-elle, en s’excitant... J’aime ça…, ta main sur…, mon sein…, ta main…, entre mes cuisses… !– T’aime ça que je te masturbe ? Dis-je, en employant ce terme grivois à voix haute.– Oui…, oui…. ! Masturbe-moi…, masturbe maman…, oui… » Répète-t-elle, en employant mes mots.
Je sens son corps se tendre et, arrivée au paroxysme, sachant bien qu’elle répéterait tout ce que je lui dirais de provocant.Ne prenant même pas le soin de parler à voix basse, je lui dis sur un ton provocant :
« Tu t’imagines, avec Manuel et moi en même temps ?– Ouiii…, oui…, tous les deux… ! AAAaaaaahhhh ! »
L’image et les paroles trop fortes, maman gicle une grande quantité de liquide entre mes doigts qui entrent et sortent d’elle.
« Hannnnn…, hannnnnn…, hannnnn ! » Gémit-elle, sans relâche, une tempête de plaisir traversant son corps tout entier alors qu’elle gicle de nouveau une autre grande quantité d’éjaculat.
Je continue ma pénétration effrénée pendant que je sens son corps se tendre et qu’on entend très bien le clapotis de mes doigts et de ma main glissant aisément en elle.
« Hannnnn…, hannnnnn…, hannnnn ! » Haletant de façon terriblement érotique.
Maman s’agrippe à ma main sur son sein, sa gorge laissant échapper un grand cri, presque plaintif.Je sens alors sur mes doigts une grande quantité de liquide s’échapper d’elle en vagues successives.J’ai la main vraiment trempée et je peux facilement enfoncer trois doigts en elle, pendant qu’elle se tortille le cul.Peu à peu, elle se relâche et se calme en laissant reposer tout son corps sur mon lit, enlacée par mon bras.Me tournant en étirant le bras, je réussis à atteindre ma douillette de lit que je secoue en l’étendant sur nous.Maman tire son bras pour retirer ses souliers, son collant à ses chevilles et sa petite culotte.J’en profite pour me débarrasser de mon boxer et me colle nu, en demi-cuillère, dans son dos.Complètement nus, tous les deux, nous nous endormons sous la chaude couverture, dans l’ambiance douce et feutrée du matin.
Je me réveille d’un sommeil profond, nous avons bien dû dormir une heure ou deux.Tirant le bras pour relever mon cadran, je suis vraiment surpris qu’elle et moi avons dormi plus de trois heures.Il me vient à l’esprit, que nus comme nous le sommes sous la couverture enveloppante, nous avons, elle et moi, succombé entièrement à Morphée.Toujours enveloppée dans mes bras, maman se réveille peu à peu en reprenant doucement conscience de la réalité.Elle relève un peu le haut de son corps, en regardant l’horloge et réagit aussitôt :
« Merde ! » Dit-elle, voyant l’heure.
Je la serre alors fortement contre moi, entourant son corps de mes bras, l’empêchant de se lever d’un bond, plaquant même mes mains sur ses seins.Obligée de retomber dans sa position, dos contre moi, maman me dit :
« Il est très tard, je dois y aller ! Laisse-moi, Nicolas !– Non attends ! Dis-je, en palpant ses seins avec vigueur... T’es déjà en retard, de toute façon ! » Lui dis-je, en plaquant de petits baisers sur ses épaules.
Je sens bien qu’elle tente de se défaire de mon étreinte, mais je l’enlace fortement en malaxant ses seins avec vigueur.
« Calme-toi ! » Lui dis-je, en parlant doucement.
Je sens son corps se relâcher un peu.
« Bon ! Tu vois, ce n’est pas si difficile ?– Je suis vraiment en retard et je n’ai même pas appelé au boulot !– Et la Terre ne va pas arrêter de tourner ! Lui dis-je, pour relativiser... Regarde ! On est bien sous la couverture ! » Déposant maintenant de petits baisers dans sa nuque, en ouvrant et fermant mes mains sur sa poitrine.
Je sens bien la chaleur augmenter de nouveau entre nous.Profitant de ce moment de relâchement, je descends mes baisers sur son bras, puis je force un peu son épaule vers moi pour pouvoir embrasser le côté de son sein.
« Je vais vraiment avoir des problèmes ! Dit maman, pendant que ma bouche fait son chemin en se glissant sur la douce peau de son sein.– J’ai toujours rêvé de les embrasser ! Tentant de changer ses idées.– Ne fais pas ça, Nicolas ! Prenant conscience de ce que je suis en train de faire... Il est tard ! » Tentant de repousser ma tête.
Ayant réussi à tourner un peu plus le haut de son corps, ma bouche se dépose pleinement sur son sein en l’embrassant, donnant de petits baisers sur son aréole et sur son mamelon.
« Il fait vraiment que j’aille travailler, Nicolas ! » Dit maman, en tentant de me repousser.
Je profite de ce mouvement, pour embrasser entre ses seins et descendre sur le haut de son ventre, déposant mes mains sur son bassin en essayant de la tourner un peu plus pendant qu’elle tente de se défaire de mon emprise.Maman n’est pas stupide, elle devine bien ce que je fais et où je veux aller.Je descends sans tarder sur son ventre, sachant bien que mon temps est compté et qu’elle cherche à se lever.Ma bouche arrivant sur le bas de son ventre, maman s’est involontairement tournée, ce qui me facilite la tâche.Déjà, l’odeur intense de son entrejambe et des couvertures toujours trempées sous elle, parvient à mes narines, émoustillant mes sens déjà exacerbés.Maman me signale clairement qu’elle doit partir, mais elle ne se débat pas contre mes avances.
« Nicolas ! Il faut que maman y aille ! »
Je dépose alors quelques baisers sur le haut de son pubis, ses jambes étant fermées ensemble.L’odeur vraiment présente me rend presque dingue, cette région de son corps, exhalant ses effluves en m’enivrant.Je pointe mon nez entre ses cuisses en respirant profondément.Maman s’en rend compte :
« Le parfum que tu aimes tant ?– Oui ! »
Je promène mon nez en furetant, sur ses cuisses, dans l’aine et sur son pubis sans arrêt.
« Personne ne m’a jamais fait ça ! M’avoue maman.– Jamais personne ?– Non jamais, Nicolas !– Attends ! T’es en train de me dire que personne ne t’a jamais… » Elle n’attend pas la fin de ma question... Non, jamais personne n’as posé sa bouche sur…, le bas de mon ventre ! Sauf toi, l’autre jour, sur ma petite culotte ! »
Surpris d’apprendre ça, je lui dis :
« Regarde, on commence par des petits baisers tout autour, comme ça ! » M’appliquant à lui embrasser toutes la zone disponible.– Faut vraiment que je me lève Nicolas ! »
Ne tenant pas compte de son commentaire, je rajoute :
– Tiens ! Ça aussi, avec les lèvres ! Glissant mes lèvres ouvertes sur son pubis.– Non ! Ne fais pas ça !– On peut même rajouter comme ça ! » Glissant de nouveau mes lèvres ouvertes en sortant la langue.
Un frisson intense traverse son corps, maman, incapable de le dissimuler, relevant le haut de son corps et en tenant son équilibre de ses bras derrière elle.
« Ne fais pas ça ! Mon boulot… »
Je refais encore un autre passage en glissant mes lèvres sur la peau fraichement rasée, sensible et satinée.
« Aaahh ! Nicolas ! »
Je relève mes yeux vers elle, sans quitter ma bouche de son corps, plaquant de petits baisers provocants ici et là.Maman et moi, nous nous regardons pendant un moment.Je brise ce court silence en disant sur un ton presque suppliant :
« Laisse-moi être le premier à te le faire ! »
Bien appuyée contre ses bras derrière elle, maman m’observe en semblant réfléchir.
« Tu as déjà fait ça ?– Ouais, des tas de fois ! Toutes les filles se laissent faire ça de nos jours ! J’suis même surpris que…– Que personne me l’ait fait ?– Oui !– Ton père a jamais été, disons…– Ça, je l’avais compris ! » Lui coupant la parole pour ne pas entendre les détails de la vie sexuelle de papa.– Et… Commence-t-elle, en hésitant.– Et quoi ? Insistant.– C’est gênant pour moi de te parler de ça ! » Dit-elle sur un ton timide.
Pour l’aider, je garde le silence en fixant son regard, lui montrant bien que je suis à l’écoute.Maman tend alors une main vers ma tête et commence à me la passer dans les cheveux en me faisant un petit sourire gêné.
« Bien…, t’as remarqué que je suis…, une vraie fontaine ? Commençant à dévoiler la source de sa gêne, ses doigts jouant derrière ma tête... J’ai appris toute ma vie à vivre avec ça et, surtout…, à m’accepter comme ça !.. C’est un peu plus difficile d’imaginer que quelqu’un m’accepte comme je suis !– Moi, je suis dingue de toi maman et encore plus comme une tigresse fontaine, tu le sais ! »
Maman me fait un beau sourire en me regardant :
« J’ai bien vu ça l’autre jour, t’étais en train de devenir fou ! »
Je continue à lui donner de petits baisers tout en parlant avec elle.
« Non seulement je t’accepte comme tu es, mais juste l’idée que tu sois comme ça me trouble ! »
Pour lui montrer que je l’accepte entièrement, je glisse mes narines sur tous les recoins que j’ai accès, en humant son corps.
« Je l’ai jamais fait pour une raison aussi... »
La voyant hésiter, je garde le silence.Puis dans un geste d’une grande confiance, elle finit par dire :
« La vérité, c’est que…, plus je suis excitée et plus je suis fontaine !.. Et je suis bien consciente, Nicolas, que…, de un, me faire…, embrasser…, le sexe, me fera atteindre un niveau…extrême ! »
Maman, visiblement gênée de parler de ça avec moi, pèse ses mots tout en étant d’une honnêteté déconcertante.Je sens dans son aveu, toute la confiance qu’elle m’accorde, en partageant de si intimes informations sur son jardin secret.Voulant savoir le reste, je rajoute :
– Et de deux ?– De deux, de me le faire faire…, par toi…, mon propre fils, m’exc…, m’excite énormément ! Finit-elle par cracher le morceau.– T’es en train de me dire que je devrais être prêt à…– À recevoir le déluge ! Dit-elle, en partant à rire nerveusement.– Si tu me faisais ça, maman, j’en serais honoré ! » Lui dis-je pour la convaincre et la rassurer.
Maman, visiblement touchée de mon commentaire, ne dit rien, ses doigts caressant mes cheveux derrière ma nuque.
« Laisse-moi être ton premier, maman ! »
Elle reste immobile un long moment, me regardant. Puis, je sens ses jambes bouger légèrement sous mon corps, me relevant un peu pour la laisser bouger.Me fixant de son regard, elle entrouvre très lentement ses genoux, en les passant sous mon corps, puis elle ramène ses pieds en les glissant vers ses fesses et, comme une fleur qui s’ouvre en étalant ses pétales, laisse retomber ses genoux lentement de chaque coté, m’offrant ses cuisses toutes grandes ouvertes, sa vulve bien en vue comme les pistils d’une fleur d’amour.
Bien installé entre ses cuisses, mon visage assez près de sa vulve, maman délaissa ma nuque de sa main, voyant que je regarde son entrejambe bien en vue, ramène sa main près de ma bouche et caresse doucement mes lèvres de son index, les explorant délicatement du revers de son doigt.
Le haut de son corps, à moitié relevée, appuyée sur son autre bras, elle quitte mes lèvres et touche son sexe en glissant ses doigts entre ses grandes lèvres, pendant que je reste immobile à la regarder faire.Ses jolis doigts descendent vers l’entrée de son vagin que je vois très bien de ma position, et plongent à moitié, en ressortant lentement.Maman me montre, de ses doigts, la grande quantité de lubrifiant visqueux qui s’en écoule.Trempant le bout à l’entrée de nouveau, elle en récolte sur ses doigts, en les étirant devant moi. De long fils translucides restent attachés entre ses doigts, en s’étirant.Un silence intime et complice s’installe entre nous deux, je sens que maman m’apprivoise.Seuls, tous les deux dans ma chambre, dans mon lit, elle semble vouloir prendre son temps, que j’apprenne à connaître son corps, que nous nous apprivoisions l’un et l’autre.
Elle porte de nouveau ses doigts nappés à ma bouche, en glissant doucement la glaire filandreuse entre mes lèvres, me faisant découvrir la texture soyeuse et douce de ses sécrétions.Comme dans un mauvais rêve, la sonnerie de son cellulaire posé sur la table de chevet retentit.Cette fois, maman ne sursaute pas !Elle le saisit brièvement en faisant taire la sonnerie envahissante, puis le repose doucement sur la table.
« Il ne nous dérangeras plus !– C’était ton patron ?– Oui ! » Dit-elle, en posant son index sur mes lèvres pour que j’arrête de parler.
Reprenant là où elle avait laissé, elle retourne ses doigts sur le rebord de ses grandes lèvres, en les glissant tout juste sur le rebord gorgé et sensible de sa muqueuse.Elle me fixe toujours, observant mon regard, alterné entre ses cuisses et ses yeux.Maman, dans un mouvement délicat, glisse deux doigts vers le bas, en écartant bien ouvert ses petites lèvres, pénétrant jusqu’à la moitié de ses doigts qu’elle ressort en crochetant une bonne quantité de ses fluides visqueux qu’elle dépose de nouveau sur mes lèvres en les caressant, en prenant soin d’en étendre sous mon nez et sur mes narines.
« Tu vois ? »
Je relève les yeux pour la regarder.
« Quand je suis très excitée, maman sécrète abondamment de ce lubrifiant ! » Me dit-elle, pendant que ses doigts font des allées et venues constantes entre l’entrée de son vagin et mon visage.
Elle semble faire exprès de créer des filaments entre son corps et mon visage.
« Et plus je deviens excitée…, et plus c’est abondant ! »
Joignant les actes à ses paroles, en glissant ses doigts sur l’entrée maintenant brillante de sécrétions de son vagin, menant ses doigts lustrés sur mes lèvres en forçant doucement pour s’introduire dans ma bouche.
« Ça te plaît toujours autant ?– Oui… ! Lui dis-je vraiment excité– Moi, ça me rend folle d’avoir ton visage entre mes cuisses, là, tout près ! Mon visage à moins de dix centimètre de son sexe... C’est mieux que ma petite culotte non ? Tournant ses doigts lentement sans arrêt entre le bas de l’entrée de son vagin et ma bouche.– Moi aussi, tu vas me rendre fou, maman !– Je sais que t’en as envie, mais c’est bon non, nous devons prendre notre temps !– Oui, t’as… raison ! Lui dis-je en la regardant.– Viens, approche doucement ! » Dit-elle, en me souriant et en tirant doucement sur ma joue.
Elle glisse ses doigts, délicatement, sur ses petites lèvres, en écartant l’ouverture de ses doigts formant un "V" :
« Embrasse-les ! Sois doux ! »
Ma bouche franchit les derniers millimètres me séparant de ce trésor jamais découvert par une bouche, mes lèvres se déposent sur les siennes, aimantes, amoureuses tandis que je sens ses doigts toujours présents sur le côté pour bien les ouvrir.
« Aaaaaahhhhh… ! Gémit maman ! C’est…, bon…. !– Embrasse…-moi douce…ment ! »
Maman a peine à parler pendant que j’embrasse son corps, sa tête et ses épaules retombant sur le lit d’un coup pendant que je sentais son dos se cambrer de plaisir.Un flash parvient à ma tête, je tourne la tête en regardant la caméra, réalisant qu’elle tourne toujours, bien branchée dans la prise murale.Maman, les deux mains libres maintenant, caresse mes joues en s’approchant au maximum de ma bouche avec ses doigts.J’aime bien les sentir près de moi, me démontrant qu’elle participe activement à son plaisir.Sentant monter en moi l’excitation rapidement, je me mets à l’embrasser comme un fou.Poussant délicatement sur mon visage, maman me force à décoller ma bouche de son sexe.Relevant le haut de son corps de nouveau pour me regarder, elle me dit gentiment :
« Prends ton temps Nicolas ! J’ai envie que ça dure… longtemps ! On a tout notre temps, tu comprends ?– Désolé maman, je me suis emporté ! »
Maman caresse tendrement ma joue en me disant :
« Tu es mon premier, Nicolas ! Fais que ce soit mémorable pour moi !– Je te le promets, maman ! »
Elle se laisse retomber sur l’oreiller, se laissant visiblement aller à tout ce que je lui ferai.Reculant ma tête, je regarde son corps, ses jambes et ses cuisses écartées, comme les pages d’un livre bien ouvert, pour moi !Je glisse mes mains sous ses cuisses en les empoignant solidement de mes mains, approchant de nouveau mon visage de sa vulve.Touchant à peine la muqueuse gorgée de ses lèvres des miennes, je glisse en remontant vers le petit repli cachant le rubis du plaisir, m’attardant dessus, en glissant ma lèvre inférieure.Maman apprécie ce doux contact :
« Aaah oui..., donne-moi du…, plaisir… ! » Dit-elle, d’un ton suppliant.
Délaissant cette zone hypersensible, je descends vers l’entrée de son vagin en regardant s’écouler le filet abondant du lubrifiant naturel qu’elle sécrète.Tirant la langue vers ses écoulements, je lape comme un chat en remontant le tout sur son sexe entier.Sur ma langue, ce gel translucide est d’une douceur troublante et d’un goût léger.Répétant ce manège à quelques reprises, j’entends maman me dire :
« Je n’peux pas croire que…, t’es en train de faire ça !– Ça te plaît que ton fils te fasse ça, hein ?– Oui… ! » Dit-elle, sur un ton qui trahit le plaisir qu’elle ressent.
J’aime tellement l’entendre prendre plaisir, laissant échapper gémissements, soupirs, halètements.
« J’passerais ma journée à…, te laisser me lécher comme ça, Nicolas !.. Ça n’te choque pas que…, maman te dise ça ? Me demande-t-elle, entre deux souffles, pour se rassurer.– Non aucunement ! J’aime ça, savoir ce qui t’excite et te fait jouir ! » Dis-je en employant ce terme, sachant que maman n’utilise jamais de mots grivois, en tout cas, pas en ma présence.
Je me mets alors à embrasser l’intérieur de ses superbes cuisses en remontant vers son genou, pour redescendre sur ses fesses en les bécotant.
« T’es cuisses et tes fesses sont douces !– J’aime que tu m’embrasses comme ça ! »
Sortant la langue, je commence à toucher toutes les parties de son sexe, en la glissant délicatement jusqu’à toucher la région de son clitoris, puis pointant la langue avec de la salive, je la glisse sous le petit chapeau en touchant son clitorisUn énorme choc électrique sembla traverser son être, son corps se voûte en prenant appui sur ses épaules, décollant sa taille du matelas en pivotant le bassin vers le bas.Ses genoux se relèvent vers son corps, ses pieds pointés touchant le matelas uniquement du bout des orteils.Elle est superbe comme ça !
« AAAaaahhh… ! Tu vas me rendre folle !– C’est bon… ?– Ah oui…, c’est bon ! Refais-le !– Tu es tellement craquante, excitée comme ça, maman !– Ouiii…, beaucoup…, j’aime tellement être nue devant toi ! Prenant visiblement du plaisir à me parler de ce qu’elle aime... Refais le moi…, lèche-moi ! » Ses propos commencent à être plus directs, me font un effet monstre et je veux garder mon contrôle.– J’ai promis de prendre mon temps, alors, on va prendre notre temps !– C’est vrai..., mais c’est la première fois…, que je sens une langue…, chaude et douce, y toucher ! Dit-elle, avec excitation.– Toucher à quoi ? Faisant exprès.– Toucher à mon clitoris !– J’aime t’entendre le dire, maman !– Ça t’excite…, de m’entendre parler comme ça ? Me demande-t-elle.– Oui beaucoup !– Moi aussi, j’aime ça ! » M’avoue-t-elle.
Notre aveu mutuel m’échauffe de plus en plus et, à voir son bassin valser légèrement, mais sans arrêt, je savais que ça la chauffait aussi.
« Nicolas ?– Quoi ?– Touche-moi avec ta langue douce ! Son bassin bougeant plus intensément à sa demande... Mets ta bouche entre mes cuisses et lèche-moi… »– Je n’aurais jamais pensé que tu me demandes ça aussi directement !– Moi non plus, mais ça m’excite terriblement… !.. Lèche maman…, lèche mon clitoris ! »
Je regarde ses pieds qui pointent et bougent à chaque mouvement de bassin.
« T’es belle quand tu es très excitée ! » Lui dis-je.
Maman saisit ses seins à pleines mains en les caressant.
« Je t’en supplie, mange-moi ! »
Ouf ! Là, maman est vraiment décollée.Je la regarde un instant se palper les seins en touchant ses mamelons, ça me fait drôle de voir ma mère faire ça devant moi.Tirant ma main entre ses cuisses, je dépose l’index et le majeur à l’entrée de son vagin, en les forçant profondément à l’intérieur, tirant un souffle d’extase à maman en faisant ça.
« AAAaaahhhh…, ouiii…… ! »
Bien au fond, je crochète mes doigts vers le haut, en faisant de petits ronds, poussant mes doigts fortement contre son plancher pelvien, directement sous son clitoris.
« AAAaaaaahhhhh…, c’est bon…, oui… ! » Parlant passionnément, le plaisir contaminant avec évidence son corps.
Glissant facilement le bout de mes doigts bien lubrifiés, en pressant contre la partie interne, je sais que cette zone, peu explorée des femmes, lui procure de nouvelles sensations.
« C’est bon ?– Oui…, conti…nue…, aaahhhh… ! »
La plupart des femmes ne connaissent pas le plaisir, la jouissance de stimuler leur clitoris par l’intérieur de leurs corps, moi je l’avais découvert en faisant mes recherches sur l’orgasme féminin et en testant sur mes copines et partenaires.
« Aaahhh… ! Ça fait chaud dans mon ventre… ! Gémit maman, en bougeant son corps... Pénètre-moi…, oui…, oui… ! »
Là, à ce moment, je savais qu’elle s’en souviendrait, que ce serait mémorable.
« Aaaaahhh, Nicolas…, ça me donne presqu’envie…, d’uriner… !– Ouais je sais, ça fait toujours ça ! »
Il y a déjà un moment qu’elle est très excitée, mais elle me surprend, quand-même, en relevant la tête un peu pour pouvoir me regarder en disant :
« Fais-moi l’amour avec ta langue, Nicolas ! »
De la voir me demander ça en me regardant, me fait basculer dans une folie d’excitation.Elle me regarde poser ma bouche sur sa vulve, sortant ma langue pour aller directement toucher doucement son clitoris en décrivant de petits cercles autour.Le doux contact de sa petite bille avec ma langue est foudroyant pour elle.Sa tête et ses épaules se plaquent immédiatement sur le matelas et l’oreiller, qu’elle saisit en s’agrippant fermement de sa main.
Ses genoux, déjà bien haut, se rapprochent, en se collant presque sur ses épaules.Les bouts de mes doigts, tournant toujours, en poussant la zone contre ma bouche, étaient de plus en plus englués, son corps, atteignant le paroxysme du plaisir.Elle lance dans ma chambre un grand cri profond, un feulement viscéral indescriptible, venant de fond de son être, suivi de petits halètements sonores rapides.« AAAAAAAAAAaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh…, hannnn…, han…,han…, han…! »
La vague de jouissance prenant son corps tordu, elle gicle intensément dans ma main et dans ma bouche grande ouverte.Je n’ai pas le choix de déglutir en avalant le liquide qui frappe le fond de ma bouche.Je suis là où j’ai toujours rêvé d’être.Savourant le cadeau qu’elle me fait en me délectant du goût de ses sécrétions, ses odeurs intimes m’enveloppant de leurs baumes.Maman crie une deuxième fois, toujours suivie d’une rafale de petits cris d’orgasmes, pendant que ma langue prend toujours soin de glisser sur son doux bijou du plaisir.
« Hannnn…, hannnn…, hannnn…, hannnnn… ! » Respirant par coups, comme quelqu’un qui a perdu le souffle.
Ouvrant la bouche, en me préparant, car je sens bien les spasmes des sphincters de son vagin sur mes doigts, une seconde giclée, tout aussi abondante, se répand sur ma main, mon poignet et surtout dans ma bouche que je place pour en récolter le maximum en l’avalant du mieux que je peux.Maman, la tête sur le côté, bien blottie au creux de l’oreiller, s’abandonne aux ondées de plaisir que son corps lui donne, de grands spasmes traversent son être d’un bout à l’autre, laissant aller une troisième giclée, moins généreuse, mais tout aussi goûteuse.
Ses cuisses, son ventre, mon cou et le haut de ma poitrine et tout ce qui ce trouve autour, sont nappées des fluides de ses orgasmes.Reprenant difficilement son souffle, son corps se repose sur le matelas, ses genoux retombent peu à peu de part et autre, ses cuisses toujours indécemment entrouvertes, pendant que ma langue tourne, en léchant le repli protégeant le joyau de son plaisir, son bassin bougeant toujours.Maman se laisse faire, mes coups de langue se déplacent sur sa vulve, en récoltant un véritable buffet de ses sécrétions, alors que mes doigts, toujours en elle, bougent plus délicatement.
« Mémorable ? »
Maman dépose ses mains sur ma tête en caressant mes cheveux, incapable de répondre, le souffle toujours court.Soupirant, elle finit par dire :
« Je n’ai jamais joui autant !– En tout cas, t’avais l’air complètement déraillée ! »
Maman frotte son visage intensément du revers de sa main en tentant toujours de revenir :
« Je vais devenir accro ? »
Bougeant mes doigts en elle, en les tournant doucement, je lui dis :
« On peut recommencer, si tu veux ! »
Sans me regarder, maman sourit, saisissant le cadran pour voir l’heure, puis le dépose :
« Ton père n’arrive que dans quelques heures ! »
Yug99
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