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Fratrie "de Wintzt"

Chapitre 2

Je suis à Lui

Gay
Depuis des années j’avais attendu ce moment...
Lentement, impatiemment, comptant les jours qui me séparaient de mes 18 ans, de ma majorité, pour pouvoir enfin être à mon frère. Autrement que son frère...
Souvent des gestes avaient été déplacés, sans grande gravité, juste pour nous découvrir et je pense, que sans qu’on se le dise, nous devions attendre, attendre le moment où le sésame de mes 18 ans, pouvait nous permettre de nous aimer, même si c’était d’un amour incestueux, nous n’y pensions même pas, tellement notre Passion était forte...
Paul était vierge. Vierge à 23 ans. Vierge de tout contact avec qui que ce soit, à part mes caresses et mes baisers fraternels. Impensable. Et c’est à ce moment que j’ai réalisé la plénitude de notre Amour. C’était très simple en fait. J’étais à lui et Il était à moi. Pour la vie...
Bien sûr, j’étais vierge moi aussi, sauf le plaisir onirique que je me donnais avec Son image dans mes yeux, et Son odeur emplissant mes narines. Il était inconcevable pour moi, que quiconque autre que mon Paul Vénéré puisse me toucher...
J’étais enfin dans ses bras, libre de l’aimer au sens physique du terme, d’être à lui, de lui appartenir, de me donner à fond et de connaître une fusion totale, à chaque instant de notre vie...
J’ai dû en payer le prix. Matthieu et mon père n’ont pas laissé passer ça sans abuser de moi, mais seuls Paul et moi comptaient... (Je vous raconterai ça après...)
Après cette jouissance que j’ai pu savourer. Le nectar de mon homme me revigorait. Il était bon, suave, parfumé, abondant, avec ce parfum d’épices émanant de son corps de brun...
Il m’a posé sur son lit, nu et a couvert mon corps de baisers. Mes doigts parcouraient ses poils, je m’enivrais de sa senteur de mâle en rut, Papa n’avait pas oublié les phéromones non plus. Instinctivement, comme une mariée pucelle s’offre à son mari, j’ai écarté les cuisses et Paul s’est précipité pour embrasser, lécher, préparer mon orifice à cet accouplement magique que nous désirions depuis si longtemps...
En quelques secondes, j’étais ouvert, ouverte ? Pour prendre enfin ce merveilleux membre qui allait nous unir, et de faire de nous. Qu’un seul être... !!
Paul s’est enfoncé en moi d’un coup. Son désir était trop violent après toutes ces années d’attente. J’ai hurlé à la fois de douleur et de plaisir. Paul n’en avait cure et martelait de son énorme membre puissant qui avait tellement de désir...
Il a éjaculé très vite, mais il restait dur...
Et il m’a pris. Encore et encore. Comme s’il voulait rattraper tout ce temps perdu, comme s’il voulait formater mes orifices à la grosseur de son pieu d’amour...
N’importe qui aurait refusé, pas supporté de perdre sa virginité avec ce gland, encore plus large que le sexe, et qui appuyait fort pour perforer mes lèvres anales. Du béton essayait de se forer en moi. Paul devenait fou, fou de désir, sans contrôle aucun, son instinct bestial de mâle lui dictant qu’il fallait posséder sa femelle, lui imposer sa Loi, lui montrer qu’elle lui appartient.
Une fois son gland passé, j’ai tu mes hurlements dans les poils de son torse et j’ai planté mes ongles dans ses fesses. Il en a longtemps gardé la marque d’ailleurs en en étant très fier. Et son pilonnage a commencé, de plus en plus fort. Tant de désir refoulé depuis tant d’années explosait dans cet accouplement hors normes, où mon gentil frère, Paul le câlin et l’attentionné, se transformait en bête de sexe. Ce qu’il a toujours été depuis et qu’il est toujours.
Ce manque, cette retenue pendant tout ce temps, a révélé un Paul possessif, dominant, toujours avide de sexe, de me posséder encore et encore...
Toujours soumis ou soumise à lui, j’ai toujours eu l’impression que ce n’était jamais assez pour lui. Et ce, jusqu’à aujourd’hui encore...
Son sexe me défonçait. Dans mon cul, ou je pourrais dire, ma chatte, dans ma bouche. Je ne sais pas vous dire combien de fois, cette nuit-là, mon homme, mon frère, mon Paul adoré a pris possession de moi...
Et c’est avec les cernes sous les yeux que nous sommes descendus, le matin, prendre notre petit-déjeuner... Épuisés, nous avions besoin de reprendre des forces, mais nos regards ne cachaient rien...
J’avais mal partout tellement il m’avait besogné, mais son attitude avait changé. Plus mâle, plus dominant, l’homme qui enfin, était devenu un vrai homme, possesseur, sûr de son pouvoir. Son sexe avait enfin joué son rôle...
Les effluves de notre plaisir remplissaient la pièce et sa liqueur coulait de moi...
Enfin j’étais heureux...
Paul... !!!!
(Phantasme ? Réalité. D’après vous... !!!)
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