Cette histoire est la première d’une longue série relative à mes premières expériences « sexuelles ». Je vais d’abord planter le décor. J’avais 18 ans à l’époque. Je passais beaucoup de temps avec Julien, 16 ans ½. Il était plus jeune que moi, mais comme il était enfant unique, il avait toujours chez lui le dernier cri en matière de console de jeu, et autres appareils de divertissement. Nous passions donc pas mal de temps chez lui. Je reviendrai sur lui plus tard. Histoire toutefois de le décrire, il était un poil plus petit que moi, avait les cheveux bruns, et avec le recul, était un beau gosse. Il avait aussi presque deux ans de moins que moi.Bref, j’y reviendrai.Pour cette première histoire, l’actrice principale c’est Frédérique. Petite blonde, elle aussi 16 ans ½. C’est la sœur d’un autre copain, de mon âge, qui lui n’a pas grand-chose à voir dans cette épopée. Frédérique m’a toujours interpellée. La première fois que je l’ai vu, j’ai été surpris par cette petite blonde, cheveux bouclés, un peu fofolle.L’histoire commence donc, un après-midi d’été. Nous sommes donc une équipe du quartier à trainer ensemble dehors. Vous l’avez compris, je suis parmi le plus âgé. À un moment, je ne sais plus qui, quelqu’un s’est mis à commencer un tournoi de bras de fer.Malgré mon âge (18 ans), je ne suis pas physiquement plus impressionnant que les autres gars de l’équipe, donc certains étaient plus jeunes. Au mieux un peu plus grand. Mais je n’ai pas un physique spécialement musclé. Tout juste standard.Bref, les parties de bras de fer s’enchaînent. Et à un moment, c’est à mon tour de faire une partie contre Frédérique. Elle avait un t-shirt avec des manches très courtes, coupées au niveau des épaules. Et au moment, où l’on s’est mis face à face, j’ai remarqué ses bras, que je trouvais athlétiques. Très sexy (c’est la première fois que je remarquais cela), mais laissant deviner de jolis biceps. Malgré le fait qu’elle avait 1 an ½ de moins que moi, la taille de ses bras était comparable au mien. Au moment de se prendre les mains, elle me jeta un regard défiant, intense, qui sur le moment m’a mis dans un drôle d’état. Il va de soi que je ne pouvais pas perdre contre elle au bras de fer, une fille, qui plus est plus jeune que moi. Avant de commencer, elle m’a demandé de retrousser mes manches, histoires que chacun voit les biceps des compétiteurs. Ce que je fis. Je dois avouer que je n’étais pas vraiment rassuré, son regard, ses bras, m’ont mis dans un doute, et dans un drôle d’état. Bref, me voilà donc face à face, attendant fébrilement que mon copain lève sa main de nos mains liées, donnant le départ du bras de fer.Une fois fait, et dès le début, je vis son bras gonflé, d’un magnifique biceps, auxquels on distinguait une petite veine. Cela m’a d’emblée amené une érection. Pendant une trentaine de secondes, rien ne bougea vraiment. Je me sentais de plus en plus mal. En regardant mes bras, on ne voyait pas de biceps autant bien défini qu’elle. Je me sentais faible. Cela n’a pas échappé au groupe qui nous regardait, j’ai notamment entendu : « Ouah, Frédérique est plus musclée que lui.. » Au bout d’un moment de tension, elle commença à me fixer, yeux dans les yeux. Et plus elle me fixait, plus j’avais du mal à tenir le regard. J’étais obnubilé par son bras musclé. Gentiment, je ressentis une tension plus forte, un regard plus appuyé de la part de Frédérique. Tout en me fixant, elle commençait à sourire. Et je fléchis, toujours un peu plus, son biceps toujours aussi musclé, tendu. Face à moi et mon petit bras…De manière sensible, mais certaine, elle prenait le dessus. J’avais une trique d’enfer. Tout le monde nous regardait. Tout le monde me regardait, moi, me faire battre au bras de fer par une fille plus jeune.Dans un dernier élan, j’ai lancé toutes mes forces en me disant qu’il fallait que je sauve vraiment la face. J’ai réussi à remonter un petit peu sa pression en ma faveur, mais pas longtemps. Elle aussi a rajouté de la pression et je me suis retrouvée à un point encore pire qu’avant. Il devait rester 10 centimètres avant qu’elle ne m’aplatisse la main sur le rebord. Cela faisait depuis un moment que je ne la regardais plus. Je me sentais humilié. Dépassé. Dans un dernier souffle, j’ai jeté un regard furtif à son bras (toujours sublimement musclé, sexy), et j’ai levé les yeux pour voir si elle me fixait encore, elle m’a esquissé un sourire, et m’a battu.Elle m’avait humilié. J’ai senti en moi une montée de chaleur. Outre le fait qu’elle m’avait battu en public, elle m’a fait découvrir une partie de son corps (ses bras) qui était sublime. Bien plus athlétique et musclée que les miens. Forte de sa victoire, elle s’est mise debout, et a commencé à fléchir ses deux bras, en face de moi. Dévoilant des biceps magnifiques, puissants. Cela me mit en situation de domination, c’est comme cela que je l’ai ressenti.Dans un sursaut de fierté, j’ai lancé à l’assistance (bien que cela ne soit pas vrai) :« Ce n’est pas mon côté, je suis gaucher, c’est pour cela qu’elle m’a battue »Elle m’a proposé une revanche, avec les mains gauches, avec à la clé un gage pour le perdant. Une des personnes qui était là a lancé : « Le perdant doit faire un bisou au muscle du vainqueur ». Elle m’a regardé : « Ça va pour toi, t’es OK, ou tu te dégonfles ?» Pris à mon propre jeu, je ne pouvais pas me défiler. J’étais le plus âgé de l’équipe. Mais la vision de ces bras fléchit à la fin de notre partie, me disait que j’allais encore une fois me faire démonter.Du coup la partie recommença, avec les mains gauches cette fois. Je ne vis aucune différence dans la musculature des bras de Frédérique, le gauche me semblait même plus musclé. Par contre, moi, on ne voyait pas grand-chose. J’avais l’impression que mes bras étaient des brindilles qu’elle allait casser sans difficulté. Ce qu’elle a fait, et c’est allé très vite. Elle m’a littéralement explosé. Elle s’est relevée, s’est approchée moi, qui étais encore à genoux au bord du banc, à commencer à fléchir ses bras, doucement, en face de mon visage, dévoilant, gentiment ses biceps. Plus elle fléchissait, plus ils apparaissaient, puissants, majestueux. Elle me dit : « Maintenant le gage ». Je me suis relevé, et j’ai donc fait un bisou sur chacun de ses biceps, devant tout le monde ébahi.Durant tout le temps de ce récit, j’ai eu une érection continuelle, sans arrêt. Et un sentiment d’être possédé et dominé par Frédérique. Et ce n’était pas qu’un sentiment, elle m’a vraiment clairement dominé. Voilà comment, moi, mec de 18 ans, je me suis fait humilier en public, par Frédérique, 16 ans 1/2.À partir de ce jour, tout allait être différent. Mon regard sur elle avait changé. Je me sentais en domination. Et, son regard, son comportement à elle aussi allait changer. Le tournoi se poursuivi, sans moi, éliminé d’entrée. C’est, à mon grand étonnement julien, qui gagna, contre un mec de mon âge. Et chez lui aussi, j’ai découvert, des bras athlétique, musclé. Plus que les miens.Ce jour-là, donc. J’ai commencé à avoir des sentiments de domination, d’impuissance envers mes deux amis. Ce jour-là je les ai trouvés puissants. Frédérique particulièrement m’a crucifié dans mon statut de mec. L’après-midi s’est terminé chez Julien. Avec Frédérique on est allé chez lui jouer à la console. Ils m’ont toisé tous les deux. On a comparé nos biceps. Moi je n’en avais littéralement pas. Ils m’ont laissé toucher les leurs. J’étais dans un état hallucinant. « Tu es faible, quand même pour ton âge »« Regarde les muscles de Julien, ils sont bien plus gros, et les miens aussi »Voilà, les paroles de Frédérique à mon encontre en cette fin d’après-midi. Cela a mis un terme à une journée dont je me rappellerai toute ma vie.Le soir, dans mon, lit, et pour la première fois de ma vie, je me suis branlé. Je voyais le visage de Fred, ses biceps, ses sourires…La suite dans un prochain chapitre
