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Frelon Rouge

Chapitre 2

Joyeux retour à la maison

Zoophilie
 M. Benoît et Delphine reviennent dans la cour, ils discutent des termes du contrat de la stagiaire.Delphine est contente, ses fossettes sont bien dessinées par son sourire et, pleine de confiance, elle demande naïvement à M. Benoît si, à  tout hasard, elle est autorisée de par son contrat à découvrir le fameux laboratoire. M. Benoît prend un air sérieux avant de lui répondre :
– Tu te doutes bien que non : je ne sais pas encore ce que tu vaux et si je peux te faire confiance. Je te ferai un avenant en temps voulu, quand selon moi tu auras fait tes preuves. En attendant on démarre lundi matin à 5 heures. Il y a beaucoup de travail, et c’est une manière de tester ta ponctualité. Je te rends ton contrat signé lundi à l’embauche. Pas de folies ce week-end pour être en forme, et surtout à l’heure !
Sur ce dernier échange, ils discutent un peu du programme de la première journée de stage qui arrive et se saluent cordialement.Delphine reprend la route au volant de sa petite voiture, elle est vraiment emballée par son entretien avec M. Benoît, ou Benito le Frelon selon la casquette qu’il a sur la tête.
Lundi matin, ils commenceront par préparer les équipements d’enlèvement d’essaims, de prédateurs et nuisibles volants ; il va  lui montrer comment on recueille un essaim de frelons asiatiques. Il y en a un de programmé lundi très tôt dans une école primaire ; le nid a été découvert en fin de journée vendredi dernier. C’est un enlèvement gratuit pour la commune, les écoles de campagne ont de très petits budgets. La directrice est apparemment une bonne cliente de la boutique et peut-être même plus, vu le sourire de M. Benoît quand il l’a évoquée.
Delphine sent l’air perdre un peu de son odeur florale en s’éloignant de la ’’Mélie Ferme’’ et surtout de M. Benoît. Elle va appeler Sylvia pour lui proposer de venir boire un verre et lui raconter sa merveilleuse rencontre avec cet homme si intriguant. En attendant d’arriver à sa petite maison, elle s’imagine tomber dans les bras de son maître de stage. Son air cabot, son sourire, sa voix, ses yeux et sa prestance, tout l’attire chez lui malgré leur différence d’âge. "Il est mûr, se dit-elle, comme un bon fruit bien sucré, bien juteux, tendre et fondant." Un ours : voilà à quoi elle pense. Un gourmand de miel, chaud et doux. Elle imagine ses grosses pattes se poser sur son corps nu. Cette énorme langue râpeuse et humide la parcourir entièrement, mais surtout entre ses cuisses qui s’écartent déjà sous ce rêve semi conscient.
La chaleur de son sexe la fait se tortiller sur son siège. Son short en jean la serre un peu. Elle  le déboutonne rapidement. Encore une bonne vingtaine de minutes avant d’arriver à destination. Le temps est généreux, le soleil lui chauffe la poitrine à travers le tissu rouge qui la cache. Son excitation se manifeste par le redressement de ses tétons qui dardent et tendent son débardeur.
Elle reprend son petit road trip érotique. Sa main tire sur la bretelle de son débardeur qui laisse échapper un sein bien dressé. Elle se mouille les doigts du bout de la langue et commence à pincer sa pointe mammaire. Son minou réclame des caresses ; elle passe rapidement sa main dans son short tout en gardant l’autre sur le volant. Qu’est-ce qu’elle aime ces petites branlettes improvisées, un peu saugrenues mais tellement spontanées ! Sa vulve coule et lui englue les doigts. Elle pénètre sa petite caverne douce et chaude. Son corps palpite ; le vent qui s’engouffre par la fenêtre de sa portière la caresse, sa poitrine oscille avec les irrégularités de la route. Son téton libéré du textile réagit vivement au souffle qui le chatouille.  La paume de sa main s’écrase sur sa chatte qui bâille, liquéfiée par le désir.
Un petit bruit de percussion, un « poc » distinct, lui détourne brièvement l’attention... la piqûre est vive ! Une guêpe vient de percuter le montant de sa portière qui a projeté l’insecte sur son mamelon dardé. L’animal est mort en piquant instinctivement dans son dernier souffle. Tel un pendu qui éjacule en passant de vie à trépas, l’aiguille libère son venin dans le sein de la branleuse. Point de mandragore qui risque de naître de cette drôle d’union, mais un bon gros bouton qui, de par son emplacement, fait enfler le globe laiteux. La douleur est vive, brûlante. La guêpe samouraï a réussi , dans un dernier élan, à exécuter son geste magistralement. Delphine crie sa douleur au volant et retire par réflexe la main de son short pour se saisir de sa mamelle endolorie et pulsante sous sa main. Elle jure :
– Salope de conne de guêpe ! Tu m’as pas loupée ! Putain, ça me fait un mal de chien !
Elle a les larmes aux yeux et le sein gonflé et endolori qui lui déforme le débardeur de manière complètement disproportionnée. Ça lui fait mal, mais la chaleur de la douleur et celle de l’excitation commencent à se marier rapidement. Sa vulve est toujours aux abois.
Delphine s’arrête rapidement à l’entrée d’un champ. Elle scrute sa poitrine ainsi déformée par la vilaine piqûre. Son sein a pratiquement doublé de volume ! Elle trouve ça presque excitant, sauf le côté disgracieux. L’offrande de la guêpe est unique. Elle se met à rire toute seule de cette situation ; quand elle va raconter et montrer ça à sa copine Sylvia, elles vont bien se marrer !
Après avoir repris un peu ses esprits et la route après cette malencontreuse affaire de guêpe, Delphine arrive chez elle avec son nichon toujours gonflé, même si de manière homogène. Elle a un peu d’appréhension en se garant devant chez elle. "Pourvu que je ne rencontre pas un voisin..." se dit-elle ; la protubérance est remarquable par n’importe qui sous son débardeur, comme elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle cache son sein en tenant son petit sac sur sa poitrine et descend pour se précipiter chez elle.
Ça pulse sous sa main, et la zone est vraiment très sensible, voire douloureuse par moments. Elle saisit son téléphone et envoie un SMS d’invitation à son amie. Elle lui répond par la négative quelques minutes plus tard mais lui promet de venir dimanche soir. La pauvresse se sent bien seule en cette fin d’après-midi, mais la tension ainsi que le volume de son nibard sont revenus à la normale.
Le soir, Delphine se rappelle toute cette aventureuse journée : un dard dans le téton, la découverte de la ferme... Elle s’endort doucement.
Étrangement, elle associe le souvenir de l’odeur du mélange qui sentait très fort à des envies lubriques concernant un ours lapant le miel à même l’essaim fiché entre deux bonnes branches aux allures charnelles... Cette grosse patte est velue ; des griffes douces écartent les pans de cette corne d’abondance liquoreuse. Cette énorme langue qui fouille de toute sa vigueur l’intérieur de cette intimité mielleuse. Des tourbillons qui déforment et tendent les parois de la matrice distendue par ce remue-ménage chaud et impeccable. Cette fouille méthodique pour sonder chaque parcelle émettrice d’un succulent nectar. Une déflagration sirupeuse dans la gueule avide et gourmande qui s’en nourrit…
Delphine se réveille avec sa main dans la chatte ; cette branlette non terminée à cause de cette foutue piqûre l’a frustrée énormément. Elle rentre et sort sa main plusieurs fois en se mordant la lèvre inférieure. Elle se tortille et se cambre de façon très féline. Elle lève son cul en mordant son oreiller. Elle souffle fort et commence à haleter. Elle sent son vagin se contracter de plus en plus fort ; un spasme incontrôlable prend possession de son bas-ventre. Explosion et expulsion sont synchrones ; Delphine se raidit instantanément, la déflagration emporte tous ses sens. Ses yeux se révulsent, elle secoue sa tête dans un râle animal, elle roule sur elle-même et tombe de son lit. Elle embarque dans sa chute une pile de livres posés sur la table de nuit. Son dictionnaire des synonymes lui tombe sur le sein encore endolori et lui fait crier sa frustration.
Après avoir repris ses esprits, encore haletante et le sein une nouvelle fois blessé par cet accident de dictionnaire, Delphine se relève, groggy par l’orgasme et les jambes flageolantes. Elle manque une nouvelle fois de se casser la figure en glissant dans la petite flaque de cyprine qui s’est écoulée de sa vulve quand elle s’est retrouvée au sol. Elle s’assoit sur le bord de son lit en se tenant la tête. Quel orgasme !
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