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De frère à aidant puis d'aidant à amant

Chapitre 2

Un premier rapprochement

Inceste
Après le déménagement, je m’allongeai quelques instants sur le lit pour me reposer. Assez rapidement, Florence vint s’allonger à mes côtés. Elle passa une main sur mon torse, venant en contact direct avec ma peau. Je la laissai faire sans dire un mot. Après tout, elle ne faisait rien de mal.
— Ça te fait quoi ? me demanda-t-elle.— C’est agréable, répondis-je.— Merci. Et tu n’es pas trop déçu de ne plus vivre chez les grands-parents ?— Non. Il fallait que ce jour arrive tôt ou tard.— Mais tu aurais peut-être préféré vivre seul. Ou avec une autre fille que moi.— Si c’était vraiment ce que je voulais, je n’aurais pas accepté quand tu me l’as demandé.— Dans ce cas, je te remercie d’être aussi présent pour moi.— Tu n’as pas besoin de me remercier, c’est tout à fait normal. Je suis sûr que tu ferais la même chose si la situation était inversée.
Après cette courte conversation, nous restâmes allongés sur le lit, la main de ma sœur toujours sous mon t-shirt. Puis, probablement après environ une heure de repos, en raison du déménagement, je ressentis le besoin de me doucher.
— Ça va aller si je te laisse seule dix ou quinze minutes ? demandai-je à Florence. J’ai besoin de prendre une douche.— Moi aussi je dois me laver.— Dans ce cas je te laisse y aller en premier.— Après, on est chez nous, on peut faire ce qu’on veut, me dit-elle.— Oui, on a tout notre temps.— Oui, mais vu qu’on peut faire ce qu’on veut, on pourrait peut-être prendre un bain ensemble, me proposa-t-elle.
Je fus un peu surpris par sa proposition totalement inattendue.
— Pourquoi ? demandai-je. Nous n’avons jamais pris de bain ensemble.— Parce que ça aurait pu étonner les grands-parents. Mais comme je te l’ai dit, nous sommes chez nous et nous pouvons faire ce que nous voulons.
Malgré moi, sa proposition me provoqua une érection.
— Dans ce cas, pas maintenant si tu veux bien, lui proposai-je.
Elle comprit rapidement la raison de mon appréhension à aller nous laver aussi rapidement.
— Tu n’as pas à avoir honte, me dit-elle naturellement. Je sais ce que c’est, j’en ai déjà vu.— Je sais. Mais c’est gênant. T’es ma sœur.— Tu m’as déjà vue nue plusieurs fois pourtant. Je ne vais pas te juger ou me mettre en colère parce que tu as une érection. Mais si tu préfères aller te soulager aux toilettes, je peux comprendre.
Je ne dis rien et je me dirige vers les toilettes pour me masturber. Déjà, après quelques heures, je commençais à entrevoir les inconvénients de la vie à deux, ou plutôt les inconvénients de la vie à deux sans être en couple avec la seconde personne. Surtout en partageant le même lit que ma grande sœur. Car il était très probable que pendant la nuit, j’ai une érection involontaire et que doive aller me masturber. Dans ce cas, elle aurait pu penser que j’avais des vues sur elle, ce qui n’était pas spécialement faux.
Assis sur la lunette des toilettes, je me masturbais. Seulement, peut-être parce qu’elle se doutait de ce que je faisais, je voyais plein d’images de Florence nue pendant que je me soulageais. Même si ce n’était pas la première fois que cela m’arrivait, j’avais honte, mais comme à chaque fois, c’était également très bon. Et rapidement, j’éjaculais dans les toilettes.
En ressortant, je pris la direction de la salle de bain. Je fus surpris de voir Florence m’attendre complètement nue sur son fauteuil.
— Je viens de faire couler l’eau, me dit-elle.— D’accord. Tu n’étais pas obligée de te déshabiller maintenant. Tu aurais pu attendre que le bain soit prêt.— Au moins c’est déjà fait. Tu peux faire pareil de ton côté.
Je commençai à me déshabiller sous le regard de Florence qui ne me quittait pas des yeux. Lorsque j’arrivai à mon dernier rempart avant ma nudité intégrale, j’hésitais. Mais dans le regard de ma sœur, je sentis quelque chose de différent. Je ne savais pas définir ce regard que je voyais pour la première fois. En réalité, elle était impatiente que je retire mon boxer. Et après une période d’hésitation, je fis tomber ce dernier rempart.
— Tu sais, en vivant ensemble, nous risquons de vivre cette situation très souvent, me dit-elle. Donc autant s’y habituer maintenant.— Tu as sans doute raison, répondis-je. Mais ça me fait un peu étrange.— D’être nu devant moi ou d’être nu devant une femme ?— Pourquoi tu penses que je n’ai jamais été nu devant une femme ?— Disons que je m’en doute. Depuis mon accident, tu n’as pas passé un seul jour sans être présent. Entre moi et ton travail, ça ne t’a pas laissé de temps pour avoir une vie sentimentale.— Tu n’as pas à t’en vouloir. Tu es ma sœur et tu passeras toujours avant les autres femmes.
Florence ne put contenir son sourire de satisfaction suite à mes propos. Le bain était maintenant prêt et je la pris dans mes bras. Pour la première fois, après l’avoir déposée, je vins me glisser derrière elle puis, en raison de la baignoire un peu trop étroite pour que je puisse mettre mes jambes autour d’elle, je la soulevai pour la mettre sur mes jambes afin de pouvoir prendre un bain ensemble. Elle n’était pas très lourde, donc son poids ne me dérangeait pas. Elle vint ensuite s’allonger contre moi et je refermai mes bras autour d’elle.
— Il faut que je t’avoue quelque chose, me dit-elle en caressant mes bras qui l’entouraient.— Quoi donc ? demandai-je.— Si j’ai voulu vivre avec toi, ce n’est pas tout à fait pour soulager les grands-parents. En tout cas, pas seulement. — C’est pour quoi d’autre alors ?— Je suis désolée, tu vas probablement me prendre pour une folle et retourner vivre chez les grands-parents...— Quelle que soit la raison, jamais je ne te laisserai jamais vivre seule tant que tu n’auras pas trouvé de mec.— Justement. Si j’ai voulu vivre avec toi, c’est dans l’espoir qu’on fasse l’amour.
Je fus un peu surpris par son aveu, même si au fond, je la comprenais. Et avant même de lui donner une réponse orale, mon corps réagit à sa proposition. Une nouvelle érection impossible à dissimuler lui donna la réponse qu’elle attendait. Pourtant, je m’étais masturbé très peu de temps avant, mais s’agissant de la première fois qu’une femme me proposait de faire l’amour, j’étais de nouveau en forme très rapidement.
— Tu n’es pas folle. Tu es juste déçue que les hommes ne voient pas au-delà de ton fauteuil.— Au début, peut-être. Mais à force de voir que tu prenais toujours soin de moi et que ton regard sur moi n’était pas comme celui des autres, j’ai commencé à te voir différemment. Petit à petit, le petit frère que tu étais jusque-là à mes yeux a commencé à laisser place au petit-ami que tu pourrais être pour moi. Et ne me dis pas que tu n’y as jamais pensé vu ce que tu as fait tout à l’heure aux toilettes.— Tu m’en veux pour ça ?— Je viens de te proposer de faire l’amour. Pourquoi t’en voudrais-je que tu te sois masturbé en pensant à moi ? Vu la proposition que je viens de faire, je trouve ça plutôt flatteur.— Et tu ne m’en voudrais toujours pas si je t’avouais que ce n’était pas la première fois que ça arrivait ?— Non, je ne t’en veux toujours pas. Je me dis qu’au moins, je suis encore capable de plaire.— Je t’ai toujours dit que tu n’avais pas à douter de ça. Tu étais déjà très belle avant ton accident et ce qui t’est arrivé n’a rien enlevé à ta beauté.
Elle se retourna avec difficulté puis m’embrassa et s’empara de mon sexe en érection. Ce n’était pas que par surprise que je ne la repoussais pas. J’appréciais fortement ces quelques secondes différentes. Même si nous étions frère et sœur, je trouvais que sa langue dans ma bouche était très agréable.
— Et ça ne te dérange pas que je sois encore puceau ? Tu risques probablement de ne pas prendre de plaisir les premiers temps. — Ça ne me gêne pas. Et tu sais, mon corps n’est plus le même depuis mon accident. Donc même si tu avais de l’expérience, je ne suis pas sûre que ça changerait beaucoup de choses les premières fois. Donc quelque part, moi aussi je découvrirais des choses. — Tu n’as jamais essayé de te faire du bien toute seule depuis ce qui t’est arrivé ?— Si, mais je ne ressentais plus rien. — Et qu’est-ce qui te fait dire que ça marchera avec moi ? — Ta bite est plus longue que mes doigts. Ça vaut le coup de tenter. — Et si ça ne marche toujours pas ? — On essaiera autre chose. Mais je ne voudrais pas que tu arrêtes de me pénétrer. En tant que femme, même si je n’ai pas de sensations, je refuse de me dire que mon vagin sera inutile. Quoi que je ressente ou non, je veux que tu me fasses l’amour en me pénétrant comme n’importe quelle autre femme.
Si, à vingt-cinq ans, je n’avais eu aucune relation sexuelle, c’était également par choix. J’assumais totalement de mettre ma vie sentimentale de côté tant que Florence n’avait pas trouvé de petit ami sur qui compter et avec qui vivre. Bien sûr, je me masturbais régulièrement, mais n’ayant encore jamais connu de relation charnelle, cela ne me manquait pas vraiment. Mais il n’aura fallu que quelques secondes avec mon sexe dans sa main pour réaliser que j’avais besoin, moi aussi, d’une vie sexuelle.
— Je ne vais plus pouvoir tenir, dis-je à Florence qui continuait de me masturber.— Alors laisse-toi aller, répondit-elle.
Ayant encore un peu de mal à imaginer qu’une femme puisse prendre du plaisir à me voir éjaculer, je me retenais au maximum. Mais la lutte contre le plaisir étant un combat perdu d’avance, je ne pus résister plus longtemps. Et après avoir lutté plus que de raison, je fus vaincu. Comme pour dissimuler un râle que nous seuls aurions pu entendre, au dernier moment, je pris la tête de Florence entre mes mains et je l’embrassai tout en frémissant de mon éjaculation. Puis, ce fut un sentiment de plénitude qui s’empara de moi pendant que mon sperme se répandait dans la baignoire. J’étais bien, soulagé, apaisé.
— Merci, me dit Florence en m’embrassant une nouvelle fois.— Pourquoi tu me remercies ? C’est toi qui m’as branlé. C’est à moi de te remercier.— Parce que ça faisait sept longues années que je n’avais pas revu de sexe d’homme. Que je n’en avais pas tenu un dans ma main. Que je n’avais pas revu d’érection ni d’éjaculation.— Ça te manquait tant que ça ?— Disons que je n’osais plus vraiment y croire après toutes ces désillusions. Eh oui, ça me manquait beaucoup. — Avec moi tu peux y croire à nouveau.— Est-ce que ça veut dire que tu acceptes qu’on fasse l’amour ?— Oui. Mais tu veux qu’on le fasse juste de temps en temps en attendant que tu retrouves quelqu’un ? demandai-je.— C’est toi que je veux, lança-t-elle de façon franche et sans réfléchir. Je ne veux pas chercher quelqu’un d’autre. Mais peut-être que ce n’est pas ce que tu veux. Dans ce cas, je te laisserai partir quand tu trouveras une autre fille.— Tu oublies quelque chose, lui fis-je savoir.— Laquelle ?— Je ne partirai pas tant que tu n’auras retrouvé personne.— Je ne veux pas te...
Je la coupai avec un baiser.
— Tu ne m’obliges à rien. Je ne partirai pas tant que tu n’auras retrouvé personne. Mais j’espère aussi que tu ne chercheras personne.— Ça veut dire qu’en plus de faire l’amour, tu acceptes qu’on entame une relation de couple ?— Au fond de moi, je pense que si j’ai tout accepté aussi facilement, c’est probablement parce que je n’ai jamais envisagé ma vie sans toi. Donc oui, je veux essayer de passer du petit frère au petit ami.
Pour lui confirmer mes propos, je l’embrassai. Nous échangions notre plus long baiser depuis le début de notre courte relation. Mais ce baiser était le signe d’une promesse. Celle de ne plus nous aimer comme le font un frère et une sœur, mais comme le font deux amants.
Ayant éjaculé deux fois en peu de temps et l’ayant fait trop récemment la dernière fois pour être à nouveau opérationnel, nous profitâmes de ce temps pour nous laver. Mais cela ne ressemblait plus aux moments où j’aidais Florence auparavant. Cette fois, il n’y avait plus de barrière. Plus de partie de son corps pour laquelle je lui demandais sa permission avant de la toucher ou de la laver. Notre nouvelle situation incluait implicitement toutes ces autorisations.
Je lavai son visage avant d’y déposer un baiser. Puis j’embrassai son cou avant de le savonner. Je fis la même chose avec ses seins que ma bouche put savourer pour la toute première fois. Ensuite, je la pris à nouveau sur moi, puis je m’asseyais sur le rebord de la baignoire et je lavais les parties basses de son corps. En arrivant au niveau de son intimité, je fis glisser mes doigts sur cette zone insensible pour elle.
— Tu sens quand je te touche ici ? lui demandai-je.— Non. Mais ce n’est pas une raison pour te priver d’y mettre tes doigts.— D’accord.
Je fis glisser un premier doigt dans sa cavité. Mais Florence ne réagit pas. Je glissai un second doigt sans obtenir plus de réaction de sa part. Même si le lieu me paraissait agréable, je préférerais retirer mes doigts de leur emplacement récent.
— Non, dit Florence en remarquant mes deux mains libres.— Quoi donc ?— Je ne veux pas que tu les retires parce que je ne te sens pas. Si tu aimes, je veux que tu laisses tes doigts encore un peu. Si vraiment tu nous considères comme un couple, ton plaisir doit aussi compter.— D’accord.
Je remis mes doigts à leur emplacement précédent. Mais cette fois, ma sœur regarda attentivement si je les retirais ou si je les laissais. Sans expérience et sans réelle conviction, je commençai à faire aller et venir mes doigts à l’intérieur de son conduit. Même si Florence restait sans réaction, je trouvais cela agréable.
— Je suis sûre que je prendrais beaucoup de plaisir en ce moment si j’étais capable de ressentir quelque chose.— Pourquoi tu es si sûre de toi ?— J’ai l’impression que tu fais ça bien.— Merci.
Je restai encore quelques minutes à la masturber sans obtenir de réaction. Puis je retirai à nouveau mes doigts de là où ils étaient avant de terminer de la laver et de nous reposer dans la baignoire. Elle me proposa ensuite de me mettre devant elle pour me laver à son tour. Je me mis à genoux pour qu’elle puisse me savonner le haut du corps. Puis je me levai pour qu’elle puisse me laver les autres parties du corps. Et en arrivant au niveau de mon anatomie masculine, elle n’hésita pas une seule seconde pour la prendre à nouveau dans sa main.
— Quand je te sucerai, j’aimerais que tu finisses dans ma bouche, me dit-elle.— Tu es sûre que c’est vraiment ce que tu veux ?— Oui. Je n’ai jamais osé avaler avec mon ex, mais j’ai envie de savoir ce que ça fait avec toi.— Il ne faut pas que tu te sentes obligée de faire ça pour me faire plaisir.— Quand je te sucerai, j’espère bien que ça te fera plaisir ! Et pour ce qui est d’avaler, je veux le faire pour nous deux. Pour te faire plaisir, mais aussi pour essayer au moins une fois. Si vraiment j’avais voulu le faire juste pour faire plaisir, je l’aurais fait avec mon ex.— D’accord. Mais si tu n’aimes pas, je veux que tu me le dises. Vu que je ne sais pas encore le plaisir que ça va me procurer, je pense être capable de m’en passer.— Aucun souci, je te le dirai, même si ça me plaît.
Je l’embrassai pour lui faire part de mon accord et elle termina de me laver. Puis je sortis de la baignoire en premier avant de prendre Florence dans mes bras et de la sortir du bain. Mais au lieu de la reposer sur son fauteuil pour nous essuyer tous les deux, je me dirigeai vers la chambre. En la déposant sur le lit, elle sut ce que j’avais envie de faire. Elle prit mon sexe à nouveau rigide dans sa main sans me masturber.— Fais-moi l’amour, me dit-elle presque en me suppliant.
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