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De frère à aidant puis d'aidant à amant

Chapitre 3

Apprentissage

Inceste
Nous étions allongés sur le lit. J’étais excité comme jamais je ne l’avais été auparavant. Faire l’amour n’était plus simplement quelque chose que j’envisageais vaguement de faire dans un avenir assez flou quand Florence aurait retrouvé un partenaire. C’était une réalité qui allait se produire dans quelques minutes avec celle pour qui j’ai toujours été présent. Ce premier soir de notre emménagement, j’allais faire l’amour avec ma propre sœur. Et c’était aussi ce qu’elle semblait désirer.— Par quoi dois-je commencer ? lui demandais-je en raison de mon inexpérience et mon souhait de ne pas être égoïste et de lui donner ce qu’elle cherchait.— C’est aussi à toi de découvrir ce qui te plaît. Mais si tu veux, essaie déjà de me lécher.
J’écartais ses cuisses et je glissai ma tête dans cette zone que je voyais pour la première fois sous cet aspect. Je goûtais ainsi le sexe d’une femme. Le sexe de ma propre sœur. Il n’y avait aucun goût particulier puisqu’elle ne mouillait pas. Je ne connaissais donc pas la saveur d’une femme, mais je continuais toutefois de la lécher. Peut-être qu’elle finirait par mouiller d’elle-même ou par ressentir quelque chose. Mais la chambre restait silencieuse car Florence ne me sentait pas. Puis, après deux ou trois minutes, elle poussa de légers gémissements.— Ça y est, tu sens quelque chose ? demandais-je en relevant la tête.— Non. Mais je pensais que ça pouvait m’aider… ou que ça te plairait.— Oui, c’est agréable à entendre. Mais tu n’es pas obligée si tu ne ressens rien.— D’accord. Mais après, j’aurais un peu l’impression qu’il ne se passe rien si je ne gémis pas.— Je comprends. Dans ce cas, tu peux continuer de gémir si ça te donne plus l’impression de faire l’amour. Mais si tu ne veux plus continuer, tu peux arrêter, ça ne me gênera pas.
Je repris ma lubrification par le biais de ma langue et ma sœur continua de gémir de temps en temps. C’était agréable à mes oreilles, même si je savais que je ne lui faisais aucun effet. Et honnêtement, même si je venais de lui dire que ça ne me gênerait pas qu’elle reste silencieuse, je ne pouvais pas en être vraiment certain. Heureusement, elle n’a pas cessé ses gémissements plus que quelques secondes. Puis après cinq minutes environ, Florence me proposa de la pénétrer.— Je pense que ça devrait suffire, me dit-elle. J’imagine que je suis suffisamment lubrifiée pour que tu viennes en moi.— D’accord, dis-je en me relevant. Tu veux toujours qu’on aille jusqu’au bout ?— Oui, me confirma-t-elle encore une fois. Ne me vois plus comme ta sœur. Je veux te faire l’amour parce que tu es mon mec.
Pour accéder plus facilement à son orifice, je relevai ses jambes et elle les tenait avec ses mains. Puis je vins devant ses lèvres vaginales dont seule ma langue avait servi à la lubrification et je commençai à chercher l’entrée de sa grotte en faisant glisser mon sexe le long de ses parois. Et en sentant un trou dans lequel je pouvais me glisser, je donnai un léger coup de bassin. Je ne savais pas vraiment s’il s’agissait du bon orifice ni même si j’étais réellement en elle. Je ne pouvais que supposer que je n’étais plus puceau grâce à ma grande sœur. Mais peut-être que pour ma première pénétration, il était préférable qu’elle ne ressente rien car je ne suis pas sûr de m’y être bien pris lors de ma première fois. Elle aurait peut-être eu mal si elle avait eu des sensations. Je continuais à progresser en supposant être en elle jusqu’à ce que mon sexe soit entièrement entré dans le sien.— Je crois que je suis au fond, lui fis-je savoir. Tu sens quelque chose ? lui demandais-je ?— Non, m’informa-t-elle. Mais tu peux continuer. Je serais contente de t’avoir donné du plaisir malgré tout.
Avec son accord, j’entamais une série de va-et-vient qui prit fin trop rapidement à mon goût. En moins d’une minute, j’atteignais l’extase et je me vidais au fond d’elle. C’était si bon d’éjaculer au plus profond d’une femme.— Désolé, lui dis-je. J’aurais aimé tenir plus longtemps.— Ne t’inquiète pas, ça arrivera progressivement avec la pratique.— Mais du coup, tu n’as rien ressenti non plus quand j’ai joui en toi ?— Tu sais, même avant mon accident, je ne ressentais pas le sperme au moment de l’éjaculation. Ça c’est dans les histoires qu’on raconte ça pour faire rêver le lecteur.
— D’accord, je ne savais pas. En tout cas, pour moi c’était vraiment très bon.— Je suis contente de t’avoir quand même donné du plaisir.
Je me retirai de son vagin et même en voyant mon sperme s’écouler un peu, j’avais encore un peu de mal à réaliser que je n’étais plus vierge. Tout cela me paraissait fou. Et je continuais d’imaginer que je n’avais pas vraiment été en elle et que j’avais visé à côté. Pourtant, c’était bien le cas. J’avais visé juste. J’avais bien pénétré son vagin, car quelques secondes après m’être retiré d’elle, Florence vint mettre deux doigts dans son vagin avant de les ressortir souillés de sperme, mais ravie.— Ça me soulage de voir ça, dit-elle.— Quoi donc ?— Ton sperme. Au moins je suis rassurée de savoir que tu m’as vraiment pénétrée.— Tu en doutais ?— Je ne te cache pas que je n’étais pas totalement sûre que tu aies vraiment envie d’être en moi.— Pour être honnête avec toi, moi c’était l’inverse. Comme tu ne ressentais rien, j’avais un peu peur de ne pas t’avoir réellement pénétrée.— Je te rassure, vu la façon dont mes doigts sont remplis de ton sperme, tu étais forcément en moi quand tu as jouis.
Si elle me le confirmait, je ne pouvais plus douter. J’avais donc réellement perdu ma virginité. Après cette première union de nos corps, je la serrais dans mes bras et nous nous sommes endormis, nus tous les deux. Si je me doute que ce n’était pas une première pour Florence en raison de son ancienne relation, pour moi, c’était une première de dormir intégralement nu. Et c’était également la première fois que je partageais le lit d’une femme totalement nue elle aussi.
Le temps passa sans vraiment nous en rendre compte. Mais la faim nous rattrapa et nous rappela que nous n’avions pas pris notre repas du soir. Je me levai et retournai à la salle de bain pour aller chercher mes habits. Et une fois rhabillé, je ramenais le fauteuil de Florence dans la chambre ainsi que ses vêtements.— Tu n’étais pas obligé de te rhabiller, me fit-elle savoir.— Désolé, je ne suis pas encore habitué à cette situation. Tu veux vraiment que je reste nu tout le reste de la soirée ?— Si tu me poses la question, bien sûr que ça me plairait. Mais je ne t’oblige à rien. Si vraiment tu ne veux pas, je n’insisterais pas.
Je pris quelques secondes pour réfléchir avant de retirer à nouveau mes premiers vêtements. Mais cela ne semblait pas être suffisant pour Florence qui ne voulait plus un seul morceau de tissu sur moi. Je retirais le reste et je me trouvais à nouveau nu devant ma sœur qui était maintenant satisfaite. Puis, sans nous vêtir, nous sommes allés mangé un plat rapidement réchauffé au micro-ondes.
Après le repas, je pensais que Florence aurait préféré regarder la télé. C’est pour cela que je l’ai allumée. Toutefois, je compris assez rapidement qu’elle préférait s’adonner à une autre activité. Pendant que nous étions allongés sur le lit, elle passa sa main sur ma cuisse avant de rapidement s’emparer de mon sexe qui réagit très vite à cette attention.
Assez rapidement, Florence n’hésita pas à se pencher pour venir me prendre dans sa bouche et m’offrir ainsi ma toute première fellation. J’ignore son niveau dans ce domaine avant son accident, mais j’adorais ce qu’elle me faisait.
Assez rapidement, le plaisir était si grand que j’étais un peu déçu de ne pas pouvoir profiter de ce moment plus longtemps. Et quand le moment fatidique arriva, là encore trop rapidement à mon goût, je ne la prévins pas et je me déchargeai dans sa bouche somptueuse. Elle eut un léger sursaut et me regarda en esquissant un sourire. Puis elle retira sa tête avant d’avaler sans sembler hésiter.— C’était extra, lui dis-je. Merci.— De rien. Merci à toi aussi d’avoir accepté.— Après, sache que j’étais sérieux tout à l’heure. Si tu n’as plus envie de recommencer, je suis prêt à m’en passer.— Tu n’auras pas besoin d’en arriver là. J’ai bien aimé t’avaler et je suis prête à recommencer à chaque fois que je te sucerai.
J’embrassai Florence sur la bouche avant de la serrer dans mes bras. Sans vraiment regarder la télé je pris l’un de ses seins dans ma main.— Merci, me dit-elle sans me regarder.— Pour quoi ?— Grâce à toi et à ce que nous avons fait, je retrouve ma féminité. — Tu veux dire que tu ne te considérais plus comme une femme ?— Non. Si j’avais moi-même choisi l’abstinence sexuelle, ça n’aurait pas été pareil. Je me serais toujours vu comme une femme capable de satisfaire mes besoins à tout moment. Mais avant toi, j’imaginais ne plus jamais connaître ça. Et si mon corps ne pouvait plus satisfaire un homme, je n’avais plus vraiment l’impression d’être une femme. Et honnêtement, ça me ferait très mal que tu décides d’arrêter après ça et que tu me dises que tu as juste voulu que je te dépucelle.— Ce n’est absolument pas le cas. Je veux un réel engagement avec toi.— Merci.
Nous nous sommes embrassés encore plus longtemps que lors de notre précédent baiser le plus long. Puis je décidai d’éteindre la télé et de prendre Florence dans mes bras. Là encore, je n’hésitais pas à empoigner l’un de ses seins. Puis à les embrasser tous les deux. Et progressivement, nous nous sommes endormis à nouveau et toujours nus. Mais cette fois, notre nuit était complète.
Bien sûr, ceux qui connaissent, au moins un peu le handicap et notamment la paraplégie, pourraient penser à l’incontinence et au risque que cela représente pour Florence d’être si souvent nue. Mais ce risque est diminué grâce à une aide médicamenteuse. Évidemment, cela n’empêche pas toujours les petits accidents. Toutefois, pour rester dans la partie agréable d’un récit érotique sans en briser le plaisir, dans chaque chapitre, je préfère ne pas aborder ces petits moments lorsqu’ils arrivent, ni même parler des couches pour adultes qu’elle porte lorsqu’elle est habillée pour aller à son travail (car je ne veux pas non plus faire de récit urologique ou scatologique). Après sept ans de handicap et autant d’années à m’occuper d’elle, nous y étions habitués et notre relation naissante ne changeait pas mon regard sur elle à ce niveau-là. Mais je préfère épargner le lectorat qui n’y est pas forcément habitué. Donc ce sera de façon totalement volontaire de ma part que, lorsque je la déshabillerai ou je l’habillerai, pour l’histoire, je la considèrerai nue après avoir retiré son string ou son tanga (car là encore, je me suis rendu compte qu’un string ou un tanga est préféré dans les histoires par rapport à une culotte et de toute façon, si je la déshabille depuis que nous avons commencé notre relation, c’est toujours intégralement car j’aime bien la voir nue.) Ces omissions sont donc volontaires ainsi que ce petit remplacement dans ses sous-vêtements. Car il faut bien le reconnaître, les sous-vêtements pour personnes en situation de handicap n’ont rien de sexy (même si actuellement la marque Liberare tente de remédier à ce problème en proposant, depuis le mois d’août 2022 seulement, des sous-vêtements sexy pour les femmes en situation de handicap).
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