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De frère à aidant puis d'aidant à amant

Chapitre 4

Exploration et découverte de la sexualité

Inceste
Le lendemain matin, je me réveillai en premier et je réalisais que j’étais encore nu. Je repensais à ce que Florence et moi avions fait et j’étais content. J’étais passé de petit frère à aidant, puis d’aidant à amant. Celle qui, depuis la veille, était devenue ma compagne, dormait toujours et je la regardais. J’ignore si c’était le fait d’avoir couché avec elle la veille, ou si c’était en raison de notre nouvelle situation où nous nous considérions maintenant comme un couple, mais je la trouvais encore plus belle qu’avant. Je caressais ses cheveux et je déposais un baiser sur son front.
— Ta bouche irait mieux sur la mienne, dit-elle en sortant de son sommeil.— Désolé.

Elle joignit le geste à la parole et vint poser sa bouche sur la mienne en prenant ma tête entre ses mains. Si elle m’embrassait à son réveil au lieu d’éprouver des regrets, c’est que ses propos de la veille au soir étaient sincères. Elle voulait sincèrement s’engager dans une relation sérieuse avec moi. Et même si je n’y connaissais pas grand-chose en sexualité et en vie de couple, j’étais prêt à lui offrir ce qu’elle attendait, car je ne voyais pas ma vie sans elle.
— Tu regrettes ? lui demandai-je par crainte qu’elle décide de tout arrêter. — Absolument pas. Et toi ? — Moi non plus. Et tu veux toujours qu’on soit ensemble ou tu as changé d’avis pour ça ?— Je n’ai pas changé d’avis. Je veux que nous soyons ensemble et que nous fassions l’amour aussi régulièrement que n’importe quel couple.— C’est aussi ce que je veux. Après, on peut aussi faire l’amour plus souvent que les autres. — Petit coquin, répondit-elle en m’embrassant. Je n’y vois aucune objection, confirma-t-elle.
Sa main vint entourer mon sexe qui se mit à gonfler rapidement.
— On dirait que tu as des envies matinales, me dit-elle avec un grand sourire.— Oui. Mais j’ai un peu oublié la sensation. Je crois qu’il me faudrait une petite piqûre de rappel, dis-je en l’embrassant et en plaisantant.
Sans un mot supplémentaire, mais juste avec un grand sourire, Florence se pencha sur mon sexe fièrement dressé et vint m’offrir ses talents buccaux. Ce matin confirmait ce que j’avais pu ressentir la veille au soir. Elle me procurait un plaisir immense. Et quelques minutes après nous être réveillés, elle confirma ses propos tenus la veille au soir. Elle avala toute la preuve de ma jouissance avant de venir se poser au creux de mon bras.
Les jours et les semaines suivants, nous faisions toujours l’amour de la même façon. Je la léchais pour la lubrifier et elle simulait du plaisir. Ensuite, je la pénétrais et ne me retirais qu’après avoir éjaculé en elle. Ou en tout cas, vu qu’elle ne sentait rien lors de la pénétration, c’était ce que je supposais (et au final, j’éjaculais réellement en elle à chaque fois). Et le matin, elle m’offrait sa bouche au réveil.

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Quelques semaines après ces premiers moments de sexualité ensemble, nous découvrions, un peu par hasard, le "nouveau fonctionnement" du corps de ma chérie. Florence et moi étions dans le bain ensemble. En raison de notre relation qui nous faisait partager beaucoup plus de moments intimes ensemble, Florence avait abandonné son siège qu’elle utilisait pour la baignoire lorsqu’elle prenait son bain seule chez les grands-parents. Maintenant, si elle avait besoin d’un support, elle pouvait s’appuyer contre moi, car nous nous lavions toujours ensemble.
Ce jour-là, nous venions d’avoir une nouvelle activité sexuelle en dehors du lit, puisque ma chérie venait de m’offrir une nouvelle fellation dans la baignoire. Et après cet agréable moment où elle avala naturellement ma semence, je l’aidais à se redresser pour venir ensuite me positionner derrière elle avant de la poser sur mes jambes. Habituellement, avant ce petit changement très agréable, lorsque nous étions dans le bain, elle se contentait de me masturber.
Je m’adossais ensuite sur le dossier de la baignoire et je la ramenais vers moi. Elle ne chercha pas à essayer de retenir sa courte chute et elle se laissa tomber sur mon torse. J’ai mis mes mains autour de son corps. Pas spécialement pour la maintenir, mais simplement parce que je l’aime et que j’avais envie de la sentir contre moi et d’avoir mes bras autour d’elle. Nous ne faisions rien pendant dix ou quinze minutes hormis nous embrasser de temps à autre. Puis, sans penser à quoi que ce soit, mes mains déambulèrent une nouvelle fois sur son corps et plus particulièrement, sur ses seins. Au lieu de les caresser comme je le faisais jusqu’à présent, cette fois, mes doigts effleuraient simplement sa poitrine et ses tétons.
— C’est agréable, me dit-elle d’une voix apaisée et douce.— C’est vrai ? Tu ressens quelque chose de différent par rapport aux autres fois ?— Oui. Continue s’il te plaît.— D’accord, répondis-je en l’embrassant dans le cou.— Ça aussi c’est agréable, me confirma-t-elle. Cette façon différente de m’embrasser dans le cou, j’aime beaucoup.
Je caressais maintenant ses seins en les effleurant tout en embrassant son cou. Mais ne pensant pas l’avoir embrassée différemment dans le cou, je n’étais pas sûr de le faire de la façon qu’elle aimait bien. Et pour ce qui était des caresses plus sensuelles sur ses seins, sans réelle expérience précédente, je manquais un peu de dextérité. Cela n’empêcha pas Florence de gémir de cette nouvelle façon de prendre soin de son corps. J’alternais de temps en temps en malaxant tendrement sa poitrine du mieux que je pouvais tout en continuant d’embrasser ou de lécher son cou et cela semblait toutefois lui convenir. Cependant, je savais qu’en acquérant plus d’expérience, je saurais lui procurer plus de plaisir. Mais ma vie sentimentale se conjuguant maintenant entièrement avec elle, je savais que j’avais du temps devant moi pour m’améliorer et pour lui offrir davantage de plaisir en lui effleurant, caressant ou en lui massant les seins ou en lui embrassant ou léchant le cou.
Après environ trente minutes à passer mes mains et ma bouche sur ces deux zones érogènes découvertes, mon sexe recommençait à grossir. Ne voulant pas lui parler de mes envies qui devaient passer après les siennes à cet instant, je continuais à embrasser son cou et à effleurer ses seins. Mais, probablement dans un moment de plénitude pour elle, ma chérie passa sa main dans son dos et chercha mon sexe qu’elle empoigna sans gêne.
— J’aime te sentir dur dans ma main mon amour, me dit-elle en gémissant sous mes gestes.— Et j’aime être dur pour toi ma chérie.— Et dans ma bouche aussi. J’aime te sentir dur. Et dans mon vagin aussi. Même si je ne ressens rien dans cette zone, j’aime savoir que tu y prends du plaisir malgré ça. J’aime te faire l’amour.

Toujours de dos, elle commença à me masturber pendant que je continuais de caresser ses seins. Ce n’était pas une position très simple pour effectuer ce geste qu’elle faisait en étant habituellement allongée sur le côté ou face à moi, mais elle ne semblait pas être gênée. Je tournais sa tête pour l’embrasser avant de redéposer ma bouche au creux de son cou. Florence n’arrêta pas de me masturber, cherchant à me faire aller jusqu’à l’orgasme. Ce qu’elle put obtenir assez facilement.
Mon sperme se répandit dans l’eau du bain et un peu sur sa main. En m’entendant jouir, elle interrompit son mouvement et relâcha mon sexe. Et comme s’il s’agit d’un point final à notre acte, nous avions scellé cette séance de plaisirs mutuels par un long baiser rempli de passion. Avec le recul, je pense que j’aurais pu continuer pour tenter de lui donner davantage de plaisir, mais je n’avais pas beaucoup d’expériences et je commençais à fatiguer, même si je pense que j’aurais quand même pu continuer encore quelques minutes. Puis j’entrepris de laver intégralement ma partenaire, sachant que, même si ce n’était pas la première fois, il s’agissait maintenant de notre rituel quotidien depuis notre arrivée dans cet appartement et le début de notre vie de couple. Puis elle me lava à son tour comme c’était maintenant le cas à chaque fois. Je la laissais donc accéder à tout mon corps, m’agenouillant pour qu’elle puisse laver mon visage et mon torse.
Et pendant que j’avais les yeux fermés, elle déposa un baiser sur ma bouche. Puis je me redressais pour qu’elle puisse accéder aux autres zones de mon corps en lui laissant également tout le loisir de profiter de ma zone intime tout le temps qu’elle le souhaitait.
En sortant du bain, je pris mon amante dans mes bras pour la reposer nue sur son fauteuil. Et après nous être séchés mutuellement, aucun de nous ne semblait vouloir se rhabiller. Nous avons pris la direction de la chambre et je la reposai sur le lit avant de venir m’allonger à ses côtés. Elle prit mon sexe dans sa main et nous nous sommes embrassés. Je déposais ensuite de nombreux baisers dans son cou, puis, étant dans une position différente, ma bouche alla aussi sur ses seins. Florence gémissait plus fort quand ma bouche s’occupait de sa poitrine. Elle passa ses mains dans mes cheveux.
Sans vraiment en connaître la raison, pendant que j’embrassais et léchais à nouveau ses seins, ma main a été attirée par la partie plus basse de son anatomie. Si ses poils pubiens étaient encore un peu mouillés, je sentis que ce n’était pas le seul endroit humide dans cette zone.
— Je crois que tu mouilles, dis-je à ma chérie.— C’est vrai ? Je ne sens rien.— Après, nous sortons du bain et je n’ai pas beaucoup d’expériences, donc je peux me tromper.— Ça reste quand même possible. Ce n’est pas parce que je ne ressens rien que je ne peux pas être excitée. Et en ce moment, je suis vraiment très excitée par toi et tes baisers mon amour.— D’accord.
J’aurais pu venir mettre ma tête entre ses cuisses pour vérifier. Mais n’ayant jamais goûté de femme avant elle, je n’aurais pas su si l’éventuel changement de goût aurait été lié au résultat de son excitation, à l’eau du bain ou au parfum du gel douche utilisé. À la place, j’ai retiré mes doigts de leur emplacement et je me suis concentré davantage sur sa poitrine et son cou. Puis, après environ une heure durant laquelle Florence a beaucoup gémi sans toutefois jouir, nous avions décidé d’arrêter. Nous nous sommes embrassés et nous nous sommes reposés l’un contre l’autre. Et sans nous en rendre compte, nous avions fini par nous endormir.
Ce furent les tendres baisers de Florence qui me réveillèrent. Entre temps, la nuit était tombée et la chambre était plongée dans le noir. Nous étions encore sur le lit, sans drap ni vêtement. Nous n’avions pas mangé et rapidement, nos ventres nous le firent savoir. Habitués à ne plus porter grand-chose chez nous, je ne cherchais pas à me revêtir. J’ai pris le temps de préparer un repas convenable pour ma chérie qui l’a bien apprécié malgré mon faible niveau culinaire. Puis nous sommes retournés dans la chambre.
Allongés sur le lit, nous avons recommencé à nous embrasser. Puis, à nouveau, j’ai entrepris d’acquérir de l’expérience en lui léchant les seins et en les embrassant. Après une trentaine ou une quarantaine de minutes, je décidais de passer une nouvelle fois ma main sur ses lèvres intimes. Cette fois, ses poils étaient secs, car plusieurs heures s’étaient écoulées depuis notre dernière activité. Cependant, sa partie intime était encore une fois humide.
— Cette fois j’en suis sûr, tu mouilles, lui fis-je savoir.— Lèche-moi, me demanda-t-elle.
Sans avoir eu besoin de me faire la demande une seconde fois, je vins mettre ma tête entre ses cuisses et cette fois, son goût était différent des fois précédentes. C’était bien meilleur et j’en voulais toujours plus. Je pensais que son excitation allait redescendre rapidement en ne m’occupant plus de sa poitrine, mais ce ne fut pas le cas. Florence restait excitée par l’idée de savoir que je prenais du plaisir en la savourant, ou peut-être par le bruit que faisait ma bouche lorsque j’avalais sa liqueur. En tout cas, je sais que ce n’était pas lié aux sensations que je lui procurais puisqu’elle n’en avait aucune. Je restais avec ma tête entre ses cuisses pendant un temps incertain. Puis, au bout d’un moment, j’avais une autre envie. Celle de la pénétrer et d’inonder une fois de plus son intérieur. Je me redressais et lorsqu’elle me vit orienter mon sexe dans cette direction, ma sœur comprit facilement mes intentions.
— Fais-moi l’amour, me demanda-t-elle.— Oh oui, j’en ai très envie.
Je la pénétrais avec plus de facilité que les jours précédents. Cette fois, sa lubrification était entière en raison de son excitation. Je coulissais en elle avec un plaisir bien plus grand que lors de nos premières fois. Cependant, j’ai pu tenir quasiment trois ou quatre minutes, grâce à la pratique quotidienne qui me rendait de plus en plus endurant. Mais cette durée que j’aurais aimé être plus longue, me parut un peu inférieure à celle de la veille au soir. Le plaisir plus important lié à sa lubrification naturelle m’excita réellement. Et dans un râle étouffé par le baiser que je lui donnais, je me vidais en elle avec une grande satisfaction. Florence, de son côté, semblait ravie de me voir aussi content. Je suis resté planté en elle encore quelques instants avant de me retirer.
— Merci, lui dis-je. C’était vraiment fabuleux.— Je suis toujours contente de réussir à te donner du plaisir mon chéri. — Je dois t’avouer que c’est bien meilleur quand tu es lubrifiée à l’intérieur aussi.— Je t’aime tellement mon cœur. Et je suis vraiment contente de t’avoir donné autant de plaisir. Mais tu sais, ce que tu m’as fait aujourd’hui m’a vraiment beaucoup plu. Et ça me fait vraiment plaisir que tu connaisses enfin le goût de mon excitation.— Tu as un très bon goût. Je suis prêt à t’exciter tous les jours pour avoir à chaque fois ce délice dans ma bouche.— Ça va probablement te paraître bête, mais grâce à toi et après le plaisir que tu m’as donné aujourd’hui, je commence à me dire que je réussirai peut-être à jouir à nouveau un jour. — Je te promets de tout faire pour que cela devienne une réalité. — Après, je sais que c’est bête parce que je ne ressens rien quand tu me lèches. Donc je sais que je ne jouirais plus. Mais le plaisir que tu me procures me donne cette impression.
Ce soir-là, aucun de nous deux ne savait que Florence allait réussir à retrouver la jouissance. D’après ses mots, ce ne sont plus les mêmes orgasmes que lorsqu’elle était valide, mais elle jouit quand même. Nous apprendrons plus tard qu’il s’agit de ce qui est communément appelé un "para-orgasme".
Après avoir fait l’amour, nous nous sommes embrassés puis nous nous sommes endormis sans rien remettre sur nous.
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