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Un frère disant... pour une raison

Chapitre 1

Inceste
20h12
Après plus de 4h de train, Lucile arrive enfin à Marseille. C’est un vendredi soir, mais elle n’a certainement pas prévu de sortir. Étudiante en droit, elle a des partiels la semaine prochaine et est simplement rentrée chez ses parents pour le week-end afin de réviser plus tranquillement.

Une fois à la maison, elle grimpe les escaliers et passe devant la chambre vide de son frère Marc. Lui aussi fait des études, mais dans une autre ville. Marc a 23 ans, il est sportif et mesure près d’1m95, ce qui explique son très bon niveau au basket. Il a été repéré par une école professionnelle de basket lorsqu’il avait 18 ans, et a donc déménagé dans un campus sur Montpellier. Lucile ne voit quasiment jamais son frère, si ce n’est quelques jours en été et aux vacances de Noël. Ils ne se parlent plus vraiment et n’ont rien en commun. Elle se souvient pourtant de l’époque où ils passaient leurs journées collés, à jouer insouciamment. Prise d’une mélancolie, elle reste plantée sur le seuil de la porte de la chambre de Marc quelques instants. Puis se rappelant du travail qui l’attend, elle part réviser dans sa chambre.
01h52Lucile se réveille en sursaut. Elle a une feuille collée sur la joue et son ordinateur n’a plus de batterie. Elle a dû s’écrouler de fatigue et ne s’en souvient même plus. En tout cas, elle a très faim et elle décide de descendre à la cuisine. Une fois en bas, elle réchauffe des lasagnes préparées par sa mère et s’installe à table.

Quelques minutes plus tard, elle entend des clés dans la porte d’entrée et son frère entre dans la maison. Il l’aperçoit et ouvre de grands yeux, comme si elle était la dernière personne qu’il s’attendait à voir ici.
— Tu ne devais pas revenir le week-end prochain ? lance-t-il l’air déboussolé.
Lucile est contrariée de cette réaction, certes ils ne sont pas les meilleurs amis du monde, mais elle est quand même chez elle ! Et puis ils ne se sont pas vus depuis 4 mois, alors il pourrait faire un effort. Vexée, elle lui lance :
— Si, mais mes examens ont été avancés et j’ai besoin de tranquillité. Pourquoi, t’es pas content de me voir ?— Euh ... Si, si répond Marc. C’est juste que je croyais que j’aurais la maison pour moi tout seul... rajoute-t-il tout bas.
Complètement agacée par son comportement, Lucile remonte dans sa chambre et va se coucher.
Quelques minutes plus tard, Marc toque à sa porte :
— Je peux entrer ? — Euh... oui si tu veux.
Lucile remonte la couverture sur elle, car elle s’était préparée à dormir, et qu’elle ne dort qu’en tee-shirt et culotte. Marc s’assoit sur son lit, la regarde longuement puis lui dit :
— Tes cheveux ont bien poussé depuis cet été.
Elle baisse les yeux et remarque qu’en effet ils sont bien longs maintenant, quelques mèches s’engouffrent même dans son débardeur. Elle réalise alors qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et que le regard de son frère est rivé sur sa poitrine. Elle rougit et relève les yeux, croisant son regard intense et profond. Prise de curiosité, elle lui demande :
— Tu es toujours avec Manon ?

Il lui répond instantanément :
— Non, on était pas fait pour être ensemble. C’est fini depuis quelque temps déjà.

Au fond d’elle, Lucile est contente. Manon était très gentille, mais Lucile a toujours senti qu’elle l’avait en quelque sorte remplacée dans le cœur de son frère. C’est bizarre dit comme ça, mais ils étaient si proches il y a quelques années... Puis cette complicité s’est effacée, à peu près au moment de l’arrivée de Manon.
Pendant qu’elle repense à tout ça, la jeune fille ne remarque pas que son grand frère s’est rapproché d’elle sur le lit. Toujours dans ses pensées, elle lui lance :
— Tu te souviens comme on rigolait bien ? On faisait des cabanes dans le salon ! — Oui c’était trop bien, dit-il avec un grand sourire. J’aimerais bien retrouver ça, tu me manques un peu.
Très touchée, Lucile ne répond pas et se contente de plonger son regard dans le sien. Soudain, Marc propose une idée folle :
— Et si on dormait ensemble ce soir, comme au bon vieux temps ?

Elle le regarde de travers quelques secondes, mais se laisse convaincre par ses yeux joueurs :
— OK !

Il se lève, va éteindre la lumière et se glisse sous les couvertures avec elle. Presque instinctivement, le frère et la sœur se placent dans une position cuillère. Lucile se laisse envelopper par les longs bras musclés de son frère, et ce dernier en profite pour glisser sa tête dans le creux de sa nuque, repoussant ses cheveux blonds. Ils restent ainsi collés, et Lucile réalise qu’elle n’a jamais été aussi apaisée qu’à présent.
03h24Lucile se réveille à moitié. Elle a une drôle d’impression, elle sent des chatouillements sur son corps. Elle remarque que la main de Marc s’est glissée sous son débardeur, et qu’elle est sur sa taille, juste en dessous de ses seins. En fait Lucile est sûre qu’il peut sentir ses seins du bout des doigts. Elle bouge un peu pour lui montrer qu’elle s’est réveillée, mais ne lui dit pas d’arrêter.

C’est alors que la main droite de Marc jusqu’alors dans son dos vient se glisser sous elle de façon à ce que ses bras entourent complètement sa taille. Grâce à cette meilleure prise, son frère la tire encore plus contre lui et bientôt leurs deux corps se moulent parfaitement l’un l’autre. Il serre la taille de Lucile contre son torse, et elle est alors prise d’une excitation enivrante. Elle mouille abondamment et lutte contre ses instincts primitifs.

Puis Marc décide de donner le coup de grâce, et vient presser son bassin contre ses fesses l’espace de quelques secondes. C’est un mouvement très rapide et puissant, mais cependant suffisant pour que Lucile sente le membre dur qui se trouve derrière elle. Prise de court entre sa raison et ses hormones qui lui hurlent de se laisser aller, elle tente dans un dernier moment de lucidité de raisonner son frère :
— On ne devrait pas faire ça... c’est toi le plus grand ... c’est à toi d’être raisonnable... s’il te plaît, arrête...
Provocateur, il lui répond à moitié essoufflé :
— J’attends ça depuis trop longtemps ... Si tu ne veux pas, arrête-moi. Vas-y, t’as 10 secondes.
Il colle alors sa bouche contre son oreille et murmure :
— 1... 2... 3... 4... *il lui mordille le globe de l’oreille*... 5 ... 6...
Pas besoin de finir le décompte, elle a pris sa décision. Comment résister à « j’attends ça depuis trop longtemps » ? Elle ne sait pas ce que ça veut dire, à part que son frère a déjà voulu d’elle dans le passé. Et puis elle en a marre de toujours tout faire bien pendant qu’on lui passe tous ses caprices. Elle aussi elle veut s’amuser. Et puis elle en a tellement envie... S’il la veut, il l’aura !
Elle appuie ses fesses contre lui, et leurs corps s’emboîtent instantanément. La bite dure de Marc se place entre ses deux fesses, où elle se dandine de haut en bas, toute joyeuse. Marc, lui, n’est plus qu’une respiration. Son souffle remplit toute la pièce tant il est fort. Et son corps, qu’est-ce qu’il est chaud ! Un véritable radiateur humain ! Lucile lui murmure :
— Tu me donnes chaud.— Alors, retirons un peu ces vêtements, lui répond-il d’un ton coquin.
Il remonte ses mains, les passe sur ses beaux seins bien fermes, et lui retire son débardeur. Puis il la tourne face à lui et sa bouche se colle à ses seins, attirée comme un aimant. Elle, de son côté, rétablit le contact entre leurs bassins et se frotte ouvertement à lui. Des gémissements s’échappent de sa bouche, et à chacun d’eux Marc s’acharne un peu plus sur ses seins. Il mordille ses tétons, remonte dans son cou, à la commissure de ses lèvres... Puis redescend sur ses mamelons, et parfois même jusqu’à son nombril.

Elle lui fait retirer son tee-shirt et il en profite pour faire glisser son jogging au pied du lit. Tous deux en sous-vêtements, ils se frottent sauvagement l’un à l’autre. Il pose alors ses mains sur ses fesses, les malaxe, les agrippe... il lui donne une petite fessée. Elle ne fait pas beaucoup de bruit et il n’en est pas satisfait. Alors il lui en donne une deuxième, plus violente, qui résonne dans toute la chambre. Lucile, qui ne cache pas son plaisir, est heureuse que ses parents ne soient pas là ce week-end.
Puis elle sent un doigt se glisser sous sa culotte. Il se pose sur son clitoris quelques instants puis Marc réalise l’ampleur de son excitation : sa sœur est complètement trempée. Il arrête tous ses mouvements, force Lucile à relever la tête et à stopper ses gémissements pour quelques instants. La pièce devient silencieuse, il fixe son regard dans celui de sa sœur, avec un sourire en coin. Il réalise à cet instant qu’elle en a tout autant envie que lui.

Tout en la regardant droit dans les yeux, il enfonce deux doigts en elle. Il se régale lorsqu’il la voit se cambrer, ouvrir la bouche et gémir. Elle s’accroche à lui comme à un rocher, elle tire sur sa nuque et se mord la lèvre. Il commence alors des allers-retours, de plus en plus rapides, et une fois son point G trouvé, il ne le lâche plus. Elle en crie de plaisir, elle est au bord de la jouissance. Il réalise alors qu’il ne veut pas qu’elle finisse aussi facilement.
D’un coup, il retire ses doigts. Il baisse son boxer dont s’échappe sa queue. Il bande à en crever. Il ne veut pas qu’elle le suce, en tout cas pas maintenant, pas ce soir. Ce soir il ne veut pas briser la proximité de leurs corps, pas même pour un instant, pas même pour une pire. Il écarte sa culotte et la pénètre d’un coup sec. Elle n’est pas vierge et il le sait, alors il ne se retient plus du tout. D’ailleurs elle est loin de s’en plaindre, allongée sur le flanc gauche avec une jambe tenue en l’air, elle accepte ses coups de reins avec plaisir.
Il est heureux dans sa sœur. C’est lui qui est au lit avec elle, pas un autre. Et Dieu sait qu’elle a l’embarras du choix. Qui ne voudrait pas de cette jolie blonde au cul d’enfer ? Pourtant c’est lui qui la fait crier, qui la serre fort et qui la remplit.
Lucile aime sa brutalité, elle aime qu’il ne la chouchoute pas et qu’il n’y aille pas de main morte. Elle ne veut pas être respectée ce soir, elle veut être baisée. Elle sent que la jouissance est proche, et elle le fait basculer sur le dos afin d’être au-dessus de lui. Elle le chevauche avec plein d’énergie, s’empalant sur cette queue très large. Elle la fait ressortir puis re-rentrer à peine, puis ressort de nouveau. Elle regarde son frère et voit que ça le rend fou. Il s’en mord les lèvres, lui agrippe la taille et la guide dans ses mouvements afin qu’elle s’empale plus profondément. Il lui donne une autre claque sur les fesses, c’est celle de trop. Elle part dans une transe et s’affale sur lui, lui disant :
— Pilonne-moi, maintenant... Vas-y !!
Son frère comprend le message, agrippe les hanches de sa sœur, relève ses genoux pour une meilleure stabilité, et ... Il lui donne tout. Ses mouvements sont si rapides que pendant quelques instants il ne l’entend même plus du tout, tant elle n’arrive pas à respirer. Puis elle se remet à hurler, et elle joint leurs bouches dans un baiser passionné. Leurs langues se rencontrent, c’est chaud et c’est bon... Tous deux jouissent en même temps.

Trop occupé à donner du plaisir à sa sœur, il ne pense pas à se retirer et lui envoie toutes ses giclées bien au fond dans de grands mouvements. Ils s’occuperont de ce problème demain. Tous les deux. Puisqu’ils sont à deux maintenant. Il ne la laissera plus s’éloigner de lui. Il la serre fort dans ses bras, il est toujours en elle, car il s’y sent bien. Elle tremble de l’orgasme qui vient de la submerger, mais surtout, elle a un sourire béat sur le visage. Les deux s’endorment dans cette position, en sachant que le week-end est loin d’être fini.
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