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Frère et Père

Chapitre 2

Activités à deux

Inceste
Ça fait maintenant six mois que Paul et Mila ont des relations sexuelles. A l’extérieur, ils jouent au frère et à la sœur, ce qu’ils sont, mais une fois, les portes de la maison franchie, Paul ne se gênait pas pour toucher sa petite sœur, à des endroits où un frère n’aurait pas dû aller. Leur principal complice était leur père. C’est lui qui guidait les deux amants dans les différentes positions qu’ils allaient prendre. C’est lui qui s’était rendu dans le sex-shop pour acheter de nombreux jouets sexuels. Les deux jeunes gens prenaient... leurs pieds tous les deux, alors ils n’avaient pas grand-chose à y redire.
Au début, il y avait des pensées moralisatrices qui passaient dans l’esprit de Mila, oubliées souvent lorsqu’elle faisait l’amour avec Paul, c’était tellement bon. Leur père leur donnait aussi des conseils à l’un ou à l’autre pour procurer du plaisir à leur partenaire. Il ne touchait ni le corps de l’un ni celui de l’autre. Mais il était présent à chaque fois qu’ils faisaient l’amour. Paul lui ne se posait pas tant de questions que sa sœur, après avoir subi le « pire » avec la trahison de sa femme, la perte de son boulot, il voulait simplement... savourer le meilleur. Sa sœur lui offrait le meilleur. Gérard se posait parfois quelques questions sur la moralité des choses, mais comme aucun des deux ne se plaignait, il finit par lui aussi laisser passer le côté moral de cette histoire. Après tout, tout le monde était d’accord et ils ne faisaient pas de mal.
Paul et Mila étaient debout l’un à côté de l’autre dans la chambre de leur père. Ils observaient Gérard qui posait des articles sur le lit. Il y avait des menottes, un gode et une cravache. Mila se tourna vers Paul, le regard un peu inquiet, mais celui-ci jubilait de pouvoir attacher la jeune femme et profitait son corps de mille et une façons. Cela le fit bander. Il commença à caresser le creux de ses reins, cherchant à toucher la peau douce et chaude de la jeune femme.
— Alors, ma chérie, ce soir...— Je n’ai pas envie d’être attachée, fit-elle. — Ma chérie, ce soir c’est ton frère que tu vas attacher.— Hein ? Hé ! s’écria Paul. — Je te promets des plaisirs que tu n’es pas près d’oublier, fit Gérard.
Mila fit un sourire et poussa son frère sur le lit. Il s’installa au mieux, couché sur le dos et les menottes furent fermées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. La jeune femme commença à le déshabiller. Le sexe de Paul se dressa au garde à vous, elle releva le tee-shirt sur le visage de son frère pour le rendre aveugle. La jeune femme se tourna alors vers son père pour savoir ce qui était prévu pour la suite.
— Je vais te guider, pour le préparer à être... sodomisé ! murmura-t-il au creux de son oreille. Ça fait plusieurs mois qu’il te prend, à ton tour de le prendre. — Et si... il veut pas ? demanda-t-elle. — Si tu t’y prends bien, il va jouir et... il en redemandera.
Mila observa son frère et voulait effectivement pouvoir enfoncer quelque chose en lui, le prendre... comme il la prenait. Gérard lui dit de commencer par une fellation, pour servir de sa salive comme lubrifiant pour son anus. La jeune femme se pencha donc vers son sexe. Il sentit qu’elle le prenait en bouche. Les fellations de sa sœur étaient toujours incroyables, les conseils de son père portaient leurs fruits, on dirait.
— Suce bien ! fit son père en lui mettant un truc dans sa bouche. Paul suça l’objet pendant que sa sœur le suçait, qu’est-ce que son père avait en tête ?
Mila continua sa fellation, quand son père l’arrêta en lui disant qu’il était au bord de la jouissance. Paul avait envie d’éjaculer dans la bouche de sa sœur, mais son père lui refusait ce plaisir. Il grogna de frustration. Soudain, il sentit un doigt dans son anus... Il comprit alors ce que son père avait en tête. Il voulait que sa sœur l’encule.
— Mmmh ! fit Paul en se tortillant pour essayer d’échapper à cette intrusion. Il essaya aussi de pousser le machin de sa bouche avec sa langue, son père enleva le gode qu’il avait mis dans sa bouche.
— Ta sœur a accepté tout ce que tu lui as fait, à ton tour... Je te promets que tu vas aimer. — D’ac... accord !
Gérard remit le gode dans sa bouche et observa sa fille en train d’enfoncer deux doigts dans ses fesses. Il l’encourageait à continuer, alors que Paul se tortillait sur le lit. Il ne pouvait pas nier que ce n’était pas si... mal que ça. Le jeune homme ouvrit de grands yeux quand il sentit qu’un troisième doigt venait se joindre à la fête.
Le père de Mila s’avança derrière elle et lui mit une étrange ceinture autour de la taille. Il alla chercher le gode bien humide de la bouche de son fils et l’attacha à la ceinture. Gérard guida sa fille pour qu’elle se mette à la bonne place entre les cuisses de Paul. Il avait les jambes écartées, et elle était à genoux entre ses dernières. Gérard aida sa fille à lever les cuisses de Paul, et lui indiqua comment entrer le gode dans l’anus de son frère.
Paul sentait son anus s’élargir, il sentit une chaleur, monter dans son corps, c’était... bizarre, mais il se sentait... bien.
— Détends-toi... Tu vas voir, ça va bien se passer. Il va entrer tout seul... Respire un peu et pousse, tu vas ressentir du plaisir, dit Gérard, en caressant la cuisse de son fils. Vas-y ma chérie, indiqua le père.
Mila poussa donc pour entrer doucement, puis de plus en plus fort et de plus en plus loin. Le jeune homme ouvrit la bouche, pour laisser échapper un petit cri. Mila finit par sodomiser son frère avec vigueur. La jeune femme avait commencé par faire des va-et-vient doux et peu profonds, avant d’aller plus vite et plus loin. Le sexe de Paul se tenait toujours droit comme un « i ». Elle tendit la main pour venir le toucher et commença à le branler.
Gérard observa sa fille enculer son fils, c’était un spectacle très excitant, il avait lui aussi le sexe au garde-à-vous. Il s’accroupit près de son fils et descendit le tee-shirt pour qu’il puisse observer sa sœur en train de le pénétrer.
— Regarde-la ! murmura-t-il à son fils.
Paul leva le regard vers elle, la jeune femme était toujours habillée et faisait des mouvements de bassin pour le pénétrer avec vigueur. Elle était magnifique. Soudain, il sentit... une pression sur sa prostate, qui le fit jouir. Il éjacula et parvint à faire un jet puissant, qui devait faire au moins dix centimètres en hauteur. Il gémit fortement son bonheur de jouir ainsi.
— Eh bien, dit donc, ça... c’est de l’éjaculation, mon fils.
Paul retomba sur le lit, il n’avait connu quelque chose comme ça, c’était... jouissif. Mila quitta le corps de son frère et se recula. Gérard vint l’aider à ôter la ceinture. Il se rendit dans la salle de bain pour le laver, il le rinça sous l’eau et le savonna. Quand il revint dans la chambre, il trouva sa fille allongée aux côtés de son frère, elle lui caressait le visage en lui demanda s’il allait bien.
— Oui ! ça va ! C’était très bien... — Tant mieux, je n’étais pas sûre de faire ça comme il faut. — Tu peux le détacher, fit Gérard en posant ses jouets dans un coin.
Mila détacha les menottes de son frère, ce dernier posa ses mains sur son sexe et glissa vers ses fesses, il aurait été bien curieux de voir à quoi ça pouvait ressembler. Gérard mit ses deux enfants à la porte. Paul se rendit dans la salle de bain pour aller prendre une douche. Et Mila, frustrée, s’allongea sur son lit et regardait le plafond.
Quelques heures plus tard, Mila sortit de sa chambre et croisa son père, ce dernier était souriant et lui annonça que le repas était prêt. La jeune femme descendit et trouva son frère assis à table. Ils partagèrent le repas, parlant de tout et de rien. Elle n’en revenait pas d’avoir sodomisé son frère quelques heures plus tôt. Elle avait presque peur de croiser son regard. Le repas fini, Gérard les fit monter dans la chambre, assis côte à côte sur le lit. Il les fit se mettre nus, et s’allongeaient sur le lit, l’un à côté de l’autre.
— Masturbez-vous, ordonna-t-il en tenant une cravache dans la main.
Paul posa sa main sur le sexe de sa petite sœur et un coup de cravache sur sa main. Le père précisa que c’était chacun de son côté. Mila glissa une main sur son sexe et l’autre massait ses seins. Paul lui posa ses deux mains sur son sexe et se branla. Gérard observa ses deux enfants se faire plaisir de cette façon. Il se tint au-dessus d’eux, son sexe aussi en main et jouit assez vite sur leurs deux corps. Son sperme tomba sur le ventre de Mila et le bras de Paul.
— Masse ta sœur avec mon sperme ! dit-il.
Paul se tourna sur le côté et étala le sperme de son père sur le ventre de sa petite sœur, monta sur ses seins pour lui titiller les tétons. Puis Gérard dit à son fils de jouir sur le ventre de Mila et d’étaler à nouveau le sperme, mélangeant ainsi leurs spermes sur le corps de Mila.
— Elle sent bon, comme ça, non ! dit Gérard. Pas de douche pour toi. Je veux sentir nos semences sur ton corps. Mila glissa sa main vers son sexe, elle n’avait pas réussi à jouir, mais son père lui donna un coup de cravache. — Tu n’as pas à jouir, ce soir. — Mais...
Clac, un autre coup de cravache sur son ventre, elle serra les jambes et se recroquevilla. Paul la regarda, puis son père qui faisait un sourire en coin. Il comprit alors que son père avait une idée en tête. — Je crois que papa a une idée en tête, qui va te donner entière satisfaction, murmura-t-il à sa sœur.
Cette dernière leva la tête vers lui, puis vers son père. Elle se retourna sur le dos et Gérard dit à son fils de se lever du lit. Il s’avança vers elle et l’attacha au lit. Les deux hommes quittèrent la chambre, laissant Mila seule, nue, sans pouvoir se toucher. Elle serra les jambes et les frottait l’une contre l’autre, en espérant se faire du bien... Mais c’était dur. La porte s’ouvrit sur son père, qui s’avança vers elle et lui éjacula à nouveau sur le ventre.
La jeune femme observa le sperme de son père sur son ventre, quelques instants plus tard, son frère entra à son tour et vint lui éjaculer sur son ventre. Il étala les deux spermes sur son ventre. Une heure plus tard, son père revint et éjacula sur ses seins et son frère quelques minutes à sa suite, il étala leurs spermes sur ses seins. La jeune femme attendait patiemment la venue de l’un d’eux, mais elle tombait peu à peu dans le sommeil. Soudain, elle sentit quelque chose de chaud sur son visage. Elle ouvrit les yeux, son père éjaculait sur son visage. Elle ouvrit la bouche et passa sa langue sur ses lèvres pour récolter un peu de sperme de son père. Son frère arriva à son tour et il lui éjacula aussi sur son visage. Il étala sur son front, sur son nez, son menton et ses joues. Il passa ses doigts couverts de sperme dans la bouche de la jeune femme. Qu’elle suça avec avidité.
— Tu es... affamée, dis donc ! fit Paul.
Il quitta la chambre et Mila s’effondra dans le sommeil. Quand elle se réveilla, elle était toujours attachée au lit. Elle commença à crier à gesticuler, son frère entra dans la pièce.
— Papa m’a interdit de te détacher, mais dis-moi si tu veux quelque chose. — J’ai soif ! J’ai envie de faire pipi ! murmura-t-elle timidement.
Paul hocha la tête et quitta la pièce. Il remonta avec son père et de l’eau. Il lui présenta le verre d’eau et elle but avec avidité. Il lui donna de nombreux verres d’eau, qu’elle fut « obligée » de boire. Puis son père enleva les couvertures, elle était nue dans le lit. Elle sentait son corps... sec. Le sperme sur sa peau, la tirailler. Gérard souleva le bassin de sa fille et glissa un bassin sous ses fesses.
— Qu’est... ce que... commença-t-elle, mais son frère l’empêcha d’en dire plus en l’embrassant à pleine bouche.
Les deux hommes se tinrent au-dessus d’elle. Paul était nu lui aussi et tenait son sexe en main, son frère et son père observaient son sexe et attendant qu’elle fasse pipi pour la regarder. Mais Mila se sentait coincée, d’être ainsi regardée par son frère et son père.
— Je ne peux pas si vous restez là ! dit-elle.
Gérard s’avança et donna un autre verre d’eau à sa fille. Ils attendirent cinq minutes, mais Mila ne semblait pas « pouvoir » faire pipi. Elle avait déjà bu au moins un... litre d’eau. Mais elle n’y arrivait pas. Gérard, impatient, prit la cravache et commença à donner de petits coups sur son bas-ventre et sur son sexe. Puis elle lâcha et se mit à uriner dans le bassin. Paul se mit lui aussi à pisser dans le bassin, mélangeant leurs deux urines dans le bac.
Gérard tendit du papier toilette et à son fils et lui dit d’essuyer sa petite sœur, lui partit avec le bassin dans la salle de bain. Paul essuya sa sœur, avec le papier, puis le mit en boule dans sa main et commença à lui caresser son petit clitoris par la même occasion.
— Que crois-tu qu’il fasse ? demanda Mila. — Il boit, peut-être !— Beurk, arrête de dire n’importe quoi. — J’ai lu que ça se faisait !
Gérard revint avec le bassin vide et regarda ses deux enfants. Il s’avança vers sa fille et caressa un bout de peau sur son ventre. C’était tout... sec. Sans doute leurs spermes qui avaient fait ça. Il retourna dans la salle de bain et commença à faire couler un bain moussant pour sa fille.
— Paul ! appela-t-il.
Son fils arriva dans la salle de bain et Gérard lui expliqua ce qu’il allait faire.
— Tu vas laver ta petite sœur, dans tous les coins et les trous, si tu vois ce que je veux dire. — Oui, papa !
Paul retourna dans la chambre, il détacha la jeune femme du lit et la souleva dans ses bras, il la posa sur le rebord de la baignoire, il testa l’eau, avant de plonger le corps de sa sœur dans l’eau tiède. Il fit glisser ses mains sur son corps pour le laver avec le gel douche, il glissa un doigt dans son vagin pour le nettoyer. Mila gémit sous son doigt, mais il ne la laissa pas jouir. Il la fit se mettre debout pour glisser un doigt plein de mousse dans son cul, dans son petit trou. Elle gémit à nouveau. Mais Paul la força à se rasseoir.
Il l’aida ensuite à s’allonger pour glisser ses cheveux dans l’eau et les mouiller. Il observa sa jeune sœur, elle le regardait avec une étrange... reconnaissance. Après ce qu’elle avait vécu toute la nuit. Lui avait passé la nuit avec son père à regarder des films pornos et dès qu’ils avaient envie de jouir, ils montaient pour le faire sur le corps de Mila. Il avait trouvé ça excitant au départ, puis... quand même faire ça comme ça sur le corps de sa sœur, l’avait quand même un peu inquiété.
— Je me sens... un peu honteux, avoua-t-il. Pardonne-moi. — Paul...
La jeune femme leva les bras et encercla le cou de son frère et le serra contre elle. Tant pis si elle le mouillait lui aussi.
— Non, continue de t’occuper de moi comme ça. Je me... sens vivante dans tes bras. — Moi aussi, je me sens... vivant dans les tiens.
Paul et Mila se regardèrent et leurs deux bouches vinrent à la rencontre l’une de l’autre et ils s’embrassèrent avec tendresse, passion... et amour.
Gérard observa ses enfants dans la salle de bain, ils partageaient un moment de pur complicité. Il ne pensait pas qu’ils allaient tomber amoureux l’un de l’autre. Il entra dans la salle de bain et leur dit d’inverser les rôles. Mila se releva, rinça son corps, puis se pelotonna dans une serviette que lui tendait son frère. Paul se glissa alors dans le bain et ce fut la jeune femme qui le leva, en le frottant partout avec ses douces mains. Ils se souriaient l’un à l’autre avec tendresse. Elle glissa aussi un doigt dans le cul de son frère et il repensa à la soirée de la veille, où elle l’avait sodomisé. C’était un moment, vraiment magique.
— Tu es tout propre, murmura la jeune femme à son oreille.
Paul se tourna vers elle et l’embrassa, il sortit du bain à son tour et Mila l’entoura dans une serviette. Les deux jeunes gens se rendirent dans la chambre de leur père. Toutes les fenêtres étaient ouvertes et les draps changés. La pièce sentait le frais.
Paul allongea Mila à même le sol, sur le tapis moelleux de la pièce. Il commença à essuyer sa petite sœur. Il frotta doucement son cou, puis ses seins. Il en profita pour leur faire des bisous. Puis descendit pour essuyer son ventre, en faisant ça, il ne quittait pas le regard de Mila. Le jeune homme se déplaça pour se mettre face à la jeune femme. Il leva une jambe de la jeune femme pour l’essuyer de son pied, jusqu’à sa cuisse, puis il fit l’autre jambe, avec douceur et sensualité. Mila se laissa aller, mais elle gardait les yeux ouverts pour observer son frère.
— Il me reste qu’un endroit, dit-il en se penchant vers elle.
Paul mit la serviette sur le sexe de sa sœur et commença à frotter pour l’essuyer, mais il frotta bien plus de temps que c’était nécessaire pour la sécher. Mila ne tarda pas à gémir de plus en plus fort et bientôt, elle se mit à jouir sur la serviette que son frère tenait encore en main. Ils se regardèrent et Mila se mit à sourire, elle se redressa et le regarda, il était toujours nu.
— Est-ce que tu me laisses te sécher aussi ? demanda-t-elle d’un ton étrangement timide.
La jeune femme prit une serviette, commença à sécher son grand frère. Elle se tenait à genoux devant son frère et se pencha pour frotter son dos. Paul en profita pour prendre un de ses seins de Mila dans sa bouche.
— Hé ! fit-elle, même si elle ne chercha pas se dérober à cette caresse.
Elle se pencha au contraire, plus sur le corps de son frère, pour qu’il puisse mieux la prendre en bouche. La main de Paul vint caresser l’autre sein et la jeune femme se laissa tomber sur l’épaule de son frère.
— Je ne vais jamais finir de t’essuyer, si tu fais ça ! dit Mila. — Excuse, continue, fit Paul en s’écartant de la jeune fille.
Mila se remit face à son frère et commença à passer sa serviette sur sa poitrine, puis elle frotta un peu les jambes, avant de poser la serviette sur le sexe de son frère. Elle commença par essuyer doucement ses testicules, puis le creux de ses jambes, « oubliant » exprès le pénis. Elle tourna autour un moment, pour faire monter la pression. Puis en attendant son frère gémir et lui caressait les cheveux. Elle mit sa main sur son sexe, entourée par la serviette et commença un long et lent va-et-vient. La jeune fille leva la tête pour embrasser son grand frère. Paul posa une main à terre, derrière lui, sinon c’est lui qui allait finir à la renverse et l’autre main alla se poser sur les fesses de Mila et se perdit en caresse. Il ne lui fallut pas longtemps pour qu’il jouisse à son tour sur la serviette.
— Mila ! fit Paul d’une voix rauque. Tu m’as tué ! ajouta-t-il en s’allongeant sur le dos pour reprendre sa respiration.
La jeune femme s’allongea aux côtés de son frère, dans ses bras. Il passa un bras derrière elle pour venir se lover entre ses seins.
— Vous n’avez pas le droit ! fit soudain la voix de leur père en colère au-dessus d’elle. Il me semblait avoir été clair, pas de caresses, ou de câlins quand je suis pas là.
Les deux jeunes gens regardèrent leur père, la tête en l’air, avec inquiétude. Gérard ne pouvait nier que le spectacle qu’il venait de voir l’avait mis dans un bel état, son sexe était en érection. Mais il y avait des règles et ils devaient être punis.
— Levez-vous ! Vous serez punis ce soir, annonça-t-il.
Paul et Mila se levèrent face à leur père. Ils avaient l’air un peu, désolés d’être pris en faute. Gérard ordonna à l’un et à l’autre d’aller dans leurs chambres. La porte devait rester ouverte, chacun d’eux était assis nu sur le lit avec l’interdiction de se toucher, de jouir, ou même de parler. Gérard s’assit dans le couloir, pour avoir vu sur les deux chambres. Et lui se faisait jouir et éjaculer avec... grand bruit.
— Oh... que c’est bon ! cria-t-il pour les narguer.
Mila était assise sur le bord de son lit et regardait droit devant lui, les jambes serrées et bougeait son bassin, à chaque fois que son père gémissait, ou criait de jouissance. Gérard observait son petit ménage, cela l’encourageait avec... passion. Paul lui était allongé sur son lit, le sexe au garde-à-vous et il faisait lui aussi des mouvements de bassin de bas en haut, espérant lui aussi sans pouvoir jouir sans pouvoir se toucher...
Gérard se leva et les deux enfants purent descendre dans la cuisine, il les fit asseoir tous les deux sur une chaise. Il leur attacha les mains, pour être sûr qu’ils ne touchent pendant qu’ils préparaient le repas. Il sifflotait gaiement en voyant ses deux enfants nus à côté de lui. Il mit le couvert, puis les deux jeunes gens eurent les mains libres, mais juste pour manger. Aucun d’eux ne semblait vouloir parler. Gérard, lui parlait de sujets et d’autres, les pieds posés sur ceux de ses enfants et caressait parfois leurs chevilles avec le sourire.
Puis une fois le repas fini, Gérard fit mettre Paul à genoux devant le canapé, le regard planté sur le sexe de sa petite sœur. Cette dernière était assise sur le canapé, les jambes écartées. Il avait bien sûr l’interdiction de la toucher, ni avec sa main ni avec sa langue.
— Regarde le sexe de ta sœur... regarde-le bien. Elle est en train... de mouiller. Elle a tellement envie que tu poses ta bouche sur elle. Regarde...
Gérard fit lever le regard sur le visage de sa sœur, qui le regardait avec... envie, désir et honte. Le père fit baisser la tête de Paul, le regard sur le sexe de Mila. Il reçut l’ordre de garder le fixer sur son sexe pendant de longues minutes. Mila sentait le regard de son frère, elle avait l’impression que cela la brûlait, la démangeait, elle aurait envie d’y plonger ses doigts. Il fallait qu’elle... assouvisse ce désir.
Au bout d’un moment, Paul parvint à se redresser, mais ses genoux étaient... mal. Il s’assit sur le canapé et ce fut au tour de Mila de rester devant le sexe de son frère. Il était au garde-à-vous, puis débandait, puis... il avait une nouvelle érection. Lui aussi avait envie de sentir la bouche ou les mains de la jeune femme sur lui. Mais leur père était assis sur le fauteuil, les observait d’un œil sévère en se masturbant tout à loisir. Il était seize heures, quand Mila eut l’autorisation de se lever, elle ne tint même pas debout et s’effondra sur le sol.
Gérard dit à ses enfants de monter sur son lit. Ils s’allongèrent l’un à côté de l’autre. Puis il les attacha au lit. — Vous restez sages, encore quelque minutes et on pourra jouer.
Paul tourna sa tête vers Mila, ils se regardaient avec impatience de jouer, de pouvoir enfin... jouir dans les bras l’un de l’autre. La jeune femme ne savait pas très bien pourquoi ils acceptaient tout ça, mais... la jouissance après la douleur était tellement bonne. Tout comme la jouissance après l’attente, l’impatience. Elle ferma les yeux et chercha à dormir un peu, si la nuit était aussi torride que son père le promettait, elle avait besoin de repos. Paul fit de même et ils s’endormirent tous les deux. Gérard les observa avec le sourire.
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