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Frère et Père

Chapitre 3

L'amour - Fin

Inceste
Gérard descendit préparer le repas, il prévoyait un repas froid, car il ne savait pas très bien à quel moment, ils allaient manger. Vers vingt heures, il remonta dans sa chambre, ses deux enfants dormaient toujours nus, attachés, endormis sur le lit. Le père écarta doucement les jambes de sa fille et glissa un stimulateur de clitoris sur son sexe. Il mit un stimulateur à prostate sur le sexe de son fils.
— Debout ! fit-il en faisant claquer la cravache sur le mur.
Paul se leva en sursaut, et donna un coup à Mila pour qu’elle ouvre les yeux à son tour. Tous les deux observèrent leur père. Il glissa un objet dans la main de Mila, et un autre dans celle de Paul.
— Nous allons faire un petit test. Dans votre main, se trouve de quoi faire jouir l’autre. Alors si vous parvenez à faire jouir l’autre, demain, vous pourrez vivre libres et tranquilles. Toutefois le premier qui jouit... sera puni toute la journée. Si vous arrivez à tenir vingt minutes sans jouir, vous pourrez faire l’amour ce soir. Sinon... cela n’arrivera pas avant... quelques jours. — Hein ? fit Mila. — J’ai pas tout compris, non plus... — Faisons simple, le premier qui jouit a perdu. Maintenant, appuyez sur le bouton.
Paul et Mila appuyèrent et les deux stimulateurs se mirent à vibrer. Mila leva la jambe, et se trémoussa sur le lit. Elle n’avait jamais ressenti quelque chose comme ça. Paul lui aussi sentit son sexe se tendre sous la stimulation. Ils se regardèrent l’un l’autre, il fallait qu’ils tiennent... qu’ils ne jouissent pas. Mila se mit à penser à des choses qui la faisaient vomir, ou qui la dégoûtaient, mais... il suffisait d’un mouvement de sa jambe, pour qu’elle sente à nouveau le plaisir.
Soudain, elle sentit son père appuyer sur la télécommande dans sa main, Paul se mit à gémir plus fort. Elle ne savait pas très bien ce que ce genre de stimulateur pouvait faire à son frère. Elle ne savait même pas que des jouets masculins existaient pour eux aussi. Il fit le tour du lit, et se pencha à son tour sur la télécommande dans la main de Paul, et son... stimulateur vibra plus fort. Malheureusement pour elle, elle se mit à gémir, et à... jouir. Elle cambra son corps sur le lit, puis retomba comme une masse. C’était vraiment bon... Mais elle avait perdu, elle ne savait pas du tout ce qui... allait lui arriver le lendemain. Et elle ne pourrait plus faire l’amour avec son frère.
— Pardon ! J’ai pas pu tenir, fit-elle toute timide.
Paul soupira et se sentit lui aussi désolé, mais ce n’était pas sa faute, enfin pas entièrement sa faute. Gérard détacha sa fille et la fit asseoir dans un coin de la pièce, directement sur le sol. Il détacha son fils et lui ordonna de s’asseoir. Puis il ouvrit son placard, en sortit plusieurs objets étranges, qu’il posa près de son fils. Paul en prit un en main, c’était un Fleshlight, un masturbateur pour homme. L’un avait la forme de bouche et l’autre en forme de vagin.
— Ça sert à quoi ? — Je crois que tu devines assez bien. Choisis-en un !
Paul observa Mila assise dans son coin. Son père posa un tas de vêtements devant elle, et lui dit de se rhabiller, ce qu’elle fit en silence. Paul garda celui qu’il avait la main, une bouche. Gérard s’en saisit, et plaça une ventouse sur l’objet et le colla sur le mur, non loin de Mila. Il invita son fils à pénétrer la bouche artificielle, contre le mur. Mila était assise juste à côté d’elle.
— Pose tes mains sur le mur, et vas-y amuse-toi mon fils !

Paul fit des va-et-vient dans cette bouche. C’était... bon, on aurait presque dit qu’une vraie femme était en train de lui faire une fellation. Il posa son regard sur Mila en dessous de lui, vêtue d’un vieux pyjama. Elle ne donnait aucune envie, à aucun homme, dans ce machin froissé.
— C’est bon mon fils ? — Oui, papa ! — Fais-le sentir à Mila ! — Mila, si tu savais comme c’est bon... Je vais... — Tu peux jouir à l’intérieur, je t’en prie... — Oh... Oui... Oui ! cria Paul avant de se lâcher dans l’objet.
Il venait d’éjaculer dans le masturbateur, il se recula et du sperme coula le long de l’objet. Gérard s’avança, et récupéra l’objet, et le pencha vers la bouche de Mila. Il lui saisit le menton et elle ouvrit la bouche pour qu’il y verse le sperme. Puis il pencha vers sa propre bouche, pour récolter la dernière goutte du sperme de son fils.
Le père des enfants rangea les objets, puis invita son fils à dormir dans le lit. Il se tourna vers sa fille, et l’attacha au sol. Et lui dit qu’elle dormirait sur le sol. Quand son père eut quitté la pièce, Paul tira le tapis, pour qu’elle puisse s’allonger dessus, ce serait moins douloureux que le sol froid. Il l’aurait bien détaché, mais il n’avait pas la clé des menottes qui retenaient la jeune femme au sol.
— Pardon, ma chérie. — Ce n’est pas grave ! Va te coucher avant qu’il revienne.
Gérard revint dans la chambre et s’allongea dans le lit avec son fils. Quand il se réveilla le lendemain, il était seul dans son lit. Paul s’était levé pour s’allonger sur le sol aux côtés de Mila. Elle était couchée sur lui, servant ainsi de son frère comme d’un coussin moelleux. Gérard se dit qu’il ne pourrait sans doute pas séparer ces deux-là. Tant mieux.
Il descendit sans les réveiller, pour préparer le petit-déjeuner. Paul le rejoignit dans la cuisine.
— Bonjour, papa. Est-ce que tu me permets de détacher Mila ? — Pas tout de suite ! Mais ne t’inquiète pas, elle ne passera pas la journée assise au pied du lit. — On ne va pas faire l’amour tous les deux pendant plusieurs jours... — Possible, c’est votre punition. Cependant... toi, tu n’es pas puni, si tu veux aller... voir une autre femme. — Heu ! J’ai pas... envie, fit Paul.
Il était quand même surpris de ne pas avoir envie d’une autre femme, et en même temps... il serait prêt à faire l’amour avec n’importe quoi... pour oublier sa frustration de ne pas pouvoir le faire avec sa petite sœur.
— Tiens, monte-lui son petit-déjeuner ! Qu’elle mange tout !— D’accord, papa.
Le jeune homme monta avec le plateau, et le donna à sa sœur, quand elle eut fini de tremper toutes ses biscottes dans son lait, et qu’elle eut bu le lait, elle souleva le bol, et une clé était collée dessous. Paul s’en saisit et détacha enfin la jeune femme. Mila sauta dans ses bras, et lui demanda de la serrer fort contre lui. Paul lui caressa ses cheveux, en lui murmurant tout un tas de mots d’amour.
— Tu veux bien me laisser avec Mila, fit Gérard en mettant son fils dehors.
Le père et la fille se firent face. La jeune femme était assise sur le bout du lit et lui dans son fauteuil. Elle n’osait pas fixer son père du regard, fixant le bout de ses chaussons.
— Es-tu amoureuse de ton frère, mon ange ? — Oui, papa ! — Nous allons donc tester sa fidélité, tous les deux. — Comment ? — Laisse-moi ce rôle-là ! Toi tu as juste à rester à la maison, et t’asseoir sur le canapé dans le salon. — C’est tout !? — C’est tout.
Gérard quitta la pièce et sans laisser l’occasion à son fils de retourner voir Mila, il amena Paul dans la voiture, et ils allèrent dans un sex-shop. Ils entèrent tous les deux. Gérard parla quelques minutes avec le vendeur, qui appuya sur un bouton, et une porte coulissa entre les rayons DVD. Les deux hommes entrèrent dans un couloir.
— Choisis, mon fils !— Hein ? Qui ? — Le long des couloirs, il y a des chambres avec les photos des femmes disponibles. Tu vois, en haut, il y a des ampoules vertes ou rouges suivant si elles sont libres ou pas.
Paul hocha la tête et s’avança dans le couloir, il s’arrêta devant la porte d’une belle femme, le genre qu’il aimait avant... sa sœur. Il poussa la porte et entra dans la pièce.
Dans la maison, la télé du salon s’alluma, et Mila découvrit une pièce, une chambre, où une belle femme était allongée sur un lit. Les murs étaient rouges, et il y avait une lumière tamisée dans la pièce. La jeune femme vit son grand frère entrer dans la pièce. Elle fronça les sourcils.
— Je suis Marion, fit la jeune femme dans l’écran. — Paul ! — Bien Paul ! Que veux-tu ? — Qu’as-tu à me proposer ? demanda le jeune homme. — Je peux être ta soumise, fit-elle en se dandinant contre lui, avec un sourire timide. Ou bien dominatrice, dit-elle en faisant un regard Paul d’un regard dur et de haut.
Paul tira alors les cheveux de la jeune femme, et la recoucha sur son lit. La jeune femme se laissa faire, elle savait gérer les hommes comme lui. Elle tomba sur son lit, et leva le regard vers lui, sans peur. Cela ne leur donnait que plus de pouvoir sur elle.
— Je crois que tu ne peux pas... m’offrir ce que je veux ! dit-il en s’asseyant sur le lit.— Laisse-moi faire !
Marion se leva et poussa Paul sur son lit, et vint se mettre à califourchon sur lui. Elle détacha sa ceinture, et chercha à branler le jeune homme. Il commença à durcir sous sa main, mais... en croisant son regard, elle n’y vit aucun plaisir, ce n’était... qu’une réponse physique de son corps, pas un désir. Elle insista pourtant pendant de longues minutes. Une fois, qu’il fut assez dur, elle enfila un préservatif sur le pénis de Paul, puis elle s’empala sur son sexe... mais après quelques va-et-vient, le regard de Paul n’avait pas changé, aucun désir, aucun plaisir, aucune passion.
Marion se releva, et Paul débanda presque aussitôt. C’était bien la première fois qu’elle voyait un truc comme ça.
— Tu ne ressens de désir que pour une femme, n’est-ce pas, qui est-ce ? — Mila, ma petite sœur. — Ta sœur ? fit Marion en ouvrant de grands yeux.
Le jeune homme se releva, se rhabilla et regarda la jeune femme une dernière fois, avant de quitter la pièce, et de fermer la porte derrière lui. La télé dans le salon de la famille s’éteignit, Mila posa ses mains sur sa bouche. Elle n’en revenait pas que son frère... ait pu être comme ça. Qu’il puisse ressentir autant de désir pour elle au point d’en oublier les autres femmes.
— Je t’aime aussi, et je ne désire que toi, fit Mila seule au milieu du salon.
Paul et Gérard rentèrent dans la maison, Mila se précipita dans les bras de son frère, ce dernier la serra contre lui, sentant son parfum. Oui, il n’y avait qu’elle dans sa vie.
— Allez vous... amuser les enfants ! fit Gérard avec le sourire.
Il avait réussi ce qu’il voulait, ses deux enfants s’aimaient. Quand son fils lui avait dit avoir du désir pour sa sœur. Il avait voulu lui faire oublier la jeune femme, mais vu qu’elle avait accepté de faire l’amour avec lui. Gérard ne pouvait pas voir sa famille séparée, ou bien l’un de ses enfants malheureux de voir l’autre partir. Du coup, il fallait qu’ils tombent amoureux l’un de l’autre, et il avait réussi.
Paul et Mila se regardèrent, et main dans la main, ils montèrent dans la chambre de leur père, par habitude. Mais... Gérard n’avait plus de raison de se mêler de leur vie sexuelle. Pourtant quelques minutes plus tard, Paul et Mila étaient là.
— Tu ne viens pas avec nous ? demanda sa fille.
Il leva le regard vers eux, tous les deux lui souriaient, et lui tendaient les mains. Gérard s’avança, prit une main de chacun de ses enfants, et ils montèrent tous les trois dans la chambre. Le reste... est le secret de la maison. Vous n’en saurez pas plus. Mais si vous tendez bien l’oreille, vous pourrez entendre des gémissements, ou des cris de jouissance, ou percevoir des ombres derrière les rideaux.
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