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Un frère et une soeur invitent Patrick à un rendez-vous galant.

Chapitre 4

L'inceste se précise.

Inceste
Un frère et une sœur invitent Patrick. 4
L’inceste se précise.

— Touche-moi la pine ! Branle-moi, je n’en peux plus !...

Docile, Céline referma les doigts sur la queue dilatée de son frère et fit glisser sa main d’avant en arrière pour décalotter totalement le gland rougeaud puis entama carrément le processus fraternel.Pendant ce temps-là, elle avait dégluti presque tout le sperme que Patrick lui avait envoyé dans la bouche, mais quelques rigoles blanchâtres s’étaient échappé de ses lèvres et tombaient en gouttes translucides sur les poils des testicules tout frémissants de son frère.Patrick avait à peine débandé, tout excité de voir la sœur branler le frère avec encore sa propre liqueur séminale dans la bouche envahie par le nœud incestueux.
Suite :Ida s’en aperçut et occupa la place laissée libre par Céline sur le chibre de Patrick, redonnant aussitôt toute sa vigueur à ce phallus infatigable, s’étonnant qu’il puisse avoir encore autant de vigueur avec ce qu’elle lui avait fait subir depuis ce matin et la séance du cabaret. Car il lui avait tout raconté dans la voiture.Ne voulant pas rester inactif, Patrick avait repris ses léchages dans la craquette béante de Céline et attaquait maintenant le clito qui montrait sa tête rose entre les lèvres poilues.
— Oui !... Ouuuiii !... Suce-moi le bouton ! rugissait Céline entre deux aspirations du gland fraternel. Suce-le bien que je te jouisse dans la bouche !— Jouis, petite sœur !lui disait JP qui se laissait masturber béatement. Jouis bien ! Décharge-lui sur la langue !
Tout à coup, la femelle, secouée des pieds à la tête par un orgasme inouï, se mit à crier de volupté.
— Je jouis, clama-t-elle à tous les échos. Je jouuuiiisss !...
Le grand frère, ému jusqu’aux parties intimes, profita de ce qu’elle avait la bouche ouverte pour lui enfoncer sa queue dedans.
— Tiens salope ! disait-il ; suce au lieu de braire !

L’inceste se précisait de jolie façon. Céline était trop excitée pour penser que c’était le pénis de son frère qu’elle était en train de téter. Ce n’était pas prévu dans la soirée, mais quand on a une bonne queue dans la bouche, on ne peut pas penser à autre chose. Elle se contenta donc de bien la traiter comme on doit le faire avec une bonne verge bien raide qui ne demande qu’à être gâtée par une bouche amie, louchant quand même sur l’exploit d’Ida qui faisait la même chose avec la teub, o combien plus volumineuse de Patrick, déjà prête pour un prochain round.Elle n’abandonnait quand même pas tout à fait la pine de cet amant si bien membré qui lui léchait si merveilleusement le clito. Elle secouait doucement la verge qui avait retrouvé toute sa vigueur première avec sa main gauche quand Ida le lui permettait.
Céline repoussa soudain Ida et frotta le bout innervé du gland contre ses seins nus, mettant en contact la chair à vif du gland contre les pointes érigées de ses deux globes mammaires. Lorsqu’elle se mit à branler pour de bon la grosse bite, la séquelle de bracelets qu’elle avait au poignet accompagna l’action d’un charmant bruit de castagnettes.
Ses lèvres chaudes continuaient de glisser merveilleusement sur le nœud de son grand frère qui dut se retenir à quatre pour ne pas lui jouir en pleine figure. Sa langue taquinait le dessous de la chose de JP qui fermait les yeux d’étonnement. Sa sœur était une pompeuse de première...
Si elle continuait ainsi, il faudrait que ça sorte, car ça commençait à se bousculer dans ses glandes.Il regardait la jolie croupe de Céline qui remuait en cadence, emportée par les à-coups précis de la langue de Patrick dans sa chatte.Soudain, sans prévenir personne, le grand frère se leva et alla pointer son outil tout luisant de salive vers le cul de sa sœur.
— Salope ! grogna-t-il, je vais te la mettre !... Enlève ta langue de là, Patrick, que je fourre ma bite à la place !— Tu ne vas pas me faire ca, soupira Céline, éperdue de honte et de désir à la fois... Je suis ta sœur !— Au point où nous en sommes, il n’y a plus de raison de nous gêner ! Et j’en rêve depuis si longtemps..., répliqua JP.

Il dut faire baisser la tête de son engin qui se levait trop haut vers le ciel, presque jusqu’à toucher son ventre, afin de le mettre en place dans l’entrecuisse où il trouva toute la mouillure salivaire de Patrick qui avait allègrement bavé là-dedans depuis une demi-heure.C’est-à-dire qu’une fois en face de l’orifice vaginal, il n’eut aucune peine à faire glisser le bout de sa bite dedans.Le reste suivit tout naturellement. Toute la colonne pénétra dans le vagin, emplissant la cavité chaude de sa présence.
— Ah le salaud ! Mon salaud de frère me baise ! soupira la petite sœur éperdue.
Elle n’en commença pas moins à faire danser son cul pour accompagner la bonne bite qui limait dans sa chatte en fusion.
— Oui ! Ah oui ! Encore, plus profond ! Ah ! Que ça me fait du bien ! Comme je vais bien jouir sur ta pine, mon grand ! Ah ! Que c’est bon !... Ah ! J’en avais besoin dans la chatte !... Encore !... Encore, encore !

En même temps qu’elle débitait cette litanie salace, elle se frottait les tétins avec le gland innervé de Patrick qui resté étendu sous ses cuisses, se trouvait aux premières loges pour voir tous les détails de la pénétration incestueuse du frère dans la sœur.Il aidait même à l’action en tirant sur les grandes lèvres pour bien écarter la cramouille réceptive.Puis Céline recommença à s’exciter tout haut en racontant sa vie affective à son grand frère en train de la piner frénétiquement.
— Viens, frérot, viens !... Ah ! Comme je me suis bien branlée en pensant à ce que tu me fais maintenant !... Ah ! Comme j’ai eu envie de ta queue dès que je l’ai vue un jour dans la salle de bains de nos parents, tu venais de prendre une douche et tu te tripotais en pensant à je ne sais quoi. Moi qui me trouvais derrière la porte restée entrouverte, je te guettais et c’est là que j’ai vu, pour la première fois, un garçon en train de se branler. Et tu y allais à la manœuvre..., comme maintenant dans ma petite chatte... Oui, ah oui comme ça !... J’aime bien quand tu me tiens par les hanches comme une bête et que tu me l’enfonces bien au fond. Oui, pine-moi fort !... Donc, tu étais en train de te branler, je voyais le bout de ton nœud tout rouge sortant de la mousse blanche du shampoing, on aurait dit une tête de fêtard avec une écharpe de soie blanche autour du cou.— Tais-toi salope ! Remue plutôt ton petit cul. Tu la sens bien ma grosse pine, dis, petite sœur ?— Et comment ! Mais il faut que je de dises..., ce jour-là, je me suis touché la fente, j’ai trouvé mon bouton et pendant que tu lâchais ton foutre, quand j’ai vu sortir de ta pine ce long écheveau blanc comme de la laine pour faire des layettes, j’ai joui... Oh que j’ai joui ! Je regrette seulement de ne t’avoir pas sauté dessus pour te branler moi-même...— T’aurais eu mon pied aux fesses..., mais maintenant que t’as ma pine au cul, tais-toi, tu nous les casses !...— Pas du tout ! soupira Patrick, c’est très instructif.

JP, accélérant les coups de boutoir dans le con de sa sœur, s’énerva :
— Silence tous les deux ! Laissez-moi jouir en paix !... Tu la sens, dis, tu la sens ! Tiens !... Je vais décharger, salope ! Je vais t’en mettre plein la chatte...— Ce que tu peux être vulgaire, je le dirai à maman... Ah oui !... Baise ta sœur, oui décharge !... Donne-moi ton foutre !... J’en ai envie dans ma chatte... J’en veux... Vide-toi bien au fond, viens jouir dans ta sœur, viens !...— Tiens, tiens ! Prends tout !... Tiens !...
Le sperme jaillissait, fusant violemment dans les organes en émoi de Céline.
— Il jouit ! hurla-t-elle, folle de volupté vicieuse. Il me jouit dans le con !... Encore !... Je le sens jaillir..., me remplir la chatte !... Je fonds, je coule, je jouis sur son foutre !... Ah que c’est bon ! Je jouis sur ta bite de grand-frère...

JP soufflait comme un éléphant de mer. Lorsqu’il eut fini d’expectorer sa semence, il tomba sur le sol comme un pantin vidé de son. Il s’affala telle une masse, les bras en croix sur le tapis, la pine toute glaireuse de sperme et de cyprine mélangés.
— Qu’est-ce qu’il m’a mis ! soupira Céline, dont le con continuait à palpiter, pleurnichant des excès de foutre.
Elle se cramponna à la pine de Patrick, comme une naufragée qui saisit une bouée.
— Et toi avec ta bite de poney, où en es-tu ? lui demanda-t-elle.— Quelle question, ma cocotte, tu vois bien que je bande pour toi...— On va arranger ça ! dit Céline en admirant la poutre dressée, putain ! On ne m’avait pas menti, tu es infatigable !
Patrick se releva et prit place à côté de JP. Céline tripotait la queue tout engluée de son frère pour lui redonner de l’ardeur.
A suivre...
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