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Frotteur malgré moi

Chapitre unique

Divers
Frotteur malgré moi
Qui n’a pas pensé, rêvé, imaginé et peut-être fantasmé de se tenir près d’une femme, de sentir son parfum doux ou même plus prononcé de sa transpiration dans un espace réduit ? Personne ?
Alors je suis peut-être le seul à voir ces corps évoluer, marcher dans la rue au rythme d’un pas lent, s’arrêtant pour regarder une vitrine ou fouiller dans un sac à la recherche d’un téléphone, faisant tomber un papier qu’ils ramassent en se mettant accroupi.
Et c’est là que je vois des fesses rondes, fermes, plates, larges, fines. Parfois des tee-shirts ou des tops à bretelles me laissent voir un sein nu ou un soutien-gorge qui comprime une forte poitrine aux tétons qui pointent, ou même de petits seins sans soutien-gorge aux larges aréoles sur lesquelles je veux poser mes lèvres pour les sucer, les embrasser, les lécher.
Je veux me frotter contre ces corps chauds. Une simple caresse qui réveille chez la femme un trouble et chez moi une excitation. Quel bonheur quand sous mes yeux j’aperçois un collant ou un legging s’enfoncer dans une raie profonde entre les fesses.
Et si je suis de face, quel spectacle de voir le fin tissu épouser les lèvres fines ou épaisses de cette chatte, peut-être rasée ou avec une pilosité développée. Je ne me lasse jamais d’admirer une femme en contre-jour laissant deviner sous la fine robe d’été ses cuisses, ses hanches. Quoi de plus excitant que de sentir mon bras frôler une poitrine sous un tissu léger, écrasant un sein nu à l’aréole brune autour d’un téton qui pointe. Une caresse rapide, sensuelle, qui me procure du plaisir. C’est dans ces instants de plaisirs personnels que je suis heureux.
Au début, j’étais maladroit, trop rapide, trop pressé d’en finir pour passer à la suivante. Je voulais me frotter contre toutes les femmes. Et cette erreur de débutant m’a valu quelques claques violentes et sonores.
Mais ne dit-on pas : c’est en faisant des erreurs qu’on apprend ?
Au fil des semaines, des années j’ai pris de l’assurance. Mais toutes les femmes ne réagissent pas de la même manière et surtout ne ressentent pas la même chose. Heureusement d’ailleurs.
Quand me je lève ce matin, il pleut. Je n’apprécie pas la pluie, sauf quand c’est un violent orage d’été, quand il fait chaud où les tee-shirts sont mouillés, les jupes finissent plaquées contre les cuisses et les fesses. Je me régale. Tous mes sens sont en éveil.
Avec la pluie, elles se protègent sous un parapluie, sous des imperméables en plastique et autres manières synthétiques. C’est le cas de cette jeune femme qui me dépasse sur le trottoir. J’ai le temps de détailler ses jambes fines et musclées sous un legging court couleur vert petit pois qui souligne la courbe parfaite d’une paire de fesses rondes. Elle avance à grandes enjambées.
L’eau éclabousse ses mollets, les gouttes coulent sur son K-WAY blanc jusque sur les fesses. Et tout le monde sait ce qui se passe en portant ce type de vêtement. Il protège de la pluie, certes, mais dessous on transpire. C’est peut-être pour ça qu’elle a ouvert la fermeture éclair jusqu’au nombril. Et la pluie mouille son tee-shirt.

La fine membrane de plastique colle à sa peau dévoilant une grosse paire de seins qui rebondit à chacun de ses pas. La vue est splendide. Je mate pendant quelques secondes. Je me retiens pour ne pas me jeter dessus. Je ne sais pas pourquoi, mais au milieu des autres personnes sur le trottoir, elle tourne la tête vers moi, écarte les pans de son gilet en plastique, bombe le torse pour faire ressortir sa poitrine et me fait un clin d’œil. Elle éclate de rire et s’éloigne. Je ralentis la marche.
— Dommage, pensé-je.
Tout en marchant, je mate autour de moi. Rien. Ce n’est pas un bon jour. Je m’arrête sous un porche d’immeuble pour me protéger de la pluie qui tombe maintenant avec force et intensité. Je ne suis pas le seul à faire la même chose. D’autres ont la même idée ou vont sous l’abri bus. Dix secondes plus tard, me voilà en compagnie de cinq personnes devant cette lourde porte d’immeuble. On essaie tous de se protéger. Nos corps sont coincés, serrés. Cette proximité me comble de joie. Une jeune femme se tient debout face à moi. Elle porte un imperméable transparent. Sa petite poitrine sous un tee-shirt se presse contre moi.
Malgré l’épaisseur du plastic, je peux sentir ses tétons durs. La poignée de la porte de l’immeuble me rentre dans le bas du dos et me fait mal alors parfois je bouge. En faisant cela, je me frotte contre cette petite poitrine. Mais je ne suis pas le seul à bouger. Cette jeune femme devant et contre moi se balance doucement d’avant en arrière sur moi en cadence lente et répétée. Elle relève la tête, me fixe quelques secondes, la penche et je vois dans son regard du désir.
Elle prend une grande inspiration puis elle ferme les yeux et soupire lentement en posant son front contre mon torse. Je sens ses mains attraper et tirer mon pantalon, puis se plaquer sur mes cuisses. Je pose mes mains sur sa taille de guêpe et je sens sous mes doigts son imperméable froissé roulé sur ses hanches.
J’avance les mains un peu plus sur ses fesses et je constate qu’elles sont nues. Je l’entends alors gémir, la respiration plus forte et rapide. Je relève la tête et je vois l’homme derrière elle, la tête tournée vers les plaques des noms des habitants de l’immeuble. Lui aussi respire vite. Il n’est pas difficile d’imaginer ce qui se passe.
Il la baise devant moi dans cet espace réduit. D’un geste lent, j’ouvre la braguette de mon pantalon. La jeune femme ne tarde pas à y glisser une main pour me toucher la bite raide et coincée. Elle la caresse comme elle peut avec ses doigts fins.
Elle monte sur la pointe des pieds pour essayer de la glisser entre ses cuisses, mais elle est de petite taille. Alors je plie les genoux délicatement. Elle ferme les yeux, elle se mord la lèvre. Malgré la présence d’autres personnes, elle n’hésite pas à mettre ses bras autour de mon cou et se hisse contre moi. Je sens l’autre homme dans son dos s’agiter plus vite et accentuer ses mouvements du bassin.
Mes mains toujours sur ses fesses, je glisse un doigt entre. Quelle surprise lorsque je sens que son anus est étiré, dilaté par la bite de l’homme dans son dos. Ma bite se tend, mes couilles se contractent. D’une main je plaque mon membre chaud et palpitant contre sa fente humide et baveuse. Mes doigts se couvrent aussi de mouille et la pénètrent sans difficulté.
J’arrive à sentir la bite de l’autre glisser dans les entrailles de la jeune femme à travers la fine membrane. Mes doigts s’enfoncent plus vite et plus profond. Elle soulève et laisse retomber son corps fin sur la bite dans son cul en s’aidant de ses bras autour de mon cou.
L’homme derrière poursuit son lent et discret mouvement du bassin. Alors que je vais prendre ma bite en main pour la diriger et la frotter contre cette chatte baveuse, une autre main la saisit. Un peu affolé, je regarde à ma droite et je vois une femme, la poitrine collée contre mon bras. Mais pas n’importe quelle femme.
Celle qui m’avait pris en flag alors que je matais ses gros seins sous son K-WAY blanc.
Elle me fait un nouveau clin d’œil et pose son doigt sur ses lèvres en guise de : chuuut.
Elle guide ma bite et la frotte contre l’autre femme qui commence à gémir plus fort. Je sens mon gland se couvrir de mouille, glisser contre cette fente qui s’ouvre lorsqu’il s’y enfonce. La jeune prise en double pénétration se cramponne maintenant à mon cou. La position inconfortable ne me permet pas de bouger, mais suffisamment pour que ma bite s’enfonce de quelques centimètres. La femme au K-WAY me branle puis me caresse les couilles.
La pluie tombe moins fort. Les deux autres personnes s’éloignent, nous laissant tous les quatre contre la porte de l’immeuble. La femme au K-WAY soulève son tee-shirt pour libérer sa grosse poitrine nue qu’elle frotte contre mon bras. L’homme dans le cul peut alors accélérer ses coups de reins.
La jeune femme ne se retient plus et gémit, râle. Mais ses cris sont vite étouffés par l’autre femme qui l’embrasse avec fougue. Je me redresse contre la porte et soulève en même temps la femme pénétrée. Je l’entends gémir alors que ma bite s’enfonce maintenant plus facilement en elle. La femme au K-WAY libère la bouche et me caresse les couilles, les presse.
Je vois les traits du visage de l’homme se tendre, il donne des coups plus rapides puis il s’arrête brusquement, avant de s’enfoncer sèchement pour éjaculer dans le cul. Les contractions de la jeune femme écrasent ma bite alors je me retire et crache mon jus sur sa fente.L’autre m’embrasse, me caresse la bite pour étaler mon jus et le mélanger avec la mouille. Puis elle porte sa main à sa bouche, suce et lèche ses doigts avant de les poser sur le visage de la jeune femme.
Chacun remet un peu d’ordre dans sa tenue puis s’éloigne. Je me dirige vers l’abribus en espérant pouvoir à nouveau profiter de ces rapprochements indépendants de ma volonté.
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