Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 40 J'aime
  • 4 Commentaires

Ze Fucking Dead

Chapitre 1

Le commencement

Trash
Petit disclaimer : Attention, cette histoire est gore... C’est de l’horreur.

En 2022, tout le monde croyait le Covid terminé. Ce dont personne ne se doutait, c’était que le pire restait à venir.
En avril 2022, Bryan, un braconnier, est allé en Asie. Lors de ses méfaits, cet homme a été griffé par un gibbon, un singe. Ce qu’il ne savait pas, c’est que ce singe était porteur d’une maladie rare. Cette maladie a commencé à muter dans le corps du braconnier.
Le criminel saignait un peu du nez. Sans faire le moindre rapprochement avec la griffure, il est allé à l’aéroport Suvarnabhumi de Bangkok, direction New York.
Antoine, un étudiant français, était dans ce même aéroport. Il finissait un road trip après avoir eu ses examens. Lors d’une plongée sous-marine, il s’était un peu coupé la main. Pas de chance pour lui, la veille du départ.
Les chemins des deux hommes se sont croisés aux toilettes. Bryan est rentré en premier. Son nez s’est mis à saigner. Il l’a touché, a allumé le robinet pour se rafraîchir le visage avant de sortir. Une seconde plus tard, c’est Antoine qui est sorti de sa cabine pour se laver les mains. Avec sa main qui avait la plaie mal cicatrisée, il a tourné le robinet.
Les deux hommes ne se sont pas croisés, mais c’est ainsi que le virus s’est propagé aux USA et en Europe, se répandant comme une traînée de poudre en l’espace de trois mois.
Saignement de nez puis au niveau des yeux et des oreilles, perte des cheveux, fièvre, des contractions musculaires et des convulsions à s’en briser les os et la mort... Voilà ce que Bryan avait ramené en souvenir à New York. Voilà ce qu’Antoine offrit sans le savoir à Nathalie, sa petite amie.
Antoine et Bryan souffrirent pendant trois semaines. Nathalie et la famille du braconnier seulement une. Les victimes suivantes en quelques jours puis heures.
Et puis soudain, à force de mutations, les décédés se relevèrent et attaquèrent les survivants, immunisés du virus...
C’est ainsi que l’ère Z commença.
Je m’appelle Alex, j’ai 20 ans et je suis un survivant.
Il y a une semaine, je suis sorti de ma cachette, un appartement au dernier étage d’un immeuble en comptant trois. Lors de cette mission à la recherche de vivres, j’ai rencontré Marie. Je l’avais croisée dans le quartier il y a longtemps lorsque la vie était... normale. Nous ne nous étions jamais parlé, pas de la même génération.
Depuis, je suis avec Marie en colocation post-apocalyptique. C’est toujours mieux que d’être seul. On se connaît bien maintenant. A 35 ans, elle était aide à domicile pour les personnes âgées. Elle aimait son métier jusqu’à ce que l’un d’entre eux essaye de la bouffer...
Marie est très jolie. Brune cheveux mi-longs, yeux bleus, lunettes noires à montures épaisses, lui donnant un air mutin et coquin...
Après une semaine à ses côtés, et n’ayant pas vu un être vivant depuis près de 2 mois, je décide de tenter ma chance avec elle.
Alors qu’elle lit un roman dans le canapé, j’arrive derrière et lui pose mes mains sur les épaules. Je la sens se raidir un peu. Je la masse, passant sur la nuque, redescendant mes caresses sur les bras.
Je rapproche ma tête de son cou et y dépose un baiser. Elle penche la tête en arrière et dans un soupir me souffle de continuer.
Mes mains plongent alors dans le décolleté de son t-shirt et saisissent ses seins libres de soutien-gorge. Je les retire au bout de quelques minutes de pétrissage pendant lesquelles Marie miaule comme une chatte.
Elle se retourne, se lève et m’embrasse goulûment avant de retirer son haut. Nous reprenons notre baiser, ma langue jouant avec la sienne.
Pendant ce temps, elle enlève la boucle de ma ceinture et laisse tomber au sol mon pantalon. Elle s’agenouille devant moi et baisse mon caleçon. Visiblement, Marie est satisfaite de mon matériel vu son sourire ravi.
Elle me fait une pipe comme jamais j’en ai eu. Il faut dire que je n’ai que 20 ans et que ça fait près d’un an que les seules personnes que je croise sont des zombies ou des hommes...
Marie m’ordonne de m’allonger. Elle enlève son short et vient s’empaler sur ma bite. Elle est survoltée et rebondit littéralement sur mon sexe.
Nous roulons sur le côté et c’est à mon tour d’être sur elle, en missionnaire. A mon tour de donner le tempo. Je vais de plus en plus vite et je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
Elle entoure mon bassin de ses jambes comme pour me donner l’approbation de jouir en elle. Alors je m’exécute et me répands à longs jets au fond de Marie.
Après une minute, je sors ma bite de ma colocataire et me relève. Je me dirige vers la porte du salon et j’entends un bruit... trop tard.
Pendant nos ébats, nous n’avons pas entendu des zombies qui se sont infiltrés je ne sais comment dans l’appartement.
Je m’en suis aperçu alors que j’ai déjà tourné la poignée. Ils poussent violemment la porte qui me heurte en pleine face, et me fait perdre l’équilibre.
Ils foncent tout droit vers Marie qui est nue, par terre, sans réaction, dû à la surprise et à la panique.
De mon côté, je m’écroule à moitié inconscient contre le mur, la porte me cachant plus ou moins des intrus.
Je sombre progressivement dû à la violence du choc. Je peux cependant voir trois morts-vivants se jeter sur Marie. Le premier lui arrachant la peau du cou avec une gerbe de sang, probablement la carotide... le second lui mange le sein droit alors que le dernier enfonce sa main dans son vagin, lui extirpant les entrailles de son corps...
C’est sur cette vision que je sombre définitivement.
Je me fais réveiller par un zombie qui essaye de m’attraper. Heureusement pour moi, je suis derrière la porte et le canapé l’empêche de passer.
Je reprends mes esprits. Les autres zombies n’ont plus l’air d’être là. Je pousse violemment la porte. Le zombie bascule. Je cours à la cuisine chercher un couteau.
Avant même que le mort-vivant ne se relève, je lui enfonce un couteau en pleine tête. Il retombe au sol, définitivement hors d’état de nuire.
Je recule d’un mètre et j’aperçois le corps de Marie. Ce n’est plus qu’un amas d’os et de chair méconnaissable. Je ne reconnais même plus son visage.
Je sens quelque chose de froid sur mon cou.
Une voix rauque et masculine me dit : « tu devrais rester sur tes gardes... »
Diffuse en direct !
Regarder son live