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Ze Fucking Dead

Chapitre 3

A table

Trash
Cela fait une heure que je suis bêtement mes nouveaux acolytes. Greg ouvre la marche. Noémie le suit. Je lui enchaine le pas. Nicolas est là pour clôturer la marche. Quand je mon regard s’attarde sur le paysage, il n’hésite pas à me donner des coups pour me faire avancer plus vite.
Mes yeux s’égarent régulièrement vers les fesses de la jolie rouquine. Elles sont très bien moulées dans un jean slim.
Comme si Nicolas se doutait de ce que je regardais, il me susurre à l’oreille « oublie, elle est pour moi. »
Je préfère ne rien lui répondre mais j’ai comme un doute qu’elle a le moindre intérêt pour cet échalas.
Restant à fixer le postérieur de Noémie, je ne fais pas attention à Greg qui fait signe d’arrêter la marche. Je percute la jeune fille qui me repousse avec un grognement.
Greg chuchote d’arrêter nos gamineries.
— Notre chemin est corrompu, commence Greg. On va devoir changer d’itinéraire.— Corrompu ? demande Nicolas, devançant ma question.— Si vous regardez le magasin de Hi-Fi sur la droite à une soixantaine de mettre, vous apercevrez tout un groupe de zombies dedans. Et la porte est ouverte. Trop dangereux de passer devant.— Un contournement n’est pas un gage de réussite non plus, Dany pourrait en témoigner, rétorque Noémie.— Il a eu quoi Dany ? ose-je demander.
Mes trois compagnons de fortune me regardent dépités tellement la réponse est évidente. Il est tout simplement mort.
— J’ouvre la marche, dit fièrement Nicolas qui veut probablement impressionner Noémie.
Sans attendre la moindre réponse, Il se lève et avance dans la rue. Greg a essayé de le retenir par le bras mais Nicolas est parti trop vite. Je jette un œil à Noémie. Elle fixe son compagnon de route, se mordant la lèvre inférieure.
Nicolas progresse rapidement mais avec prudence. Il passe devant le magasin sans le moindre bruit. Après avoir dépassé le magasin d’une bonne vingtaine de mètres, il se retourne vers nous et lève les deux pouces pour signaler que tout est OK.

Alors que Greg me tape dans le dos pour me dire d’y aller, je vois au loin la tête de Nicolas tomber de son corps. A mon regard, notre leader comprend que quelque chose ne va pas. Il regarde au loin et voit Nicolas debout, sa tête au sol. Le corps décapité de notre compagnon s’écroule.
Une silhouette sort de l’ombre, ramasse la tête et la jette en direction du magasin. A notre grande surprise, ce qui en sort sont des humains décharnés. Certains marchent presque à quatre pattes. Mais ce qui est sûr c’est que ce ne sont pas des zombies.
— Des carnassiers, soupire Noémie visiblement tendue.— Des hommes qui ne se nourrissent de tout… mais qui privilégient la chair humaine. Ils croient que ça les empêche de devenir zombie.
Greg me donne l’explication avant même que j’ai besoin de poser la question. Alors qu’on reste immobile espérant ne pas avoir été repéré, la silhouette sort de la pénombre en essuyant sa lame sur son avant-bras.
— Mes sous-fifres, il semblerait que ce soit jour de buffet aujourd’hui.
En disant cela, il pointe son épée dans notre direction. Alors que nous essayons de reculer pour ne pas être vu et pouvoir s’échapper, on entend le bruit de pistolets qu’on arme.
Nous sommes faits comme des rats et nous levons les mains en l’air.
D’un geste de revolver, l’un d’entre eux nous fait signe de nous lever et d’aller vers leur chef. Une fois devant lui, je découvre enfin cet homme.
D’une quarantaine avancée, ses cheveux grisonnants sont plaqués en arrière comme s’il avait abusé en gel. Il dégage un côté classe par ses vêtements mais quand il ouvre la bouche pour esquisser un sourire, ses dents jaunâtres montrent qu’elles n’ont pas connues l’hygiène bien avant le début de la crise.
— Attachez-les au pilori.
Nous voici donc côte à côte, espacé d’environ trois mètres, adossés à un poteau, les mains attachés derrière celui-ci.
— Nous allons jouer les amis. Je vais poser des questions. Si les réponses me plaisent, vous vivrez. Enfin… ceux qui gagnent pourront plutôt choisir lequel aura le droit de vivre et lesquels finiront en buffet !
Alors que cette annonce déclenche des applaudissements chez ses disciples, Noémie qui est au milieu regarde Greg avant de me fixer. Je ne reconnais pas la Noémie que j’ai rencontré quelques heures plus tôt. Elle avait l’air si sûre d’elle et maintenant tellement paniquée.
Notre tortionnaire se rapproche de Greg.
— On dirait que tu es le chef de cette petite bande. Je m’appelle Damien.
Greg ne répond pas et le fixe méchamment.
— Soit, continue Damien. Voici ma première question pour toi : droite ou gauche ?
Greg ne comprend pas. Damien rapproche la lame d’un couteau sous sa gorge et lui répète la question.
— Gauche, répond Greg.
Damien passe dans le dos de Greg. Le colosse hurle. Damien réapparait devant nous. Il nous monte le petit doigt de la main gauche qu’il vient de sectionner à notre compagnon.
Avec un sourire sadique, il le jette dans le public constitué de ses disciples. Il se dirige devant moi.
— Goût ou odorat ?
Hésitant et ne sachant pas où il veut en venir, je déglutis et annonce la voix tremblante « odorat ».
Il sort de sa poche un genre de crochet. Alors qu’un de ses assistants me maintient la tête, Damien m’enfonce le crochet dans le nez et le tire vers le haut. La douleur est intense et horrible. Le cartilage craque, mon nez se met à saigner. Il finit par retirer le crochet. Il s’approche de moi et me demande si ça va, comme si soudain il était pris de compassion. Mais pas du tout. Je n’ai pas le temps de répondre. Il m’envoie un grand coup de poing dans mon nez, définitivement cassé et pissant le sang.
Le voilà maintenant face à Noémie.
— Quelle belle petite rouquine. Oserais-je te détériorer ?
Il ressort son couteau et fait passer la lame sur le cou de la jeune fille. Délicatement, il remonte le bas de son T-shirt jusqu’à l’encolure et taille le vêtement qui est ouvert telle une veste à présent. Il finit de le tailler en pièce.
Noémie est en soutien-gorge et jeans devant la trentaine d’hurluberlus qui suivent le spectacle de Damien. Je ne sais pas s’ils ont envi d’elle sexuellement ou si c’est pour leur pratique cannibale dont m’a informé Greg quelques minutes plus tôt.
Damien glisse le couteau entre les bonnets du sous-vêtement de Noémie qui essaye de se débattre tant bien que mal. La lame tire sur le tissu qui cède, libérant la blanche poitrine de ma compagne de route.
Damien se met dans le dos de Noémie et lui dépose un baiser dans le cou. Il glisse sa lame sous le sein droit de la rouquine puis sous le gauche et annonce :
— Sein droit ou sein gauche.
Greg se débat comme un diable, essayant de se libérer de ses entraves. Noémie en pleurs, le menton tremblant nous regarde à tour de rôle. Mon nez en sang n’arrête pas de couler mais tout comme Greg, j’essaye de me libérer pour tenter d’aider la jeune fille.
— Tic-Tac Tic-Tac, s’impatiente Damien. Je n’ai pas toute la soirée. Nous devons préparer un diner et trouver une recette qui convient pour de la chair fraiche comme cela. J’ai hâte de savourer un met délicat avec cette belle pièce de viande…— La recette est capitale, ose-je crier.
Interrompu dans son discours, Damien se retourne vers moi, surpris. La lame quitte le corps de Noémie.
— Recette, tu connais des recettes, me demande Damien en pointant son couteau vers moi.
L’assistance ne fait plus le moindre bruit.
— Oui, je connais des recettes, de très bonnes recettes.— Et bien tu vas cuisiner ce que je vais découper me dit Damien se redirigeant vers Noémie. Si ton plat me convient tu survivras.— Attendez.— Quoi ? s’agace Damien qui s’apprête à couper le sein droit de Noémie en l’absence de sa réponse.— Il ne faut pas découper la viande maintenant. Il me faut de la viande fraîche et je n’ai pas encore les autres ingrédients.
Damien hésite. Le public est suspendu à ses lèvres.
— Tu ne serais pas entrain d’essayer de gagner du temps, jeune homme ?— Non, je vous le jure. Je veux juste vous cuisiner un plat des plus délicieux.— Tu as besoin de quoi ?— Je vais vous proposer des plats et selon votre désir, je vous donnerai la liste des ingrédients nécessaire à sa réalisation.
Damien va dans mon dos et je sens mes liens se desserrer. Il m’attrape par le cou et me jette au sol. Il se dirige vers Noémie et il la détache à son tour. Il lui ordonne ensuite de se déshabiller entièrement. La jolie rousse obéit et enlève ses chaussures puis son jeans et après une hésitation et la réitération de l’ordre de Damien, son string.
— Quel beau morceau de viande, n’est-ce pas ? me dit Damien après m’avoir tapé derrière la tête. Tu sais quel morceau est le meilleur ? Vas-y, tourne sur toi-même ma belle ! On va s’en faire des bons petits plats avec ce petit lot, chef cuistot !
Damien me redonne une claque derrière la tête. Je ne peux qu’admirer la beauté de Noémie, nue devant moi.
— Cependant, mes sous-fifres ont été privé de repas et de spectacle. Alors tu vas nous assurer le show. La fille, à quatre pattes tout de suite.
Noémie comprend qu’il faut obéir rapidement pour ne pas avoir de problème. Deux hommes se rapprochent de moi et baissent mon pantalon et caleçon.
— Le cuistot va assurer le spectacle.
Je me tourne vers le public et c’est alors que quelque chose me frappe. Il n’y a que des hommes. Ils sont tous entrain de se lever et de baisser leur pantalon avant de se rasseoir, sexe à la main, prêt à se branler.
Je me retourne pour regarder Damien. Celui-ci est aussi sexe à l’air, avachi dans un amas de pneus et métal qui donne une impression de trône.
Par-dessus son épaule, Noémie me regarde et visiblement a compris ce que veut voir Damien et ses sbires.
— Fais-le. Tu nous as fait gagner du temps. Fais-le !
Je regarde Greg qui acquiesce avant de détourner les yeux.
Tellement en stress, je ne m’étais même pas rendu compte que mon sexe était déjà bandé. Pas étonnant vu le spectacle que m’offre Noémie avec son corps nu.
Je pointe mon gland vers sa chatte et je m’y glisse dedans. J’attrape la rouquine par les hanches et commence des va-et vient. Mon sexe débande à force d’entendre les couinements du public. Je suis à peine défloré et voilà que je dois faire l’amour à une femme devant toute une assistance.
Noémie me dit de fermer les yeux. Mon sexe redurcit. Elle se redresse. Nous nous retrouvons tous les deux à genoux. Une de mes mains vient chercher son sein gauche, l’autre vient caresser son sexe dans lequel je coulisse toujours. Elle cherche ma bouche.
Je ne sais pas si elle joue son rôle à fond ou si elle prend réellement du plaisir. Je sors mon sexe et l’allonge sur le dos pour la prendre en missionnaire. Je reprends mes va-et-vient en embrassant Noémie à pleine bouche qui me rend mes baisers. Je sens son sexe se contracter une première puis une seconde fois. Elle a belle et bien des orgasmes.
Alors que je m’apprête à jouir et que je veux sortir mon sexe de ma partenaire, je sens un pied appuyer sur mes fesses pour m’empêcher de me retirer.
Alors que je libère mon sperme au fond de la chatte de Noémie, j’entend le public applaudir et je reçois des gouttes tièdes dans le dos.
Je m’écroule sur Noémie. Elle me dit faiblement merci. Alors que je me retire et me relève, je m’aperçois que c’est Damien qui m’a obligé à jouir dans Noémie et que c’était son éjaculation qui m’avait éclaboussé dans le dos.
Damien récupère son épée, se dirige vers Greg et lève sa lame, prêt à le décapiter comme le pauvre Nicolas.
— Stop ! crie-je.— Quoi encore, gronde Damien.— C’est de la viande de qualité. Musculeuse, avec un peu de gras. Ça peut faire des bons steaks.— La fille nous suffira au menu.— Vous allez cracher sur des buffets de qualités ?— Certes, mais nous aurons le temps d’attraper d’autres gibiers.
Damien lève sa lame. Noémie hurle pitié en tendant le bras vers Greg…
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