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Ze Fucking Dead

Chapitre 7

Trash
Greg avait été content de retrouver sa fille. C’est vrai que notre situation était très mal engagée et que j’avais trouvé assez de courage pour faire basculer les choses en notre faveur. Noémie avait bien réussi son coup de son côté. Après des retrouvailles touchantes suite à cet ascenseur émotionnel, nous sommes sortis de la cuisine.
Après avoir slalomé dans les couloirs sombres du bâtiment, nous avons réussi à rejoindre la sortie de l’immeuble. Quelques zombies avaient croisé notre route mais notre surdose d’adrénaline nous avait permis de les éliminer facilement.
Cela fait maintenant deux heures que nous sommes sortis. Nous avançons en silence. Noémie n’est pas revenue sur le fait de comment elle s’était libérée de ses entraves et nous ne voulions pas trop le savoir. Je suis toujours sur le fait de lui avoir fait l’amour devant tout le monde quelques heures plus tôt. Je ne sais pas trop comment faire pour entamer une conversation. Je préfère rester silencieux. En fait, nous sommes tous entrain d’essayer d’oublier ce qui s’est passé ces dernières heures. Après tout, nous avons réussi à survivre et personne n’est blessé, même si mon nez est encore douloureux.
La nuit arrive et Greg décide de rentrer dans une boutique à la vitrine cassée pour s’y reposer et éventuellement trouver à manger. Après une recherche dans les placards et étagères, nous ne trouvons rien. C’est sûr qu’une boutique de téléphonie, question nourriture, ce n’est pas le top.
Après notre quête infructueuse, je préfère me mettre de côté pensant que Noémie a besoin de parler à son père. Ce lien de parenté, je ne l’avais vraiment pas venu venir. Et quand je repense que j’ai couché avec elle devant lui... et une trentaine de personnes...
Alors que je m’improvise un matelas pour dormir un peu, Greg arrive et me prend dans ses bras. J’ai comme l’impression qu’il est entrain de pleurer... Puis il me regarde droit dans les yeux et me remercie de nous avoir sauvé.
Noémie essaye de détourner le sujet mais me remercie également avant de le faire. Elle n’a vraiment pas envie de revenir sur ce qui s’est passé mais je ne sais pas si c’est par rapport au moment où j’ai couché avec elle ou alors si c’est sur ce qui s’est passé quand je l’ai laissé seule avec le garde.
Je m’endors progressivement en repensant à tout ce qui s’est passé en seulement quelques jours. Mon rêve est agité. Je revois ma famille, Marie et son sourire puis son corps dépecé par des zombies, Noémie avec qui je fais l’amour, et je revois Damien le prédicateur qui attrape la rouquine par sa tignasse et qui l’égorge devant moi avec un rire diabolique...
Je me réveille en sursaut et en sueur. Noémie monte la garde et s’est bien aperçue que j’ai dû faire un cauchemar vu comment j’ai bondi en me réveillant. Elle me jette un œil et me dit :
“Tu peux encore dormir, ton tour de garde est dans une heure. Tu sais que chaque minute de sommeil est rare. Faut en profiter quand tu peux dormir et que quelqu’un te protège pendant que tu le fais.
_ Je sais, c’est gentil. Mais j’ai du mal à m’endormir...
_ Je connais ce problème. Tu n’as pas de mal à t’endormir. Tu as peur de t’endormir car tu fais des cauchemars. Tu revois tout ce qui s’est passé et tu ne le supporte pas.
_ Ca m’arrive.

_Vu comment tu viens de te réveiller, ça ne m’étonne pas. Moi aussi j’en fais souvent. Enfin j’en faisais. Plus tu vas voir d’horreur et plus ce sera banal. Et un jour, tu ne sauras même plus si c’est un rêve ou si c’est vrai.
_ J’ai rêvé de toi... Je...
_ OK tu m’as baisé pour nous sauver. C’était pas mal je dois dire mais j’étais un peu... Stressée par la situation on va dire. Mais bon, j’ai pas à me plaindre de ce service rendu.
_ Ce n’est pas ça. Damien n’a pas mangé le repas. Il s’est échappé. Et j’ai rêvé qu’il te tuait.
_ Mais ce n’est qu’un rêve. Pas la réalité. Je suis vivante. Et lui s’est peut-être fait bouffer par d’autres zombies avant de sortir de l’immeuble... Et puis ça m’étonnerait que ce taré nous poursuive. Il a autre chose à gérer avec sa communauté de dégénérés.
_Oui mais si c’était une prémonition...
_ Tu en as déjà fait ?
_ Non, enfin je ne crois pas...
_ Donc il n’y a pas de problème. Tu sais, tu es un peu mon héros maintenant.”
Tout en disant ça, Noémie pose sa main sur mon entrejambe et commence à le caresser. Elle descend ma braguette en me regardant droit dans les yeux. Je suis comme pétrifié.
“Comme je te l’ai dit, c’était pas mal... et puis en tant que mon héros, tu mérites bien une récompense.
_ Tu n’es pas obligée.
_ Je suis une grande fille, je fais ce que je veux. Et puis c’est peut-être moi qui profite de toi.”
Je n’ai pas le temps de répondre. Elle me baisse le pantalon et le boxer en même temps. Elle saisit ma bite et commence à me la branler avec la main. Au début ce sont de simples caresses puis elle l’empoigne pour faire des mouvements d’aller-retour avec son poignet.

Elle s’agenouille et se place entre mes cuisses, le visage à hauteur de ma virilité. Elle me donne de petits coups de langue habiles sur le gland avant de l’embrasser par moment. Elle finit par le prendre en bouche. Elle y pose les dents, me regarde dans les yeux en souriant, puis elle descend ses lèvres le long de mon membre.
Je n’ose même pas bouger et me demande si finalement ce n’est pas mon rêve qui se prolonge. J’ose poser ma main sur sa chevelure mais je suis encore trop timide pour exercer une pression et imposer un rythme. Ceci dit elle se débrouille très bien toute seule.
Alors que je suis au bord de la jouissance, elle sort mon sexe de cette cavité humide. Elle baisse son pantalon. Elle n’a visiblement pas récupéré le moindre vêtement car elle est nue en dessous. Elle s’assoie sur moi et fait coulisser ma bite sur ses lèvres. La tension sexuelle est énorme. Je n’ai plus qu’une envie, la pénétrer.
Tout ce qu’il y a autour de nous ne compte plus. Elle se relève un peu, prend mon sexe et glisse mon gland dans le sien. Elle reste comme ça un instant puis elle pose ses mains sur mes épaules. Sans un seul mot, elle se laisse descendre sur ma queue alors que nos lèvres se rapprochent et que nous échangeons un baiser.
Je la serre contre moi alors que nos mouvements s’accélèrent. Je sens que je vais venir. Je préviens Noémie. Elle me regarde droit dans les yeux et m’embrasse. C’est au même moment que de longs jets de spermes tapissent le fond de sa chatte.
Nous restons quelques secondes sans bouger quand soudain une voix nous dit :
“Le héros, t’es obligé de baiser toujours ma fille devant moi ?”
Je bafouille, ne trouvant pas les mots. Noémie elle ne bouge pas et reste toujours assise sur moi, ma bite ramollissant progressivement en elle.
“Rhabillez-vous les jeunots. Moi aussi j’ai été jeune et le monde était meilleur à cette époque. Par contre, évitez de faire ça en plein tour de garde. Nous ne sommes en sécurité nul part. Excepté au bastion.”
Alors que je veux poser des questions sur le bastion, Noémie se relève et me coupe en disant de me rhabiller.
Greg propose de reprendre la route un peu plus tôt vu que tout le monde est réveillé. Nous avons cependant tous faim et plus rien à nous mettre sous la dent.
Mais pour une fois, la chance est de notre côté car un peu plus loin dans la rue nous tombons sur une épicerie asiatique. Greg entre en premier suivi de Noémie. Je referme la marche. A notre plus grande surprise, les rayons sont bien achalandés et n’ont pas été victime de pillages.
Je trouve une boite de mangues en boite. Je l’ouvre et en mange un morceau directement. C’est une explosion de saveur dans ma bouche. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas mangé de fruits... Même si celui-ci est en boite.
Greg de son côté a trouvé le rayon bière et en a déjà vidé une. Noémie qui a ouvert un paquet de bonbons rappelle à son père de garder ses idées claires.
Alors que nous sommes complètement insouciants à ce moment-là, j’entends dans mon dos deux sons presque identiques que je reconnais. Une personne a armé un fusil à pompe et me le pointe dans le dos.
“Ce que vous consomme, vous payez.”
Greg et Noémie déposent leurs articles et lèvent les mains en l’air pour montrer leur volonté de ne faire de mal à personne.
“Ce que vous consomme, vous payez.” répète avec agacement l’homme qui est dans mon dos.
_ Vous voulez quoi ? Demande Noémie.
_ Vous payez.
_ Mais comment ?
_ Vous stupide. Vous payez. Argent !”
D’un coup de canon, l’homme me pousse vers mes compagnons. Je me retourne et le découvre enfin. Typé asiatique, il doit faire 1m65 et avoir près de 65 ans... je suppose. Je comprends mieux qu’il n’a pas été volé. Il a un fusil à pompe en main, un fusil d’assauts en bandoulière dans le dos. Il porte un casque et un gilet pare-balle. A la ceinture il a aussi un vieux pistolet qui devait être à un de ces ancêtres.
“On n’a pas d’argent, je suis désolé, ose-je dire.
_ Pas remboursement pas échange vous payez sinon prison.
_On peut vous rendre un service si vous voulez à la place.
_ Moi pas besoin service, moi besoin argent.
_ Vous savez que l’argent n’a plus de valeur...”
Le gérant du magasin marque une pause.
“Vous qui êtes-vous ?
_ De simples voyageurs, répond Greg. Nous allions, ma fille son petit ami et moi, vers notre refuge après avoir trouvé des vivres quand nous avons été attaqués par des gens étranges qui voulaient nous manger.”
Au mot petit ami, Noémie m’a glissé un “ne t’emballe pas mon grand”... Ceci dit, l’explication de Greg était plutôt bien faite.
“Vous vivants. Pas mangé vous les méchants ?
_ On a réussi à s’en... débarrasser”
Une porte s’ouvre au fond du magasin. Cinq silhouettes se rapprochent, de tailles différentes.
“C’est bon papy, tu vois bien qu’ils ne sont pas méchants. Ils ont juste faim. Han, enchanté, nous dit un jeune homme d’une vingtaine d’année.
_ Je voulais m’amuser un peu, répond le vieil homme sans n’avoir plus le moindre accent et en baissant son fusil.”
Han nous laisse nous présenter avant de présenter à son tour sa famille. Il y a donc son grand-père Akihiko, qu’on pouvait appeler plus simplement Aki. Han nous présente ensuite sa mère, une femme d’une quarantaine d’année, Mitsuko. Ensuite il y avait deux jeunes filles tout juste majeures, Aya sa sœur et Yumi, une de ses amies qui s’était réfugiée avec eux. La présentation de la famille s’acheva par Kaïto, le jeune frère de 8 ans qui visiblement était content de voir de nouvelles têtes.
Une fois les présentations faites, Aki, totalement métamorphosé depuis l’arrivée de Han, nous propose de les rejoindre pour manger.
“Il n’y a pas de viande humaine au menu, rassurez-vous, nous dit-il en rigolant avant de refermer correctement la porte de l’épicerie.
_ Ton humour laisse à désirer lui répond Han. Tu devrais savoir mieux que quiconque qu’il ne faut pas croiser leur chemin...
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