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Fucking Queen vs Petit Prince Salace

Chapitre 1

Une aventure délirante de la Fucking Queen

Divers
      "L’Austère Litz", le pire bouge du secteur X... Désaxés de tous genres côtoyant le bourgeois à la recherche de chair tendre et pas chère. On croise ici toutes les dérives tox, de l’hystérique hurlant son speed au vieux bab avachi dans son spleen, la vie est belle quand on la vit sur une autre planète.
      Vingt ans après, la Queen revient sur les lieux du crime. Putain, ce vieux gros porc de dealer dit Mac Couy est toujours là, à fourguer ses premières doses gratuites aux gosses paumés venus noyer leur échec au bac avant de les soumettre à son vice et les livrer à la prostitution.      Elle crache à ses pieds avant d’entrer dans ce temple de la dépravation et s’installe près de la scène. Ce soir, concert gitan de haut calibre, voilà ce qui l’a motivée à venir voir si vraiment rien n’avait changé.      Et non, rien ! Ce serait d’une tristesse pas croyable si ça ne lui donnait pas l’impression de rajeunir !
      - Allez, ce soir, je me mets une mine au rhum et je me fais un jeune. Épices et tout !
      Elle dévisage les éléments masculins les uns après les autres... Pffff, c’est plat ! Vieux, benêts, grossiers, moches, alcooliques de naissance, rien de croustillant à se mettre sous la dent !
     Tchavolo à la guitare, ça swing. Elle enquille les tipunchs mais les vapeurs de l’alcool ne parviennent pas à suffisamment flouter la réalité : Non, cet endroit est sordide, elle s’est trompée, il ne poussera pas de rose sur le fumier.
      Mais soudain son œil est accroché par un autre œil. Tapi derrière une épaisse fumée de cigare nauséabonde. Perçant... Transperçant, même ! Et vissé sur elle... En elle, même !Et autour de cet œil, un visage mâle absolument différent de tout ce qu’on trouve habituellement par ici. Ça respire la profondeur ! Et avec ça, un corps bien fait, dans un costume parfaitement suranné. Ça provoque une réaction épidermique, comme un suintement sexuel.      Ok ! Ce soir ce sera lui ou personne !
      Elle lui décoche un sourire et lui fait signe d’approcher. Il l’imite, le narquois !      Elle se tâte et commande un autre verre... Il veut jouer à chat !? Elle boit le rhum cul sec en le matant du coin de l’œil se resservir whisky sur whisky. Et elle se concentre à nouveau sur la musique quand le serveur lui apporte un autre verre :
     - De la part du Monsieur là-bas, avec ce message : "Allez ma Queen fais pas ta fière, aboule ton boule !"
      Décontenancée, elle lui fait un signe du doigt qu’elle prend soin de tremper dans le rhum et de sucer avant de lui tendre, malicieuse : Fuck !
      Il arbore un sourire lubrique et se passe la main sur le sexe.
      Cette fois c’en est trop, elle chaloupe jusqu’à lui :
      - Tu t’es perdu fleur dépravée ? Si tu continues à picoler comme ça, gaffe à ton p’tit cul de puceau, y’a pas que des gentilshommes par ici !      - T’en fais pas pour moi la Queen, suis justement venu pour te l’offrir mon pucelage !      - Tu m’en bouche un coin p’tit con ! On se connait ?      - Hé hé ! Fait il en frimant avec ses ronds de fumée et en savourant son coup d’avance sur l’échiquier.
     Elle pose ses mains sur les cuisses de l’arrogant et balance :
      - Et qu’est-ce qui te fait croire que j’en voudrais, gueule d’amour, tu pues l’alcool et la fumée et tes petits airs hautains me font penser que ton aplomb est probablement plus fort en gueule qu’en prouesses sexuelles. Si les picolos bandaient dur, ça se saurait !      - Si tu veux tout savoir la Queen, si je suis là c’est parce-que je t’ai reconnue... Et suivie... Pour te baiser... On a déjà causé.
      Il la laisse réfléchir le temps d’un silence, fier de cette annonce théâtrale apte à captiver toute son attention.
      - Tu m’as dit que j’étais prêt à la mettre n’importe où, qu’il suffisait de me dire de déballer pour m’emballer. Ben t’as raison, en fait ! Si tu veux je te la montre, là, tout de suite, et te la mets sur ce fauteuil au fond du bar, devant tout le monde. Tu me fais bander... Et tiens ! C’est pour toi !
     Il lui remet une petite boîte. Dedans, une clé.
     Il lui vomit un nuage de fumée à la face avant de se pencher à son oreille :
     - Ma queue est en cage, pour toi, prends-moi comme un chien ce soir, ma Reine !
     Elle rit d’un éclat de cristal.
      - Je te remets maintenant ! Tu es le petit pornographe vomissant au gland écarlate et à la verve impitoyable, hein ?      - Cesse donc de rire bêtement ta Majesté et suis moi ! J’ai loué une petite chambre avec jacuzzi et tout le tralala comme t’aime, j’ai préparé une playlist à la lumière de tes écrits et je veux laper ta belle chatte rousse pendant qu’Iggy Pop crachera "Now I wanna be your dog" à fond le poste !
      - Ok, on se fait la belle, dit-elle pendant qu’à l’autre bout du bar les éméchés commencent à se foutre sur la gueule. Tu pues moins que ce bar miteux !
     Ils sortent.
     Il a une micro-car électrique deux places, l’une derrière l’autre, qui ressemble à une voiture de course d’un siècle passé croisée avec un jouet à pédales, sauf que toutes les commandes se font du volant, un petit bijou de haute technologie. Son poste hurle "Born to be wild" de Steppenwolf. Il s’assoit jambes écartées et dit:
     - Tu montes my Queen où tu restes là ?
     Elle lui roule alors une belle galoche.
     - Tu me plais, p’tit con!
     Elle prend place entre ses jambes. Et il l’emporte.
     Elle profite de la promiscuité pour tâter le matos... Plutôt en forme le gamin, très réactif même ! Un peu roublard, ce n’est pas une cage mais un beau cockring... Elle jette la clé par la fenêtre en feulant:
      - Tricheur !
      Il bande sévère, elle le tient fermement par le frein et les bourses, et ne fait qu’effleurer ou approcher la bouche, tirer sa langue en pointe vers le bout, mais ne touche qu’en imagination, avant de refermer le pantalon...
      - Va falloir bien laper maintenant, je te garde la chatte de ma chienne avec tes idées tordues...      - Ça tombe bien, nous sommes arrivés !      - Hé bien Petit Prince Salace, viens me montrer comment tes pratiques douteuses te feront Roi Lubrique. Montre-moi, chien ! Ce que tu fais aux chattes ! Et après, baise-moi , baise-moi comme une Reine !
      La chambre se trouve au quatrième étage sans ascenseur. Mais après le troisième pallier il la coince sur la rambarde pour aller goûter sa vulve du bout des doigts. Elle porte un short en jean, des bottes de cuir, des bas jarretelles et un bustier panthère avec capeline assortie. Elle sourit en lui tendant sa croupe et se met, vicelarde, à branler les barreaux. Elle a aussi retenu les ficelles qui tendent ce lascar, qui s’excite de cette façon dans la moitié de ses écrits, petit branleur de cages d’escaliers !     À son tour de prendre une pièce sur l’échiquier ! Sa queue cogne contre son ventre et essaye de s’extirper de sa prison de vêtements. Il rugit à ce spectacle et s’immisce dans le petit short de la Queen pour aller crocheter le petit bouton qui ouvrira les vannes... Lorsque une mare se forme dans l’escalier, ils montent enfin à la chambre. Là ça fait un partout car quand la Fontaine est libérée, chacun et chacune y trouve son plaisir.
      Il a mis les petits plats dans les grands, le petit pervers qui veut devenir grand ! Une loveroom digne d’un mariage, mouhahaha !      À peine est-elle entrée qu’il claque la porte et la ferme à clé... Et la jette par la fenêtre !
     - Prends tes aises Majesté, t’es pas prête de sortir de là, moi aussi je sais jouer au con !     - Tais toi maintenant roquet, déshabille-toi ! Et viens ici à quatre pattes !
      Il envoit la playlist et s’exécute.
      ("Je t’en prie ne sois pas farouche", Gainsbourg d’abord, Iggy, Nina et puis les autres)
      Mais même dans cette position soumise il ne perd rien de cette lueur d’effronterie dans le regard et c’est ça qu’elle kiffe. Il est dévoré de la même flamme intérieure qu’elle, il ne baissera jamais le front. Aurait-il vraiment les attributs pour passer de Petit Prince Salace à Roi Lubrique comme il le convoite ? Possible !!
      Elle vient se poster devant lui et intime :
      - Pas bouger ! Je veux immortaliser cet instant, c’est beau un p’tit con nu à mes pieds, lèche-moi les bottes !
      Mais au lieu de ça il se met à humer son sexe à travers le short juteux après l’épisode de la cage d’escalier, à la fouir avec son nez, à licher l’entrecuisse et se fourrer un passage pour aspirer son clitoris...
      Le polaroïd crache un sublime instant prégnant : Elle a la tête renversée en arrière et elle lui agrippe les cheveux. Son cul est mis à nu car de sa gueule il tire le short sur les cuisses ! Ses mains à lui tiennent fermement la base des fesses rebondies de la Queen. C’est l’image même de la rage scabreuse qui les pousse l’un vers l’autre, et du plaisir qui en découle. La mouille qui lui échappe éclabousse le visage d’un Petit Prince façon chien extasié.
      Elle se dégage de cette emprise et attrape son sac d’où elle extrait un gode ceinture.
      - Tu voulais m’offrir ton pucelage ? Charming ! Glousse t’elle en pénétrant l’onde vaporeuse du jacuzzi...
      Il s’approche du bassin et y entre à son tour. Son rut est impérieux, elle est hypnotisée par la bête. Mais il s’assoit dans l’eau en face d’elle, soustrayant l’objet du délice à son regard , pour y substituer ses yeux.      Le jeu est limpide : chacun lit l’autre pour ressentir les subtiles expressions du désir qui empreignent leurs visages et leurs gestes... Pincements de lèvres, bouches qui s’entrouvrent, langues qui pointent, tétons tirés, sourires et yeux mi-clos... Voilà quelques unes des déformations corporelles auxquelles ils s’adonnent dans leur joute aphrodisiaque. Mouvements ondulatoires, pieds qui cherchent sous l’eau.      Elle le branle entre les plantes de ses pieds. Il soulève son bassin pour faire émerger le spectacle. Elle se met un doigt. Il saisit une cheville et porte le petit pied à sa bouche. Il lèche. Il suce. Il regarde bien son effet : Elle aime !      Il attrape le gode et lui passe une jambe après l’autre pour lui enfiler le gode ceinture. Il vient entre ses jambes, la soulève par les fesses et suce le gode, ses pupilles goguenardes et dilatées toujours plongées en elle.
      - Oh, toi mon p’tit con, c’est ce soir que tu le perds ! Grogne t-elle haletante.
      Il se met alors debout face à elle pour la bâillonner en fourrant son gland pourpre dans son orifice buccal. Elle fait des circonvolutions du pouce autour du petit trou puceau. Il s’y implante quand la trique dans sa gorge embue son regard et la force à déglutir...
     Elle le repousse:
      - Tu as failli me faire vomir p’tit con !!!
      Il la fait taire encore, en lui aspirant sa langue bien pendue, et sans perdre une miette de l’incendie dans ses yeux il s’accroupit pour s’empaler lui même sur le gode...
      Elle est galvanisée par cette tournure inattendue et tétanisée à la fois. Tendue à l’extrême, elle jubile de le voir s’enculer ainsi sur elle et leurs langues qui se mêlent provoquent des décharges électriques qu’elle intensifie en pinçant leurs tétons. Elle le branle et bientôt son foutre vient flotter à la surface du bain...
      Il se relève, la queue à la main. Ce n’est pas ce que l’on nomme une demie molle, en à peine quelques aller retours dans sa main elle reprend consistance.
      - À quatre pattes, ta Majesté, je vais redurcir encore dans ton cul pour t’achever, tu n’as pas encore eu ton compte !
     Elle se relève et retire le gode ceinture... Un baiser et elle sort de l’eau en se caressant les seins. Elle roule du cul en marchant jusqu’à la glace et là elle se penche en écartant ses fesses.
      - Viens par ici, Roi Lubrique, besogne-moi encore jusqu’à la petite mort !
      Il s’en donne à cœur joie éructant de la voir en miroir se tordre sous ses coups de butoir, jusqu’à l’effondrement.... Épuisée contre la glace, tremblante , il se retire alors et se masturbe à nouveau, à maculer son dos d’une nouvelle salve de sperme. Il s’agenouille alors derrière elle pour effacer les traces à coup de langue et la prendre dans ses bras. Lorsqu’ils reprennent leurs esprits il sort une barre de fer de son sac et s’en sert comme pied de biche pour quitter leur Loveprison.
      - Tu es libre ma reine !      - Ciao Petit Prince Salace devenu Roi Lubrique ! À dans une autre vie, car tu sais qu’une Reine pour être forte ne doit pas avoir de roi!
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