Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 2 Commentaires

Fugue

Chapitre 1

2 hommes m'hébergent

Gay
Lors de mes 20 ans me suis retrouvé, comme beaucoup à Paris, lieu qui aimante l’esprit des jeunes provinciaux, du moins en ce temps-là en 1971. Un jour étant rue d’Amsterdam, rue des prostituées du quartier, tout naturellement je me suis retrouvé à la gare saint Lazare et bien vite, j’ai découvert que les toilettes étaient très fréquentées par des hommes qui n’y allaient pas forcément pour uriner. Cela m’émoustilla, j’aimais voir ces mains s’agiter sur leur queue à l’urinoir, j’aimais sentir ces regards sur moi qui me déshabillaient quand j’entrais dans les toilettes, j’aimais cette odeur d’urine qui flottait, au moins dans mon imagination, si ce n’est en vrai. Je pissais dans le bol et regardais avec envie, je dois m’avouer ces bites que j’avais bien en vue à mes côtés, leur raideur me fascinait et aiguisait mes sens. Un jour, fini d’uriner, je restais là, ma queue sortie, obnubilé par cette main à côté qui s’agitait sur son mandrin décalotté. Cette main s’aventura, sur le mien, je fermais les yeux, découvrant un plaisir inconnu, non pas la masturbation, mais la main d’une autre personne sur ma bite, qui de plus, était une main d’homme.Bien vite, sur ma droite, un autre homme s’installa, ouvrit sa braguette et sortit son engin. Je ne pus résister à l’envie de la saisir, elle était chaude et douce, bien plus épaisse que celle de mon autre voisin, mais semblait par contre plus courte. Les deux me faisaient envie, je sentais ma salive s’accentuer entre mes lèvres. J’aurais aimé que cet instant ne s’arrête jamais. Je sentis une main, puis deux, puis plusieurs courir sur mes fesses, puis mon dos et bientôt s’aventurer entre les boutons de ma chemise et y pincer mes tétons. C’était nouveau pour moi, l’amour, le sexe, les hommes. Mais que j’étais troublé et excité, moi le tout jeune puceau. Je frissonnais et me sentais tout bizarre, tout bizarre de bien-être et de désir. Puis, ne sais pourquoi, ai pris peur, peur d’être surpris, pourtant il y avait moins de monde dans la gare, il était déjà tard, j’ai rentré ma queue, refermé ma braguette, refermé ma chemise puis je suis sorti. Je rentrais chez le couple baba qui m’hébergeait dans le 18e arrondissement.Ces images ne quittèrent pas mon esprit de la nuit, même en rêve, je me revoyais à l’urinoir en train de me faire caresser et j’y prenais plaisir. Mon sexe restait dur malgré mes masturbations, mon ventre était collant de sperme et mon anus était tout trempé. Je découvrais cette sensation et je pris plaisir à le caresser, me délectant du goût de mon jus en m’en léchant les doigts après l’avoir caressé. Je repliais les jambes et d’instinct, un doigt s’inséra facilement dans cet anneau, puis bientôt un deuxième. Mon p’tit trou devenait gourmand, un troisième puis bientôt un quatrième durent satisfaire sa faim, pour mon plus grand plaisir. Je sentais la chaleur de mon fourreau et sa douceur satinée qui me donnais un plaisir inattendu. Puis je les ressortis, ils étaient souillés mais ma bouche ne désirait que de les sucer, c’était divin. Je découvrais mon corps et regrettais de ne pas l’avoir découvert bien plus tôt. J’aurais pu, avec un copain du pensionnat. Me souvint qu’il m’avait proposé de m’écarter avec lui dans un bois, à côté, mais j’avais refusé.
Le lendemain, je retournais à Saint-Lazare, j’y passais tout l’après-midi et la soirée. J’ai caressé un certain nombre de bites, j’aimais les sentir entre mes doigts, j’aimais sentir que je donnais du plaisir, j’aimais sentir leur sperme entre mes doigts et j’aimais surtout être désiré. Le soir, un homme d’une quarantaine d’années me proposa d’aller chez lui. Il me dit qu’il attendait un ami pour prendre le train de Pontoise. Je lui dis OK et nous voilà tous les trois assis dans le train. Ne savais où j’allais, mais j’en aimais la perspective, sans pourtant savoir ce qui s’y passerait. Arrivé chez lui, on but un verre, assis autour de la table. Je sentais sa main venir caresser mes cuisses. Je les écartais et dégustais le verre et les caresses. Son ami ne bougeait pas, il nous souriait, me regardais et je lui souriais. Vint le temps d’aller au lit.
L’inconnu me dit que son ami dormirait aussi dans ce lit et que nous devrons nous serrer un peu. Je n’y voyais rien de mal, si ce n’est que j’espérais qu’ils sauraient me faire honneur et n’y trouvais donc rien à redire.Nous nous sommes déshabillés et en slip, nous nous couchâmes. On m’invita à me mettre au milieu, ce que je fis. Pour cela je dû en enjamber un. J’écartais les cuisses au maximum, en espérant qu’il s’apercevrait combien mon antre était si trempé, qu’il avait mouillé mon slip tendu à ce moment-là. D’une main je m’appuyais sur le torse de l’autre, ses poils roulèrent dans mes doigts, je frissonnais d’envie, comme si je les avais mis dans le pot de confiture et me léchais les lèvres du goût à venir.Très vite, j’ai senti une main, puis deux, puis quatre sur mon corps. Huuum mon Dieu que c’était délicieux. Leurs lèvres se mirent à courir sur mon corps, je fermais les yeux et commençais à ronronner. Je sentais le piquant du poil de barbe de la journée sur l’aréole de mes tétons et j’aimais ça, tout comme j’adorais cette langue qui léchait mes bouts dressés tant ils étaient réceptifs et excités. Même là, à vous conter ces souvenirs, je sens cette même émotion monter dans mon corps, ma queue est raide, je me titille mes petits tétons avec mes doigts humectés de salive. Avec du recul, je puis dire que je me sentais comme une femme désirée, même si sur l’instant, je l’ignorais. Ils m’enlevèrent le slip, à quatre mains, je soulevais mes fesses, je m’offrais. Mon anus de nouveau tout trempé, se resserra de joie quand il sentit une main y aventurer ses doigts. Je sentis quelque chose d’humide enfourner ma bite et compris que l’on me suçait. C’était chaud et doux, cette salive sur mon bout excitait tous les p’tits nerfs de mon gland, d’y repenser, je me suce un doigt tout en vous le comptant. J’avais le sentiment qu’il me suçait le clitoris, tant je me sentais devenir femme et désirée.Je sentais leur bâton dur se frotter contre moi, tremblant d’émotion et vibrant de plaisir, j’en pris un dans chaque main et commençais à les masturber. Mes mains allaient, venaient, faisant coulisser la peau de leur bite, décalottés leurs bouts turgescents étaient prêts à éclater. L’un se releva et me mit son sexe devant la bouche. Je le bécotais maladroitement puis je fis courir mes lèvres tout le long. L’excitation aidant, sa main ferme aussi qui me maintenait l’arrière de la tête en ayant empoigné mes cheveux fortement, j’entrouvris mes lèvres et commençais à le sucer. C’était ma première fois et en 70, l’hygiène étant moindre que maintenant, j’en aimais autant son goût acre de pisse, que le fait de sucer cette bite, goût de l’homosexualité interdite, tout juste tolérée à cette époque, mais aussi, j’en aimais le fait d’être ainsi désiré, caressé, fouillé. J’aime toujours le goût âcre et la chaleur de la pisse, mais ce sera une autre histoire. Il m’empoigna les cheveux, poussant ma tête sur son vit, jusqu’à ce qu’il tape au fond de ma gorge.
Je me sentais étouffer, une salive épaisse sortait de ma bouche, les larmes coulaient sur mes joues. il la ressortit, je cherchais ma respiration tout en lui souriant, je sentais la braise sexuelle dans mes yeux tout en fixant les siens d’en bas où j’étais. Ainsi me sentais chienne. Puis ma bouche s’aventura vers sa bite, plus besoin que l’on me guide, je l’avalais jusqu’à ma glotte, aurais voulu lui avaler en même temps ses couilles que je sentais sous mes doigts. De p’tit homme, j’étais devenu femelle, je m’offrais et j’ADORAIS ça.
Je sentis une langue sur ma rondelle, elle me léchait et semblait vouloir pénétrer mon p’tit cul. Je relevais encore plus mes jambes, les écartais à m’en sentir être écartelé et je sentis bientôt une chose dure qui me parut énorme me le pénétrer. Ce fut douloureux au départ, mais le désir d’offrir ainsi mon anus tout en offrant ma bouche, livré à 2 hommes en même temps et de leur donner le plaisir était plus fort et bien vite je sentis une chaleur et des frissons de bonheur m’envahir. Quand presque simultanément je sentis un liquide chaud jaillir dans mes intestins et ma gorge, je vins aussi entre leurs doigts. Quand il ressortit de mon anus, il me donna sa bite à sucer. Elle était souillée et ai eu un moment de recul, puis me souvint de mon propre plaisir de l’autre nuit et je lui ai alors léchée jusqu’à ce qu’elle soit propre et je dois avouer que j’ai commencé ainsi à découvrir que j’aimais être souillé. Depuis lors, ayant découvert mon côté féminin grâce à eux, j’assume mon homobisexualité.
Ensuite, j’ai découvert le plaisir de m’offrir totalement à qui veut, quelque soit le nombre, dans les lieux de rencontre, forêt, sauna, ciné, sex-shop, dans les dunes des plages naturistes.L’hexib, la partouze, le public, m’offrir, être souillé, sont ma jouissance.
Diffuse en direct !
Regarder son live