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Fureur et soumission

Chapitre 2

SM / Fétichisme
/Chapitre V
Je ne parviens pas à trouver le sommeil. Dès que mes yeux se ferment, Elodie fait son apparition dans mes pensées, il faut croire qu’elle occupe dans mon esprit bien plus de place que je l’imaginais. C’est ainsi que je me retrouve en pleine nuit à tapoter mon clavier afin de remplir ce maudit fichier de mes expériences récentes. La dernière femme à avoir eu un tel effet sur moi fut mon ex-épouse, pourtant mes sentiments diffèrent cette fois-ci. Il ne s’agit pas d’amour, mais plutôt d’une sorte de fascination pour une jeune femme dont l’apparente timidité n’est qu’une couche de peinture dissimulant audace, impertinence et surtout imprévisibilité. C’est sans oublier le mystère qui entoure tous les autres aspects de sa personne, me laissant imaginer mille possibilités différentes.
Le colloque s’était terminé depuis deux semaines. Deux semaines sans la moindre nouvelle d’Elodie. Je me surprenais régulièrement à vérifier mon téléphone que l’icône signalant un nouveau message ne fut pas apparu sans que je m’en aperçoive. Puis mon cerveau dut se rendre à l’évidence, m’aidant à moins penser à elle, jusqu’à ce que j’eus la surprise de recevoir un message de sa part à la fin de l’un de mes cours : « Le tonneau. Dans trois heures ». Concis, mais efficace ! Il s’agissait d’un bar, de l’autre côté de Paris. Je me sentais comme un adolescent ayant obtenu son premier rendez-vous galant.
La raison freina tout de même mon ardeur en réalisant que j’agissais comme le fidèle toutou de cette jeune femme. Hors de question d’être à ses ordres ; simple question de fierté et d’estime de soi ! D’un autre côté, le désir de la revoir se faisait de plus en plus prégnant, d’autant plus lorsque je me remémorais la nuit que nous avions passée ensemble. Je n’avais que rarement eu l’occasion de faire l’amour de manière aussi fougueuse et intense. Je rendis donc les armes face aux assauts de mon appétit sexuel, gagné par la perspective de pouvoir remettre le couvert.
J’eus à peine le temps de grignoter et de prendre une douche que j’enfilai déjà mon fidèle blouson en cuir pour être à l’heure au rendez-vous. A la sortie du métro, je découvris une petite place ceinturée de bars aux ambiances variées. Une faune à l’accoutrement aussi diversifié venait remplir les terrasses pour la soirée, s’agissant d’un quartier étudiant, je décidai de presser le pas afin d’éviter une éventuelle rencontre que je ne souhaitais pas faire hors du cadre professionnel. Le Tonneau était un bar – que dis-je, plutôt un rade – dont l’ambiance était clairement orientée vers le métal, plutôt heavy, voire trash, si j’en croyais les riffs de guitares saturées et le rythme frénétique des doubles pédales (Ah ! Le métal : l’un des rares genres de musique comptant presque plus de sous-genres qu’il n’y a de groupes !) que son antique porte en bois ne parvenait pas à étouffer.
Le simple fait de m’en approcher me permit de distinguer également les effluves caractéristiques de bière et de transpiration, si bien qu’un vif sentiment de nostalgie s’empara de mon être. L’intérieur était à l’image de cette musique que j’ai tant affectionnée : sombre et glauque pour les non-initiés, un petit coin de paradis pour les autres.
Il m’aurait été difficile de ne pas trouver Elodie tant elle contrastait dans cette ambiance sombre. Installée à une table, le dos bien droit, elle portait une chemise blanche parfaitement cintrée qui parvenait à mettre en valeur ses mignons petits seins et son profil me permettait de distinguer une petite jupe droite, le tout la faisant ressembler à une cadre d’une grande société. Je fus surpris de constater qu’elle n’était pas seule. Assise à ses côtés se trouvait une jeune femme brune – sans doute du même âge – avec qui elle discutait. Approchant d’elles, je constatais qu’elle était charmante, les pointes de ses cheveux en carré plongeant frôlaient ses épaules et une frange mettait en valeur deux grands yeux sombres qui encadraient un petit nez. Sa présence m’intrigua.
— Coucou mon petit jouet ! s’exclama Elodie avec un grand sourire.— Salut blondinette.— Je savais que tu serais ponctuel. Laisse-moi te présenter Chloé, une grande amie, très chère à mon cœur.— Bonsoir Chloé, Jean. Je ne m’attendais plus à avoir de tes nouvelles.— Je ne m’embête pas à prendre le numéro de ceux que je ne souhaite pas revoir.— Certes, alors c’est quoi le programme de ce soir ?— Nous avons passé la journée à faire du shopping et l’envie de nous détendre un peu a fait son chemin.— Je te trouve bien vague pour le moment, j’imagine que tu as une idée plus précise en tête.— Bien entendu ! Nous avons beaucoup discuté, de fil en aiguille nous en sommes venus au sujet universel par excellence...— La bière ?— Le sexe ! rétorqua-t-elle avec une pointe d’irritation dans la voix.
— Sans blague...— Tu veux bien me laisser poursuivre mon histoire ou tu as décidé de la pourrir ?! Laisse tomber, simple question rhétorique.— Vas-y, j’arrête de t’embêter.— Bref ! Je disais donc que nous nous parlions luxure... et donc de toi.— Tu me vois honoré d’une telle association d’idées, lui dis-je d’un ton amusé, peut-être même un peu moqueur.— Je vais reformuler. Il s’avère que nous avons envie de nous amuser et si les poissons ne manquent pas, la qualité peut être très aléatoire. Plutôt que de nous y risquer, j’ai préféré regarder dans mon coffre à jouets ce que j’avais déjà.
Par chance, une pinte de brune servie à point nommé me permit de garder ma contenance face à Elodie, même si je faillis m’étouffer avec quand je l’entendis parler ainsi de moi. Elle ne s’embarrassait guère de détours, préliminaires et autres circonvolutions lorsqu’elle souhaitait aborder un point précis.
— En évoquant à Chloé mon désir pressant de m’envoyer en l’air, ainsi que quelques fantasmes que j’ai pour projet de réaliser, il se trouve qu’elle me révéla éprouver la même chose. Ceci explique donc la raison de ta présence puisque l’on pourrait faire « d’une chatte, deux coups ».— Mais encore ?— Chloé, je parle sous ton contrôle, apprécie particulièrement regarder des films et autres vidéos montrant des corps s’entremêler en recherchant les plaisirs de la chair. Elle en est venue à s’interroger sur l’idée de faire de la pellicule une pièce de théâtre.— Je commence à voir l’idée directrice. — Attends un peu, je n’en suis encore qu’à l’introduction. Pour le développement, tu auras l’occasion de le découvrir très bientôt si notre proposition t’intéresse.
Le cerveau humain est incroyable, à condition de ne pas être mis hors circuit par un appareil génital qui prendrait le relais à l’écoute d’une telle proposition : faire l’amour avec une magnifique jeune femme en étant observés – voire plus – par sa charmante amie. J’acceptai donc la proposition sans l’once d’un moment de réflexion.
Nous prîmes une autre tournée pour trinquer à la suite de la soirée. Si les discussions qui s’ensuivirent présentèrent un tel intérêt qu’elles ne méritent pas que je m’y attarde, j’en profitais néanmoins pour observer Elodie et Chloé, ou plutôt la manière dont elles interagissaient entre elles. Il était évident qu’elles étaient proches, je dirais même intimes, sans pour autant être en couple. Elle me faisait penser à des anciennes amies, qui se connaissaient depuis bien longtemps et qui ont certainement partagé de nombreuses choses, dont leurs premiers émois. J’en venais à émettre l’hypothèse qu’elles aient pu flirter ensemble, peut-être en découvrant leur sexualité ensemble ou en ayant déjà partagé un même amant. De manière synthétique, j’étais persuadé que quelque chose s’était déjà passé sans pour autant présenter un caractère régulier.
Chapitre 6
Nous quittâmes très vite le Tonneau. Les filles devaient nous trouver une chambre d’hôtel, pas trop miteuse si possible, et j’allais de mon côté nous procurer une ou deux bouteilles de vin. Très vite, Elodie m’envoya un message pour me presser de venir en m’indiquant qu’elles avaient trouvé une chambre tout en prenant soin de préciser qu’elles avaient réglé la facture... une fois n’est pas coutume !
Cette dernière était propre et confortable, sans pour autant être luxueuse, elle présentait l’avantage d’être suffisamment grande pour y trouver des fauteuils et un canapé.
La visite s’arrêta là, car j’eus à peine le temps de me dévêtir qu’Elodie me poussa sur le lit en plaquant sa main contre mon torse. Sortant visiblement de la douche, elle n’était vêtue que de ses sous-vêtements composés d’un soutien-gorge noir aux broderies mauves, du tanga assorti et de bas autofixants. Le bruit de l’eau qui coulait me laissa comprendre que Chloé se lavait à son tour. Elodie se mit à quatre pattes au-dessus de moi, elle me massait l’entrejambe, y passant avec sensualité ses lèvres. Je retirai donc prestement ma chemise tout en profitant de cette belle et agréable initiative qui fit se dresser mon dard.
— Je te l’avais dit que tu viendrais, chuchota-t-elle avec un petit sourire de satisfaction.— Faut bien l’admettre ; tu sais y faire.— Prenons le temps d’exposer quelques simples règles : tu pourras profiter entièrement de moi, peut-être même de Chloé si elle le souhaite. Par contre tu devras te plier à toutes nos exigences. Ça te paraît correct ? me questionna-t-elle en promenant ses doigts sur mon torse.— Pas mieux !— Tu es vraiment certain d’être à la hauteur ?— Moins de mots, plus d’actes.
Chloé fit son apparition, elle semblait détendue et fit un sourire en voyant qu’Elodie ne l’avait pas attendue. Elle s’était mise à l’aise, ne conservant que son legging et n’ayant boutonné que la moitié de son chemisier qui laissait ainsi apparaître son choix de laisser toute liberté à ses seins. Elle s’installa confortablement sur un fauteuil pour profiter du spectacle, adressant au passage une caresse sur la joue d’Elodie accompagnée d’un tendre baiser sur ses lèvres. D’une main assurée, cette dernière défit ma ceinture et mon pantalon pour enfin baisser ma braguette. Elle passa la main sur la protubérance qui n’était plus couverte que de mon boxer. Elle libéra ma queue de son drap de tissu pour débuter une mise en bouche afin de lui donner toute sa vigueur. Impossible d’oublier ses talents en la matière, sa succion donnait l’impression d’explorer une chatte encore peu expérimentée, me faisant émettre quelques râles de plaisir.
Elle alternait avec quelques coups de sa langue tendue et râpeuse sur mon gland turgescent. Un coup d’œil sur le côté m’offrit la charmante perspective de Chloé qui avait descendu la main sur son entrejambe pour exercer quelques caresses encore timides, elle ne manquait pas une miette de la pièce qui venait de débuter.
Fin prêt pour la suite, je me dégageai d’Elodie, envoyai valser mon pantalon, et passai derrière elle pour plonger mon visage entre ses cuisses. Ma langue se promena entre tous ses charmants dénivelés ; du clitoris à son trou plissé en passant par les lèvres et sa fosse qui s’humidifiait, elle émettait des gémissements étouffés par la couette tout en remuant le bassin, m’amenant à plusieurs reprises à avoir mon nez enfoncé dans sa fente alors je m’occupais de son petit bouton du bout de la langue. Chloé avait accéléré ses caresses et se mordait la lèvre inférieure, le spectacle bénéficierait sans doute d’une critique élogieuse.
A son tour, Elodie me bascula en arrière à l’aide de son pied pour venir s’empaler sur ma hampe fièrement dressée. Trempé, son sexe n’offrait aucune résistance autre que le délice de sentir ma queue parfaitement enrobée dans une gaine serrée, humide et chaleureuse. Elle gémissait sans aucune retenue pendant qu’elle allait et venait sur moi tout en caressant son petit bouton. Je la surpris à adresser quelques regards embrumés de plaisir à Chloé qui avait pour sa part complètement écarté ses jambes afin de mieux accéder à l’intérieur de son legging. Nous continuâmes jusqu’à ce que je fusse à deux doigts d’exploser. Elodie quitta alors sa selle pour mettre à nouveau en bouche le membre trempé de son propre nectar. Soudain, je fus surpris de sentir quelque chose tenter de me pénétrer le fondement : elle y faisait entrer l’un de ses doigts !
Les règles du jeu étaient claires, je la laissai donc procéder à l’invasion de mon séant, mais elle me le payerait... ou pas. En effet, passé une légère douleur, comme une sensation de brûlure, j’en vins à trouver cela plutôt agréable. D’autres mains me caressèrent alors le torse et le ventre, Chloé venait de s’installer sur le lit, ne pouvant plus résister à l’idée de participer à la pièce qui se jouait devant elle. Elle enfourcha ma tête pour me présenter au visage son entrejambe encore recouvert par son legging. Le tissu était bien mouillé, je remarquai en outre qu’elle avait visiblement oublié de mettre une culotte. Alors qu’elle se mettait à remuer ses fesses sur mon nez, je pus sentir une délicieux effluve de femme qui ne fit qu’augmenter mon excitation et mon envie de me jeter à corps perdu entre ses cuisses pour en profiter de toutes les saveurs.
Le deuxième doigt fut plus douloureux, même après avoir pris le temps nécessaire pour assouplir mon pauvre anus tourmenté. Par chance, je pus oublier cet inconfort grâce à une fellation menée de main de maître et en allant me réconforter entre les cuisses de Chloé. Cette dernière retira son legging, ce qui me permit de découvrir une petite toison brune parfaitement entretenue et enfin d’accéder librement à son sexe dont les lèvres gonflées et brillantes de cyprines indiquaient qu’elle était largement prête à être pénétrée. J’étais entièrement concentré sur mes coups de langue et les petits gémissements qu’ils provoquaient, si bien que je ne m’aperçus pas qu’Elodie s’était retirée depuis quelques minutes.
Ne jamais oublier un principe fondamental : l’imprévisibilité engendre la permanence du risque.
J’aurais dû remarquer l’absence d’Elodie, j’aurais également dû remarquer qu’elle m’avait levé les genoux pour m’offrir quelques coups de langue sur l’anus. Je ne réalisai cette erreur qu’au moment de sentir un épieu me pénétrer de toute sa longueur. Parvenant à dégager ma tête, je vis Elodie harnachée d’un gode ceinture qui me sodomisait avec un grand sourire exprimant sa pleine satisfaction. De nombreux voyages dans des pays exotiques m’ont conduit à me retrouver régulièrement dans des situations improbables, parfois même (très) gênantes, mais jamais je n’aurais pensé me retrouver un jour dans cette position.
— Alors ma chère Chloé, est-ce qu’un homme à l’anus débordant lèche mieux qu’un autre ?— Je dois reconnaître qu’il met du cœur à l’ouvrage, lui répondit-elle entre deux halètements de plaisir.— Dans ce cas, je te souhaite de bonnes léchouilles ma chérie.— Et je te souhaite de bien profiter de son trou ma petite Elo.
Elle ne perdait rien pour attendre ! Je finis par me libérer de son étreinte et la positionnai à quatre pattes, les fesses cambrées et tendues vers l’arrière. Elodie se contracta quand elle sentit le bout de mon gland se poser contre son entrée serrée. Je pris mon temps, appuyant doucement au début, lubrifiant ma queue et sa pastille de sa mouille. Puis mon fer de lance entreprit son avancée, elle serra les draps à mesure qu’il fit son entrée en elle, étirant son anneau jusqu’à briser toute résistance, laissant ainsi toute latitude pour explorer son intestin avec le reste de mon manche. Elle cria tout comme moi, et tout comme moi son cri fut assourdi par la chatte de Chloé qu’elle dévorait. Cette dernière dut ressentir sur son clitoris les effets produits par le plaisir d’Elodie puisqu’elle se contracta de tous ses muscles avant d’exploser dans un puissant – et bruyant – orgasme.
Voulant lui rendre la pareille, celle-ci se plaça tête-bêche sous son amie pour lui titiller le sexe pendant que je continuais à lui pilonner le séant. D’un geste rapide, Elodie attrapa un oreiller dans lequel elle s’enfonça la tête, le mordant à pleines dents pendant qu’elle jouissait à en perdre tout contrôle d’elle-même.
Quelques brèves minutes furent nécessaires aux filles pour reprendre leur respiration.
— Mais il me semble qu’un seul d’entre nous n’a pas encore eu son compte, fit remarquer Elodie.— Il serait injuste que nous soyons les seules à grimper aux rideaux, même si c’est très galant de sa part.— D’un autre côté, les jouets n’ont pas besoin d’orgasme !— Euh, vous pourriez éviter de faire comme si je n’étais pas là ?!— Oui mon chou. Chloé, cela te dirait-il de profiter de son jus gourmand ?— Oh oui ! Pourrais-tu m’aider à le récolter ?
Elodie me saisit par la main afin de me mettre debout pendant que Chloé se mit à genoux face à moi. La première s’était collée à mon dos et jouait de ses doigts sur mon manche alors que la seconde avait levé la tête en ouvrant la bouche en grand pour recevoir mon offrande. Sous l’effet de ses doigts de fée, je ne tins pas longtemps avant de me décharger dans l’accueillant réceptacle, envoyant au passage quelques giclées sur son visage. Elle se leva en gardant la bouche ouverte, montrant ostensiblement son contenu et se passant la langue sur les lèvres, elle fut rejointe par Elodie qui l’enlaça langoureusement avant de l’embrasser. Je crus rêver ; ces deux magnifiques jeunes femmes serrées l’une contre l’autre, se caressant mutuellement en pratiquant un jeu de langue avec mon foutre plein la bouche me donnait l’impression d’être dans un autre monde. Enfin, Elodie essuya consciencieusement le visage de son amie avec ses doigts et sa bouche.
Toujours enlacées, elles me regardèrent.
— Ne serait-il pas opportun de faire profiter ton jouet de ce moment de partage ?— Grand Dieu ! Tu as raison. Nous sommes vraiment de petites polissonnes égoïstes, offrons-lui également un peu de nous !
Elles me prirent par les mains pour m’amener dans la salle de bain. Chloé se pencha sur la cuvette des toilettes en écartant les jambes, présentant ainsi une magnifique croupe d’où émergeaient deux lèvres, encore trempées, dont l’écartement permit de distinguer son antre aux mille plaisirs. Elle s’exclama à juste titre être la seule à ne pas avoir été honorée. Elodie acquiesça et m’attrapa par l’oreille pour me positionner sous son amie en m’ordonnant de prendre soin de son intimité. De cette position, je fus aux premières loges pour admirer le gode ceinture disparaître progressivement dans son trou plissé. Pendant que je dégustais Chloé, je pouvais sentir le sexe d’Elodie venir se frotter contre mon visage à chaque coup de boutoir. Les parfums de femmes se mélangeaient en m’étourdissant les sens, mon visage se recouvrait d’un mélange de leur nectar et leurs lèvres me procuraient un délicieux massage.
L’accentuation des gémissements de Chloé témoignait de son accession prochaine à l’extase, jusqu’à ce que survienne la libération finale au travers d’un orgasme dont l’intensité provoqua spasmes et cris de plaisir.
— Quel bel orgasme ! J’espère que tu as bien joui ma chérie !— Ce fut délicieux, merci Elo ! Et merci Jean !— En parlant de délice, n’avions nous pas promis un moment de partage à mon jouet ?— C’est le cas, je vois qu’il en a déjà eu un aperçu. Offrons-lui le reste !— A toi l’honneur !
Encore une fois, c’était prévisible ! Les deux jeunes femmes profitèrent que je sois sous elles pour se relâcher et m’offrir ainsi une douche avec le contenu de leur vessie. Je pus sentir les jets puissants sur ma peau, elles s’amusaient à essayer me recouvrir complètement, ce qui ne fut pas difficile en considérant la quantité de liquide qu’elles libérèrent. Puis elles se mirent à genoux et me léchèrent le visage, le torse, les épaules et en profitèrent pour me mordiller les tétons tout en s’offrant quelques ballets de langues.
Elle m’embrassèrent avant d’aller prendre leur douche ensemble. Je me servis un grand verre de vin en attendant mon tour et surtout pour récupérer de mes émotions. Bien qu’ayant alors l’esprit embrumé, le calme me permit d’appréhender qu’un long moment de réflexion et d’introspection me serait nécessaire. Après tout, je venais de faire l’amour sauvagement avec deux magnifiques créatures et je me retrouvais là, nu, un verre de vin à la main en sentant un mélange de pisses de deux femmes.
Je pus enfin me laver, ce qui relevait d’une impérieuse nécessité.
Enfin propre et habillé, je quittai la salle de bain. J’étais seul, plus aucune trace d’elles. Elodie et Chloé étaient parties.
Par chance elles avaient effectivement payé l’hôtel – il y avait du progrès – et je décidai donc de rentrer chez moi. En vérifiant dans mes poches qu’il ne me manquait pas d’affaires, je découvris un billet griffonné qui disait ceci : « je t’appellerai si j’en ai envie, tu viendras parce que tu en as déjà envie. Bisou mon petit jouet. Elo ». Cette petite garce avait encore eu le dernier mot.
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