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Un futur de rêve

Chapitre 1

L’anniversaire

Avec plusieurs hommes
Je me réveille, comme chaque matin, je regarde le lever de soleil. Il crée des aurores boréales multicolores au travers de la ceinture d’astéroïde. Une vague de nostalgie me prend. Dans ma jeunesse, les astéroïdes formaient le fier astre nommé la lune. Une présence s’approche furtivement derrière moi.
— Bien dormi mon amour ? Demande sensuellement Misha.— Trop courts. Dis-je, un sourire béat aux lèvres.— Vivement le round à deux alors.— Si tu le mérites !
Elle fait mine d’être vexée, en partant d’une démarche lascive. Si elle savait ce que je lui avais réservé ce soir. Je descends au village le plus proche où j’ai fait fabriquer des jouets que l’on avait plus vus depuis la Grande Guerre. La maigrichonne artisane vire au rouge tomate, en me voyant arriver et me donne le sac contenant les objets. En échange, je dépose une caisse de légumes et quelques morceaux de bois de mon verger.
— C’est... C’est bien trop ! s’exclame-t-elle.— Prends-le comme un investissement dans tes talents.— Non, je ne peux accepter, c’est...
Avant qu’elle n’ait le temps de finir sa phrase, je tourne les talons et je passe à la suite. Je croise ma Misha adorée. Au passage, je lui donne une tape sur son magnifique fessier. Elle se retourne et devant le regard médusé de tout le monde, elle enlève le haut, affichant son arrogante poitrine. Un garde approche et nous saisit l’épaule.
— Bon, les deux pervers, allez faire vos saloperies ailleurs, ici on est une communauté respectable. Exige-t-il d’une voix autoritaire.— Ne sommes-nous pas libres depuis la destruction de ces gouvernements devenus despotiques ? Dit Misha en jouant éhontément avec ses seins.— Il faut se conformer aux règles de ce village, sinon... vous n’aurez plus le droit de revenir et vos possessions seront partagées entre les membres estimés.
Je range les obus de ma dame et sans un mot, je la traîne avec moi dehors. L’artisane a tout vu, bien que derrière le comptoir, je parie que sa main frotte son entrejambe.Le soir venu, on prépare le repas et tous les en-cas. C’est son anniversaire et cette année, elle a le droit à la pratique qu’elle réclamait depuis longtemps. Évidemment, c’est une surprise, je lui ai fait croire que c’était simplement une fête banale. J’attache les crochets au plafond et prépare tout le matériel. La soirée commence, en m’approchant derrière elle, je lui attache les mains. Comme d’habitude, elle comprend le message et docilement me suit. Je lui caresse doucement la descente des reins, puis remonte sur sa belle poitrine, je lui accroche de petits poids au téton, ces derniers grossissent un peu d’excitation. Je sors du sac de l’artisane un des objets, un gode ressemblant à un assemblage de boules. Elle se plaque sur moi et m’embrasse. J’en profite pour l’entrer étage par étage. Je suis impressionné de la souplesse de son anus. Je n’ai même plus besoin de l’attendrir. La dernière de la taille d’un poing bien calée au fond. Elle jouit, son vagin est devenu rivière.
Je la soutiens et la caresse de plus belle. Et reprends pied au bout de quelques minutes. Je l’attache et la suspends, saucissonnée, les orifices accessibles et sans défense. Je finis la préparation en lui mettant un bandeau sur les yeux. Je pars.
— Qu’est-ce que tu fais ? Ne me laisse pas sur ma faim. Me supplie-t-elle.— Je reviens, tu vas adorer la suite, ma beauté. Dis-je.
Je passe derrière la maison et je fais signe à Gaspard, le jardinier du village, un grand gaillard bien bâti et à sa femme, l’artisane de ce matin. Les deux comme convenu entrent discrètement. Je lèche le minou de Misha. Cette dernière gémit. Puis je me positionne devant et elle gobe mon zob en entier. Pendant qu’elle me fait une magnifique fellation dont elle a le secret, l’artisane commence à lui brouter la moule. Ma femme fait un mignon petit bruit d’étonnement et comprend enfin où la menait cette soirée d’anniversaire. Gaspard enlève le plug et les léchouilles se déplacent sur et dans l’anus. Je lui pénètre son anus à grands coups de butoir. Gaspard sort son chibre et le plante dans la bouche de ma femme. Elle le gobe en entier. L’artisane récupère dans le sac le petit doigt en bois qu’elle a sculpté pour moi. Elle s’assoit et commence des allers-retours dans son vagin avec, nous regardant. On joue plusieurs minutes avec Misha en alternant entre tous ses orifices.
Je détache madame, haletante et fatiguée d’avoir eu plusieurs orgasmes. Je l’emporte sur le lit. Je la couche sur moi, sa caverne anale plantée sur mon zob et lui écarte les cuisses. Gaspard s’approche et frotte son gland sur sa fente.
— Ho ! Oui ! Pénétrez-moi, ma chatte en veut plus. Dit Misha, le souffle court.
D’un clin d’œil de ma part, Gaspard comprend. Il descend et touche ma bite. Il pousse et petit à petit, il entre aussi la sienne dans l’anus de ma femme. Elle respire fort et d’un doigt, je note qu’elle coule encore plus. L’artisane se place dans un coin, ses jambes sont ruisselantes de cyprine. Je remarque dans ses yeux une grande envie de passer à la casserole.
— Tu vois ma chère, si tu étais un minimum capable, je t’offrirais un peu de plaisir. Dit méchamment Gaspard.— Mais, mon chéri, tu sais que je préfère regarder. Balbutie l’artisane.
Sur ses paroles, déçue, elle se rassied sur la chaise. J’embrasse ma femme qui a un énième spasme de jouissance. Je sens qu’elle est à bout. On quitte son orifice rectal distendu. Je lui enlève le bandeau et elle découvre enfin qui était ce fameux deuxième individu. On se lève et allons manger. Je porte à moitié Misha jusqu’à la table. On prend tous les quatre ensemble le repas et passons une soirée à rigoler. Tard dans la nuit, nos invités partent, je retiens discrètement l’artisane à part pour une minute.
— Est-ce vraiment volontaire que tu n’aies plus droit à être touchée ?— Oui, c’est mieux de regarder... Sa voix me parait étrange.— Si tu as besoin d’en parler, je suis là, et Misha aussi.
Elle me fait oui de la tête et finit de se préparer avant de rejoindre son mari et rentrer chez eux.Je retourne à ma jolie. Elle me saute au cou. Me remercie chaleureusement, de ce cadeau dont elle rêvait depuis si longtemps. Fatigué, on se couche et s’endort. En imaginant à encore plus de chaudes soirées.
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