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Un futur de rêve

Chapitre 2

Une réalité difficile

Avec plusieurs femmes
Les semaines ont passé depuis l’anniversaire de ma femme, Misha. J’ai de nombreuses fois repoussé Gaspard, ce dernier voulait réorganiser une soirée. Ma Misha aussi en a subi les demandes. Après un temps, il a dû comprendre et a cessé de réclamer. Sa femme, l’artisane, du nom de Séverine, a de son côté, l’air de plus en plus triste et perdu.
Aujourd’hui, voyant Séverine au bord du gouffre, je décide de prendre le taureau par les cornes et de discuter avec. Elle craque dès que je l’étreins. Dans mes bras, elle me révèle que le jour de leur mariage, une goule est sortie dans la salle où elle se préparait. Nue et sans défense, la goule l’a plaquée au sol et avec son membre putride et déformé par les mutations lui a volé sa virginité d’un coup sans aucun préliminaire, la douleur était atroce. Le liquide brûlant et irritant expulsé du chibre à peine humain s’est répandu en elle. Sans plus aucune force, en sanglot, et le vagin en feu, la goule la prend par la cheville et commence à la traîner vers la bouche d’égout pour l’emmener on ne sait où. Gaspard l’a sauvée in extremis. À coups de poing, il repousse le monstre qui s’enfuit en oubliant la femme. Les lois du village veulent la mort des personnes ayant eu des rapports intimes interespèce. Ils ont décidé de finir le mariage et de cacher ces faits.
Depuis ce jour-là, il a pris l’habitude de coucher avec tout un tas d’inconnues devant elle. Il ne l’a par contre plus jamais touchée, sauf de rares petits bisous pour sauver les apparences en public. Je la berce un peu, elle me regarde intensément, elle en veut plus. Au travers de ses yeux, on y voit le criant besoin de faire l’amour, d’être ne serait-ce que câlinée. Je lui offre de l’aider. Elle ne tient plus et pleure à chaudes larmes dans mon giron. Pendant que je mesure le risque qu’elle a pris en m’en parlant, je lui promets que si un problème arrive ou si elle a juste envie de parler, ma porte lui est ouverte.
Je vais voir son mari, Gaspard, il est en premier lieu très étonné que je connaisse ses faits. En colère, il veut directement aller régler l’affaire avec sa femme. Je le calme et l’on en discute. Il me confirme l’histoire et me valide qu’à la suite de ce viol, il est resté dégoûté et la toucher lui devient de plus en plus difficile. Avec le temps, il arrive de moins en moins à supporter ses jérémiades. S’il l’a gardée, c’est uniquement pour l’image vis-à-vis des concitoyens et qu’elle le laisse attraper des inconnues de passage.
Avec cette histoire me turlupinant, je rentre dans ma maison. Misha remarque immédiatement que j’ai l’esprit ailleurs et vient vers moi.
— Qu’as-tu fait pour avoir une tête pareille, mon amour ? — J’ai appris une chose affreuse sur Séverine, j’ai envie de l’aider. Mais je ne sais pas comment le faire. — Si tu me racontes, je peux le comprendre avec ma cervelle de femme, dit-elle sur le ton de la rigolade.— Je pourrais essayer cette option. Réponds-je d’un ton neutre.— Toi qui loupes une occasion de rigoler, même avec une aussi belle perche... est-ce si grave que cela ?
Je la prends sur les genoux et lui explique dans le creux de l’oreille la situation. Elle comprend instantanément la gravité et comme cela commence à sérieusement dégénérer. On toque à notre porte, c’est Séverine. Elle est en panique, les vêtements en lambeaux. On la fait rapidement entrer. Je regarde dans le noir, apparemment personne ne la suit. Dans les bras de ma femme, elle pleure. Je viens la prendre en sandwich et ensemble on la berce tendrement. Elle se calme et nous raconte que son mari était comme enragé. Il lui a déchiré les habits puis l’a jetée dans un coin et est allé chercher quelque chose en lui criant que puisqu’elle veut tellement baiser, elle aura ce qu’elle désire. Elle a réussi à s’échapper, car il a mal verrouillé la porte. On entend des aboiements, je regarde par la fenêtre, deux gros chiens avec deux hommes, Gaspard et le maire du village, Florentin. En un rien de temps, ils tambourinent à ma porte.
J’ai juste le temps d’attraper mon arme, avant qu’ils cassent le verrou, je les reçois d’une balle de mon fusil dans un des molosses. Ils lèvent les bras et retiennent le deuxième chien. Je hurle.
— Que voulez-vous ?
Le mari répond.
— Ma femme est une baiseuse de goule, je l’ai protégée et comme remerciement, elle me fait passer pour le méchant. Puisqu’elle désire tellement coucher, je lui ai apporté deux beaux amants et toi, mon ami, tu viens d’en tuer un.

Séverine se fige et dit qu’elle ne veut pas devenir zoophile. Le maire insiste, l’autre option est la mort, car ils appliqueront la loi. Le débat est houleux, il est fait de rage et de cri. Voyant que l’on tourne tous en rond, Misha nous propose du thé et des biscuits. Tout le monde se calme. On discute pour faire avancer la situation, la concernée s’est collée à moi, tremble de peur et pleur. Le soleil se lève quand enfin on tient une solution. Le divorce demandant une raison, nous ne pouvions pas donner les vraies, les uniques autres possibilités exileraient un des deux de la communauté. La dureté de la nature hors du village est mortelle pour une personne seule. Gaspard insiste sur le fait que si elle veut rester ici, elle doit se faire démonter par le chien, devenir la chienne du maire et subvenir à toutes ses pulsions. Séverine refuse catégoriquement. Je regarde Misha. Elle voit que mon cœur de héros est activé. Elle acquiesce et vient vers moi.
— Je peux accepter qu’elle devienne ta deuxième femme, si elle est aussi d’accord.— Tu sais que si l’on suit cette voie, on devra quitter la communauté et tout recommencer ailleurs.— Je n’ai pas d’attache particulière, donc recommencer de zéro me convient.
Gaspard insiste pour que sa femme revienne, elle refuse et veut être avec moi. Le maire voyant que l’on tourne à nouveau en rond tranche et dit.
— J’accepte de prononcer le divorce en vous accusant de tout et vous serez bannis tous les trois de cette communauté. À une seule condition. Elle doit au moins satisfaire mon chien pendant que je filme.
Face à un refus en bloc, les menaces recommencent. Énervé, je tape du poing sur la table. On finit par conclure que pour éviter le bain de sang, on a un délai de cinq heures pour plier bagage. On fait un balluchon et l’on part bien avant la fin du temps imparti. On s’arrête le soir après des heures de marche. Fourbu, on grille une pomme comme souper, je vois que Séverine se détend un peu.
— Cataclop, cataclop... 
Le bruit fait dresser mon oreille. Voilà le maire et Gaspard en cheval avec trois gros molosses les accompagnant. Cette fois-ci, ils sont tous les deux
armés d’un révolver. À notre hauteur, il s’exclame.
— Vous pensiez vraiment qu’on allait vous laisser partir si facilement ! Séverine, tu vas baiser tes trois beaux amants, pendant que Florentin filme. Maintenant ! Sinon...
Il tapote son arme. La concernée en a les larmes aux yeux, s’est un vrai cauchemar. Elle est vaincue. Elle remonte sa robe et avance à quatre pattes. Je suis mis en joue, si je bouge, je meurs. Les chiens bien dressés s’approchent leur membre déjà prêt pour l’action. Un coup de feu part, Gaspard s’effondre. Un deuxième retentit. Puis un troisième, ainsi de suite. Les chiens et Florentin, le maire tombe sans vie.
Je me rue et enlace Séverine en même temps que Misha pour la protéger. Je remarque que les tireurs sortent de leur cachette. Les cinq dames ont assisté à la scène et ont agi. On fait les présentations, Séverine et Misha s’introduisent en même temps comme mes femmes. Je deviens tout rouge, nos sauveuses rigolent et nous expliquent qu’elles traquaient les violeurs zoophiles qui sévissaient depuis des années dans la région. Elle nous invite à nous reposer au campement avec elles. Elles ont un bon humour et détendent l’atmosphère facilement. En voyant que mes deux femmes me collent, l’une des dames me glisse à l’oreille que la grotte plus haut est tranquille. Sur un prétexte bidon, on s’absente sous leur rire contenu.
Misha m’embrasse passionnément. Je la caresse un peu. Elle est déjà tout humide. Séverine est toute gênée, je l’attire en la prenant tendrement dans mes bras, nos lèvres se frottent, je les lui lèche, elle les ouvre un tout petit peu et nos bouches se connectent, nos langues dance entre elles. Je lui masse le dos et la taille. Elle commence à se détendre. Misha vient lui donner des bisous dans le cou. Elle frémit, je m’aventure sur ses fesses, lui fais tomber la robe, elle quitte notre baiser passionné.
— Je... je suis sale, un déchet comme moi n’a pas le droit à ses plaisirs.— Tu y as droit et tu devrais les réclamer chaque fois que tu en ressens le besoin. Réponds-je.— Une goule m’a violée et a mis son jus putride en moi.— On s’en fiche de ça, laisse-toi faire et profite de l’instant. Ajoute ma femme.
Séverine se relâche, mes doigts inspectent sa fente humide en même temps que ceux de Misha. Ma bouche descend lui faire des poutous sur le cou, puis sur les seins. Je mordille ses tétons. La poitrine de ma femme masse ma nuque en embrassant tendrement notre amante. Séverine a des spasmes et son vagin coule de plus belle. Le souffle court, elle nous remercie. Elle en veut plus, Misha se couche, elle s’assoit sur son visage et se fait lécher la fente, je lui présente mon pénis devant ses lèvres. Elle y dépose de petits bisous timides, un coup de langue. Je pousse un peu et elle met le gland en bouche. Sa langue tourne autour. Malgré son manque d’expérience, je sens qu’elle donne son maximum. Elle le prend légèrement plus profond et a un haut-le-cœur. Je retire mon chibre et l’embrasse. Elle vibre et jouit une deuxième fois sous les coups de langue de ma femme. À mon tour, je me couche et Séverine se positionne à califourchon au-dessus de mon membre fièrement dressé.
Elle hésite, je frotte son entrée avec mon pénis, elle met un peu de pression et mon gland s’enfonce. Elle ressort et repénètre à plusieurs reprises. Misha, me connaissant bien, voit que je suis trop excité pour tenir beaucoup plus longtemps. Elle pousse un peu sur les hanches de notre compagne. Elle est très serrée. Avec une grimace, elle fait quelques mouvements de bassin guidé par Misha. C’est hyper-agréable cette pression, je suis au bord de la jouissance, j’utilise toute ma volonté pour ne pas exploser. Elle a des spasmes. Une fois de plus, elle jouit, je ne tiens plus. Je la prends dans les bras et toute la sauce sort alors que je suis seulement à mi-distance dans sa caverne. Ma femme m’embrasse, j’embrasse Séverine puis les deux femmes s’embrassent pendant que je me retire redevenu tout mou. Misha se touche, elle est haletante. Je l’attire à moi et la couche sur le dos. Je lui fais un cunni.
Comme elle adore, je lui mordille le clito et plante ma langue dans sa grotte détrempée. Séverine lui mâchouille les tétons, en alternance de léchouilles au creux de ses oreilles. Je découvre qu’elle y est sensible, Misha part dans un gros orgasme bruyant. On finit en se tenant les trois dans une étreinte et en discutant de notre expérience. Puis on rejoint le groupe de femmes au feu de camp. Ces dernières sont rouge tomate et sourient en essayant de se contenir.
— Vous avez tout entendu...— Oui... répond celle que m’avait indiquée la grotte.
On en rigole un bon coup et elles y vont de leurs commentaires et fantasmes. La bride est lâchée. La fatigue me frappe d’un coup et avec ma femme on enlace Séverine. On dort comme des souches dans cette position. Le matin, elles expliquent qu’il est préférable que l’on voyage ensemble à leur village. Misha attend ma décision, les yeux remplis d’espoir. Séverine me fait le coup des yeux étoilés. Difficile à refuser. J’accepte d’aller là-bas. On accompagne l’équipe de femmes. Qui malgré leur regard d’envie, préfère nous laisser dans le bain de l’amour entre nous trois.
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