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Gaelle, assistante de vie

Chapitre 3

fétischisme

Trash
Cela fait maintenant un mois que Julien a rejoint la ( longue) liste des patients auxquels Gaelle propose ses extras, et il n’oubli jamais de déposer deux billets de vingt euros sur la petite table à l’entrée.
La jeune fille ne s’occupe maintenant que de ses clients particuliers. Elle refuse systématiquement de travailler pour les femmes et ne renouvelle pas les contrats des hommes qui ne sont pas intéressés par ses prestations. ( Et si, il y en a quand même quelques uns, en général ceux qui vivent toujours avec leur épouse).
Julien est fétichiste des talons hauts tout comme Gaelle, et celle-ci adore exploiter cette faiblesse pour le faire baver d’envie. La jeune fille change de chaussures dans sa voiture avant d’aller chez lui, afin de remplacer ses mocassins par des talons aiguilles. Maintenant, ce n’est plus ses fesses qu’elles lui exhibe sous le nez pour le faire bander, mais ses escarpins ou ses bottines.
 Gaelle apprécie beaucoup de travailler chez lui, et ce n’est pas uniquement parce qu’ils ont le même âge. Elle le trouve gentil, intelligent, sincère, mais ce qui l’a fait le plus craquer, c’est sa grande naïveté. Elle arrive à le manipuler et à le faire rougir de la même façon qu’elle parvient à exaspérer Noémie avec ses histoires salaces, et ça elle adore.Et puis, il faut bien l’avouer, elle le trouve mignon. " Putain de maladie" se dit-elle souvent. Peu à peu, le jeune homme est ainsi devenu un peu plus qu’un simple client pour son assistante de vie.

Gaelle a rejoint son amie à la terrasse de leur café favori. 
— Salut Noémie, tu as passé une bonne journée?— Oh oui, la routine. Et toi, toujours tes pipes et tes petites branlettes?— Oui, comme d’hab. Enfin surtout des pipes, la plupart de mes clients préfèrent l’option "Intégrale" à la formule de base.— A t’entendre, on croirait que tu parles d’un contrat d’assurance.-Et bien oui, je leur propose une assurance de......jouissance." Ah Ah Ah..."— Sérieusement Gaelle, je pense que tu devrais être un peu plus discrète.— Pourquoi?— Ca jase pas mal entre les filles de la boite.— Comment ça?— Il y a des bruits qui courent.
— Ah ouais, et lesquels?— Par exemple que tu passes régulièrement sous le bureau du patron afin qu’il ferme les yeux sur ton petit business.
Gaelle met sa main sur le cœur l’air indignée.
— Noémie, toi qui me connais bien. Ne me dis pas que tu crois capable de faire une chose pareille !
Sa copine lui répond avec la même mauvaise foi.
— Non bien sur. Moi qui te connais très bien, je sais que tu en es parfaitement INCAPABLE. Mais tu sais ce que c’est, les filles n’arrêtent pas d’en parler.— Laisse les faire. Elles sont jalouses, c’est tout.— Comme tu veux, je t’aurais prévenue.— Bon assez parler de ses mauvaises langues, j’ai des tas de choses beaucoup plus intéressantes à te dire.— Des trucs cochons je suppose?— Bah évidemment. J’ai fait des choses très spéciales avec Julien cette semaine. Tu veux que je te raconte.— Si ça te fait plaisir. De toute façon même si je dis non, tu le feras quand même.
Gaelle débute son récit :
— Bien, tout a commencé avant hier. J’étais habillée de façon très sage : un chemisier échancré, une minijupe en jean et une paire de Mary-janes roses bonbon à talons de cinq centimètres, enfilées sur des socquettes blanches.— C’est ça qu’elle appelle s’habiller de façon sage? S’exclame Noémie en levant les yeux aux ciel. 
Gaelle ne répond pas.
— Comme d’habitude, il y avait deux billets de vingt euros posés sur la table. Julien n’oublie jamais de les mettre.— Je n’en doute pas, et à part ça?— Bon si ça ne t’intéresse pas, dis le carrément se vexe Gaelle.— Non, non, excuse moi, continue.— J’ai mis les billets dans mon sac et j’ai rejoint Julien. Il était en train de lire dans le salon.
"Tu devrais aller sur la terrasse. Il fait super beau aujourd’hui". lui ai-je dit."J’aimerais bien, mais je n’arrive pas à ouvrir la porte fenêtre. Elle est bloquée.""Ne t’inquiète pas, je vais arranger ça."
— Je pensais qu’il n’y arrivait pas à cause de sa maladie mais effectivement, en tirant dessus j’ai constaté que quelque chose coinçait.Tu connais ma patience légendaire. Ce n’est pas une porte qui allait me casser les miches longtemps. J’ai donc tiré d’un coup sec et crac la porte s’est ouverte d’un coup. Et là surprise, des dizaines de fourmis se sont mises à courir dans tous les sens. Elles avaient fait leur nid dans la menuiserie creuse en aluminium. Je n’en avais jamais vu d’aussi grosses. Elles faisaient toutes plus d’un centimètre de longueur et quelques unes atteignaient presque 1,5 cm.— Tu exagères!— Non, je te jure. Elles étaient noires, énormes.— Noire, énorme. T’es sur que tu ne confonds pas avec la queue d’un de tes mecs? dis Noémie en pouffant de rire.— Ah ah, très drôle. Non, c’étaient bien des fourmis.
"Il y a une bombe d’insecticide sous l’évier" me dit alors Julien."De l’insecticide? Pour quoi faire. Je vais régler ça à ma façon."
— Et là, j’ai commencé à piétiner sur place de façon à les écraser avec mes chaussures.Très vite la masse grouillante s’est transformée en dépôt noirâtre sur le carrelage. Et alors que je m’appliquais maintenant à exterminer les dernières rescapées, j’ai vu que Julien était en train de se caresser sur son fauteuil.— Quoi! Il se branlait en te voyant écraser des fourmis?— Oui, il était terriblement excité.— Mais je croyais qu’il ne pouvait pas se masturber.— Il n’a pas la force de se faire jouir, mais il peux quand même passer ses doigts sur le sommet se son gland.— Quel pervers! — Et encore, ce n’est pas fini. Alors que je m’apprêtais à nettoyer mes Maryjanes avec un Kleenex, il a crié:
"Attends, je peux le faire?"
— J’ai haussé les épaules.
"Si ça peut te faire plaisir, pourquoi pas".
— Je lui ai donné le kleenex et j’ai levé une jambe afin de la mettre à sa hauteur. Et là, tu sais ce qu’il a fait?— Non.— Après avoir posé le kleenex, il a pris ma Maryjane dans les mains, et il a penché sa tête en avant. Ensuite, il a sorti sa langue et....— Oh non, ne me dis pas qu’il a fait ça. — Si, il l’a nettoyée consciencieusement centimètre par centimètre. Il n’a rien oublié, la semelle, le talon. Et puis surtout il a tout avalé.— Arrgh, quel porc! Et toi tu l’as laissé faire?— Bien sur, pourquoi je ne l’aurais pas fait. Les filles avalent bien le sperme des garçons, pourquoi ceux-ci ne nettoieraient pas leur chaussures en retour avec la langue? Et puis il y a plein de pays où on mange des insectes.
Noémie fait une grimace de dégout.
— Berk. Et ensuite?— Ensuite, quand il a finit de faire reluire mon premier soulier, je lui ai présenté le deuxième pour qu’il fasse la même chose.— Ce n’est pas ça que je te demandais. Je voulais savoir comment ça c’était fini.— Ah! Comme je te l’ai dit, il était en train de se caresser quand je l’ai surpris. Je n’allais quand même pas le laisser excité comme un pou avec la bite à l’air! Je me suis donc agenouillée devant lui et je l’ai pris en bouche. Après tout, il m’avait payé d’avance pour ça.— Tu es vraiment écœurante. 
Gaelle éclate de rire.
— Et encore, ça ce n’est rien par rapport à ce qu’on a fait aujourd’hui.
Noémie ouvre de grands yeux stupéfaits.
— Ne me dis pas que vous avez fait des truc encore plus pervers?— Si, écoute bien. J’ai compris qu’il allait se passer quelque chose de particulier dés mon arrivée chez lui. En effet, ce n’est pas deux billets de vingt euros que j’ai trouvés sur le meuble, mais un de cent.
( Toi tu as une idée derrière la tête) me suis-je dis en me dirigeant vers Julien.
— Il était devant son ordinateur. Quand il s’est rendu compte que je m’approchais de lui, il a changé de page mais j’avais eu le temps d’apercevoir la précédente durant une fraction de seconde. C’était....— Une vidéo de cul!— Exactement. J’ai fais semblant de ne rien avoir remarqué et je me suis penchée sur lui.
" Bonjour Julien. Pas trop dures à digérer les fourmis?"
— Il a rougit comme une cerise.
" Dis-moi, j’ai trouvé cent euros à l’entrée. C’est une avance pour la semaine prochaine, ou c’est.....pour autre chose?"
— Ses mains se sont mises à trembler sur son ordinateur, mais il est parvenu à me dire d’une voix chevrotante.
" Heu, oui....Il y a des trucs que j’aimerais bien que tu me fasses....Mais j’ai peur que tu me prenne pour un détraqué.""Avant hier, tu as léché mes semelles recouvertes de cadavres de fourmis, je ne vois pas ce qui pourrait me choquer davantage."" Si, il y a pire. Tu sais, je suis complétement dingue des chaussures à talon..."" Ah ça je m’en suis aperçue en effet! Mais cela ne me dérange pas, moi aussi j’en suis folle."" Oui, mais ce que je voudrais que tu fasses, c’est vraiment très....""Bon écoute, on ne va pas tourner autour du pots 107 ans. Montre moi ce que tu étais en train de regarder quand je suis arrivée."
— Il a recliqué sur la page et remis la vidéo en marche. A la fin, je me suis exclamée:
" Effectivement, je m’attendais à quelque chose de bien dégueulasse, mais là ça dépasse mon imagination. Je ne savais même pas que ce genre de truc existait. Et tu voudrais que je te fasse la même chose? Tu es vraiment un sacré pervers Julien".
— Il a baissé la tête comme un petit garçon surpris par sa mère après avoir fait une bêtise. Cela m’amusait comme une folle de le mettre dans cet état, on aurait dit toi en pire.— Ah ah, très drôle réplique Noémie.
" Excuse moi Gaelle. En plus d’être un pervers, je suis un idiot. Je n’aurais jamais du te demander ça. Tu ne m’en veux pas trop?"
— J’essayais de garder mon attitude sévère, mais c’était tellement amusant de le voir aussi penaud que je n’ai pu résister longtemps à mon envie d’éclater de rire.
" Ah Ah Ah Ah.......Si tu voyais ta tête! Tu tombes dans le panneau à chaque fois!"" Je, je....je ne comprends pas."" Tu ne vois pas que je me moque de toi depuis tout à l’heure!"
— J’ai vu son visage s’illuminer.
" Alors,....c’est....oui? "" Mais évidemment que je vais te le faire petit vicieux."
— Là, il s’est jeté dans mes bras.
Noémie intervient.
— T’es quand même une sacrée garce! Le faire marroner comme ça ce pauvre garçon. — Ce pauvre garçon! Il y a cinq minutes tu disais que c’était un porc, un pervers, pour ne pas dire un psychopathe!— Oui, c’est vrai je le reconnais. Bon, tu ne m’as toujours pas dit.— Dis quoi?— Bah, ce qu’il t’a demandé de lui faire pardi.— Ah parce que les trucs cochons t’intéressent maintenant?D’accord, je vais tout te raconter. 
" OK, Julien. Avant de commencer, je voudrais revoir la vidéos en entier afin d’être sur de ne rien oublier."
— Il a remis le film en marche, et tout en observant attentivement le travail de la comédienne, j’ai caressé son gland du bout des ongles histoire de le faire patienter.
" Bon, j’ai compris. Ce n’est pas trop compliqué en fait. Il faut juste que je fasse bien attention de ne pas te blesser. En plus, tu as de la chance. Je porte les chaussures idéales pour faire ça!"
— Julien a jeté un œil réjoui vers mes Maryjanes, et tout particulièrement le talon fin comme une aiguille. 
" Tu vas t’allonger sur le dos par terre là."
— Je l’ai aidé à se sortir du fauteuil et je l’ai posé délicatement sur le parquet où je l’ai mis complétement à poil." On va mettre ça sous tes fesses comme sur le film" lui ai-je dis en prenant un des coussins du canapé. Après lui avoir écarté les jambes aux maximum, j’ai placé un fauteuil le plus près possible et je me suis assise confortablement. Il était maintenant face à moi, le cul surélevé et les jambes écartées, complétement à ma merci.
" Voilà, tu es prêt?"
— J’ai tendu la pointe d’une de mes chaussures et l’ai placée sous ses couilles. Je me suis amusée à lui soupeser les burnes ainsi durant quelques minutes. Je peux te dire qu’il appréciait beaucoup. Il s’est mis à bander comme un âne, mais ce n’était que le hors d’œuvre. Il était temps de passer à la phase suivante.J’ai retiré mon pied et l’ai tendu vers son visage.
" Lèche. Et n’oublie pas de bien sucer le talon surtout. Enfin, si je dis ça, c’est pour ton bien."
— Julien qui connaissait la vidéo par cœur savait très bien à quoi je faisais allusion, et il a pris un soin particulier à recouvrir mon talon de salive.
" Ca suffit maintenant! "
" J’ai accompagné mon ordre d’une petite tape sur sa joue du bout de la chaussure. Je prenais déjà mon rôle de maitresse très à cœur.Imitant celle de la vidéo, j’ai attrapé les deux jambes de mon soumis afin d’avoir un meilleur accès à son anus, et j’ai ramené mon pied en arrière.
" Attention, ca va peut-être faire un petit peu mal."— J’ai alors posé mon talon aiguille sur le bords de sa rosette, et j’ai commencé doucement à forcer l’entrée avec. J’ai tourné légèrement mon pied tout en appuyant, et millimètre après millimètre, mon talon est entré entièrement.Une fois arrivée à la garde, j’ai poussé mon pied de toutes mes forces en me tenant à ses jambes.
"ARRRRGGHH."" Chut. Tu ne va pas commencer à te plaindre, ce n’est que le début. C’est toi qui l’a voulu je te rappelle!"
— J’ai relâché la pression et commencé à faire des mouvement de va et vient. Les cris de douleur de Julien se sont transformés en râle de plaisir.
" Tu aimes ça hein !"" Oh oui."
— J’ai poussé de nouveau mon talon à fond d’un coup sec.
" On dit oui, MAITRESSE!"" OUIIIII;...MAITRESSE" réussit-il à dire entre deux cris de douleurs.
— J’ai relâché la pression et repris mes mouvements. Oh bon sang, j’étais en train d’enculer un mec avec mon talon aiguille! Quel pied ( c’est le cas de le dire), j’avais la chatte qui dégoulinait.Plus je lui pistonnais l’anus avec mon talon, et plus je me prenais au jeu.
" Julien, tu es vraiment qu’une petite salope. Dis que tu es une petite salope!""Je suis une petite salope Maitresse!" S’empressa t’il de crier de peur que je lui plante de nouveau mon talon de toute mes forces dans le cul." C’est bien, je constate avec plaisir que tu commences à comprendre qui commande."
— Pour ma part, je constatais qu’il gémissait de plus en plus et que si je continuais comme ça, il allait bientôt jouir. Le problème c’est que la vidéo n’était pas terminée.J’ai donc retiré mon talon d’un coup sec.
" Tu as assez pris de plaisir comme ça" lui dis-je d’une voix menaçante. "Maintenant, on va passer aux choses sérieuses."
— Julien a frémit de peur et d’excitation en entendant mes paroles. Il savait parfaitement ce que j’allais maintenant lui faire.Tout en maintenant ses jambes légèrement écartées en l’air, j’ai posé mes deux pieds sur son pubis de sorte que mes talons se retrouvent juste au dessus de ses bourses. " Attention, j’y vais!"Et là je les lui ai plantés sèchement dans les couilles, et je me suis mis à les triturer sans ménagement. Un coup je vrillais mon pieds à un endroit précis, l’autre je m’amusais à lui griffer la peau. Mais ce que j’affectionnais le plus, c’était d’essayer de lui coincer une de ses bouboules entre mes talons, comme avec des baguettes dans les restaurants asiatiques. Mes petits talons très fin étaient parfaits pour ça et Julien poussait des cris de douleur à chaque fois que j’y parvenais.
" Oh la là, mais qu’est ce que tu peut être douillet. Une vraie chochotte."" C’est que ça fait très mal maitresse."" C’est la meilleure! C’est de ma faute maintenant. Je te rappelle que je fais tout ça uniquement pour te faire plaisir! Bon, puisque monsieur ne supporte pas la douleur, je vais passer à la suite."
— Julien a poussé un soupir de soulagement. La dernière partie de la vidéo était beaucoup moins douloureuse et devait certainement être sa préférée. Et puis, il fallait admettre que je n’avais pas été très tendre avec ses couilles et son anus. Il méritait bien que je le fasse jouir.J’ai soulevé mes pieds pour extraire mes talons de ses couilles. Je comprenais ses cris maintenant. Ils avaient fait de beau dégâts : la peau était rouge vif et parsemée de zébrures. J’ai posé une de mes chaussures sur le sol, et avec l’autre j’ai rabattu sa queue dessus. Sa bite était maintenant prise en sandwich entre les deux. J’aurais pu en profiter pour me montrer méchante à nouveau, mais Julien avait assez souffert et cela n’aurait pas été en accord avec la vidéo. En effet sur celle-ci, la maitresse avait branlé gentiment la queue posée sur le dessus de son escarpin avec la semelle de l’autre. Je me suis donc employée à faire de même.Du bout de ma Maryjane, j’ai décalotté doucement le gland puis j’ai commencé a faire des va et vient tout le long de sa queue. La fine peau qui recouvre le bout se trouvait soulevée à chaque passage, laissant le gland sans protection face à ma semelle. Le moindre faux mouvement et je pouvais lui faire très mal, voir même le blesser, ce qui n’était pas mon intention. Il me fallait absolument trouver rapidement le bon dosage entre le plaisir et que je lui donnais et la douleur que je lui infligeais. Je n’avais jamais fait ça et je ne savais pas trop la pression que je devais exercer. Je me suis donc fier à ses réactions
"Aaaahhhh"" Oh, je crois que j’ai appuyé un peu trop fort" lui ai-je dis en me moquant de lui. 
— J’ai repris mes mouvements plus doucement en faisant attention de ne pas frotter trop fort la peau du gland quand elle était à nue. Cela allait beaucoup mieux. J’avais enfin trouvé à la fois le bon rythme et la bonne pression à exercer, et Julien ronronnait maintenant de plaisir sous mon pieds.
" Gaelle...oh ouiiiiii, ....c’est bonnnn....Aaaaa..."
— Quand j’ai vu qu’il allait jouir, je me mise à lui astiquer le gland le plus vite possible avec ma semelle, et il a juté bruyamment sur mes chaussures.J’ai alors repris ma voix autoritaire.
" Non mais regarde moi ça espèce de cochon! Tu en as mis partout sur mes souliers. Nettoie moi ça tout de suite!"
— Et là, j’ai présenté mes chaussures devant son visage.— Oh non, ne me dis pas que tu l’as obligé à .....— Nettoyer avec sa langue? Mais bien sur que si, qui c’est la maitresse?Il a fait comme ça, regarde!
Gaelle prend son verre de capuccino et sort sa langue pour lécher la mousse.
— Il a vraiment fait ça !— Oui, il a léché mes souliers et a avalé tout son sperme.— Mais c’est immonde! Ce type est aussi répugnant que toi. Ca ne m’étonne pas que tu t’entende aussi bien avec lui. C’est vraiment un pervers !
— Non, juste un gourmet. Son sperme est délicieux, je suis bien placée pour le savoir.
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