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Games Of Chaos

Chapitre 4

Divers
CHAPITRE IVHÔTEL DE VENTE
Après avoir descendu les marches d’un pas lourd, le marchand me pointe du doigt pour m’annoncer :- Gardons le meilleur pour la fin. Tu passeras en dernier. Attend sur le côté.Un peu soulagée d’avoir du répit, je fais quelques pas sur le côté pour m’isoler. Un garde vient se placer derrière moi, sans doute pour veiller à ce que la meilleure pièce du lot ne s’évade pas.C’est donc au tour de Lilith de passer en première. Elle baisse la tête et reprend son rôle de terranide apeurée, pour ne pas se faire remarquer des joueurs sans doute. Elle fait quelques pas, puis disparait de ma vue. J’entends vaguement des acclamations dans la foule, sans pour autant les comprendre. En revanche, j’entends très distinctement les cris du marchand :- Voici notre première pièce. Une jeune femelle féline. Maigrichonne je vous l’accorde, mais très agréable pour les yeux. Mise à prix de 20 anneaux d’or.Étrange cette façon qu’il avait de présenter. Ces humains semblaient haïr les terranides au point de vouloir tous les voir en chaînes, mais il la vendait sur sa beauté physique.Alors que quelques vagues cris émanaient de la foule, j’entendais le vendeur qui gérait leurs enchères :- 25 pour vous monsieur. 30 ici. 30 ! Personne pour plus que 30 ? 40 anneaux pour ce jeune homme ! 40 ? Personne pour mieux que 40 ? 40 une fois ? 40 deux fois ? 40 trois fois ! Adjugé, vendu, pour vous monsieur à 40 anneaux d’or !Alors que je me demande si c’est beaucoup, il redescend une minute plus tard pour pointer du doigt le suivant dans la file indienne : un homme assez massif avec une de fines cornes sur le crâne et un visage allongé, évoquant un bovin. Avec la même attitude que Lilith, il monta les marches en faisant bruyamment heurter les chaines de ses jambes à chaque pas.- Cette créature est un mâle avec la force et l’endurance d’un buffle. Il vous sera très utile pour les tâches manuelles. Mise à prix de 15 anneaux d’or. 20 à ma droite ! 22 Ici ! 25 ! 25 pour votre groupe ! 25 une fois ? Personne pour plus ? 25 deux fois ? 25 trois fois ! Adjugé, vendu, pour ces messieurs à 25 anneaux d’or !Les ventes se succèdent et se ressemblent. À chaque fois, le marchand vante la qualité de l’esclave, soit sur ses qualités esthétiques - principalement les femelles, soit sur ses critères physique - principalement les males. Les mises à prix se font entre 10 et 20 anneaux, et les ventes finales entre 20 et 40. La seule exception a été une femelle avec des serpents en guise de cheveux, avec des motifs mystiques sur sa robe. Un prêtre l’a acheté à 90 anneaux d’or.Un par un, la trentaine d’esclaves se font vendre. Mon tour approche de plus en plus, jusqu’au moment où le dernier - un vieil homme chétif avec un bec d’oiseau en guise de bouche - se fait vendre à 20 anneaux. J’entends le marchand redescendre. Cette fois plus d’excuse possible, c’est mon tour.
Un peu tremblante, je lève mes jambes alourdies par les chaines pour monter une à une les marches de ce long escalier. Je baisse les yeux pour vérifier rapidement que ma jupe est suffisamment baissée pour bien laisser apercevoir mon nombril. Elle l’est. Quel dommage qu’en contrepartie elle cache mes cuisses.Lorsque je passe sous la petite arche qui me mène sur l’extérieur, la lumière du soir naissant m’éblouit quelques secondes. Lorsque mes yeux s’habituent, je réalise que je suis sur une grande et haute estrade, au milieu de ce qui semble être une grande place dans cette ville, mais avec pour seules installations cette estrade et la foule agglutinée tout autour. Celle-ci est très hétérogène, on y trouve principalement les bourgeois que nous avions croisés en traversant le quartier, mais aussi une multitude de guerriers en armure, des êtres aux oreilles elfiques, d’autres tout en robe à motif avec tantôt un bâton raffiné à la main, évoquant des mages ou des prêtres. Un peu plus rarement, l’un d’entre eux présentait une caractéristique particulière, comme une pigmentation verdâtre, des pupilles scintillantes, une paire de bras en plus... Mais personne ne semblait s’en soucier.Tout le monde ne regardait que moi. En tenue de danseuse, et avec mes fers aux bras et aux jambes qui viennent salir le spectacle. Dans le monde réel, je serais sans doute morte de honte, mais ici, je n’en garde que le côté excitant. Dire qu’il y a des joueurs parmi cette foule, de vraies personnes peut-être déjà en train de fantasmer sur moi !- Voici notre dernière pièce. Comme à notre habitude, nous avons pris le droit de finir en beauté. Cette splendide jeune femme est originaire du lointain Imilchi, et a été capturée suite à une série de crimes mineurs.J’ai bien envie de dire que je n’ai commis aucun crime si ce n’est celui d’avoir laissé des soldats abuser de moi, mais personne ne m’écouterait. À la place, j’observe leurs regards entre la fascination et la perversion.- Mise à prix de 50 anneaux d’or !- 100 !Tout comme une bonne partie de la foule, je tourne brusquement la tête vers cette violente enchère. Elle provient d’un guerrier blond, torse nu, avec un grand casque à cornes sur la tête. Sa musculature est saillante et il dépasse la foule de facilement deux têtes. Et d’après son regard, je lui fais un effet ravageur.- 100 Pour cet étranger ! 100 anneaux ! 100 anneaux ?
- 150 !Je tourne la tête de l’autre côté de la foule. J’y découvre une grande femme blonde aux traits jeunes et à la poitrine généreuse cachée derrière un large soutien-gorge métallique argenté. Sa longue lance dépassant de son dos me fait penser à une amazone, aussi je rage contre cette foule trop dense pour me laisser voir le bas de son corps.- 150 anneaux pour cette guerrière !Le guerrier renchérit presque aussitôt avec un 160. Qui se fait reprendre par un 170. Les deux se mènent une guerre sans merci en montant le prix de 10 par 10, se fixant l’un l’autre plutôt que la femme qu’ils étaient en train de se disputer. Je trouvais cette absence de regards pour moi presque insultante.Les choses basculèrent à 220, lorsque la guerrière, excédée, fini par hurler :- 300 anneaux d’or !- 300 ici ! 300 anneaux !Le guerrier affichait une tête entre l’ahurissement et la déception. Il me lance un regard triste pour me faire comprendre qu’il ne montera pas plus haut.- 300 ! Personne pour plus que 300 ? Monsieur, allez-vous laisser cette femme partir pour 300 anneaux ? Vous n’êtes donc pas plus motivé que ça à l’obtenir ?Je me rappelle le conseil de Lilith : tenter de se faire acheter par un joueur plutôt qu’une joueuse. Et puis je me sens d’humeur joueuse. Il n’a pas assez de motivation ? À moi de le lui en procurer.Je plonge mon regard dans celui de l’homme, et passe lentement mes mains sur ma poitrine moulée par mon bustier, la bouche ouverte sur mes dents serrées pour un regard plus agressif. La pose aurait sans doute été beaucoup plus sensuelle si je n’avais pas ces affreuses menottes aux poignets. Bien que j’aperçoive une lueur dans son regard, il garde encore le silence.- 300 une fois ?En essayant de ne pas faire s’entrechoquer les fers que j’ai aux chevilles, je me tourne lentement pour montrer le profil de mon fessier, mon meilleur atout. Je laisse glisser mes mains le long de mes hanches pour qu’elles se posent sur celui-ci, puis l’une d’entre elles y donne un petit coup sec, pas trop fort pour ne pas abîmer le tissu, mais suffisamment pour faire retentir le bruit de la claque, que j’accompagne d’un petit cri forcé pour appuyer la chose.Cette fois, il semble devenir rouge d’excitation. Ça semble marcher.- 300 deux fois ?- 500 !! 500 ANNEAUX !!La foule pousse un cri impressionné, tandis que la blonde qui souhaitait m’acheter devient rouge aussi, mais d’un rouge de colère.- 500 anneaux d’or ! Quelqu’un est prêt à monter ?La guerrière fouille sa bourse, elle est surement en train de compter son or. Le regard empli de rage qu’elle me lance semble signifier qu’elle ne peut pas offrir plus même si elle voulait. Le vendeur a détecté lui aussi ce regard, et comprend rapidement qu’il ne sert à rien d’insister. Il termine rapidement la vente.- 500 une fois, 500 deux fois, 500 trois fois ! Adjugé, vendu, à ce guerrier à la volonté de fer ! La demoiselle est à vous !Sa voix est plus excitée que d’habitude. Il doit avoir le sentiment d’avoir fait une sacrément bonne affaire. Je me demande si les soldats qui m’ont rapporté vont avoir une promotion...
Je suis interrompue dans ma réflexion par le marchand qui m’attrape fermement par le bras pour me faire descendre de l’estrade. Le guerrier qui m’a achetée traverse la foule en bousculant violemment tout le monde sur son passage pour se retrouver devant nous deux.Le voir de près me fait soudainement poser des questions sur si j’ai bien fait ou non de l’encourager. Je ne suis pas spécialement grande, lui doit faire facilement plus de deux mètres de haut, avec pour seuls vêtements son casque métallique et un grand pagne en peau de bête, ce qui exhibe ses muscles saillants, autant sur ses bras et ses cuisses que son torse. Un large cercle orange allant du haut de son pagne au bas de son torse prouve qu’il s’agit bien d’un joueur expérimenté. Je me sens ridiculement frêle et petite comparée à lui.Il me fixe de ses yeux bleus, avec un regard de dément. Je l’ai définitivement trop excité.En lui tendant une petite clé, le marchand lui dit :- Et voici votre lot. En espérant que vous serez satisfait.Sans lui répondre ni même le regarder, il prend la clé d’une de ses grosses mains, et de l’autre m’attrape par la taille pour me serrer sous son bras et me tenir sous son épaule comme un colis. J’ai bien envie de protester, mais je doute que ça puisse servir à quoi que ce soit.Sans un mot et sans pudeur à mon égard, il me transporte ainsi à travers la foule, puis à travers quelques rues, avant de rentrer dans une maison et de me jeter sur un grand lit sans que j’ai eu le temps de comprendre quoi que ce soit. Si ce n’est que mes chaines me font toujours aussi mal.- Pour ce que j’ai payé, t’as intérêt à être douée salope !Alors que je me relève à quatre pattes pour comprendre où je suis, je le vois devant moi, sans son casque pour exhiber une longue et épaisse queue de cheval tombante, et sans son pagne pour exhiber une longue et épaisse queue de barbare dressée.Entre la terreur et l’excitation, je crois que je viens de me remettre à mouiller.
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