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Games Of Chaos

Chapitre 11

Divers
CHAPITRE XIVOYAGE RAPIDE
Tarik range une par une les pièces de son laboratoire dans son sac à dos, visiblement indifférent de la tournure des événements. Pendant ce temps, je ne me lasse pas de ressentir mon nouveau tour de hanches sur tous les angles, impressionnée par son poids, sa rondeur et sa largeur.Avant de ranger une dernière fiole, qui contenait un liquide vert fluo, il se tourne vers Julia :- Tu as bien dit que tu étais déjà allée à Imilchi ?- Oui, pourquoi ? C’est une potion de rappel que tu as là ?- Précisément. C’est parfait, tu vas nous épargner plusieurs jours de voyage.Il lui tend la fiole, avant de réajuster les sangles de son sac et d’ordonner :- Tenez-vous tous par la main. Julia, tu as l’air de savoir comment ça marche, alors après toi.- Je vous emmène où exactement ? Devant la ville ? Devant le palais ? Au marché ?Sentant les courants d’air frais de la forêt me caresser les fesses, je pris l’initiative :- Plutôt au marché, il faudrait que je me rachète une tenue à ma taille.- Miaou, attendez alors, il faut que je remette mes chaines si on va dans une ville.- Pas besoin chaton, à Imilchi les terranides ne sont pas plus mal vus que n’importe quel étranger.- Vraiment ? Tant mieux, ça fait un mal de chien.J’attrape les mains de Lilith et de Julia, face à Tarik, qui fait de même. Julia me tire vers moi pour se coller à mon flanc, prenant mon bras et l’enroulant autour de sa taille. Une fois l’une de ses mains ainsi libérée, elle débouchonne la fiole et la porte à ses lèvres, avalant son contenu d’une traite.Les bruits alentours de la forêt se font progressivement plus sourds, plus lointains, jusqu’à disparaitre complètement. Le paysage qui nous entoure se met à se tordre, se déformer, se flouter, puis à tourner autour de nous. Je ne ressens pourtant aucune sensation de mouvement, et si je fermais les yeux, je suis certaine que je ne me rendrais même pas compte de ce qui se passe. C’est un peu inquiétant, mais mes trois compagnons de voyages semblent trouver la situation parfaitement normale, ce qui me rassure un peu.Ce qui nous entoure n’est plus qu’une bouillie de couleurs tourbillonnante autour de nous, tandis que la température commence doucement à se réchauffer. Les couleurs autour de nous se rapprochent de plus en plus du jaune, et commence à se stabiliser. Finalement, elles forment des motifs de pierre grossière, dessinant l’intérieur d’une maison visiblement vide autour de nous. Du sable se dépose sous nos pieds, pour finalement arrêter tout mouvement, et nous laisser dans le profond silence d’une maison en ruine.
Tout le monde se lâche les mains, et regarde autour de soi. Seuls quelques rayons de soleil passant à travers une porte trouée éclairaient la pièce. Il nous faut une minute avant que nos yeux ne s’habituent à l’obscurité.- C’est quoi cet endroit, miaou ? Une maison abandonnée ?- Précisément. Il vaut mieux ne pas apparaitre en pleine rue, les gardes réagissent parfois mal en présence de magie. Mais je peux t’assurer qu’on est en plein dans le quartier marchand.Intriguée, je m’approche d’une porte en bois semblant être sur le point de s’écrouler d’elle-même lorsque Tarik m’attrape le bras pour me retenir.- Tu ferais mieux de rester ici. Tes fesses sont pratiquement entièrement à l’air libre depuis qu’elles ont grossies. Les gardes risqueraient de t’arrêter pour exhibitionnisme.
Julia prit délicatement sa main pour le faire lâcher prise.- Je vais lui rapporter des vêtements. Je suis la seule à l’apprécier comme elle est visiblement, autant l’habiller moi-même.- Comme tu veux miaou, moi je vais visiter un peu. Ça fait du bien de pouvoir se balader en ville sans chaînes !Ils sortirent tous les trois, Julia la dernière, non sans me faire un clin d’œil furtif avant de refermer la porte derrière elle, me replongeant dans une solitude obscure.Alors que je m’assoie sur une grosse brique de pierre tombée par terre, je remarque à quel point mon nouveau fessier est confortable. Intéressée, je fais les cent pas dans cette pièce pour tester plus en détail son équilibre. Il est si imposant que je n’ai presque plus besoin de me forcer pour le faire rouler lorsque je marche. Il me faut absolument un miroir !Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre, me faisant sursauter, et dévoilant Julia qui rentre, une pile des vêtements sous le bras, avant de faire claquer la porte derrière elle. Elle pose délicatement les habits pliés sur la brique où je m’étais assise, avant de dire :- Tu sais, je crois que je sais comment te faire payer ta dette... Je n’ai pas pu être la première à te baiser et maintenant je ne le pourrai jamais. En revanche...Elle tourne la tête vers moi et sourit à pleine dents avant de siffler :- Je serai la première à profiter de ton nouveau cul.Un sourire pervers se dessine sur mon visage. Je savais qu’elle ne pourrait pas résister longtemps à ma nouvelle arme de séduction. Faisant mine de m’accroupir, je lui demande gentiment :- Lilith et Tarik vont nous surprendre... Ils risquent d’être jaloux...- Aucune chance, je leur ai dit qu’on les rejoindrait au centre du marché. Nous avons tous le temps que nous voulons.À ces mots, elle dégrafe sa jupe et la jette sur le sol, bloquant mon regard sur son clitoris. Je le vois à nouveau, en quelque secondes, se gonfler et s’allonger pour se dresser en une immense verge en érection. Elle était belle. Juste belle.- J’en veux une... Comment... Comment tu as fait ?- Peut-être le sauras-tu un jour... Maintenant à quatre pattes.
Tout en m’exécutant, je frémis à l’idée de cette chose entre mes fesses. Elle était bien plus grande que celle du guerrier de la dernière fois. Peut-être elle aurait la décence de me préparer un peu avant ?Je la sens prendre mes fesses entre ses mains, les pétrissant sans trop forcer, et les tapotant gentiment. Elle me frappe l’une d’entre elle un peu plus fort, avant de soupirer.- C’est là tous le problème des beurettes... C’est presque impossible de vous faire rougir la peau... Tant pis.Je sens un gland tenter de se glisser sur le bas de bon bassin. Prise d’un léger tremblement de panique, je bégaye :- Att... Attend... Je...Sans pouvoir finir, je sens sa verge glisser dans ma fente pour finalement ressortir par le haut, n’ayant que fait un passage entre mes fesses. Mon amante prend chacune d’entre elles pour les serrer sur son organe, soupirant de plaisir.- Oh... Quel cul... Warda, tu es la première avec laquelle je vais pouvoir faire ça...- Profites-en. Profites-en autant que tu veux.Pourtant, elle se retire, puis passe deux de ses doigts sur ma vulve gonflée. Une fois ceux-ci trempée de ma mouille, elle en tartine entre mes fesses, puis rentre l’un de ses doigts à l’intérieur, m’arrachant un petit cri mêlé de surprise, de plaisir et de douleur.- Un bon cul... Digne d’accueillir ma verge... Ça va être... Qu’est-ce que... OH NON !Elle se retire brutalement, puis frappe ma peau ainsi exposée de toute sa force, me faisant l’effet d’un coup de fouet sur cette zone si sensible. Puis elle recommence, deux fois, trois fois, enchainant les coups malgré mes hurlements. Mes bras finissent par céder sous la pression, me faisant m’écrouler sur le sable, une grimace sur le visage.- Comment as-tu pu... Beurk ! Tu me dégouttes !Je me relève péniblement, une douleur vive sur ma nouvelle peau. Aucun doute : à présent, beurette ou pas, celle-ci est bien rouge.- De quoi... Est-ce que... Tu parles ?- Il t’a sodomisé, l’autre bœuf ?- Oui, mais...- Il a jouit dedans ?- Oui, mais quoi ?- Et tu ne t’es même pas vidée... Dégoutant...Je remarque alors une petite perle blanche sur le bout du doigt qu’elle m’a enfoncée. Je comprends alors. Ce jeu ne semblait pas tenir compte de l’éventuel lavement obligatoire à chaque sodomie dans le monde réel, mais il gardait bel et bien le sperme là où il allait. Et ne tenait visiblement aucune notion du temps avec celui-ci.- Ecœurant. Tu m’as coupé l’envie. Ramasse tes habits et rejoins-nous.Elle remet sa jupe et repart, furieuse, sa verge toujours en érection dessous.
Je me mets sur le dos, puis, toujours grimaçante par la douleur, écarte mes larges fesses. Je sens effectivement couler un petit fil de liquide visqueux le long de celles-ci. Après une minute d’attente, je me relève, constatant une petite tache blanche là où j’étais.Comment as-t-elle pu me laisser comme ça ? Je veux bien avoir commis une erreur, mais de là à me laisser toute seule après m’avoir autant excitée...Alors que j’allais enlever mes vêtements pour enfiler les nouveaux, un miaulement timide m’appelle à me retourner. C’était Lilith, affichant un visage triste.- Mais... Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu m’as fait peur ! Comment tu es entrée ?- Je suis là depuis le début. J’ai tout vu.Je reste muette un moment. Cette pièce ne dispose d’aucune cachette, juste de 4 recoins sombres. Ses pouvoirs de dissimulation sont vraiment très efficaces.- Warda, qu’est-ce qui t’as prise de l’accepter dans le groupe, miaou ?- Ben... Tu penses pas que ça peut être un vrai atout ?- Un vrai atout ? Tu réalises comment elle vient te traiter ?Les fesses encore rouges de douleur, je lui réponds dans un demi-sourire :- Ça fait mal, mais ça va passer... La prochaine fois, je ne referai pas la même erreur, c’est tout.- Mais comment tu peux accepter ça, miaou ? Elle t’a fait mal presque à en pleurer, et on dirait que tu ne lui en veut même pas !- C’est que... Un peu de douleur, ça peut pimenter dans le bon sens tu sais...- Pas à ce point-là !Je m’agenouille en lui souriant, passant mes mains sur son armure pour commencer à la défaire.- Si je t’offre un peu de douceur, tu me pardonneras ?Elle bondit en arrière, manquant de me faire tomber.- Mais t’es carrément cinglée ! Pourquoi tu remets toujours tout au sexe comme ça ?- Mais enfin... Pourquoi pas ?Elle secoue la tête devant moi, tandis que je suis toujours à genoux, l’air suppliante. Sans un mot, elle s’en va d’un pas précipité vers la porte pour la claquer à son tour derrière elle.Toujours mouillée mais terriblement vexée à deux reprises, je me relève pour enfin changer de tenue. La nouvelle est dans le même style, mais passant du violet et rose au turquoise. Elle est composée d’un bustier similaire à la précédente, et d’une robe bien plus large, et un plus longue. En temps normal, j’aurais sûrement souri de voir qu’une robe de cette taille s’ajustait parfaitement à ma silhouette, mais je suis trop frustrée pour sourire.Après avoir repris ma besace, je franchis enfin la porte à mon tour, une envie bouillonnante toujours restée entre les jambes.
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