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Games Of Chaos

Chapitre 22

Divers
CHAPITRE XXIICHARISME
Je les regarde tour à tour. Ils me fixent tous, comme si ils attendaient ma réaction.- Comment ça encore besoin de moi ? Il y a d’autres gardes à séduire ?Alors que je commence tout juste à avoir peur, ne me sentant plus du tout capable de retourner dans les bras d’un homme en l’état actuel, Tarik me fait signe que non, tout en me montrant sa potion.- Il faut juste faire boire ça à la princesse. Autrement elle alertera tout le palais en nous voyant.- D’accord... Mais pourquoi dois-je le faire moi-même ?- Parce que tu es la seule à avoir l’air d’une native de la cité. Elle se méfierait de l’un d’entre nous.Je prends la fiole et la regarde, l’air un peu hésitante. Elle est chaude au toucher, et à bien la regarder, elle n’est pas seulement d’un rose fluo, elle émet une lumière rose, éclairant ma paume et mes doigts lorsque je la tiens.- Mais... Je suis censée m’y prendre comment pour la lui faire boire ? Si je la force, elle va crier aussi, non ?Il hausse les épaules. Je me tourne vers Lilith en quête de conseils, qui hausse les épaules à son tour.- À toi de voir miaou ! Tu as prouvé que tu étais assez forte en impro, jusqu’ici !J’hésite. Mais il semblerait effectivement qu’il n’y ait pas d’autres alternatives.Je fais un pas vers la porte des quartiers de la princesse, puis je suis prise d’un nouveau haut-le-cœur en voyant les deux cadavres encore présents devant elle. Julia soupire mais a la décence de les traîner le long du couloir pour les écarter, non sans commenter d’un :- Chochotte va.Toujours un peu dégoûtée par les deux flaques de sang dont est imbibée la moquette, je m’avance vers cette gigantesque porte pour l’ouvrir tout doucement. Lilith me chuchote :- Laisse-la ouverte derrière toi miaou, qu’on puisse intervenir si ça tourne mal.Je hoche la tête, puis passe la porte.
Je découvre ce qui est sans doute la plus belle pièce du palais. Elle est très lumineuse grâce à un brasero à l’abri derrière une grille d’acier sur un côté, éclairant les tapisseries et tableaux si présents sur les murs qu’on ne voit presque pas le marbre. À côté du brasero se situent un bureau et un fauteuil rembourré, dont les accoudoirs semblent incrustés de pierres précieuses. Plusieurs étagères et armoires sont dispersées sur les côtés, certaines affichant fièrement des collections de livres calligraphiés. Mais la pièce centrale est de loin la plus intéressante et la plus belle de l’endroit : un gigantesque lit au bois verni et richement sculpté, recouvert d’un oreiller et d’une couverture dotés d’une bordure colorée et envoutante. Sous celle-ci se laisse deviner une petite silhouette fine. Je souris en devinant la princesse.À pas feutrés, je fais le tour du lit pour la voir sous un autre angle. La couverture ne recouvre en fait que la partie basse de son corps, laissant tout juste discerner une légère rondeur au niveau des hanches. La partie haute de sa silhouette est quant à elle très fine, doté d’épaule étroites, d’une poitrine assez plate et d’une taille de guêpe pour la lier avec le reste. J’aurais presque cru voir là mon propre corps avant de me faire agrandir les fesses si je n’avais pas également découvert son visage. Elle a un nez bien plus long et fin que le mien, des yeux plus serrés et des lèvres moins pulpeuses.Curieusement, elle ne semble pas plus habillée que moi. J’ignore si ce sont là ses vêtements officiels d’héritière du trône, ou si elle porte ça seulement pour dormir, mais ce rose d’une bordure doré épouse à merveille son corps.Elle dort paisiblement et silencieusement.Ma fiole rose à la main, je tente de réfléchir à un stratagème. Lui faire croire qu’elle est empoisonnée et que c’est l’antidote ? Aucun sens. La surprendre et la forcer à l’avaler ? Trop risqué : si elle crie, tout est perdu. Et je ne sais même pas si cette potion agit instantanément. Non, la seule solution est de lui faire peur, de ne pas lui laisser le temps de réfléchir.
Qu’est-ce qui pourrait lui faire peur ? Que le palais soit encerclé par des soldats ennemis peut-être... Le couloir que j’ai emprunté est censé être là pour la faire fuir, elle voudra donc le prendre. Pourquoi devrait-elle prendre cette potion en plus ? Qu’est-ce qui pourrait la rassurer ?Je tente de me mettre à sa place. Elle a son propre passage secret personnel, la seule chose qui pourrait l’aider davantage, ce serait d’être invisible.L’invisibilité ! Voilà une promesse parfaite !Fière de mon idée, j’utilise ma main libre pour lui remuer doucement le bras.- Princesse ? Princesse, réveillez-vous !
Elle ouvre doucement les yeux, puis sursaute en me voyant si près d’elle.- Qui êtes-vous ? Qui vous a laissée entrer ici ?- Chhh, moins fort !Je dis ça par réflexe, avant de m’en mordre la langue. Je n’ai aucune raison de lui demander de parler moins fort.- Gardez votre calme. Le palais est encerclé par les ennemis de votre père. Je suis là pour vous escorter en lieu sûr. Buvez ça.Je lui tends la fiole, espérant de tout cœur que ça marche. Ça n’a pas l’air. Elle regarde la fiole d’un air dubitatif, puis moi, avant de me répondre sans bouger du lit :- Où est mon père ? Pourquoi est-ce vous qui vous chargez de ma sécurité ? Je ne vous connais pas !Elle est finalement plus maligne qu’elle n’y paraît. Il faut que je tienne bon.- Votre père est parti coordonner la défense. Et comme aucun homme ne peut vous approcher, il m’a choisie. Il a confiance en moi, donc vous pouvez également. S’il vous plaît, buvez ceci, c’est un élixir d’inv...- Mes gardes ? Où sont mes gardes personnels ?Ses gardes étant eunuques, il n’y avait effectivement aucune raison pour qu’ils ne viennent pas. Elle tourne la tête vers la porte entrouverte avant d’appeler d’une voix forte :- Gardes ?Si elle recommence plus fort, tout est perdu. Je dois agir vite !- Mademoiselle, les hommes du sultan sont débordés, vos gardes ont dû les rejoindre à l’extérieur. Nous n’avons que peu de temps, je vous en prie, buvez cet...- Mes gardes ont pour consignes de ne jamais s’éloigner de moi ou de ma chambre ! Jamais ils ne seraient partis ! Gardes !Je bondis sur le lit, lui plaquant une main sur la bouche et la maintenant allongée de l’autre. Elle commence aussitôt à se débattre et à crier des bruits étouffés dans ma main. Sans que j’ai à crier à mon tour, mes complices se précipitent dans la salle.- Fermez la porte !Tarik ferme derrière eux, juste au moment où sa bouche parvient à se défaire de ma main pour hurler :- AU SECOURS ! GARDES !Julia lui plaque aussitôt sa main sur sa gorge, lui coupant net son cri. Elle saisit l’un de ses bras de son autre main, avant de nous ordonner :- Warda, tiens-lui l’autre bras ! Vous deux, tenez-lui les jambes !Nous nous exécutons. Sans lâcher sa prise sur sa gorge, qui semble la faire lentement virer au rouge, elle me dit d’une voix plus calme :- Je vais lui débloquer la gorge pour qu’elle puisse avaler. Tiens-toi prête.Je débouche la fiole avec mon pouce, laissant le capuchon rouler sur les tapis, puis lui fais comprendre d’un signe de tête que je suis prête à agir. En un éclair, sa main passe de sa gorge à son nez, qu’elle pince sévèrement pour l’empêcher de respirer.- GA... ARK !Sitôt que la maigre quantité de potion que j’ai en ma possession se déverse dans sa gorge, Julia lui replaque la main sur sa bouche pour l’empêcher de recracher. Elle la fixe droit dans les yeux tandis que je sens son bras tenter de se mouvoir dans tous les sens.- Avale. Avale !La façon dont elle la fixe et lui parle font presque froid dans le dos. Elle semble avoir de l’expérience avec ce genre de pratiques. Malheureusement, sa tête continue de gigoter dans tous les sens, sans nous dire si elle a toujours le liquide en bouche ou non.- Tarik miaou, elle met du temps à agir ta potion ?- C’est censé être presque instantané...Je tente de mieux l’observer. Son regard dément presque exorbité pourrait tout à fait s’apparenter à une créature assoiffée de sexe plutôt qu’à une jeune fille terrorisée en fin de compte. On dirait presque ma tête lorsque j’ai un orgasme.Julia, quant à elle, semble s’impatienter.- Ça à pas l’air de marcher. Tant pis, plan B : on la viole. Commencez par lui retirer sa jupe.Alors que ses jambes continuent de tenter tant bien que mal de tenter de bouger où elles le peuvent, Lilith et Tarik essayent de descendre sa jupe, tenant toujours chacun une de ses jambes avec une main. J’ai un petit pincement au cœur en voyant ce qui risque de suivre. Violer une jeune fille vierge n’était pas du tout planifié. Je m’accroche à un espoir :- Attendez ! Je crois que ça marche !
Je baisse la résistance que j’oppose au bras que je tiens. Celui-ci ne semble pas vouloir s’accrocher à quelque chose ni même se défaire de ma poigne, mais bel et bien se rapprocher du sexe maintenant nu de son propriétaire, comme irrésistiblement attiré par cette courte touffe noire au dessus de son irrésistible fente.Voyant cela, Julia lâche sa bouche, la laissant glapir à haute voix :- Baisez-moi ! Baisez-moi comme la chienne que je suis !J’échange un sourire amusé avec la guerrière. Cette potion marche sacrément bien finalement !- Baisez-mouaaah !- Pas de problème miaou ! Retirez votre haut princesse !Nous lui lâchons les mains, dont elle se sert pour retirer non sans le froisser son haut pourtant si finement brodé. Elle se rallonge ensuite pour commencer à se frotter nerveusement le clitoris en aboyant :- Baisez ! Baisez-moi !Julia lui repose une main sur la bouche avant de me lancer un regard entre l’amusé et le sadique.- Elle parle trop fort, il faut la faire taire. Assis toi sur elle, ça devrait la calmer.Souriante, je retire ma robe, et me met à genoux au-dessus de sa tête, face à ses seins, puis descend doucement, la main de Julia ne se retirant que lorsqu’elle effleure ma vulve. Dès que celle-ci entre en contact avec la bouche de la princesse, elle sort sa langue pour la lécher de tous parts, son nez long et fin me passant entre les fesses. C’est agréable, mais l’inexpérience de la jeune fille rend sa caresse amusante tout au plus.La guerrière, quant à elle, semble bouillir d’envie. Elle écarte d’un geste Lilith et Tarik avant de japper :- À moi cette petite vierge ! Écartez-vous !Je m’attendais à ce qu’ils râlent, mais ils ne semblent même pas y être opposés. Tarik se retire timidement de quelques pas, visiblement intimidée par le regard dément de Julia, tandis que Lilith va prendre le fauteuil dans le coin de la pièce pour l’amener devant la scène, tenant son lourd poids de ses maigres bras, puis s’installe confortablement dessus, et nous regarde comme si un film allait commencer. Il est vrai que la voyeuse qu’elle est doit être aux anges.Tout en sentant une petite souris me grignoter la vulve, je vois Julia juste en face de moi retirer sa jupe et la jeter dans un coin de la pièce, Lilith l’esquivant d’un mouvement de tête. Je fixe son clitoris, consciente de ce qui va suivre. Pointé par sa touffe triangulaire blonde, je le vois à nouveau grossir et s’allonger jusqu’à atteindre une taille supérieure à bien des choses que j’ai pu voir jusqu’à présent. Je me suis probablement remise à mouiller de plus belle, sans doute un régal pour la princesse.Elle saisit ses deux cuisses en main, les tenant fermement pour les immobiliser. Sans s’aider de ses mains, elle tente de poser sa large verge contre la vulve de la princesse. Elle fait plusieurs mouvements du bassin sans y arriver, sous mon regard amusé. Elle finit toutefois par se caller, collant l’extrémité de son gland contre les lèvres intimes de sa cible. Elle me lance un regard doublé d’un sourire dément avant de me mettre en garde :- Attention Warda, ça risque de secouer !
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