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Le gang des souleveuses

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je n’ose répondre et malgré cette situation humiliante, mon pénis se dresse toujours fièrement. Je sens leurs parfums et la chaleur qui se dégagent de leurs corps immenses. Gloria qui se trouve derrière moi, passe ses mains sous mes aisselles et applique une pression telle que je me retrouve sur la pointe des pieds.
— En effet, tu es vraiment légère comme une plume ! Voyons voir ce que je peux faire avec ce corps de fillette.
Elle augmente encore la force sous mes bras et mes pieds quittent le sol. Elle continue à me soulever dans un mouvement que seule une force colossale permet d’être aussi lent. Je gigote comme un ver, mais l’étreinte de Gloria est bien trop puissante pour que je m’en échappe. Mes pieds se retrouvent bientôt à plus d’un mètre du sol quand la belle arrive à bout de course. Mon tee-shirt s’est relevé et dévoile ma taille fine et mes côtes apparentes. Mon sexe se trouve à hauteur des yeux des amazones et ne semble aucunement terrifié par la situation, même si je me sens humilié comme jamais.
— Pose-moi par terre grosse brute, ou tu vas voir !— Pardon ! Tu viens de me traiter de grosse ! Tu crois vraiment que je pourrais te manipuler comme ça si je n’avais que de la graisse ! Et tu crois vraiment qu’un gringalet de 45 kilos qui n’a que la peau sur les os pourrait m’empêcher de faire ce que je veux, avec son corps chétif !
Me rendant compte de mon erreur, je tente de rattraper le coup.
— S’il te plaît Gloria, je sais que je ne suis pas de taille. Pose-moi par terre, tu me fais mal.
La grande brute est trop énervée pour me laisser tranquille, et c’est là que Véronique dont les yeux se trouvent juste devant mon pubis et chez qui j’ai toujours perçu un côté vicieux, pose ses grosses mains autour de ma taille de guêpe.
— Il est si mince ! J’arrive presque à faire le tour de sa taille avec mes mains. La situation n’a pas l’air de lui déplaire autant que ça ! Son petit zizi est encore tout dur ! Regardez !
Sans que je m’y attende, Véronique passe ses gros doigts sous l’encolure de mon pantalon et de mon slip, et les baisse brutalement jusqu’à mes genoux. Je me retrouve les fesses à l’air, exposant mon pubis imberbe et mon petit sexe dressé à la vue des trois amazones, toujours pendu en l’air par la seule force des gros bras ce cette brute de Gloria, qui a une vue imprenable sur mon petit cul.
— Wow ! Tu as de si jolies petites fesses ! Et tu n’as pas un poil. On dirait un abricot.
Posant sa grande bouche ouverte sur une de mes petites miches, je sens ses dents sur ma peau qui se referme jusqu’à ce que la douleur soit si forte qu’elle me tire des larmes et que je crie. Un cri si aigu que je ne suis même pas sûr qu’il vienne de moi. Il suffit cependant à arrêter Gloria de tenter de déchirer mon petit cul comme un fruit trop mûr, laissant quand même une belle marque de morsure.
— C’est quoi ce cri ? Tu es sûr d’être un homme ?
Les trois garces se mettent à rire face à ma réaction. J’abdique et relâche tous les muscles de mon corps, toujours maintenu en l’air par la seule force des bras de Gloria. Lidia qui est restée passive jusqu’à présent s’approche, et se montre très intéressée par ma petite bite.
— C’est la première fois que j’en vois un. Ils sont toujours aussi petits ? Je croyais qu’il y avait plus de poils ?
Véronique, qui a l’air de s’y connaître lui fait part de son expérience.
— Non, à 18 ans, la plupart des hommes ont un sexe qui est trois fois plus gros, et ils ont des poils de partout. Mais j’ai l’impression que l’on a plus à faire à un ange qu’à un homme. Et je suis une démon qui aime pervertir ce genre de petit zizi ! Voyons ce dont il est capable.
Véronique place entre son pouce et son index, ma petite bite, qui paraît minuscule dans ses gros doigts, et commence à me masturber. Le contact des mains de l’amazone déclenche comme un coup de tonnerre dans mon bas-ventre, et des frissons de plaisir parcourent tout mon petit corps. Toujours levé dans les airs par la puissante Gloria, j’ai une vue imprenable sur le décolleté profond et généreux de Véronique, qui masturbe adroitement mon petit sexe.
— Tu vois Lidia, ils adorent ça. D’habitude, il faut y mettre toute la main, mais ce sexe est si petit que deux doigts suffisent. Tu as déjà sucé une bite ?— Non ! Mais quelque chose me dit que tu l’as déjà fait...— Oui, je peux faire jouir mon copain en moins de 40 secondes comme ça. Regarde.
Véronique déplace ses 2 doigts sur la base de mon sexe et l’aspire jusqu’à que ses lèvres touchent mon pubis. Elle fait alors jouer sa langue adroitement sur mon pénis, puis commence à faire aller sa tête d’avant en arrière. Mon sexe n’a pas l’air plus gros qu’une cigarette dans sa bouche pulpeuse. Voyant que mon corps commence à osciller sous ses mouvements, elle pose ses deux grosses mains sur mes petites fesses pour me maintenir, et semble prendre grand plaisir à les pétrir, faisant pénétrer ses énormes doigts, parfois profondément dans ma raie. Après à peine 20 secondes de ce traitement, je sens une chaleur diffuse monter de mon bas-ventre, similaire à celle que j’ai quand je me masturbe, mais beaucoup plus intense. Véronique sentant que je vais jouir, retire mon sexe de sa bouche, mais la maintient face à mon gland rougeoyant et continue à me masturber de ses deux doigts.
Je jouis comme jamais je n’ai joui, lançant trois giclées de sperme qui atterrissent sur le visage et dans la bouche de Véronique qui a l’air d’adorer ça. Mon corps mou comme une poupée de chiffon frémit de plaisir dans les bras de l’amazone. Véronique tourne son visage maculé de ma semence pour parler à Gloria.
— Tu vois à peine vingt secondes et il crache son jus. Tu veux goûter ?— Oh, oui !— Et bien, finis de le nettoyer ! Il y en a encore quelques gouttes qui perlent.
Gloria me déplace alors face à la géante novice qui engouffre maladroitement mon sexe, en saisissant mes petites fesses comme l’a fait Véronique pour me maintenir. Elle est si excitée qu’elle me manipule brutalement et elle suce si fort que j’ai peur que mes parties ne soient aspirées. Elle rend sa liberté à mon sexe qui est totalement débarrassé de toute trace de jute, et fait tourner le liquide dans sa bouche comme si c’était un grand vin, puis l’avale.
— C’est divin ! C’est toujours aussi bon ?— Non, d’habitude, c’est beaucoup plus fort et moins sucré. Mais c’est normal, il n’est pas encore tout à fait un homme.— Je peux jouer avec lui ? Donne-le-moi !
Gloria me baisse un peu pour que Lidia place un de ses bras derrière mes genoux, et son autre main sous mes petites fesses. Quand elle me tient fermement contre elle, Gloria enlève ses mains et me laisse à la merci de la jeune géante. Elle plaque fermement mon pubis nu contre son large sein, et j’adore la sensation de cette jeune et ferme poitrine contre mon sexe, comme j’adore la sensation de sa grande main sur mes petites fesses. Me soupesant comme un paquet, elle s’étonne de ma légèreté.
— Mais c’est une plume ! C’est à peine si je sens son poids !
Elle enlève même la main qui est derrière mes genoux pour soutenir tout mon poids, dans la paume d’une seule de ses mains. Trottinant tout en me portant, elle fanfaronne, m’exhibant comme un trophée dans le couloir. Poussant mes fesses d’une puissante impulsion, je me retrouve à plat ventre sur son épaule, d’où j’ai une vue spectaculaire sur sa chute de rein et ses fesses rebondies. Elle continue à me promener et se rend compte que mes petites miches sont juste à côté de son visage et voit la trace de morsure de Gloria.
— Regarde ce que tu lui as fait ! On voit toutes tes dents ! C’est fou comme il marque facilement ! Pauvre petite chose.
Elle caresse mon petit cul de sa grande main, quand une idée fulgurante jaillit dans son esprit.
— Il n’y a pas de raison que tu sois la seule à l’avoir marqué !
Levant sa large et lourde main, elle l’abat si brutalement sur mon petit séant que tout mon corps est secoué. La douleur est cuisante et irradie jusque dans mes pieds. Elle lève alors à nouveau sa main, et l’abat tout aussi brutalement sur mes fesses qui sont déjà rouges du coup précédent. La douleur est si forte que j’implore Lidia d’arrêter, en sanglotant.
— Arrête s’il te plaît ! Tu me fais très mal.
Comme prise d’une folie dominatrice, la géante est outrée de ma demande et se met à frapper encore plus fort. On ne voit même plus la trace de morsure sur mes fesses, tant les coups de la jeune brute les ont rendues rouge cramoisi. Je ne dois mon salut qu’à l’intervention de Gloria qui saisit fermement la main de Lidia avant qu’elle ne frappe encore.
— Calme-toi , Lidia. Je sais que c’est bon, mais si tu continues, tu vas le briser en deux. Il est si faible.
Lidia sort de sa transe et se rend compte qu’elle a perdu le contrôle. Toujours allongé sur la large épaule de la brute, je ne sens rien d’autre que la douleur cuisante qui irradie de mes fesses. Je pleure à grosses larmes, et une flaque commence même à se former à mon aplomb. Véronique s’approche alors.
— Donne le moi, tu en as assez profité.
Elle tend ses bras devant elle et Lidia m’y dépose précautionneusement. D’une puissante impulsion, Véronique me replace plus confortablement dans ses bras et est surprise du peu d’effort que ça lui coûte.
— C’est vrai qu’il n’est pas plus lourd qu’une poupée !
Elle se met alors à me jeter en l’air. Elle est si puissante que mon corps monte facilement au-dessus de sa tête. Je perds le sens de l’orientation, jusqu’à ce que la brute plus expérimentée me laisse retomber une dernière fois, dans ses bras musclés. Elle soutient mon corps chétif et quasi nu comme si je ne pesais rien, et se met à me bercer. Quand elle me lançait comme une crêpe, un de ses énormes seins en a profité pour sortir de son soutien-gorge, laissant apparaître un téton large et pointu. Déplaçant sa main qui est derrière mon dos sous ma tête, elle me force doucement à téter cette énorme mamelle de ma petite bouche. Cette une sensation totalement nouvelle pour moi. Je le sens durcir sous les caresses de ma langue et il a un goût à la fois sucré et salé. Je sens Véronique frémir de plaisir, et mon sexe durcit à nouveau de pouvoir jouer avec ce joyau si lourd. Gloria s’en rend compte et prend part au jeu.
— Regarde ! ça l’excite de téter ta grosse mamelle. Je vais le soulager de ça.
La géante qui m’a maintenu si longtemps en l’air par la simple force de ses deux bras saisit délicatement mon sexe entre son pouce et son index, comme le lui a montré Véronique. Appliquant une pression calculée, elle stimule adroitement mon pénis qui frotte contre l’autre sein de Véronique. Je me laisse aller à cette douce sensation qui se transforme rapidement en un plaisir plus puissant, qui force mon corps à se cabrer dans les bras de l’amazone. Je jouis sur le sein titanesque de la belle Véronique qui me regarde d’un sourire bienveillant.
C’est à ce moment que je perçois un claquement de talon familier. Tournant la tête, je vois en contre-jour la haute et large silhouette de Mme Stein, notre prof. Elle fronce les sourcils devant le spectacle qui s’offre à elle: trois pulpeuses et jeunes amazones, dont une porte dans ses bras le petit corps chétif de leur camarade qui a son short et son slip sur les chevilles.
— Mais qu’est-ce qui se passe ici ! Que fais-tu les seins nus, en portant ton petit camarade avec le pubis à l’air ? Mais je rêve ! Tu as du sperme sur ton visage et sur ta poitrine !
Véronique passa rapidement sa langue sur ses lèvres pour tenter d’enlever un peu de la substance. Elle fait moins la maline maintenant.
— Mais que lui avez-vous fait ? Ses fesses sont rouges comme des écrevisses ? Vous l’avez fessé ? Ce n’est pas bien du tout de s’en prendre à plus faible que soi. Vous êtes deux fois plus lourdes que lui et vous voyez bien que, maigre comme il est, il n’a pas le quart de votre force. Donnez-le-moi !
Mme Stein est une femme au physique impressionnant. D’origine allemande, c’est une immense blonde qui dépasse largement les 1m90, perchée sur ses talons. Même mes trois tortionnaires paraissent petites à côté de cette déesse nordique aux larges épaules. Se baissant légèrement, elle passe ses bras sous mon dos et mes genoux, et dérobe mon corps chétif à Véronique. Me voilà à nouveau porté comme un enfant. Mme Stein me tient précautionneusement contre sa forte poitrine et invective les trois amazones.
— Regardez dans quel état vous l’avez mis ! Partez, je ne veux plus vous voir !
Lidia, Véronique et Gloria ne demandent pas leur reste et déguerpissent avant qu’une punition ne leur tombe dessus. Mme Stein fait pivoter mon corps pour que tout mon poids repose sur un seul de ses avant-bras. Le contact de ses muscles sur mes petites fesses meurtries est douloureux au début, puis anesthésiant, tant il dégage de chaleur. Mon corps repose confortablement contre son énorme sein gauche qui s’étale sur tout mon torse. Sa main libérée, elle s’en sert pour ouvrir la porte et elle me porte délicatement dans la salle de cours. Une fois la porte refermée, elle saisit mon short et mon slip et alors que je crois qu’elle va me rhabiller, elle finit de faire tomber mes vêtements au sol, enlevant mes chaussures dans le même mouvement, rapide et puissant. Je me redresse un peu pour la regarder et essayer de comprendre ce qu’il se passe.
— Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal, mais il va falloir me faire du bien !
Elle prend alors mon tee-shirt et le tire vers la tête pour me l’enlever. Je me retrouve totalement nu contre le corps spectaculaire de la valkyrie qui soutient tout mon poids d’une seule main. Elle en profite pour caresser mon torse fin et imberbe de ses larges mains parfaitement manucurées.
— Tu es si doux et si mince ! Je comprends qu’elles ont eu envie de te déshabiller. C’est clair que tu n’étais pas de taille à te défendre face à ces trois jeunes brutes, c’est à peine si je sens ton poids. Tu es une plume pour moi !
Je ne comprends pas où elle veut en venir, et cherche une réponse dans les immenses yeux bleus clairs de ma sauveuse. C’est à ce moment qu’elle déboutonne son chemisier, laissant apparaître une poitrine opulente comprimée dans un soutien-gorge qui est pourtant d’un bonnet plus que respectable. Je n’avais vu un décolleté aussi généreux et mon sexe, déjà excité par le contact à la fois ferme et généreux de son sein gauche, se dresse vers le ciel.
— Je vois que je te plais beaucoup. Vous êtes tous pareils, les petits français. Vous vous pissez dans l’œil dès qu’une belle et grande blonde vous soulève et vous montre ses gros seins.
Je n’en reviens pas. On dirait que c’est dans ses habitudes de manipuler des hommes comme elle le fait avec moi en ce moment. Elle me porte alors jusqu’ à son bureau, soulève légèrement mes jambes, s’assoit, puis me pose sur ses larges cuisses dont la fermeté me surprennent. Une de ses mains pénètre dans son soutien-gorge et en sort la plus énorme mamelle que j’ai jamais vue. Elle est plus grosse que ma tête !
— Vas-y ! Prends ce téton en bouche !
Je m’exécute avec attention. Je passe mes deux petites mains sous ce sein titanesque, et le soulève avec difficulté pour porter le téton à ma bouche. Je sens Mme Stein vibrer dès que ma petite langue titille ses sombres aréoles. La géante blonde laisse remonter une de ses énormes mains sur mes jambes de gazelle, jusqu’à ce qu’elle se retrouve sous mes petites fesses, légèrement décollées pour mieux jouer avec l’immense masse de son sein. Je sens un de ses doigts s’insinuer dans ma raie et commencer à chatouiller ma rondelle. Je frissonne de plaisir à ce contact si nouveau, et arrête de lécher l’énorme téton de la belle.
— Continue, ne t’inquiète pas, je ne te veux pas de mal.
Je continue donc à titiller cette poitrine si opulente et Mme Stein semble prendre de plus en plus de plaisir. Son doigt s’agite de plus en plus fort et de plus en plus rapidement sur mon anus, qu’il finit par le pénétrer. Je vibre de plaisir de la sentir en moi. La géante commence à gémir de plaisir alors qu’une chaleur croissante rayonne depuis son doigt, et finit par m’envahir tout le corps. Je suis secoué d’un plaisir dont je ne soupçonnais même pas l’intensité, et qui augmente au fur et à mesure que le gros doigt de ma prof me pénètre plus profondément. Je jouis sur le sein de la géante qui est en train de mouiller sa culotte sous mes coups de langue. Mon corps se relâche et si je n’étais pas soutenu fermement par Mme Stein qui a toujours un doigt dans mon fondement, je glisserais vers le sol.
— Tu as été parfait ! Ta petite langue est si douce.
Je me suis jamais senti aussi bien. Mon corps repose contre la plantureuse poitrine de ma géante de prof qui me tient toujours empalé. Je suis si épuisé d’avoir été le jouet de toutes ces amazones. Mes yeux se ferment de sommeil et je m’endors, serein, mon petit corps pelotonné dans le giron de ma sauveuse.
FIN
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