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Gang et perversités

Chapitre 1

Erotique
Ce matin-là en me réveillant, j’avais le cafard...J’étais encore sous le choc de la mauvaise nouvelle qui m’était arrivée hier soir sous la forme d’un télégramme laconique " Jean est mort ce matin d’un arrêt du cœur à 10h42". Sans signature. Un flash-back me ramena de nombreuses années en arrière. Nous avions alors 20 ans et faisions notre service militaire dans une petite ville de l’Allemagne du Nord où le thermomètre affichait - 20°, température normale pour un mois de février dans cette région. Nous étions quatre dans une petite chambre glaciale et nous nous liâmes rapidement d’amitié. Il y avait Jean le méridional, chaleureux et à l’accent chantant qui commençait ses études de pharmacie. Richard l’homme du Nord, non moins chaleureux qui comptait passer son brevet de pilote hauturier et qui rêvait de voyages lointains.
Hercule (cela ne s’invente pas), mince, fragile, discret, extrêmement replié sur lui même et qui portait un nom à particule et supportait avec résignation le titre de baron qui lui venait d’ancêtres anoblis lors de croisades obscures du moyen âge.
Et enfin, moi-même, breton exilé à Paris et préparant des diplômes de droit pour être avocat. Durant les 18 mois de notre service, nous ne nous quittâmes pratiquement jamais, partageant tout...Nous avions 20 ans. Souvent, Hercule recevait en ville une même et superbe jeune femme énigmatique (dont nous étions tous amoureux, d’ailleurs). Il était peu loquace sur ce sujet...Notre entente était si parfaite que pendant les dix années suivantes, nous nous retrouvâmes régulièrement : Jean était devenu pharmacien, Richard capitaine au long cours ; Hercule était toujours Baron et sortit major de deux écoles prestigieuses et moi-même avocat et professeur de droit. Nous nous étions mariés, mais n’en parlions jamais, d’autant plus qu’une sinistre fatalité nous avait tous privés de descendance. Nous nous rencontrions tous les ans à la même date dans un restaurant parisien très connu et finissions la nuit au cabaret. Ensuite mes amis me remettaient de mystérieux paquets pour que je les mette en lieu sûr.
Trop confiant, je m’acquittai de cette tâche sans me poser de questions. Si j’avais su ! Puis avec le temps, les liens du passé s’étaient estompés jusqu’à cette année funeste 1999 où mes trois amis décédèrent : Hercule, d’une chute de cheval, Richard lors d’une rixe dans un bouge du Moyen-Orient et maintenant Jean. Comme nous l’avions décidé ensemble, il avait été convenu que nous n’assisterions pas à l’enterrement de l’un de nous au cas funeste où cela arriverait.
Ce matin-là, au cabinet, j’étais perdu dans mes pensées à un tel point que ma charmante assistante passa longtemps à arroser une petite plante verte qu’elle avait posée par terre avant que je ne remarque que sa jupe un peu trop courte dévoilait ses jolies jambes rondes et sa superbe croupe à peine cachée par un slip rose qu’elle avait, à son habitude, enfoncé profondément dans sa fente, faisant ressortir les lèvres roses de sa chatte toujours humide. Elle m’avait expliqué pourquoi avec sa charmante petite moue : quand elle marchait, le frottement de la culotte sur son clitoris et son petit trou lui procurait des sensations très agréables qui débouchaient sur de petits orgasmes qui lui arrivaient dans les endroits les plus inattendus. Et ajoutait-elle, légèrement amusée, je ne parle pas du métro en été, sa superbe croupe moulée dans les tissus légers faisait qu’aux heures de pointe, elle voyageait rarement seule. En effet, il y avait toujours un homme qui se collait derrière elle.
Quand l’homme lui plaisait, elle s’amusait à remuer ses fesses charnues à tel point qu’arrivé à sa destination l’homme descendait en essayant de cacher une érection qui n’en était que plus visible.
Et je ne parle pas de ceux qui ne pouvaient se retenir et maculaient leur pantalon. Bref c’était une coquine. Attristée par mon apathie, elle se glissa par jeu sous mon bureau et dézippa ma braguette comme elle le faisait plusieurs fois par jour, puis sortit mon sexe mou qu’elle enfourna dans sa jolie bouche. Elle aimait sucer et le faisait, très bien. Sa langue faisait d’abord le tour du gland, lentement, longuement, puis ensuite descendait jusqu’aux bourses qu’elle léchait et prenait en bouche chaque testicule et quand la goutte de pré-sperme apparaissait décorant le méat comme une perle blanche, elle le recueillait avec délice et le dégustait. Ensuite, elle enfournait mon sexe durci et l’avalait jusqu’à la luette. Elle arriva, comme d’habitude, facilement à me faire jouir et avala comme elle le faisait toujours l’intégralité de mon jus, aspirant avec soin les dernières gouttes. Ensuite nous échangions un long baiser parfumé au foutre.
Elle rangea soigneusement mon sexe dans le slip, se releva et nous parlâmes travail pendant qu’elle se pourléchait encore les lèvres avec gourmandise.
Il faut dire que nous nous entendions aussi bien sur le plan travail que sur celui du sexe. Elle était très friande des longs cunnilingus et anulingus que je lui prodiguai généreusement, au contraire de son mari qui lui refusait ces caresses dont elle raffolait particulièrement. Elle aimait s’allonger sur mon bureau, jupe relevée, sans culotte et sentir ma bouche et ma langue explorer avec amour et savoir faire son sexe toujours mouillé et sa jolie rondelle très élastique. Son clito était très petit, à peine visible, mais ultra-sensible, je buvais avec délectation sa mouille abondante. Toute à son plaisir, il lui arrivait parfois de se laisser aller à jouir bruyamment, attirant des notes de service internes rageuses de la part de la directrice des RH (Solange, une charmante jeune femme au demeurant, bien que trop mince à mon goût) qui avait son bureau à côté du mien. Etait-elle jalouse ? Et la vie reprit son cours.
Je ne sais pas comment elle se débrouillait, mais ma charmante secrétaire arrivait à se procurer des revues suédoises pornos. Nous nous masturbions d’abord mutuellement en les regardant, commentant certaines pages. Et cela se terminait le plus souvent par des 69 juteux et de beaux orgasmes suivis de longs baisers parfumés de sa cyprine et de mon sperme.
Un vendredi matin, je m’en souviens fort bien, je reçus un gros paquet par pli spécial en provenance d’un important office notarial de la place. Après en avoir accusé réception, je demandai à mon assistante de venir m’aider à dépouiller ce paquet. Mon ami Hercule me demandait post mortem d’enquêter sur leurs épouses. Un peu surpris, je m’acquittai de cette tâche. Si j’avais su !
La femme de Richard.J’arrivai le matin dans cette grande ville du nord de la France. Un kami m’avait communiqué l’adresse d’un enquêteur privé très efficace. Quand j’avais pris rendez-vous, j’avais eu au bout du fil une voix rauque et je pensais que le détective était un homme, la femme qui m’ouvrit me prouva le contraire. Grande et baraquée, âgée d’une trentaine d’années, elle dégageait une impression de force. Elle portait des santiags à haut talon. Je lui exposai le problème et elle prit méticuleusement de nombreuses notes. Elle me demanda ensuite où j’étais descendu et comme je n’avais rien prévu, elle me proposa une de ses chambres d’amis. J’étais actuellement son unique client. Arrivée dans sa grande maison, isolée dans la campagne, elle me proposa de prendre une douche pendant qu’elle téléphonait. Je me douchai et enfilai son peignoir qui était un peu trop grand pour moi. Elle ouvrit la porte de la salle de bains où je me trouvai et me dit qu’elle avait les renseignements.
Pas gênée le moins du monde, elle dégrafa le peignoir que je portais et prit dans sa grande main ma verge molle qu’elle secoua vigoureusement pour le faire durcir.
Pas mal dit-elle. Vous permettez ? Sans attendre la réponse, elle enleva bottes, chaussettes, pantalon et slip et me fit allonger sur le dos. Sans façon, elle s’accroupit sur moi, me tourna le dos et prenant ma bite à pleine main, l’enfonça dans sa chatte qui devint tout de suite gluante. Elle me baisa vigoureusement à grand coup de han ! Elle prit son pied comme un homme et se leva aussitôt. Constatant que je n’avais pas joui, elle me fit lever, m’entraîna dans les w.c. et secoua mon sexe avec énergie au-dessus de la cuvette. Comme je ne venais pas assez vite, elle accéléra encore le mouvement si bien que je finis par gicler dans la lunette. Elle me dit : c’est bon, hein ? Et tira la chasse d’eau. Je ne répondis pas et serrai les cuisses sur mon sexe endolori par la violente branlette...
Et 5 minutes plus tard, comme s’il ne s’était rien passé, nous étions dans sa voiture et roulions à tombeau ouvert vers l’hôtel où la femme de Richard avait ses habitudes. Avant de sortir de voiture, elle prit malgré mes regards inquiets menottes et pistolet. Arrivés à l’étage, nous fûmes conduits à la chambre par le bruit peu discret d’un couple qui s’ébattait bruyamment. La cow-girl enfonça la porte d’un coup de pied (je crois que j’avais été trop généreux en ce qui concerne le remboursement de tous les frais que je lui avais promis). Une jolie blonde (vraie) bronzée intégralement était à quatre pattes sur le lit, offrant une croupe plus que généreuse à un jeune homme bien membré qui la prenait vigoureusement en levrette. Le lit tremblait sous les coups de boutoir. Notre arrivée bruyante entraîna un froid certain. L’homme se retira aussitôt. Ma cow-girl sortit ses menottes, et attacha prestement les deux amants au lit.
Le jeune homme commença à protester, mais n’eut pas le temps de terminer sa phrase, car ma détective lui saisit le sexe de la main gauche et le branla énergiquement tandis que la main droite se saisissait du plus gros des phallus en plastique qui traînait sur la table de nuit et le lui enfonçait violemment dans l’anus.
Il beuglât littéralement et sous le coup de la surprise et de la douleur et éjacula puissamment dans toutes les directions. La cow-girl les détacha et leur demanda de s’habiller rapidement. Quand nous sortîmes de la chambre, le palier était désert. L’homme s’esquiva sans demander son reste. Nous nous engouffrâmes dans la voiture, direction la maison de la détective. Ma cow-girl s’esquiva ensuite, nous laissant seuls en tête à tête : la femme de Richard et moi...
Sa robe blanche mettait en valeur son bronzage. Son visage était agréable à regarder. Ses formes étaient à la limite de l’opulence (quelques kilos en plus l’auraient fait paraître grosse). Mais elle me plaisait beaucoup et elle s’en rendait compte. Dans le réfrigérateur, il n’y avait que des œufs et elle fit une omelette. Elle proposa ensuite de faire la sieste. Dans la chambre, un grand lit aux draps noirs semblait nous attendre. Elle enleva sa robe blanche. Elle était nue en dessous. Son bronzage intégral faisait ressortir sa pilosité blonde semblable à de l’or. Elle était face à moi et me regardait droit dans les yeux. La toison était soigneusement coupée en forme de triangle, les longs poils dorés formaient un matelas épais couvrant intégralement la fente. Plus étonnant, la toison continuait vers le haut du corps sous la forme d’un mince ruban doré qui ne s’arrêtait qu’entre les seins lourds et légèrement tombants. Elle se tourna lentement pour me permettre d’admirer le verso.
Sa croupe imposante était largement fendue en son milieu et une forêt épaisse de poils dorés s’échappait de la raie et venait s’épanouir en bas de son dos en un tapis épais de mousse blonde.
Je vous plais, dit-elle, faussement innocente, en s’allongeant sur les draps noirs. Je me déshabillai en un temps record et m’allongeai près d’elle. Sa pilosité ressortait encore davantage sur les draps noirs à tel point qu’on aurait pu croire qu’elle était couverte de copeaux d’or comme la chaînette qu’elle portait à la cheville. Comme je voulais glisser ma langue dans sa bouche, elle me repoussa doucement et me dit d’un air gourmand qu’elle préférait les feuilles de rose. Elle se retourna sur le ventre, me présentant son superbe cul. J’écartai les globes charnus : la raie était couverte d’un tapis de poils blonds. Je dus les écarter pour trouver la pastille rose que je taquinai de la langue avant de la faire pénétrer à l’intérieur. Elle devait adorer cette caresse, car elle me demanda de continuer plusieurs fois. Elle gémissait de plaisir. Je la retournai sur le dos et après avoir écarté les poils, j’ouvris sa fente aux lèvres épaisses et me mis à la sucer.
Elle coulait abondamment et j’avais la bouche remplie de sa liqueur que j’avalais d’ailleurs avec gourmandise.
Je la fis jouir presque immédiatement quand ma langue titilla son gros clito rose de la taille d’une framboise que je pris ensuite en bouche pour mieux le suçoter... Elle se leva ensuite, enfila ses chaussures à talons hauts et s’accouda sur le bureau, faisant saillir sa superbe croupe. Je bandais à mort lorsque je me mis derrière elle. Je m’enfonçai dans sa chatte trempée et agrippant sa taille, la baisai vigoureusement pendant qu’elle faisait onduler son gros cul. À un moment, je dérapai et pénétrai sans le vouloir son anus qui s’ouvrit comme une fleur. Le fourreau étroit était soyeux à souhait. Elle beugla son plaisir pendant qu’un spasme la secouait. Elle me confia qu’elle adorait se faire enculer.
Comme je n’avais pas joui, je lui proposai une cravate de notaire. Cela la fit rire et elle me répondit qu’elle préférait le terme de branlette espagnole. Elle s’allongea sur le sol et serra ses gros seins entre ses mains. Je me mis sur elle et enfonçai ma bite dure dans le sillon étroit. J’étais tellement excité que j’éjaculai presque tout de suite en de longues giclées qui maculèrent son visage. Amusée, elle ramassa le sperme avec ses doigts et porta le tout à sa bouche. Elle avala avec un plaisir évident le jus qu’elle avait récupéré. Nous nous allongeâmes su le lit et tout en s’amusant avec ma queue devenue molle, elle me demanda où étaient les paquets. Comme je lui répondis que je l’ignorai, elle se mit en colère et serra fortement mes testicules, ce qui me fit venir les larmes aux yeux. Je ne dus mon salut qu’à l’arrivée de la cow-girl. La blonde ravageuse s’habilla et quitta la maison en claquant la porte violemment.
La femme de Jean.Elle reposait dans un petit cimetière campagnard. Paix à son âme.
La femme d’HerculeJ’attendais à la sortie de la gare. Un jaguar arriva à toute allure et s’arrêta devant moi. Elle en descendit...J’eus un choc et malgré les années qui s’étaient écoulées, je reconnus tout de suite la belle et énigmatique créature qui venait rendre visite de nombreuses années plus tôt à mon ami Hercule. Le temps ne semblait pas avoir eu de prises sur elle. Seules quelques rides fines apparaissaient sur le beau visage presque trop parfait. Elle conduisait très bien, mais un peu vite. Un peu inquiet, je surveillai le compteur qui accrochait le 200 à la moindre petite ligne droite...
Elle semblait aussi indifférente au fait que sa jupe était remontée très haut dévoilant intégralement ses longues jambes gainées de bas couleur chair qui étaient tenus très haut par un porte-jarretelles noir. C’était la première fois que je voyais le château qui était noyé dans la pénombre. La suite se passa très vite : un majordome comme il n’en existe plus que dans les films me conduisit à mes appartements et me prévint que la tenue de soirée était exigée pour le dîner.
À 21 heures, en smoking, j’arrivai dans l’immense salle. J’eus un choc. Mon Dieu, qu’elle était belle ! Un savant maquillage mettait en valeur ses grands yeux noirs et sa grande bouche aux lèvres bien ourlées. Un chemisier transparent ne cachait rien de ses seins lourds en forme de poires dont les pointes dures semblaient vouloir transpercer le tissu. Une jupe noire longue entièrement fendue sur le devant laissait apparaître ses jambes interminables gainées de bas noirs attachés très haut sur les cuisses ainsi qu’un slip de couleur sombre. Mon érection devait être visible, car son regard s’attarda non sans intérêt quelques secondes sur ma braguette gonflée. Le repas dura longtemps. Les vins lourds, les vieux alcools embrumaient mon esprit. Au sortir de table, elle prit mon bras familièrement pour que je la conduise à sa chambre. Elle m’attira à l’intérieur et posa sa bouche sur la mienne. Sa langue longue et nerveuse s’enroulait autour de la mienne.
Elle me déshabilla avec habileté et je me retrouvai bientôt nu comme un ver devant elle, bandant comme un âne.
Elle me fit allonger sur le gigantesque lit et promena sa bouche longuement sur mon corps. Je gémissais sous ses caresses adroites et quand elle me prit dans sa bouche, je crus que j’allais défaillir.Elle s’arrêta brutalement et de sa voix un peu grave, elle me demanda de lire une lettre de mon ami Hercule écrite à mon intention. Surpris, je pris l’enveloppe qu’elle me tendait, l’ouvris et la lus. Le dernier paragraphe me fit l’effet d’une bombe. Il me prévenait que son amie était à mi-chemin entre l’homme et la femme, de ne pas me choquer et que je connaîtrai alors avec elle des sensations inoubliables. Je compris d’un seul coup pourquoi je me sentais attiré par elle et qu’en même temps, je ressentais une certaine gêne. C’était une hermaphrodite...
Elle me prit la lettre des mains et éteignit la lumière. Je dis "elle "car à aucun moment de cette nuit agitée, je ne pus la considérer comme un homme tant sa féminité était omniprésente. J’avais rallumé la lumière pour voir ce corps parfait, enfin presque parfait... je la pris plusieurs fois, devant, derrière, au cours la nuit, mais je crois que j’eus le maximum de plaisir entre ses lèvres pulpeuses. Jamais on ne m’avait sucé de façon aussi intense et à chaque fois, j’envoyai dans sa bouche ma liqueur que je n’aurai jamais cru aussi abondante.
Elle dégustait le tout lentement, me dévorant de ses grands yeux noirs. Je me réveillai tard le matin, épuisé. Elle était allongée près de moi et me demanda de sa voix mélodieuse si je n’avais pas de paquets pour elle. Devant mon air étonné, elle se mit en colère et d’une voix rageuse, me dit que l’on se reverrait bientôt. Et elle me laissa sur place, interloqué.
Le château, vu en plein jour, était en fait en piteux état. Je dus téléphoner à la société pour que l’on vienne me chercher. La directrice des RH se dévoua sans enthousiasme. Quelques heures plus tard, La BMW de la société avec Solange au volant s’arrêta devant le perron. A son air pincé, on voyait bien que cela ne lui plaisait pas. Elle démarra en trombe. Et quelques minutes plus tard, nous roulions à vive allure sur l’autoroute. Après un silence interminable, je pris l’initiative et lui demandai pourquoi, au bureau, elle nous espionnait par la grille d’aération quand nous nous ébattions mon assistante et moi. Elle rougit et ne répondit pas, les yeux fixés sur la route. Je posai ma main sur sa cuisse, elle me jeta un regard assassin, mais ne dit rien. Je m’enhardis et du bout des doigts caressai le tissu du pantalon à l’endroit de l’entrejambe. Elle me fusilla du regard, mais ne fit encore rien. Je me mis carrément à la masturber malgré le tissu, insistant à l’endroit du clitoris.
Elle se mordillait les lèvres nerveusement.
Soudain et sans prévenir, elle changea de direction et s’engouffra dans la bretelle de sortie de l’autoroute. Une cacophonie de Klaxon accompagna cette manœuvre risquée. Elle prit une départementale, puis un chemin de terre et pila brutalement devant une sorte de hangar perdu en plein champ.
Elle sortit de la BMW et me fit signe de sortir. Quand je fus devant elle, me balança une paire de gifles qui me fit vaciller. En colère, je la lui rendis et comme elle ouvrait la bouche, je saisis son entrejambe dans ma main, ce qui la pétrifia. Le tissu était trempé : elle mouillait comme une fontaine. Elle m’aida à ôter son pantalon et se trouva cul nul devant moi. Ses cuisses étaient très musclées et elle avait un joli petit cul bien rond. Je la poussai à l’intérieur du hangar et la fis mettre à quatre pattes. Je me mis derrière elle, sortis ma queue toute raide et la pris en levrette. Je commençai à bouger quand elle me dit : mais il y a quelqu’un. En effet, un vieux paysan était en train de graisser les pièces du moteur de son tracteur et nous regardait sans mot dire, interloqué. Il avait environ 80 ans, le visage ridé, des petits yeux porcins et un béret crasseux vissé sur la tête.
Il s’approcha très intéressé et se mit à genoux devant la tête à Solange. À notre surprise, il ouvrit sa braguette et sortit un gros bout de chair noueux qu’il branla pour faire durcir.
Puis tranquillement, il saisit dans ses grandes mains calleuses la tête de Solange, approcha la jolie bouche de l’énorme gland violacé cerné de taches jaunâtres qui prouvaient qu’il n’avait pas vu le savon depuis longtemps. Elle ouvrit la bouche pour protester et il en profita pour y enfourner profondément son vieux chibre noueux. Nous étions tombés sur un vieux vicieux. La bouche pleine, elle émettait des grognements. Nous nous mîmes à la baiser en cadence, moi derrière elle cramponné à ses hanches. Lui, tenant fermement sa tête faisait dans sa bouche de puissants va-et-vient...
Puis elle prit l’initiative. tétant voracement la grosse queue du paysan qui ouvrit la bouche pour la première fois " quelles salopes ces Parisiennes ". Une idée me vint. Je me retirai et fis signe au paysan de s’allonger le dos au sol, ce qu’il fit en maugréant. Je pris Solange par la taille et la fis venir sur le vieux salaud. Elle comprit tout de suite et accroupie sur lui s’empala sur le gros dard noueux.
Son petit cul remuait devant moi. Je pris le pot de cambouis du paysan qui lui servait à graisser le moteur du tracteur et y plongeai mon sexe raide à plusieurs reprises. Quand il fut bien recouvert de graisse épaisse, je me positionnai juste au-dessus de Solange et écartant les fesses fermes, je posai mon gland sur sa petite rondelle. Surprise, elle ne se défendit pas et quand elle comprit, c’était trop tard, je l’avais pénétrée de plusieurs centimètres. Elle se débattit, mais ses mouvements me permirent de rentrer plus encore profondément dans le fourreau étroit. D’un coup de reins puissant, je l’enculai bien à fond et commençai un lent va-et-vient. Elle était littéralement prise en sandwich. Et soudain, ce fut elle qui donna la cadence à un rythme lent puis infernal. Je jouis dans son cul tandis que le vieux cochon déchargeait son foutre dans sa petite chatte. Elle eut un orgasme puissant, cria des choses particulièrement obscènes et s’affala sans connaissance sur le sol en terre battue.
Le paysan se leva, rentra dans son pantalon, le gros sexe devenu mou et me dit avec son accent du terroir : vous auriez pu utiliser moins de graisse, au prix que ça coûte !
Nous aidâmes Solange à se rhabiller et le paysan nous accompagna chez lui. Sa femme mise dans la confidence rigolait de toute sa bouche édentée. Solange prit un bain chaud dans une baignoire qui devait dater du 1er empire. Ensuite, ce fut elle qui me chargea de passer une crème adoucissante sur son anus dilaté et douloureux. Cela devait lui faire mal, car elle se retourna courroucée quand je lui fis un peu malicieusement des compliments sur son joli petit cul. Je conduisis pour rentrer dans un silence de plomb.
Les jours passèrent. J’avais oublié toute cette histoire et ce matin-là, je me penche pour ouvrir la porte de ma voiture. Soudain un coup violent sur la tête. Un trou noir. Je me réveille lentement avec un lancinant mal de crâne. Mes poignets sont attachés en hauteur à un anneau fixé dans le plafond bas de ce qui ressemble à première vue à une cave. Je suis habillé à l’exception de mes pantalons et slip qui ont été baissés sur les chevilles. La pièce n’est pas éclairée. Seul un brasero rougeoie. Deux silhouettes s’approchent. Il y a la femme de Richard qui n’a pour tout vêtement qu’une paire de grosses galoches aux pieds. La lumière rouge du brasero donne des lueurs cuivrées à son abondante pilosité habituellement dorée. À côté d’elle il y a la belle hermaphrodite. Elle est également nue, juchée sur des chaussures à hauts talons, ses seins volumineux dardent leurs pointes dures. Elle semble excitée et sa longue queue mince pointe vers le ciel.
Tiens, il est réveillé le petit chéri, dirent-elles en chœur.
La blonde se met à genoux devant moi et sans attendre, enfourne goulûment mon sexe dans sa bouche et me suce avec voracité, me faisant durcir en quelques secondes. C’est tellement bon que je ne m’aperçois pas tout de suite que la belle créature hermaphrodite est passée derrière moi. Elle écarte mes fesses et me perfore l’anus de sa longue bite. La douleur est telle que je me mets à débander aussitôt au grand amusement de la suceuse. La créature m’encule maintenant à grands coups de queue. Cela dure longtemps et je ne ressens rien sinon une brûlure intense. Puis soudain à ma grande honte, je sens une chaleur agréable m’envahir les reins. J’essaie de me retenir, mais en vain. La suceuse s’exclame soudain : "mais il jute le petit salaud". Je baisse les yeux et je sens que je rougis de rage. Mon sexe est toujours mou, mais de longs filets de sperme très épais s’écoulent du méat. La suceuse les récupère dans sa bouche et aspire fortement le jus qui lui vient par à-coups.
Mon enculeuse s’est retirée sans jouir, me laissant tout endolori.
La blonde poilue m’abandonne après m’avoir bien vidé les couilles. Les deux créatures s’enlacent maintenant devant moi lascivement si bien que je me mets à bander de nouveau. La blonde s’en aperçoit. Elle s’absente un instant et revient avec une lame de rasoir qu’elle tient habilement entre le pouce et l’index... Maintenant petit chéri, tu vas nous dire où sont les bijoux ?".
Leur ton a changé et leur visage aussi. J’ai en face de moi maintenant des créatures aux yeux durs et méchants. Je les vois enfin sous leur vrai jour. Impitoyables et froides. Et soudain je me souviens d’un fait divers qui avait défrayé la chronique il y a quelques années. Le titre de l’article de presse était éloquent : deux tueuses torturent sexuellement leurs victimes pour leur faire avouer où elles cachent leurs économies. La police est sur leurs traces, mais sans succès ; La blonde promène avec habilité le fil de la lame sur le gland de ma verge tendue. Quand tu jouiras, petit chéri, je te couperai la pine d’un seul coup de lame de rasoir. À moins que tu ne parles. J’ai beau leur expliquer que je ne comprends pas, rien n’y fait, la lame de rasoir caresse le gland. J’essaie de débander, mais je n’y arrive pas. Les 2 harpies m’expliquent que mes trois copains étaient des fieffés salauds.
Ils étaient la fameuse bande des tueurs fous qui pillaient les bijouteries et ne laissaient personne de vivant après leur passage.
Quant à elles, elles prenaient plaisir à torturer sexuellement celles et ceux qui ne voulaient pas parler. Puis elles se sont débarrassées de leurs hommes qu’elles trouvaient trop timorés. Les paquets que mes drôles d’amis me remettaient étaient des bijoux volés. Je compris tout d’un seul coup et en même temps, j’éjacule violemment, envoyant de longs jets de foutre à plusieurs mètres dans tous les sens, j’entends des coups de feu et je sens une brûlure sur le côté de mon crâne. Je perds à moitié connaissance. Des silhouettes s’agitent autour de moi. Puis le trou noir.
Epilogue :Je me réveille à l’hôpital. Il y a pas mal de monde autour de mon lit. Un Monsieur décoré me remercie pour l’arrestation des 2 folles créatures et me présente le capitaine et le lieutenant de la police de la slobonie orientale qui ont mené l’enquête.: Solange et la cow-girl me couvrent d’un regard attendri. Tout le monde sort de la pièce sauf Solange qui s’assied près du lit. Sa main glisse sous les draps, se faufile dans le pantalon de pyjama pour s’emparer de mon sexe qui durcit aussitôt. Elle se penche sur moi, pose ses lèvres sur les miennes, nos langues s’enroulent pendant qu’elle me caresse avec beaucoup d’habiletés, entourant le gland de ses doigts pleins de salive. Elle sait branler la jolie salope. Je me tortille de plaisir sous la caresse. La porte s’ouvre et une jeune infirmière rougissante pénètre avec un plateau sur lequel il y a un tube de pommade. Devant nos regards interrogateurs, la jeune infirmière maintenant écarlate bredouille : c’est pour l’anus du Monsieur.
Je me mets sur le ventre, l’infirmière passe la pommade sur mon anus malmené par l’hermaphrodite meurtrière, Solange se met à rire et dit " tu sais que tu as un beau petit cul mon chéri...
Je me retourne pour lui jeter un regard courroucé qui ne fait qu’accentuer sa bonne humeur " L’infirmière sortie, elle enlève ses chaussures, relève sa jupe jusqu’à la taille, monte sur le lit et s’accroupit au-dessus de mon visage. Elle ne porte pas de culotte. Elle ouvre grand sa fente rose, luisante de mouille et se baisse de telle façon que son sexe béant soit contre ma bouche. Je commence à la sucer quand je l’entends dire d’une voix énamourée : au fait mon petit chéri, tu ne m’as pas dit ce que tu as fait des bijoux volés...?." PS Je recherche une amie aimant écrire pour le faire ensemble selon des scénarios de tout genre, même plutôt scabreux.
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