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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 9

Magaluf partie 2

Travesti / Trans
Cette nuit là, je décide de dormir en string car je n’ai rien pour le haut, voilà qui doit venir compléter ma garde-robe. Il fait chaud et nous n’avons pas allumer la climatisation, donc la couverture est au pied du lit. Je suis réveillée par l’arrivée de Nico dans la chambre, je n’ai pas franchement l’habitude qu’un mec me rejoigne au milieu de la nuit. Je suis couchée sur le ventre, une jambe tendue et l’autre relevée. Une position qui doit attirer son regard, et je fais mine de ne pas l’avoir entendu. Je l’écoute se déshabiller, il respire fort, sans doute bien éméché par la soirée. Je me demande s’il a couché avec une fille…
Ma tête est tournée à son opposé donc je ne le vois pas, juste la lumière de son téléphone et les sons de ses fringues tombantes. Puis je ressens qu’il se met au lit, plutôt discrètement je dois dire. Plus de bruit, sa lumière s’éteint. Puis un flash. Est-ce qu’il me prend en photo ? Encore un flash puis seule la lumière de son écran.
Je n’ose bouger, pourtant je sens que quelque chose d’anormal se passe. Le matelas sautille et j’entends des frottements. Est-ce qu’il se branle ? J’aime à croire que je l’excite et plus les secondes passent, plus ça me semble évident qu’il se caresse. À priori donc, il n’a pas trouvé de filles pour coucher. La situation m’excite et mon sexe ne tarde pas à prendre de sa vigueur, mais je m’interdis de bouger de peur de vivre une semaine malaisante. Car oui, il doit être bourré !
Pour autant je me place en position fœtale dos à lui de manière naturelle pour qui dort, en prenant soin de cambrer légèrement mon corps et de faire entrer la peau de mes fesses en contact avec le sien. Pas de doute sur ses agissements :
— Camille, tu dors ? Chuchote-t-il.
Je ne réponds pas bien sûr, la lumière de son téléphone se rallume et je l’entends branler sa queue. J’en viens à tenter de l’imaginer, la situation me paraît parfaitement érotique et je suis, à en croire mon string qui devient trop petit, terriblement excitée. Encore quelques minutes passent, s’il est bourré, ça va durer longtemps ! Et si je le surprenais en me réveillant subitement, que se passerait-il ? Non ! Je dois m’interdire ce garçon !
J’entends son souffle qui s’accélère, se coupe, ses caresses. De moins en moins discret, je sens qu’il est proche de l’orgasme jusqu’à entendre clairement ses jets de foutre s’écraser sur son corps et ses gémissements. Un silence, puis il s’essuie et devient calme, éteignant sa lumière.
Je n’en reviens pas, il vient dans mon lit de se faire juter en me matant. J’ai très envie de me caresser à mon tour mais bien entendu, je n’en fais rien.
Le lendemain, il me raconte sa soirée, cette fille partie à cause de sa copine esseulée. Il regrette de ne pas avoir de copilote cette fois. Puis me demande :
— Et toi, tu as fait quoi en rentrant ?— J’ai fait la même chose que toi, je me suis fait du bien.
Il devient rouge pivoine.
— Quoi ? Tu… Tu dormais pas ? demande-t-il avec de grands yeux.— Ça avait l’air bon, j’ai pas voulu te gâcher ce moment. Dis-je avec un clin d’œil malicieux.

Plus tard, à la plage, je porte mon bikini rouge. Nous sommes allongés sur le sable tous deux, du moins sur nos serviettes de plage. Nico m’explique qu’il commence vraiment à me voir comme une « vraie » fille, et espère qu’il saura bien se comporter avec moi. Son regard sur moi n’est clairement plus celui d’un meilleur pote. Je vois bien qu’il est un peu déstabilisé.
— Franchement t’as rien à envier à ces filles Camille.— Pourtant si, regarde cette fille Topless et oses me dire que je te fais autant bander qu’elle.
[Comment dis-tu cher lecteur, je le provoque ? Oui à fond ! ]
On est sur le ventre tous deux lors de cette discussion.
— Honnêtement, oui tu me fais bander. Alors oui, certaines ont de belles poitrines, mais toi tu as un corps fin et féminin de la tête aux pieds, tes jambes sont interminables, ton cul rebondi, ton ventre et ton dos sont ceux d’une jeune femme qui prend soin d’elle.— Et j’envie leur longs cheveux aussi !— Mais ça, ça va venir, et il y a plein de filles qui ont les cheveux courts, c’est la mode.— Arrête de me flatter tu vas encore bander petit obsédé.— T’as raison, je vais plutôt prendre soin de toi puisque tu le fais pas. Il s’assied et prend la crème solaire dans les mains.
Je le regarde en souriant. Il me crème en passant ses mains sur mes épaules, puis descend sur mon dos et le creux de mes reins, il étale partout lentement et je trouve cela super érotique encore une fois… Il détache le haut de mon bikini.
— Nico tu fais quoi ?— Relax! Les traces de bronzage pour dessiner tes seins : j’approuve, mais dans le dos, c’est plus joli sans.
Il n’a pas tort, il passe ses mains fermes sur mes bras, mes mains, repasse sur mes épaules et mon dos.
— Camille ?— Oui ?— Est-ce que toi aussi ça t’excite ?
Je ne réponds pas mais pose ma main sur sa cuisse en gage de remerciement. Il rajoute de la crème dans ses mains encore. Et passe ses mains expertes sur mes chevilles puis remonte sur mes mollets, le creux de mes genoux puis lentement mes cuisses… Ma main serre sa cuisse et mon regard le quitte un peu perdu. Il atteint le haut de mes cuisses et décide de ramener mon bikini entre mes fesses le transformant en string.
— Sur les fesses tu es toute blanche.
Il passe de la crème en caressant mes fesses. Il est clair qu’il cherche à m’exciter !
— Et maintenant, tu bandes aussi Camille ?— Oui, dis-je en serrant les dents, coupable. En tout cas, je peux plus bouger de cette position pendant dix minutes à cause de toi !— Moi aussi j’ai aimé, rigole-t-il.
On passe la suite de la journée au bar de la piscine de l’hôtel où on boit principalement, beaucoup. Et le soir venu, Nico me demande de faire le grand jeu, de lui montrer la Camille « femme fatale ».
— De toute évidence tout le monde te voit comme une vraie femme, alors ne fais pas ta timide, et je serai là t’inquiète pas.— Oui jusqu’à ce que tu trouves une chatte ouverte. Après je me retrouverai seule et j’ai pas franchement envie de me faire violer ou tabasser.— Ok je te promets que je resterai avec toi.— Sans vouloir m’attraper moi ? Tu vas pas supporter une soirée en gardant les couilles pleines, je l’ai bien vu hier soir…— Arrête avec ça s’il te plait, ça me gêne ! Sois sexy ce soir. Pas pour moi, pour toi !
J’accepte. Plus tard, nous sommes prêts. Lui porte un pantacourt, avec des chaussures d’été et une chemise entrouverte. Je le trouve sexy. Moi j’ai opté pour ma mini-robe sans manches à col haut grise foncée. Elle entoure mon cou, laisse mes épaules apparentes et descend sur le haut de mes cuisses. Elle est moulante. J’ai enfilé un ensemble string soutien-gorge sexy rouges et donné un peu de volume à mes « seins ». Pour les chaussures, je lui laisse le choix. Et il se porte sur mes talons les plus sexy, rouges.
J’ai un maquillage de soirée, avec les yeux relevés et un rouge hypnotisant sur les lèvres pour le rappel aux chaussures et ma lingerie.
— Tu es magnifique ! A tomber ! Aucun homme ne pourra deviner que tu as une bite entre les cuisses !— Arrête Nico, j’avoue me sentir bien, mais aussi très stressée par tout ça.
Il me tend le bras, je lui prends. Il est toujours plus grand que moi. Il est bien sûr plus fort que moi. Je respire fort, prend mon sac à main et c’est parti. On se retrouve dans un bar en plein air. Il y a du monde partout et différentes ambiances musicales et stands de nourriture. On mange, on boit les deux. Puis on se dirige vers une salle où l’on danse le reggaeton. Je remercie dans ma tête Laura qui m’a appris à danser comme une fille, je crois sexy… La soirée se passe bien, j’adore me sentir femme comme ça grâce à un garçon.
Nico me fait signe qu’il doit aller au toilettes et je décide d’aller prendre un verre. Un mec d’une vingtaine d’années m’aborde, c’est un français. Il me dit qu’il me trouve très sexy et je l’en remercie. Il me fait du rentre dedans sans détour et est hyper direct. Il me veut dans son lit. Je me sens un peu conne mais sa franchise me perturbe et je dois bien le dire, m’excite un peu. Sauf qu’il est beaucoup trop entreprenant et qu’il commence déjà à me mettre mal à l’aise. Je lui dis que je ne suis pas seule mais un chien reste un chien… Et il n’en démord pas, jusqu’à l’arrivée de Nico qui le dévisage.
— Salut bébé, j’expliquais à ce garçon que j’étais pas seule, dis-je en lui tendant les bras comme un « au secours ».
Il me prend contre lui et me fait un smack. Je suis surprise et heureuse de voir qu’il me « sauve » de ce mec trop insistant. L’autre semble comprendre et fait mine de partir. Nico m’enlace ce faisant et m’embrasse amoureusement sur les lèvres puis en ouvrant légèrement la bouche. Je jurerais avoir senti sa langue l’espace d’une seconde. Il rit :
— Tu es sauvée !
Mes yeux s’étaient fermés et je tente de me reprendre. Oula, je crois que j’ai envie de Nico !
Il me lâche et la soirée continue. Plus tard il flash sur une fille et je lui donne la permission. De toute façon j’ai mal aux pieds et je vais rentrer. Mais le quittant, je me sens jalouse, il m’a émoustillée toute la journée et j’ai envie de lui, c’est vrai. Quelle cruche !
Je passe devant le sex-shop. Des photos de cabines et, mon coeur se soulève, d’un glory hole. Ou le moyen de m’occuper d’une queue de mâle sans crainte de sa réaction à la vue de mon sexe. Est-ce que j’y vais ? En suis-je capable ? Et puis mince, je rentre ! Un couple semble tenir l’établissement. Je me dirige vers la fille et baragouine en anglais ma demande. Une cabine de glory hole et l’envie d’hommes.
Ça fait un peu glauque mais je m’en fiche. Elle m’explique qu’il n’y a pas d’homme dans les deux cabines d’à coté mais qu’elle va faire ce qu’il faut. Apparemment c’est gratuit pour les filles dévergondées comme moi… Je m’enfile dans la cabine et ferme le rideau, je m’assieds sur le tabouret et attends avec le coeur qui bat plus vite que jamais.
Un instant après, j’entends quelqu’un dans la cabine de gauche. Le temps que je regarde par le trou, un homme en caleçon que je vois des genoux au nombril. Il semble tout prêt de l’ouverture… Le boxer tombe, et je vois une bite semi-molle passer par le trou de ma cabine. De toute évidence, il est averti qu’une suceuse est là. Et je vais pas me faire prier. Je retire ma robe rapidement par peur de la tacher, et caresse cette verge offerte. Je le branle et déjà elle grandit. Elle est grosse et longue, elle me rappelle celle de Bryan, la meilleure queue que j’ai eue à ce jour. Je la lèche des couilles au gland, sa veine est énorme et elle est nervurée, elle est dépourvue de poils, comme j’aime ! L’homme semble apprécier. Je le suce maintenant en caressant ses bourses, et le prends en fond de gorge. Je le suce à fond et branle ce membre hors norme qui me fait mouiller comme une folle.
Alors que j’envisage de m’y empaler, la queue se gonfle et me remplit la bouche de jus chaud et épais. Je suis surprise mais flattée de voir l’effet que j’ai fait à ce mec inconnu. Je lape encore son sexe pour le calmer et le nettoyer puis il se retire. Je me relève et une minute plus tard, la femme de l’établissement se présente.
— Do you want an other one ?
Non, pour ce soir, cette queue me suffit. Je me rhabille et quitte l’endroit, frustrée de ne pas avoir pu aller au bout mais contente de moi, d’avoir oser.
Des mecs m’abordent me voyant sortir de là. Des espagnols, autant dire que je comprends rien, sauf leurs intentions de me faire ma fête !
Mais miraculeusement, Nico apparaît et me sauve à nouveau prétextant être mon mec. Il m’enlace et me fait à nouveau un kiss, sans ouvrir ses lèvres. Heureusement, il saurait que je suis une trainée… On rentre à l’hôtel.
Il m’explique qu’il m’a cherché car il avait eu peur que des mecs me collent encore, et il a eu raison. On prend un dernier verre au bar avant de monter dans la chambre.
— Nico, merci pour cette soirée, et de me permettre d’être moi, femme aux yeux de tous, mais surtout de toi.— De rien, tu es une personne que j’aime depuis longtemps, mon meilleur pote, et aujourd’hui, une femme sublime dont je rêve secrètement. Il rougit.— C’est parce que t’es bourré que tu dis ça, tu as pas envie de moi arrête.— Camille, tu es belle, sexy, drôle, on peut parler de tout, tu bouges bien, tu me fais clairement bander, et oui, si tu voulais de moi, je te ferais l’amour dès qu’on serait dans la chambre !
Son regard pénètre le mien, je me sens plus femme et désirable que jamais, et si je me laissais aller ? Et si ? Sans dire mot, et rouge pivoine, je lui demande :
— Nico ? T’es vraiment sérieux ?— Tu veux que je t’embrasse à nouveau pour le prouver ?
Ma tête acquiesce sans résistance. Il se penche vers moi et fixe mes lèvres que j’ai heureusement remaquillées après mon « aventure ». Il me kiss et ses lèvres sont douces. À nouveau et ses lèvres s’ouvrent légèrement. Je l’embrasse à mon tour et rapidement, nos langues se cherchent et se trouvent. Mes yeux se ferment, il caresse ma cuisse sous le bar et mes mains viennent derrière sa nuque, il embrasse bien.
— J’aime, dis-je comme un gémissement. Tu embrasses bien Nico, mais tu es sûr de vouloir m’exciter plus ?— Oui, je veux continuer à te faire sentir femme, et tous ces mecs sont incapables de te respecter, moi, je suis ton meilleur ami et tu as confiance en moi, non ?— Oui, j’ai confiance en toi. Mais je veux pas te perdre et perdre notre amitié !— J’arrive pas à te suivre ! Tu en as envie autant que moi, ça crève les yeux. Alors vas-y, fais-moi ta proposition.— Ma pro… Je… Ok, tu as raison, j’ai trop envie de toi, de ta bouche, de ton corps, je te veux et je sais bien qu’on flirte ouvertement depuis hier. Mais t’es mon meilleur ami, le seul mec que je veux pas perdre même si je sais bien que l’amitié homme-femme n’existe pas…
Son regard est pénétrant, sa main sur ma cuisse me bouleverse… Je continue :
— Je veux continuer notre flirt. Je veux continuer à voir ton regard qui me désire, tu me rends femme Nico. Je voudrais que ces moments, comme sur la plage aujourd’hui, ne s’arrêtent jamais !— Donc les caresses : oui, mais la pénétration : non ; c’est bien ça ?— T’es au moins aussi cash avec un mec qu’une fille, dis-je en rougissant.— Tu es ma meilleure amie, sois claire, quelles sont les limites ? On se tourne autour sans se trouver ? Comme deux puceaux ?— Des puceaux non, plutôt comme une relation d’un amour impossible. Je sais pas quelles limites ! Je suis perdue… Et si je te propose un massage sensuel, pour le moment ?— J’adorerais, et je te le rendrai ! Va pour un flirt érotique d’une semaine ma chérie ! 
On trinque, il m’embrasse sur les lèvres, on finit nos verres cul-sec et on se lève. Je passe mon bras autour du sien pour monter dans la chambre.
Arrivés dans la chambre, je l’invite à se mettre à l’aise sur le lit, tandis que je me fais une beauté dans la salle de bains : retouche maquillage, et je me brosse les dents pour être sûr qu’il ne sente pas l’odeur du sperme que j’ai récupéré du sex-shop plus tôt.
J’arrive dans la chambre. Nico est allongé sur le ventre, en boxer. Son dos est musclé, ses fesses fermes, ses cuisses et ses mollets dessinés, il est hyper sexy, il m’excite !
— Je vois que tu t’es mis à l’aise en effet, dis-je en me mordant les lèvres. C’est parfait !
Je m’approche du lit et y monte à genoux. Je prends appui sur son dos et viens m’assoir sur le haut de ses cuisses, le chevauchant. Ma mini-robe remonte et ne cache plus rien de mon string. Je commence mon massage par ses épaules, je caresse fermement son dos de haut jusqu’en bas.
— Tu as les mains douces Camille.— Merci. Je rougis, j’ai chaud !
On frappe à la porte.
— Super, la surprise arrive, s’exclame-t-il.
Je me pousse pour que Nico se lève. Il ouvre et revient avec une bouteille de champagne et deux flûtes. Quel charmeur ! On se sourit. Il nous serre. Il place les coussins sur le haut du lit puis s’installe, semi assis, semi couché, et me sourit les flûtes en main.
— Viens.
Sa gestuelle ne me laisse que peu de doute. Il veut que je reprenne ma place, sur lui… Je joue le jeu et viens le chevaucher, mais cette fois-ci, face à lui, assise sur le haut de ses cuisses. Je suis perturbée par son boxer moulant qui me laisse deviner qu’il a une belle et grosse queue entre les cuisses. Il me donne mon verre, on trinque et on boit.
— Joli petit string rouge, me lance-t-il en souriant.— Merci beau gosse.
Je pose mon verre sur la table de nuit et reprends mon massage mais cette fois-ci de son torse, de sa nuque, de ses bras, de ses hanches et son ventre. Il s’amuse de voir mon regard empli de désir sous mes gestes, qui deviennent de plus en plus doux et sensuels. Moi je constate que la bosse sous son boxer a bien gonflé et cela me ravi.
— Tu bandes Nico, t’as l’air bien membré coquin.— T’as l’air d’aimer ça aussi, répond-il en fixant mon string devenu bien trop petit, sous ma robe bien trop moulante… C’est la première que je peux voir l’excitation de ma partenaire à ce point, j’aime !
Je redescends jusque sur ses chevilles et mes mains se mettent à parcourir ses cuisses et frôlent son boxer tendu par l’envie. J’ai tellement chaud, tellement envie de lui, c’est à tomber ! Je reprends une gorgée de champagne et ce faisant, me retrouve à quatre pattes.
Alors j’en profite. Je pose des baisers sur son torse, et redescends le long de son ventre musclé. Je continue ma descente, et approchant de son boxer, mes yeux fixent les siens. Il me fixe, ses yeux me supplient de passer cette barrière du slip, mais c’est une frontière que je ne veux pas franchir. Son regard me rend folle de plaisir ! J’appose un baiser sur le gland moulé par le tissu puis d’autres sur le long de la verge gonflée jusque sur les couilles de mon meilleur pote. Tout en le regardant, cela m’excite plus que jamais !
— Et si on inversait ? lui dis-je.
Il nous resserre une coupe en faisant face à sa frustration puis m’invite à me mettre à l’aise.
Cette soirée me plait terriblement ! Sensuelle, sexy, je prends mon pied tout en subtilité ; sans vulgarité, et ça me change. C’est bon ! Nos cœurs battent fort ne sachant jusqu’où cela va nous mener. Quel régal !

… à suivre …
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