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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 15

Travesti / Trans
Je vis un été fantastique, mon premier en tant que femme. Nico m’aime et je suis accroc à lui ! Fin Juillet, je l’ai « présenté » à mes parents bien qu’ils le connaissaient déjà comme mon meilleur ami. Mais mon père s’est montré plus dur et protecteur par rapport à sa fille. Tout de même, il a accepté qu’il dorme avec moi. Mes parents ont confiance en lui et semblent heureux que je ne sois pas seule pour traverser les défis qui m’attendent.En Août, mes visites chez la psychologue continuent, et Papa a trouvé un nouvel appartement où je serai tranquille pour poursuivre mes études. Ils m’assurent avoir contacté l’université pour m’éviter de devoir me justifier auprès de la direction et je leur suis plus reconnaissante que jamais de m’avoir donné un prénom androgyne qui m’évitera moqueries et explications…Avec mon homme, tout est parfait pour le moment. La seule ombre au tableau, c’est qu’il ne sera pas prêt de moi lorsque je serai retournée sur Lyon. Et j’ai peur de cette solitude à l’heure où je risque de commencer le traitement hormonal dont m’a parlé ma psychologue. Fin Août j’emménage avec l’aide de mes parents et de Nico. Il a posé quelques jours à son travail pour pouvoir rester avec moi les premiers jours. Et ça me rend heureuse et soulagée.En ce qui me concerne, en deux mois, j’ai beaucoup évoluée. D’abord grâce au fait qu’on m’accepte au quotidien. Ma famille et mon chéri qui assument. Mes gestes, le ton de ma voix, ma démarche, ma garde robe (qui n’est plus celle d’une salope mais bien celle d’une fille), mon odeur (j’ai plusieurs parfums, crèmes, gel douche, déo, …), mon maquillage, mes ongles que je soigne légèrement longs, mes cheveux qui ont encore poussés. Je me sens de mieux en mieux dans ma peau.Emménagement fait, il me reste mes cartons à déballer. Mes parents nous laissent mon chéri et moi et notre soirée sera consacrée à déballer tout ça. On commande des pizzas et une bouteille de rouge. Se faisant, on discute beaucoup comme à notre habitude. Et lorsque Nico déballe le carton « chambre », la discussion tourne rapidement autour de la chose… Il n’avait encore jamais vu mes jouets, et encore moins ma cage de chasteté. Alors naturellement je profite d’un passage à la salle de bains pour l’enfiler. On continue le rangement alors que notre discussion reste bloquée sur le sujet sexe et rapidement on décide de faire une pause pour finir la bouteille en poursuivant la discussion.Nico m’apprend qu’il a préparé un cadeau pour moi, pour le début de ma nouvelle vie : nouvel appartement, nouvelle classe… Il pense que pour mon bien-être, je dois me sentir femme du bout des doigts de pieds à la tête dès la rentrée. Alors il me tend trois paquets en me disant que nous allons pouvoir les essayer ces prochains jours et que je déciderai de celle qui me convient. Ça m’intrigue. Je découvre rapidement trois fausses poitrines très réalistes de trois tailles différentes. Je lui avais fait part de mes interrogations quant à la taille et à la forme que je demanderais, un jour, au chirurgien. De mon manque de ne pas avoir de poitrine. Alors je suis tellement contente de découvrir cela !— Merci mon amour. Toi, tu me préférais avec laquelle ? Lui demande-je,— On ne le saura qu’en essayant chérie. Commence par la plus petite.— Ok.Je file enfiler le bonnet B dans ma chambre, je dois me déshabiller car l’objet s’enfile comme un croc top. La couleur est très proche de ma couleur de peau c’est chouette. Et rapidement je découvre la sensation de découvrir des seins en baissant mes yeux : je suis conquise ! Pour l’occasion, je passe un petit haut moulant décolleté sur un soutien-gorge rouge très sexy. Je me passe de string et enfile juste une mini-jupe estivale puis mes talons compensés en revenant dans l’entrée. Mon chéri me dévore du regard et se lève du canapé pour m’accueillir.— Tu es tellement belle Camille— Flatteur ! Dis-je avant de l’embrasser.Il baisse la tête et se flatte d’avoir eu cette idée. Je le remercie de m’aider à me plaire plus encore.— Tu crois qu’avec ça, je pourrai te faire une branlette espagnole ? Il rigole,— Je ne sais pas j’y avais franchement pas pensé en fait,— Déshabille-toi et assieds-toi chéri !Il s’exécute. Et je viens sur lui l’embrasser. Il glisse ses mains sur mes fesses et s’excite de l’absence de sous-vêtement. Le métal sur son ventre le surprend et il soulève pour découvrir ma cage. On se sourit et il embrasse mon nouveau décolleté. Je me sens magnifiquement bien malgré la perte de sensation sur ma peau au niveau du torse malgré ses baisers et mon sexe endolori, déjà, dans sa cage…— J’ai trop hâte d’avoir une vraie poitrine,— Tu es plus femme à mes yeux qu’aucune autre bébé ! Et la cage, tu ressens quoi ?— Ça me fait mal mais je me dis que t’auras plus l’impression de faire l’amour à une vraie femme.— Ça c’est juste impossible, ta petite queue qui bande m’a toujours excité. Ça te rend pas plus femme, juste plus soumise…— C’est vrai que je me sens plus soumise avec, et que seul ton plaisir compte.— Et si tu jouis quand même ?— Si tu y arrive, je la garde tout le temps et te donne la clé,— Tu prends des risques !— Aucun chéri, ça me fait trop mal pour que je jouisse, mais je demande que ça tu sais bien.Et bien vite, je m’empale sur sa verge dure et nervurée de tout son long. Je gémis de bonheur en lui donnant du plaisir. Nos langues se caressent, ses mains parcourent mon corps, c’est bon ! Je suis concentrée uniquement sur son plaisir tentant d’oublier mon sexe qui me fait souffrir. Quel contraste avec l’effet que mon amant fait sur ma prostate ! Et plus les minutes passent, et moins la cage n’a d’effet, et plus les sensations anales me transpercent.Nico me retire mon haut et remonte ma mini-jupe au dessus de mon nombril, il s’étonne de me voir mouiller autant à travers la cage. Il a raison, le pré-sperme semble abondant j’avais jamais mouillé comme cela… Et je crois n’avoir jamais ressenti aussi bien la forme du gland ou les nervures de sa bite en moi. Je suis focalisée là-dessus et je prend vraiment mon pied en réalité. Mais je fatigue aussi et mon homme le comprend bien vite. Il nous retourne, place mes fesses sur le bord du canapé et se met à genoux au sol. Il me baise ainsi après avoir retiré la jupe. Ses mains s’habituent à mes seins et je retiens des mains mes jambes grandes ouvertes et écartées pour lui.— Tu as encore mal ? Parce que ton visage semble soulagé, t’as l’air de prendre beaucoup de plaisir bébé !— Oui c’est bon Nico, ta queue m’a jamais fait autant d’effet j’avoue, dis-je en gémissant,— T’as plus mal ?— Arrête de parler, supplie-je. Non j’ai plus mal…Je me mord les lèvres. Il alterne les rythmes, la puissance, il me fait hurler de plaisir, et mon gland mouille toujours autant c’est fou. Pas de douleur mais une pression continue et une sensation de ressentir mes couilles gonfler comme jamais auparavant. Il me dégrafe et retire mon soutien-gorge puis lèche les tétons. Il me défonce le cul et se retire pour décharger tout son foutre sur mon corps. Je lui souris en caressant mes seins chauffés par le sperme, j’ai adoré.Il semble déçu de ne pas m’avoir fait jouir. Je lui avoue en avoir été très proche et accepte de garder la cage jusqu’au lendemain. Je suis curieuse des sensations que j’ai découvert cette fois. Je ne les avais pas eu les fois où j’avais déjà porté la cage, juste des douleurs…Il faut dire que le traitement que je commence fait peut-être déjà effet ? En tout cas, je remercierai jamais assez ma mère de bosser avec cette psychologue qui me fait semble-t-il de nombreux passe-droits pour accélérer le processus…En parlant de changement, alors qu’on s’enlace en se glissant au lit, je confie à mon homme devoir me rendre bientôt chez le tatoueur / perceur pour lui demander conseil pour mes bijoux. Mes tatouages temporaires ont disparus et je vais peut-être pouvoir changer mes piercings pour des plus sexy… Nico apprécie l’idée.— Oh oui, on y va demain ensemble ? Je veux choisir avec toi ! Au fait, tu as déjà penser à te faire percer la langue ?— Penser, oui. Mais déjà mon père me tuerai, et j’ai trop peur que ça s’infecte… Mais bien sûr toi, petit pervers, tu aimerais bien ça n’est-ce pas ?— Tout de suite les grands mots, c’est pas être pervers. Oui, il parait que pour les pelles et pour les pipes c’est délicieux…— Il parait ? T’en sais rien ?— Non j’ai jamais eu de copines qui en ait. Pourquoi tu souris ? Du coup ça te motive c’est ça ?— Peut-être oui… Et mes tatouages il te plaisaient ?— Oui enfin sauf le « Fuck Me » mais oui c’était sexy. T’as envie d’en faire un ?— Tu le ferais avec moi ?— Peut-être oui, on y va demain et on demande conseil ? Il est sympa ?— Oui mais on appellera pour savoir s’il a de la place demain matin.On s’endort rapidement… Vivement demain
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