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Le garagiste

Chapitre 1

Hétéro
Après mon aventure avec Eugène et son père, j’ai longtemps espérée avoir une autre aventure aussi intense. Et en novembre 2011, j’ai été comblée. Ce jour là, je suis tombée en panne de voiture, je me suis retrouvée avec ma fille dans un garage lugubre. Pendant qu’il regardait mon véhicule, je remarquais que le garagiste, un homme proche de la soixantaine, sale et bedonnant, ne cessait de me mater. Surtout mes jambes. Faut dire que ce jour là, je portais une jupe courte plissée, des collants chair et des bottes noires. Ma fille dormait à l’arrière de l’automobile, je rajustais la couverture pour ne pas qu’elle prenne froid, quand le garagiste est venu me retrouver. « Vous avez un sacré beau cul ! », me lança-t-il. Je protestais en condamnant son langage vulgaire, quand il m’a mis la main aux fesses en me disant : « T’es une chaudasse ! Les filles comme toi je les renifle à des bornes ». Je protestais en lui demandant de garder ses distances et de s’occuper de mon véhicule. « Je m’occuperais de ta bagnole, mais d’abord j’aimerais m’occuper de toi ! J’ai besoin de me vidanger et j’aimerais savoir comment ça ronronne une fille comme toi ! ». J’étais outrée, mais quand il a ouvert son bleu de travail et qu’il a sorti son sexe, j’ai failli avoir une syncope. Je revoyais celui d’Eugène. Je suis restée sans voix. « Elle est belle, hein ! C’est ma fierté ». Il m’a demandé de le suivre, je ne savais plus ce que je faisais, presque par magnétisme, attirée par cet engin monstrueux, je lui ai obéis. Une fois dans son bureau, il m’a fait prendre appuis sur son bureau, il a retroussé ma jupe, baissé mon collant et ma culotte. Je sentais sa queue qui caressait l’entrée de ma chatte, qui s’humidifiait au contact de sa verge. Lentement, il m’a prise en levrette. Sa queue me remplissait bien, je mouillais, ça coulait le long de son sexe et de mes jambes. « Prends ça ! Salope ! Tu vas goûter la queue de Jacky ! ». Je me surprenais de lui répondre « Vas y baises moi ! Fais moi hurler ! ». Pendant qu’il allait et venait fougueusement en moi, je surveillais que ma fille ne se réveille pas. Je gémissais, je râlais à chacun des ses coups de reins. Sous ses assauts, je perdais totalement le contrôle de mon corps. J’ai eu un violent orgasme. Le garagiste continuait de me limer en me parlant crûment. Il avait déboutonné mon chemisier, il caressait mes seins à travers mon soutien-gorge. J’ai joui une seconde fois, il m’a suivi de peu, inondant littéralement ma chatte de son foutre. Quand il s’est retiré de ma chatte, ça coulait le long de mes jambes. Il m’a retourné, il m’a fait asseoir sur le siège de son bureau, et il m’a demandé de nettoyer sa queue. Difficilement j’ai avalé cet énorme engin. Avec gourmandise, je l’ai nettoyé avec ma langue. Il m’a demandé de m’attendre, il est allé réparer ma voiture, puis il est revenu. Il m’a proposé de régler la facture en nature, j’ai accepté de suite. J’avais trop envie que sa queue me fasse jouir de nouveau. Sans ménagement, il m’a prise à nouveau. Il me limait bestialement. J’ai joui aussi violemment que la fois d’avant. Une fois rentrée à la maison, mon collant souillé de son sperme me rappelait l’intensité de ce que je venais de vivre. Je ne revenais pas moi-même de mon comportement avec le garagiste. Je me suis comportée comme une salope et je n’avais même pas honte.
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