Un mercredi après-midi que je me promenais dans les Halles à Paris, décidant de photographier des gens, tels quels, je m’arrête sur la place où il y a la grande fontaine.J’en fais le tour et là je vois un skater de dos assis, les cheveux longs ondulés, son jean très grand laissait apparaître ses fesses dans son caleçon CK moulant, et un tatouage rasta sur le rein droit.Je prends mon appareil photo et commence à le photographier discrètement, jusqu’à ce qu’il aille faire du skate, et là je n’arrête pas de le photographier dans son élément, bien sûr il a vu mon manège et vient me voir : — Pourquoi tu me photographies ? me dit-il.— Pour une expo que je prépare sur les jeunes qui font du skate. lui dis-je— OK, pourquoi pas ? — Si tu veux on va chez moi, j’ai besoin d’un modèle comme toi pour mon décor, OK ? Il me suit, prenant son skate et sa chemise pour couvrir son corps imberbe.Arrivé chez moi, il se met à l’aise, enlève sa chemise et boit une boisson pétillante, moi pendant ce temps je prépare mon studio et mon décor.Je vais le chercher et lui dis ce qu’il a à faire, il pose à la perfection, je suis content de lui, il veut faire une pause donc je le laisse se reposer un peu : — Il y a un lit juste à côté, je t’appellerai quand on reprendra le travail. Moi pendant ce temps, je prépare ma pellicule et je vais le rejoindre pour le prévenir que j’ai fini, il s’est endormi sur le lit avec son CK moulant, il est sur le dos, son sexe est en érection, je vais le réveiller en douceur, d’abord en l’embrassant sur la bouche, il m’a rendu le baiser avec sa langue en me caressant la nuque. J’ai titillé ses petits tétons avec ma langue, ça l’a fait gémir de plaisir tout en prenant son sexe dans son caleçon que j’ai pris dans ma bouche assez vite...Je le branlais avec ma langue, il gémissait de plaisir quand je reçois sa liqueur de jeune mâle que j’avale avec délectation, j’en garde un peu pour l’embrasser et lui faire goûter sa semence, il a l’air d’aimer ça le petit cochon...Je le retourne et commence à lui lécher son petit trou imberbe qu’il me donne en bougeant les reins, et je mets mon gland pour l’empaler à fond, c’est lui qui s’encule sur ma queue, il adore ça en hurlant : — Oui, vas-y prend moi le cul, défonce moi bien j’en veux plein le trou, c’est bon bourre moi comme une salope !!! Je ne me fais pas prier pour l’enculer sauvagement car son anus et doux comme du coton, un vrai régal... Il m’excite tellement que je lui envoie la sauce dans les entrailles et lui part sans se toucher...Nous sommes devenus amants et il m’aide à recruter des jeunes recrues qui passent entre nos jambes.
