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Le garçon de compagnie

Chapitre 2

Les préliminaires

Erotique
Ch 2
Il la regarda et se leva doucement, décida de la contourner et s’approcha d’elle doucement pour ne pas la heurter. Il arriva au niveau de son oreille et parla doucement.
— Si vous souhaitez davantage, levez-vous et accompagnez-moi sur le lit. Je souhaite être à l’aise pour m’occuper de vous, si vous le permettez.
Sa politesse excitait de plus en plus la jeune femme. Elle se demandait ce qu’il lui réservait. Elle s’en mordit la lèvre inférieure et décida de répondre favorablement à son garçon de compagnie en se levant et en avançant doucement vers le lit. Elle s’approcha du bord et s’assit en le regardant. Celui-ci glissa une main dans la poche de son pantalon, semblant chercher quelque chose. Il sortit un long ruban noir en soie.
— Je sais que je ne suis pas à votre goût. Pour éviter que cela vous gêne avec ce qui va suivre, puis-je ?
Elle le regarda et elle nota sa sincérité dans le regard, ce qui lui plut. En guise de réponse, elle prit elle même le ruban et se banda les yeux. Serrant à sa convenance.
Elle ne voyait à présent plus rien et elle entendit qu’il se déplaçait doucement. Chaque pas, semblant réfléchi. Son excitation montait peu à peu, elle en était la première surprise. Elle sentit qu’il s’assit derrière elle. Des mains chaudes commencèrent à parcourir ses bras. Elles étaient brûlantes et la chaleur se transmettait à sa peau.
— J’apprécie vos mains solaires. Sont-elles tout le temps chaudes ? — Effectivement. En hiver, c’est bien agréable, en été c’est une plaie, avoua le garçon de compagnie tout en continuant ses caresses.

Sa remarque la fit sourire. Ne voyant pas, elle se demanda quelle serait la suite des événements. Elle sentit qu’il remontait ses mains le long des épaules, puis celles-ci enveloppèrent son cou délicatement, et elle sentit qu’avec ses pouces, il lui massait la colonne. Ses caresses étaient agréables, car cela faisait longtemps qu’un homme ne s’était pas attardé ainsi. D’habitude, ceux-ci fonçaient sur ses seins ou son entrejambe, non pas pour elle et son plaisir, mais juste pour donner l’illusion de préliminaires.
Tout à coup, elle sentit quelque chose de chaud et lisse suivre le contour de son oreille droite. Un frisson lui parcourut le dos, s’étendant jusque dans le bas des reins. Il passait sa langue, ou plutôt, il effleurait les contours et descendit jusqu’à la base et passa entre ses lèves son extrémité de peau, juste pour la pincer légèrement. La pression exercée provoqua chez la jeune femme une inspiration profonde. Cela était agréable. L’image d’un jeune homme, un souvenir de son adolescence sur lequel elle craquait lui apparut dans son esprit. Elle imaginait que c’était ce beau gosse musclé qui lui faisait ces agréables léchouilles et mordillements. Son désir commençait à se manifester dans son intimité. Elle croisa les jambes pour augmenter la pression autour de son fruit intime et se donner un plaisir naissant.
Son rythme cardiaque commençait doucement à s’accélérer, et sa respiration se faisait de plus en plus profonde. Le jeune homme s’en aperçut et un léger sourire se dessina sur son visage. Il regarda la nuque fine de sa cliente, il déposa ses lèvres dans l’angle du coup et des épaules. Instinctivement, la jeune femme inclina la tête sur la droite pour lui laisser davantage de place, et c’était une invitation bien explicite à ce qu’il continue. Sa respiration provoquait un petit souffle chaud sur la peau de sa cliente. Elle commença à serrer la couverture en soie entre ses doigts. Il vit cela et comprit qu’il s’approchait d’un point visiblement plus sensible.
Cette fois, il entrouvrit ses lèvres et la langue qu’il durcit se balada sur la peau douce de sa cliente qui se mordait la lèvre inférieure de plaisir. Quand tout à coup, il la mordit légèrement. Ce fut une petite surprise et elle laissa échapper un soupir de plaisir.

Le jeune homme remarqua alors que la poitrine de sa cliente s’était quelque peu affermie et deux petites pointes transparaissaient sous sa robe. Il passa au niveau des côtés et sentit une petite fermeture discrète. Délicatement, il ouvrit la robe qui se détendit. Délicatement, il enleva la partie qui était sur l’autre épaule.
La jeune femme sans rien dire se leva et une fois debout, le vêtement glissa et tomba par terre. Celle-ci sourit et posa ses deux mains au niveau de son bassin.
— Alors mon garçon de compagnie, j’espère que le spectacle vous plaît ?— Dentelles de première qualité, armature sans baleine, soutient au niveau des épaules sans partie de plastique. C’est une pièce de choix, dit-il en prenant plaisir à observer.— Fin observateur. Mon mari a toujours apprécié les belles pièces. Mais il n’a jamais été doué un minimum. Je devais toujours finir par l’enlever moi même. Il s’excitait pour un rien. Et vous, montrez-moi votre...
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que sans l’avoir entendu, il s’était de nouveau glissé dans son dos et d’une main, il avait ouvert le mécanisme. Elle sentit deux doigts coulisser le long de son dos et de l’air frôlait sa poitrine mise à nue.La jeune femme tâtonna avec sa main pour se situer et elle s’allongea sur le lit, posant la tête sur l’oreiller.
— Et si tu continuais ta petite mise en bouche, c’était pas mal, je le concède, toutefois j’espère que tu as d’autres surprises en réserve.
Pour toute réponse, elle n’eut que le silence. Mais elle sentit deux mains chaudes comme la braise lui parcourir le ventre, lui caresser les bras. Petit à petit, ses caresses se rapprochaient de sa poitrine et son excitation montait encore d’un cran. Le jeune homme vit que la respiration de sa cliente se faisait plus pressante. Par contre, il eut tout le temps d’admirer sa poitrine. Quelques grains de beauté constellant ses deux seins, deux petites aréoles et des tétons qui semblaient à présent bien fermes. Il osa poser ses mains sur ces deux collines et il ressentait une certaine fermeté. Il fit des cercles concentriques se rapprochant petit à petit de ses deux cibles. Il décida d’abord d’effleurer les tétons. Et juste avec ce bref contact, il constata leur fermeté.
Puis il écarta légèrement son index et son majeur et coulissa les tétons entre chaque écart de chaque main. Puis il resserra sa prise et saisit du même coup les deux seins. L’opération donna une décharge de plaisir à la jeune femme qui commençait à remuer les jambes en les remontant et en frottant son pied pour éprouver la douce sensation de la soie.
Et le jeu s’accentua, il saisit avec son pouce le haut du téton, commençait à appuyer puis à tourner légèrement, puis les pinça et recommençant en alternant au gré de ses envies. La jeune femme éprouvait un désir de plus en plus expressif. Le jeune homme regardait la bouche de sa cliente, elle humidifiait les lèvres avec sa langue, il s’approcha et entendit un murmure.
— Oh... Arthur...
Visiblement, la jeune femme fantasmait sur quelqu’un. Mais le jeune homme n’en avait que faire et s’approcha, et cette fois, tout en maintenant et jouant avec une main avec un téton, il pinça un peu l’autre et avec sa langue commença à jouer avec l’autre. Le mordillant puis tournoyant sa langue autour l’humidifiant bien. Les soupirs de plaisirs commencèrent à se faire entendre et elle se tortillait de manière visible.
— Oh que c’est bon, encore, j’en veux encore !
Le jeune homme entendit l’ordre et se pencha davantage. Il pouvait à présent alterner tous les traitements qu’il avait proposés à sa cliente.
— Mmm, suce plus fort ! N’hésite pas à y aller franchement !
Sans rien dire, il obéit et il sentit une main caresser ses cheveux. Il augmenta le rythme et les soupirs augmentèrent en intensité, d’un coup, il décida de pincer fortement et d’aspirer avec vigueur et son pari réussit. Il sentit le corps de sa cliente se cambrer, se tendre. Il regarda vers le bas du corps et vit qu’elle croisa et crispa ses jambes. Ses doigts de pieds se crispèrent au point de craquer sous la tension.
Il entendait le cœur de sa cliente battre à tout rompre, puis après un peu de temps commença à se calmer. Quelque peu étonné, il contempla sa cliente qui venait d’avoir son premier orgasme.Il arrêta son traitement délicatement et s’approcha de l’oreille de sa cliente.
— Encore ? — Ça faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas donné un orgasme pendant de simples préliminaires. — Qui a dit qu’ils étaient terminés ?

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