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Le garçon de compagnie

Chapitre 5

Promesse.

Erotique
Ch 5
Elle s’assit au bord du lit et regarda son garçon de compagnie. Elle entrevit enfin une bosse au niveau de son entrejambe. Elle en était satisfaite, car enfin elle pouvait espérer passer à l’étape suivante. La bosse était bien visible et elle imaginait ce qui pouvait se cacher sous ces minces couches de tissus. La situation l’excitait et elle se passa la langue sur ses lèvres par gourmandise, alléchée par un met qui lui faisait de plus en plus envie.
— Ouvre-moi ton pantalon, lui ordonna-t-elle avec un regard rempli d’envie.
Il regardait sa cliente qui se métamorphosait au fur et à mesure de la soirée. Il se déchaussa sans se baisser, s’aidant juste de ses pieds, puis il passa ses mains entre son pantalon et sa peau et ouvrit le bouton. Mais il le fit lentement. Puis le pantalon tomba à ses pieds. Ne restait plus qu’un boxer noir. La bosse était bien visible et il ne restait presque plus rien avant que lui aussi ne se retrouve nu.
Puis doucement, il descendit le boxer, libérant son membre. Elle le regarda, et à ce moment-là, le plaisir tomba. Elle eut une boule au ventre. Un sentiment de dégoût retomba. Puis une colère monta en elle. Elle le regarda avec un regard haineux.
— C’est une blague ?— Veuillez m’excuser ? Je ne comprends pas.— Avec tous les renseignements que j’ai filés à l’agence qui t’emploie, vous avez réussi à vous planter ?!
Elle eut un rire nerveux et se leva.
— Bon ben je crois que la soirée est terminée. Ca va pas être possible.
Le jeune homme la regardait, circonspect. Il ne parla pas et attendit une réponse de sa cliente.
— Je leur avais dit bordel ! Rien ne devait chez le garçon de compagnie me faire penser à mon mari ! Tu as un sexe trait pour trait ressemblant à celui de ce porc ! Tu crois vraiment que je vais prendre mon pied sachant que ce qui va me pénétrer est la copie de ce qui m’écœure le plus dans la vie ?!
Le jeune homme resta impassible et s’approcha de sa cliente.
— Vous n’avez toujours pas compris le but de notre établissement ?
— Vous êtes une maison qui donne satisfaction à des clientes fortunées, c’est bon, je ne suis pas conne non plus !— Vous avez raison. Je suis là pour vous donner satisfaction.— Désolée, mais non. Ton employeur est un amateur incompétent. Quel abruti !
A ce moment-là, pour la première fois, une colère apparut dans le regard du jeune homme.
— Mesurez vos paroles, je vous prie. Car là, vous vous fourvoyez grandement et je ne permettrai pas qu’on salisse le nom de mon employeur.— Oh, tu es un bon toutou, mais ici le client est roi. Alors tu peux te rhabiller, la soirée est terminée.
Elle allait se rhabiller quand le garçon de compagnie, toujours nu soupira.
— Voilà donc la grande ministre qui fuit.
Elle n’en revenait pas de ce qu’elle venait d’entendre.
— Qu’est-ce que tu as dit ?— Vous fuyez comme une lâche. Allez-y partez. Vous êtes une lâche qui vient ici pour fuir sa cage dorée, mais demain vous reviendrez chez votre mari avec toujours le même sentiment de dégoût. Et vous continuerez en vous disant que la vie c’est ça. Et vous trouverez ici et là des échappatoires. Je suis pas celui dont vous rêviez, mais je suis celui qui a été désigné pour répondre à vos besoins.
Elle se retourna, s’approcha de lui, impassible. Et une fois à sa hauteur...Un grand claque se fit entendre dans la pièce.
Elle avait le regard dur, haineux. Son cœur battait à cent à l’heure. Sa respiration s’était accélérée. Elle avait frappé de sa main gauche. Or elle avait au doigt une bague avec un diamant d’une assez grosse taille. Celui-ci avait blessé le jeune homme. Un filet de sang coula dans le coin droit de sa lèvre. Sa joue devint rouge écarlate.
— Qu’est-ce que tu connais de moi hein ? Qui es-tu pour me juger alors que tu me connais depuis moins de deux heures ! Qu’est-ce que tu sais de devoir tout sacrifier pour espérer changer quelque chose dans ce pays !
Tu n’as pas idée de ce que par quoi je suis passée... cette soirée aurait pu être magnifique... mais une erreur a tout gâché !
Il y eut un moment de silence. Comme si c’était la dernière réplique que le jeune homme pouvait faire.
— Nous sommes là pour vous aider.
Il y eut un autre silence. Elle le regarda. Ces six mots, elle les avait tellement de fois entendus. Mais à chaque fois, elle avait envie de vomir, car elle voyait dans le regard de ceux qui les prononçaient le mensonge, l’envie et l’hypocrisie. Mais chez ce garçon et malgré la baffe qu’il venait de recevoir, son regard n’avait pas changé. Hormis l’accès de colère, il avait gardé cette lueur dans le regard. Elle ressentit une réelle compassion et une envie de l’aider.
— Pff, qu’est-ce qu’un garçon de compagnie comme toi pourrait faire pour m’aider ?
Le garçon s’avança d’un pas. Il saisit la main gauche de sa cliente qui se laissa faire. Il lui saisit son annulaire et saisit son anneau. Il lui retira avec délicatesse et le laissa tomber.
— Vous rendre votre liberté. Et cela commence ce soir.
La jeune femme commença à trembler. Pourquoi avec cet homme elle ressentait ce trouble.
— Et tu crois qu’en couchant avec moi, tout va se régler comme par magie ? On est pas dans un conte de fée ?— On est dans une histoire. La vôtre... Ce soir, prenez-en le contrôle. Je vais vous y aider, je vous le promets.
Sa voix se fit douce et rassurante. La main droite de la jeune fille tremblait. Elle n’arrivait pas à calmer les tremblements. Le regard du jeune homme la désappointait.
— Tu sais dans quoi tu t’engages avec cette promesse ?
Il s’approcha d’elle et l’embrassa malgré le filet de sang. Un goût métallique lui arriva en bouche. Le baiser était doux et tendre. Elle ressentit un frisson lui parcourir la colonne vertébrale.
Il se recula pour rompre le baiser.
— Le pacte de sang est signé, dit le jeune homme.
La jeune femme sourit. Cet homme portait en lui des valeurs d’un autre temps. Elle se sentait spéciale à ce moment-là. Et pour la première fois depuis longtemps, elle voulait de nouveau croire. Elle lui sourit.
— Beau parleur.
Le jeune homme lui rendit son sourire.
— Vous avez perdu toute votre excitation à cause de moi. Permettez-moi d’y remédier, dit le jeune homme en se dirigeant vers un autre placard dissimulé dans un mur. Il en sortit une boîte en bois laqué qu’il ouvrit. Il sortit un petit jouet. Assez profilé, avec deux embouts.
La jeune femme regarda l’outil.
— Tu n’as pas confiance en ta queue ?— Si. Mais je veux vous remettre en de bonnes conditions avec ça.
Il était au petit soin avec elle. Beaucoup ne prendraient pas cette peine. Elle s’allongea sur le lit. Il était vrai que son excitation était retombée à cause de la dispute.
— Très bien... approche, lui dit-elle.
Il s’approcha et monta sur le lit. Celle-ci écarta les jambes pour donner accès à son intimité en guise de réponse.Le jeune homme, au lieu de se concentrer sur son intimité, vint l’embrasser sur la poitrine. Il recommença à jouer avec les tétons de sa cliente, caressant son ventre, et descendit au fur et à mesure vers son entrejambe. Elle entendit un son vibrant et quelque chose toucha son clitoris. Les sensations étaient très agréables. C’était irrégulier, montant et baissant en intensité. Cette stimulation réchauffa son bas-ventre et le plaisir renaissait. Sa respiration redevint profonde. Elle sentit alors que quelque chose entrait en elle délicatement. C’était la deuxième partie du jouet. C’en était agréable. Car les stimulations du clito, elle ne s’arrêtait pas.
— Pas mal ton petit jouet... c’est symp...
Tout à coup, elle sentit une pression en elle. Une pression qui se répétait. Des chocs lui parcouraient le corps. Le plaisir montait d’un cran.
— Q... que... qu’est-ce que tu fais ? dit-elle en ayant du mal à cacher son plaisir.— Une petite nouveauté de cette gamme... et visiblement... on vous a rarement stimulé votre poing G.
Il avait trouvé le bon endroit. Chaque pression était de plus en plus agréable. Et son clito toujours stimulé... elle avait du mal à retenir son plaisir.
— Hmm, c’est bon... oh que c’est bon... et... hmm... tu avais ce jouet depuis le début ?— Bien sûr... je ne vais pas abattre mes cartes en un seul coup...
Il commença un léger va-et-vient. Le plaisir en était décuplé. Elle n’avait rien à faire et tout son corps lui envoyait du plaisir. Quand tout à coup, le jeune homme revint sur ses seins pour lui stimuler les tétons.
— Oh oui tu sais vraiment me faire grimper toi ! Vas-y suce fort et continue de me stimuler !
Il fit quelque chose à son jouet et les vibrations augmentèrent en intensité de même que ses cris qui maintenant remplissaient la pièce. Elle ne se retenait plus. Elle se laissait aller au plaisir, les yeux fermés, savourant chaque stimulation.
Elle sentait la vague arriver.
— C’est pas vrai... je vais jouir putain... tu me fais jouir si vite !!
Sans réfléchir, elle le saisit, encerclant son dos. La chaleur du corps du jeune homme fut le coup de grâce.
-Oh je viens, putain, je viens !
Elle se figea, plantant ses ongles dans le dos du jeune homme, hurlant son plaisir. Elle souriait de béatitude, la vague cette fois fut longue et intense. L’orgasme ne redescendant pas tout de suite.Elle savoura son corps crispé et la décharge de plaisir qu’elle ressentit. Elle eut des saccades dans sa respiration, chaque bouffée d’oxygène entretenant encore de quelques secondes cette sensation de bien-être.
Enfin la vague retomba. Elle avait du mal à reprendre son souffle... elle regarda son homme de compagnie qu’elle embrassa avec passion. Elle passa au niveau de son oreille.— Tiens ta promesse, mais cette fois, montre-moi que je me trompe... mais avec ta queue !
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