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Le garçon de compagnie

Chapitre 8

Violences

Divers
Ch 8

Anastasia arriva en centre-ville. Elle descendit de la voiture redoutant ce qui allait lui arriver. Elle connaissait bien l’endroit. Un immeuble de style Haussmannien, lieu des orgies de son mari. Un endroit discret en ville et pas loin de son lieu de travail. Pouvant ainsi faire la navette à son envie entre lieus de pouvoir et lieu de luxure.

Elle entra dans l’ascenseur d’époques qui l’emmena au dernier étage. Elle déboucha sur un couloir avec sept portes en bois massif : Trois de chaque côté. Une dernière porte était à son opposé et c’est là qu’elle avait rendez-vous.

Inspirant profondément elle avança. À ce moment-là, elle entendit une petite vibration. C’était le téléphone du chauffeur qui l’avait accompagné. Il décrocha et il y eut un moment de silence.
— Je vous laisse rejoindre votre mari madame. On me demande en bas.— Faites ce que vous avez à faire. Je pense que connaissant mon mari, vous allez bien vite revenir.
Un sourire pervers se dessina sur le visage du chauffeur confirmant à Anastasia ce qui l’attendait.Elle avança et entendit l’ascenseur redescendre et marcha jusqu’à la porte, toqua et entendit la voix de son mari qui l’invita à rentrer.Elle se présenta dans la pièce. Un immense carré avec de chaque côté des canapés en velours, un énorme pouf rond central et en face d’elle, son mari, assis dans un bureau de style Louis XIV. Oui, son mari avait des idées de grandeur, et même dans ce lieu de débauche, il était là, avec sa coupe courte, ses grosses lunettes, son visage rond indiquant un surpoids léger. Il était rasé de près et portait un costume de bonne coupe de couleur bleu sombre.

Il avait préparé un double scotch, sa boisson préférée. Mais ce qui la terrorisa : d’un côté, elle reconnut ses amies qui étaient en tenue légère. Robe courte annonçant les festivités à venir. Et de l’autre côté, il y avait six hommes en costume noir et chemise blanche. Leur cravate était détendue et ils sirotaient un alcool fort. Tous semblaient détendus. Elle les regarda et la peur la paralysa. Que faisait Arthur parmi eux ?
— Bonjour ma chérie... Comment te sens-tu ?
Sa fausse politesse la stressait. Le jeu avait déjà commencé. Il allait monter progressivement en intensité et elle était la cible.
— Bonjour mon mari. Merci de t’inquiéter pour moi. Je suppose que tu m’as convoquée pour une raison précise.— Oh...Je suppose que tu dois en avoir une petite idée...Je pourrai avoir recours à mille moyens détournés pour le savoir...Mais j’ai pensé que ce serait...Plus stimulant...de l’apprendre par ta bouche.

Elle s’avança et s’approcha du bureau. Elle déposa les papiers que lui avait remis l’homme de l’accueil. Son alibi. Elle commençait à prier pour que cela soit fiable.L’homme prit calmement les papiers et les regarda.
— C’est vraiment bien fait...Ils ont vraiment un service remarquable...
Anastasia commença à redouter la suite. L’alibi ne tenait pas.
— Je vais t’expliquer quelque chose mon amour. Un détail qui semble t’avoir échappé. Tu es mon pion...Un pion exceptionnel, mais un pion quand même. Notre union me sert avantageusement. Mais à partir du moment où j’ai appris que tu avais un amant, d’ailleurs ici présent, je ne pouvais plus avoir confiance en toi. Oh, nous nous sommes bien utilisés l’un l’autre. Tu as trouvé ton intérêt avec moi, et je suis même sûr que parfois, lors de mes petites réunions, ton plaisir n’était pas simulé.— Mon chéri...— TA GUEULE !! Sale petite conne ! Tu as cru que tu pouvais te créer ton petit espace de liberté ? Mais sache une chose. Personne ne prend d’initiatives sans que je n’en sois informé. Tes amies ici, c’est moi qui les ai choisis, elles avaient pour ordre de se rapprocher de toi. Et bien sûr, avec ton amant, je voulais voir à quel point tu étais une rebelle....Tu ne m’as pas déçu...
Anastasia avait du mal à respirer. Elle était prise au piège. Elle tenta de sauver les apparences.
— Je...je te jure que je n’ai fait qu’un dîner...Certes très arrosé...Le lieu que mes amies m’ont recommandé...a pris des dispositions et...— Oh la menteuse, elle s’est envoyée en l’air sur nos recommandations. On l’a fait saliver avec ce service de garçons de compagnie, elle devait en mouiller sa culotte cette salope ! Coupa l’une de ses « amies » en souriant.
Le mari et Anastasia se regardèrent à sa déclaration. Il la transperçait du regard cherchant à voir le moindre signe de déstabilisation. Elle tenta de garder son calme, mais elle commençait à transpirer et son rythme cardiaque devait crever le plafond.
— Tu vois...Rien ne me résiste. Je les ai tous achetés...et ils me sont d’une fidélité sans faille. Et toi tu es à présent toute seule. On va donc te remettre à ta place, tu vas redevenir un pion fidèle et obéissant...Tu vas te déshabiller et on va tous bien s’amuser...
À ce moment-là, la porte de la pièce s’ouvrit et des hommes arrivèrent avec du matériel. Croix de Saint-André, fouets de divers tailles, outils de toute sorte et latex liquide...de quoi recouvrir tout un corps...et des pailles....
Anastasia comprenait ce qui allait se passer et commença à trembler des genoux.
— N..non mon chéri...pas ça...— OUI OUI !!! C’EST ÇA...cette peur...c’est jubilatoire ! J’en bande rien que de te voir dans cet état ! Tu vas m’offrir la plus belle orgie dont je rêve !! C’est...c’est jubilatoire...je suis en transe depuis que je te sais que tu es entré dans cet établissement et que tu t’es envoyé en l’air avec je ne sais quel gigolo ! Alors si tu veux continuer à faire joujou en politique, tu vas m’obéir et me servir comme je le souhaite...et bien sûr, sous les yeux de tes connaissances et de ton amant...qui je pense vont aussi profiter de cette petite fête !
Tous se levèrent et s’approchèrent d’Anastasia. Elle était déjà encerclée avant même qu’elle ait pu fuir...Ils la touchèrent, la poussant d’abord vers le pouf central en riant. Ils avaient tous leur regard pervers...Ils se léchaient les babines tels des animaux en rut...Déjà presque en transe de ce qui allait arriver.Son mari fendit le cercle et se tint devant elle. De son mètre quatre-vingt-dix, il la dominait. Il leva sa main sur son visage. Anastasia était livide...Ses lèvres tremblaient de peur...une grosse bosse apparaissait en face d’elle dans le pantalon de son mari.
Sans prévenir, il lui tira le tissu de sa robe lui arrachant et la mettant en quelques secondes en petite tenue.
— Oh...oh oui ça va être exceptionnelle ! Dit-il en salivant.
Il claqua des doigts et le cercle se resserra et on lui apporta le latex liquide avec un grand pinceau.
— On va d’abord te transformer en pion...et après cela...la vraie séance commencera !
Il trempa le pinceau...et allait toucher Anastasia...elle tenta de s’échapper, mais son amant la saisit pour l’empêcher de bouger...
— Arthur...Pourquoi... dit-elle les yeux remplis de tristesse.— Ce fut sympa...Mais lui, il paye bien...
Son esprit se résigna, elle ferma les yeux et abandonna tout espoir...
Un bruit résonna.
Tout se suspendit Claude, frustré d’être interrompu hurla.
— Quel est le con qui va regretter d’être né !
La porte s’ouvrit et Théobald se présenta au grand étonnement d’Anastasia. Il était accompagné du même nombre de personnes que celles présentes de la pièce à part égale. Tous étaient en costume noir à queue-de-pie. Ils avancèrent militairement derrière Théobald qui s’avança de quelques pas.
Je vous souhaite bien le bonjour Monsieur Libermann.
— Qui es-tu petit con ?— Un homme.— Tu me prends vraiment pour un imbécile. Tu sais ce que tu risques de jouer à ce petit jeu avec moi ?— Pensez-vous que vous êtes en position pour me menacer monsieur Libermann ?— Mais c’est qu’il se prend des grands airs le petit coq. J’en bouffe cinq au petit dèj des inférieurs comme toi. Je repose ma question une dernière fois. Qui es-tu ?— Un messager qui vous met en garde de tout arrêter.
Claude éclata de rire.
— Personne en ce monde n’a assez de pouvoir pour proférer des menaces à mon encontre. Tu ne sais vraiment pas qui je suis.— Une sous merde insignifiante qui ne comprend même dans quel merdier elle est tombée.
Il eut un silence. Claude était profondément énervé par ce jeune blanc-bec.
Excédé, il se déplaça jusqu’à lui, le regarda et lui assaini un coup-de-poing au ventre. Théobald se plia de douleur. Personne ne bougea dans la pièce.Il le saisit par les cheveux et le fit valser sur le pouf et s’approcha.Tu as interrompu mon plaisir. Je vais donc m’en donner un autre avant de continuer.
Il le tira par les pieds et le frappa au visage. Des gouttes de sang giclaient sous les yeux horrifiés d’Anastasia.
— Mais tu es fou !— Toi ta gueule, il a osé m’interrompre dans un rendez-vous que j’ai attendu depuis si longtemps. Je suis extrêmement frustré.
Théobald, qui était allongé, le défiait du regard ce qui énervait Claude profondément.
A ce moment-là, un claquement de doigts se fit entendre. Un homme vint saisir en clé de bras Claude et les autres se placèrent devant les invités. L’une des amies d’Anastasia protesta, une claque sèche résonna et elle en tomba au sol.Les hommes tentèrent de réagir, mais se firent mettre à terre en quelques secondes. Tous les invités étaient soumis et des bruits de pas se firent entendre.
Claude était de dos par rapport à la source du bruit. Il ne pouvait rien voir. Théobald se releva et tout à coup, alors qu’il avait été maltraité le saisit par les cheveux à la place de l’homme qui le soumettait.Pensant pouvoir se libérer, il tenta de se débattre. Mais alors, Théobald le plaqua contre le pouf et alors qu’il allait de nouveau le menacer, il vit un visage entrer dans son champ de vision.
C’est alors que l’homme au regard colérique et menaçant laissa sa place à un homme au regard stupéfait.
— Ba...Balalaïka ??
La personne ainsi appelée se mit à sa hauteur. Une main vint caresser son visage.
— Je te pensais suffisamment intelligent...Visiblement un petit recadrage va être nécessaire.
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