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Le garçon de compagnie

Chapitre 10

Arc 2 : Nouveaux employés ?

Erotique
Chapitre 10

Résumé : Théobald est un garçon de compagnie. Il travaille pour une certaine Balalaïka qui a pour projet de porter un groupe de femme à la tête de ce pays. Et elle a trouvé sa première pièce : Anastasia. Une cliente de son établissement qui a su lui montrer certaines qualités envers son pervers de mari.

Une semaine, c’était écoulé et Théobald était à la terrasse d’un bar en extérieur. Il était en centre-ville. Il avait sélectionné cet établissement pour son cadre historique placé un peu à l’écart, dans une ruelle en cul-de-sac. Il fallait connaître pour apprécier l’endroit avec ses maisons à colombages, certaines richement ornées remontaient à plus de cinq cents ans.

Il était presque l’heure de l’apéritif. Et lui était assis a une table. Un verre lui avait été apporté. Un vin de pêches de grande qualité. Il regardait fixement le verre. Son poing était serré et sa mine dure. Il prit une gorgée. Le goût était horrible, désagréable, insipide à ses yeux.

Il soupira...Mais reprit une gorgée.
— Répéter la même chose en espérant un résultat différent, n’est ce pas cela la définition de la folie ?
Il leva les yeux et vit sa patronne. Seule, ce qui était chose rare. Ah non pas tout à fait, il regarda plus loin au bout de la rue. Deux hommes en costume se tenaient pour filtrer le passage.
— L’intelligence est de connaître notre folie. Lui répondit-il en buvant une autre gorgée. Toujours avec le même dégoût.

La patronne, toujours dans une tenue impeccable de femme d’affaires pris place en face de lui.
— J’ai une journée chargé, mais pour débuter, je voulais un peu de calme et de détente avant d’affronter les médiocres.

Un journal était sur la table avec en gros titre : « Remous dans une des grandes entreprises du pays.» Souriante, elle ouvrit le journal et lu rapidement l’article.
— Je vois que notre petit travail a fini par faire surface. La police enquête sur ce que je lis, mais impossible de remonter à la source. Beau travail mon cher employé.
Il ne releva pas le compliment continuant à boire.
— Jeune fille, un cocktail nordique, je vous prie. Demanda Balalaïka.
La serveuse qui n’était pas loin pris commande et se mit au travail.
— Si vous êtes là, c’est que vous avez du travail pour moi.— Bien évidemment, tu as réussi le premier. J’ai à présent mon roi. Je suis partie en quête de mes deux fous....et j’ai trouvé. Elle avait apporté avec elle un attaché-case qu’elle ouvrit sur ses genoux et sortit un dossier qu’elle lui passa.

En l’ouvrant, Théobald constata un dossier double. Il la regarda du coin de l’oeil, elle souriait le menton posé sur ses deux mains croisées et accoudées.
— Vous aimez m’analyser.— Tu es un sujet fascinant. Aucune trace de toi nulle part. Je n’ai que ton nom, ton prénom et les brides de ton histoire. Et tes rituels...Mais je finirai bien par percer ton secret.— Faites vous plaisir. Vous avez toujours aimé les challenges.
À ce moment-là, la serveuse apporta le cocktail et le regard des deux femmes se croisa. La serveuse rougit et s’en alla.
— Vous lui plaisez, patronne.— Je sais. Dès ma commande, j’ai vu son regard changer. Malheureusement, c’est un petit oiseau, j’aurai peur de lui briser les ailes.— Je commence par qui ?— Je veux les deux.— Bien.
Elle éclata de rire au point que la serveuse se retourne.
— Un peu d’enthousiasme, des mecs paieraient pour être à ta place.— Vous avez une armée sous vos ordres.— D’ailleurs, je dois voir de nouvelles recrues et j’aimerais que tu viennes. Dit-elle en souriant et en buvant le cocktail cul-sec.
Théobald sortit de sa veste qu’il avait gardée sur lui, le printemps étant encore frais, un portefeuille simple en cuir. Il paya la note pour sa patronne et il se leva.Sa patronne en fit de même et ils quittèrent la rue sous le regard un peu triste de la serveuse. Une voiture les attendait et les conduisit dans un appartement de la ville.Grand escalier, bois lustré, c’était un appartement ancien et les pièces de l’extérieur étaient haut de plafond.Au fur et à mesure qu’ils montaient, accompagnés des deux gardes du corps, Théobald commença à entendre des gémissements. Plus ils montaient plus ceux-ci se firent fort.
Balalaïka ouvrit la porte d’un appartement et celui-ci aménagé sobrement au style suédois, laissait place à un beau spectacle.Une belle brune aux yeux bruns, aux yeux d’amandes était en train de se faire prendre en double par deux mâles.
— Ho oui, bourrez moi bien !! Vous êtes des amants exceptionnels !— T’aimes ça ma belle ! C’est ton mari qui doit regretter de ne pas mieux s’occuper de toi ! Dit l’homme qui lui prenait la chatte avec un membre imposant.— Oh oui, il me délaisse, qu’est ce qu’elles sont bonnes vos queues ! Ça m’avait tellement manqué !!
Le groupe s’était placé dans un coin de la pièce, Balalaïka regardait le spectacle avec délice et avait signe de silence.
Les deux amants fougueux tentaient de se synchroniser et n’avait même pas vu que quelqu’un était rentré dans la pièce, celle-ci étant assez isolée de l’entrée.Les cris de la jeune femme se firent réguliers. Elle se laissait prendre par ses deux amants avec envie. Son visage était déformé par le plaisir et elles se mordaient les lèvres sous les assauts de ses amants...En apparence.
— T’aimes ça hein espèce de salope chaude du cul ! »— Oh oui ! Dès que je vous ai vu, j’ai su que j’allais prendre mon pied ! Continuez ! Elles sont bonnes vos queues ! Allez y ! Plus fort ! J’en veux plus !! HMMMMM !!!
Les hommes fiers d’eux se déchaînaient avec entrain.
— Oh oui ma belle, on va te tapisser de l’intérieur ! Dit l’homme qui lui prenait le cul.— Oh non...Faites pas ça... Je n’ai pas pris ma pilule aujourd’hui.— T’inquiètes, ton mari ne verra pas la différence, il suffira de lui dire que le marmot vient de lui.— Hmm, quelle bonne idée, vas-y lâche tout dans ma chatte, j’ai envie de sentir vos jus déferler dans mes entrailles.
Les deux hommes trop heureux redoublèrent d’intensité.
— Oh oui, allez-y, oh putain que c’est bon ! Oh, mon Dieu, vos queues me rendent folle !— Qu’est-ce qu’elle est bonne ! Je vais me lâcher dans son petit trou !!

Il s’écoula quelques secondes. Et Balalaïka applaudit et les deux hommes sursautèrent.
— Vous n’inquiétez pas mes beaux, c’est ma patronne. Vous n’avez rien à craindre. »— Ta patronne ? C’est quoi ce délire ? Dit l’un d’eux.
Le jeune femme se dégagea et se releva laissant la semence de ses amants couler le long de ses cuisses.
— Allons messieurs, calmez vous. Ce n’est pas un traquenard, il ne va rien vous arriver.
Théobald suivit sa patronne et regarda un compteur figé. Il était discret, mais n’importe qui pouvait le voir. Il indiquait sept minutes trente-deux secondes et à côté un autre, indiquait quinze minutes et dix septs secondes.
— Alors ma chère Vanessa ? Ton verdict ?
La belle Vanessa, d’une trentaine d’année, aux yeux d’amandes au corps lisse et aux petits seins se mit la main dans les cheveux pour les repousser en arrière.
— Recalés. Même pas un orgasme !— Hein ? Tu te fous de notre gueule ! Tu criais comme une furie y a même pas deux minutes.
Elle tendit le pouce et désigna les compteurs.
— Tu vois cela mon beau ? C’est votre temps. Si encore vous aviez dépassé le temps à côté, j’aurais plaidé pour votre endurance...mais là...— Mais explique moi, tu t’es foutu de nous ? — Non, vous êtes vraiment deux beaux gosses, et vous m’avez plus...mais vous n’avez que le physique de vendeur. Je vous ai fait passer un entretien. De loin, vous aviez ce qu’il faut, de près aussi vu ce qui se balance entre les jambes...mais le reste....— Mais elle se fout de notre gueule la sal...
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que les deux gardes du corps se mirent de part et d’autres du matelas
Balalaika sourit et éclata de rire.
— Mon cher Apollon, regarde à ta droite. Je n’engage de potentiels hommes que s’ils battent le record affiché là ou si ma Vanessa a pris son pied jusqu’à l’orgasme. Tu as déjà eu la chance de coucher avec mon bras droit. Alors tu peux t’estimer heureux, car elle est extrêmement sélective sur le choix de ses partenaires.
Les deux hommes regardèrent le compteur.
— Pff, on aurait pu tenir bien plus longtemps !!
Vanessa éclata de rire.
— Mon cher, vous n’avez même pas réalisé que je vous menais à la baguette. Les hommes sont toujours prêts à croire deux choses d’une femme : Qu’elle est faible et qu’elle trouve celui qu’elle regarde attirant. Vous m’avez donné un peu de plaisir, je le concède, mais l’orgasme était loinnnnnn de venir ! Je n’ai fait que dire ce que vous vouliez entendre, et ça a marché, donc je le redis : recalés !— Et il ressemble à quoi le gars qui détient le meilleur temps ?
Vanessa sourit et regarda sa patronne qui lui fit un signe "oui" de la tête.
Elle s’avança et ouvrit le pantalon et fit tomber son boxer. Les mecs éclatèrent de rire.
— C’est une blague ? Un truc aussi insignifiant ? Il n’arrivera même pas à te stimuler après notre double !
Vanessa le regarda avec envie et caressa son membre qui grandit entre ses doigts.
Elle se plaça sur le matelas en levrette et tendit ses fesses et écarta sa chatte dégoulinante de sperme.
— Tu connais la politique de la maison Théobald...Ils sont cleans, tu peux y aller sans risque !
Théobald sans un mot vint se placer derrière elle. Il lui caressa les fesses et plaça son membre à l’entrée de la chatte dégoulinante...Il joua un petit peu...ce qui eut quelques effets sur Vanessa. Elle se cambra et...
— Oh...Salaud, t’es rentré d’un coup !
Théobald remua son bassin et donna des coups rapides pour commencer.
— Hmmm...oui continue ! Baise-moi comme la salope que je suis !
Les deux hommes regardaient le spectacle convaincus de leur supériorité.
Il lui donna des coups sur les fesses faisant résonner chaque coup dans la pièce. Puis petit à petit les bruits de claquement de chairs se succédèrent. Vanessa fermant les yeux et aguicha son assaillant à coup de paroles mielleuses
— Hmm, vas-y plus profond, tu as de la concurrence mon cher !
Théobald impassible écarta les fesses de Vanessa pour entrer plus profondément. Il imprimait un rythme régulier.
— Hmm oui , tape bien fort contre ma chatte, j’aime ça, continue ! Plus fort ! Ça te plaît de sentir ta bite dans ma chatte déjà tapissée de sperme !!
Théobald joua avec son abricot en plus de la pilonner comme il se doit.
— Salaud, tu aimes m’entendre gémir sous tes coups ! Mais putain que c’est bon !!
Vanessa commença elle-même à imprimer le mouvement avec son corps. Ses fesses tapaient contre le bassin de Théobald. Les amants confiants regardaient régulièrement le compteur qui défilait.Puis il la saisit par les bras et les tendit l’obligeant à se cambrer davantage.
— J’aime ta chatte poisseuse, et j’aime ramoner ton entre couvert de sperme !— Hmm je le savais, vas-y bourre moi !
Il la maintenait par les bras et faisait tout pour l’entendre gémir de plaisir. Ces gémissements étaient comme des hoquets répondant en écho à chaque mouvement de reins qu’il lui imprimait.Les deux amants commençaient à perdre leur sourire arrogant quand leur temps fut dépassé et que rien n’arrivait.Vanessa subissait les assauts en criant de plaisir. Elle avait à présent la tête sur le côté collé au matelas et le cul bien tendu vers son amant du moment. Celui-ci continuait de la pilonner sans fléchir.
— Hmm, Théo...c’est si bon, continue! Continue de maltraiter ma chatte !
A ce moment-là, sans prévenir, il sortit et dévora son intimité couverte de cyprine avec sa langue et poursuivit ses assauts avec trois doigts et un pouce sur son abricot.
— Hmm tu vas me faire flancher mon salaud ! Oh bordel !
Vanessa se mordait les doigts de plaisir et elle remuait le bassin.
— N’épargne pas ma chatte, je vais bientôt te céder un orgasme mon salaud !
Il s’enfonça plus profondément ce qui accentua les gémissements de Vanessa. Un point fut trouvé et elle cria.
— PUTAIN !! PAS LA !! Oh merde ! Ça monte !!! CA DÉBORDE !!!!
Elle se figea et Théobald arrêta tout mouvement. Il attendit la fin des spasmes de Vanessa qui s’écroula sur le matelas soupirant fort et ouvrant les yeux sur ses précédents amants :
— Seize...Minutes et deux secondes....et...un orgasme...voilà messieurs....ah...ah...ce que j’attendais de vous....Recalés....
Les deux amants se levèrent sans un mot et eurent le regard mauvais envers Théobald ce qui fut vu par Balalaika.
Elle claqua des doigts et les deux se prirent un coup dans le ventre de la part des gardes du corps.
— Je ne tolère aucun comportement déplacé en ma présence...Est ce bien clair ?— Sale...co...allait dit l’un deux.— Putain ta gueule. C’est Balalaika. Mesure tes paroles ! Dit l’autre en lui couvrant la bouche.
Elle eut un regard mauvais pour celui qui allait dire une connerie, mais elle sortit une petite liasse de billets :
— Pour vous dédommager de désagrément et surtout...Parce que ton pote a eu un éclair de bon sens. Dit-elle en le regardant.
Les hommes se rhabillèrent et Balalaika soupira :
— Dur de trouver du personnel compétent, j’ai des clientes exigeantes !
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