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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 1

Une nuit agitée

Travesti / Trans
Alors que je dors paisiblement dans ma position habituelle : sur le côté en position fœtale, tournant le dos à mon cousin ; je suis réveillé par Guy qui chuchote à mon oreille « Tu dors? »
— Je dormais oui
— J’ai besoin de toi Camille
— T’as quoi ?
Il approche son corps contre le mien. Ma tête surchauffe immédiatement !
— Je bande comme un dingue tu sens ? J’ai besoin de toi pour me soulager j’arrive pas à dormir
Je rêve ? Est-ce réel ? Je dors encore à moitié et pourtant ma queue fait écho à la sienne : je bande! Mais je n’en reviens pas. Mon cousin, l’exemple même de l’hétéro parfait, se colle à un mec pour lui demander de lui vider les bourses. Je reste muet et ne bouge pas.Il ajoute :
— J’étais en train de rêver d’une transsexuelle et je me suis réveillé avec cette trique. C’est ta faute maintenant faut que t’assumes.
Je ne bouge pas, n’acceptant rien mais sans pour autant refuser. Son bassin frotte mes fesses. Son boxer doux caresse mes fesses nues. Je sens sa bite raide que j’ai branlée et léchée il y a quelques heures de cela. Il semble que l’alcool fasse toujours effet. Son souffle chaud caresse mon cou, je bande!
Sa main droite se pose lentement sur ma cuisse droite. Il me caresse la jambe de haut en bas et remonte lentement. Ses lèvres embrassent ma nuque. Je gémis en me raidissant. Ma croupe se cambre contre son boxer instinctivement. Sans contrôle.
— Tes jambes sont lisses, j’avais jamais remarqué que t’avais aucun poil.
Sa main remonte sur ma fesse. Il me caresse, me palpe. J’imagine qu’il aime ça, car je suis entièrement lisse. D’ailleurs, sa claque sur ma fesse droite me donne raison. Il murmure :
— Quel cul Camille. Cette nuit, sois ma femelle. Laisses-toi aller. Tu me fais bander comme un âne !
Je ne dis mot de peur de casser l’ambiance avec ma voix masculine. Je suis tellement excité. Sans savoir où cela va me mener, je n’ose prendre d’initiative et me laisse faire par ce mâle décidément bien entreprenant. Ses mains explorent mes courbes, quittant mon cul pour rejoindre mon ventre plat et ferme; ce sont les caresses d’un homme sur une femme. Je suis absolument perdu, ma tête ne contrôle plus rien, il m’excite!
Sa main remonte jusqu’à ma nuque et l’enserre, comme voulant montrer sa possession.
— T’es bonne Camille, entièrement lisse, pas un poil, ton corps dans le noir est celui d’une femme. Tu m’excites ! T’as envie ?
Ne répondant toujours pas, sa main redescend vers mon bas ventre. Ses doigts enserrent mon sexe, plus raide que jamais. Il pousse un gémissement.
— Je vois que t’es aussi excitée que moi ma belle. Tu veux être ma femelle cette nuit? Je vais te faire jouir comme une transexuelle, comme dans mon rêve. Réponds, tu veux te faire baiser comme la femelle que tu es Camille ?
— Oui Guy, oui je veux être ta femelle, dis-je comme une supplique.
— Tellement bon, alors voici les règles ma belle. Je ne veux plus entendre un mot. Quand tu gémiras, concentre-toi pour gémir de manière féminine, je suis pas gay. Tu es une fille dès maintenant alors bouge comme il faut et prouve-moi que tu aimes la queue. On va prendre beaucoup de plaisir.
Des promesses très excitante mais aussi un peu stressantes. J’ai peur d’avoir mal. J’ai une fois pratiquer l’anal avec une ex, mais elle avait eu tellement mal qu’on avait rapidement arrêté. Mais bizarrement je reste incroyablement détendu et fou d’excitation. J’ai l’impression de jouer un rôle, je me sens franchement fille en fait…
Ses mains retirent son boxer, il est maintenant complètement nu, comme moi. Il se lève et sort du lit, je l’entend marcher en direction de son dressing. Je crève d’envie de lui demander ce qu’il fait mais ses règles sont strictes. Et je ne compte pas lui désobéir, ce serait aller contre mes envies. Quelques longues secondes puis il revient près de moi.
— Camille, puisque tu es aussi bonne, tu m’as donné des idées et j’avais acheter pas mal de choses pour mon ex. En fait j’ai une boite avec les fringues que je lui avais acheter. Et je suis sûr que tu seras encore plus bandante qu’elle avec ça.
Je me relève à genoux sur le lit. Il me donne des fringues. Je devine un ensemble de lingerie dans le noir complet. La situation commence à me rendre complètement folle ! (J’ai dis « folle »?!) Je me prends au jeu, c’est très agréable… j’enfile avec toutes les peines du monde un soutien-gorge, le tissu est doux et ma peau frémit à son contact. Puis ce sont des bas. Je les imagine hyper sexy! Je m’assieds et enfile la première jambe. Le bas remonte à mi-cuisse. Puis la seconde jambe galbée de nylon, je cherche le string mais sans succès.
— Tu cherches quelque chose? A mes yeux il te manque seulement des talons, des cheveux longs et le parfum d’une femme.
Mon gémissement ne trompe personne, je suis folle d’excitation. Prête à soulager mon nouvel amant de toutes les manières qui lui plairont.
Je me remets à genoux sur le lit, lui aussi. Il s’approche de moi, je sens son gland raide heurter mon bas ventre. Nos deux sexes se lovent l’un contre l’autre tandis que mes bras passent derrière sa nuque comme le ferait une femme. Ses mains prennent mes fesses fermement. Son souffle chaud sur ma nuque me fait vibrer. Il embrasse ma nuque sensuellement. J’en frémis. Ses lèvres rejoignent ma joue il m’embrasse à nouveau. Elles approchent le bord de mes lèvres et m’offrent encore un baiser. Je n’ose y croire, il me traite réellement comme sa maîtresse.
Je tourne la tête vers lui et embrasse ses lèvres. Ses mains fermes sur mon cul me pousse contre son corps. Il me rend le baiser. Ses lèvres s’écartent et nos langues se cherchent. Mes mains descendent dans son dos musclé le caressant avec le doigter d’une femme, puis sur ses fesses fermes : quel mec ! (Pas une seconde je ne penses être gay, je me sens femme, entre les mains d’un homme!)
Nos bouches se mélangent, nos langues dansent et donnent le ton d’une nuit qui s’annonce délicieuse ! Mes mains rejoignent nos queues. Plus raide l’une que l’autre, je les enserre entre mes 10 doigts et les branle l’une contre l’autre. Nos bassins donnent le rythme, il me claque les fesses et se recule pour s’assoir. Il attrape mes cuisses et me fait comprendre ma place.
Il s’allonge sur le dos, je suis à genoux sur lui, à cheval. Mon cul positionné juste contre sa queue. Nos bouches se retrouvent rapidement et tandis qu’on se roule une pelle interminable, je m’efforce de dandiner sensuellement contre sa verge tendue simulant notre première sodomie.
— Retourne-toi !
Je m’exécute immédiatement. On se retrouve en 69, je suis sur lui, mon cul offert et la bouche prête à servir sa bite.Il claque mes fesses les faisant descendre à sa bouche, je découvre la sensation d’une langue chaude et humide contre mon anus et je hurle de plaisir. Mes doigts agrippent le matelas, quel découverte : c’est magnifique !
Une fois la surprise passée, et profitant toujours des joies de cet anulingus incroyable, je me concentre sur ce dard raide et gonflé qui m’est offert. Je commence par le lécher goulument de tout son long des couilles au gland. Les sensations de sa veine sous ma langue me rendent folle! Je le prends maintenant en bouche, suçant sa queue. Cette fois, elle est grosse, longue, et je ne parviens pas à la prendre en bouche toute entière.
Mon sexe me fait mal. Je bande depuis des heures et mon amant n’y prête aucune attention. Mais c’est bien sur ma pipe et sur sa langue que mon attention est portée. Soudain, je découvre une nouvelle sensation, du froid sur ma rondelle. Que fait-il?!
J’en suis convaincu, ce n’est plus sa langue. Une main est sur ma fesse tandis que la sensation de froid tourne autour de mon entrée. Ma bouche se retire du sexe de mon amant et ma main le branle lentement tandis que j’imagine ce qu’il entreprend.
Sa bouche pose un baiser contre ma cuisse. Sa main écarte une fesse. Et je comprends qu’il caresse ma raie avec un gode lubrifié. Je veux qu’il comprenne que je suis sienne. D’une main j’écarte l’autre fesse. Ça lui plait visiblement : il mord mes cuisses, j’en frémis encore !
Il pousse le jouet et je tente de me détendre au maximum. Une vague de chaleur me transperce alors que le gode se glisse en moi, je hurle littéralement de plaisir. Aucune douleur à ce stade. Il doit l’avoir mis à fond et ne bouge plus. Je sens que je m’habitue à sa présence. Ma bouche reprend sa fellation et je dévore à nouveau la queue de Guy. Lui s’enhardit et commence de lents va-et-vient avec le jouet, puis accélère de plus en plus. Jusqu’à m’empêcher de le sucer sous peine de manquer d’air. Je halète comme une chienne et gémis avec la voix la plus douce possible.
— Je veux ton cul Camille, je veux te baiser comme une pute!
Il retire le gode, je le veux! Je veux son dard au fond de moi!Je me retourne je lèche son torse musclé, viril et me place à califourchon sur lui. Nos bouches se mêlent à nouveau. Ses mains caresses mes bas et mon soutien-gorge régulièrement. Il veut se rappeler la femme qu’il s’apprête à baiser.
Je prends entre mes doigts sa verge et la dirige vers mon cul, que je place contre. Le gland caresse mon anus. Il verse du lubrifiant dessus. Ça y est, c’est maintenant, le point de non retour, le moment où un homme va dépuceler mon cul de femelle. Je m’appuie sur son gland de plus en plus jusqu’à ce que….
Je crie de douleur au passage du gland et me stoppe. J’attends quelques secondes…
— Prends ton temps ma belle, c’est notre première sodomie. Ta chatte est toute serrée. J’ai tellement hâte de te voir travestie de la tête aux pieds. Je vais te sauter toutes les semaines ma salope.
Ses mots devraient m’effrayer, mais au contraire ils m’excitent terriblement. Je veux être sa femelle maintenant, et tout le temps !
Je m’habitue à sa présence et pousse plus profond lentement jusqu’à me sentir comme transpercée. J’ai l’impression qu’il me déplace les organes. Et mon gland semble gonfler à mesure que je m’empale. Ma main cherche ce qu’il reste de queue à insérer. Je n’en suis pas loin. Je pousse encore et sens mes couilles s’appuyer sur son bas ventre. Il râle de plaisir.
— C’est trop bon! Tu me fais un effet de dingue! Je vais remplir ton cul de foutre Camille
Je débute de lents va-et-vient et la douleur a totalement disparu. Je gémis de plaisir avec des petits cris comme on en entend dans les hentai japonais. Ça semble lui plaire. Je m’empale de plus en plus et de mieux en mieux et me fais baiser par mon cousin tandis qu’à chaque coup de rein, mon gland se frotte contre son bas ventre. Nos langues se lovent à nouveau l’une à l’autre. J’aime la sensation de cette sodomie, je me sens femme et bandante! Ma verge gonfle, je suis prête à exploser ! Je sens mes couilles se contracter prêtes à se vider. Je me redresse et continue à m’empaler sur Guy avec ardeur. Je hurle de plaisir et gicle de puissants jets de sperme sur son ventre et son torse. Je ressens le plus puissant orgasme de toute ma vie, je n’arrive plus à continuer mes coups de reins comme figée par le plaisir intense que me procure cette pénétration. Guy me sourit.
— Lèche-moi Camille
L’orgasme laisse place à de la honte, je me sens perdu durant quelques secondes… Rapidement je repense au plaisir que je viens de ressentir. Et je décide de satisfaire mon amant.
Ma langue parcourt alors lentement le ventre et le torse de Guy aspirant chaque goutte de jus encore chaud. Il semble surexcité par cette vision. Il attrape mes hanches et commence de puissants va-et-vient. Il m’encule vite et profond. Le plaisir revient aussitôt et balaye tous mes doutes.
— Je vais juter ma salope, je veux remplir ta bouche!
Le goût de mon propre sperme en bouche, je me sens déjà salope, mais l’idée qu’il me fasse avaler ses couilles me rend complètement dingue ! Il baise encore fort mon cul et se stoppe net et se retire. Le signal est lancé. Je descends vite sur sa queue bouche ouverte et suce son gland. Le jus de mon homme me remplit la gorge. Il est nettement plus épais, du sperme de mâle contrairement à ma mouille liquide. Je me sens totalement possédée et mon érection réapparaît aussitôt. Guy râle de plaisir.
Heureuse d’avoir satisfait mon homme, et remplie d’espoir qu’il me fasse découvrir encore de nouvelles sensations, je m’endors contre lui, avec ma tenue de soirée…
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