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De garçon timide à fille épanouie

Chapitre 11

Plus qu’un flirt ?

Travesti / Trans
Je suis réveillée par la chaleur étouffante de la chambre, il est déjà 13h et Nico, en sueur, dort encore… Je me met à fantasmer d’un réveil lovés l’un contre l’autre, tendre et amoureux ; mais ce ne sera pas pour aujourd’hui.
Je file me rincer, j’ai mal au crâne de la veille. En revenant en string, je regarde Nico, nu sur le lit, il ouvre les yeux. Son sexe est en érection. Quel mec, il me donne chaud ! Il se lève, la fusion d’hier soir est un peu retombée, on joue les timides. Il part se doucher. Je suis un peu stressée, alors je m’occupe, je range nos affaires qui trainent au pied du lit.De son côté, je ramasse son boxer et son short, je les pose sur le reste de ses affaires sales et devine un autre boxer qui ressemble à s’y méprendre à celui de … Non c’est impossible ! Nico revient vers moi. On décide de trouver de quoi manger puis d’aller à la plage nous reposer.
Je m’allonge et demande à Nico s’il veut bien me passer de la crème comme hier. Il accepte et ses caresses sont au moins aussi délicieuses que pendant la nuit. Ça m’excite de nouveau. Puis, allongés, le silence règne, on se repose de la nuit agitée passée. Il me lance :
— Prends des forces, ce soir c’est Beach Party.
— Sérieux, soirée sur la plage ?
— Oui ils ont prévu des DJs et une grosse soirée de débauche. Il sourit.
— J’ai une question à te poser Nico.
— Je t’écoute.
— Qu’est-ce qui t’attire chez moi ? Je veux dire… Tu pourrais avoir n’importe quelle fille ici, elles veulent pour la plupart la même chose que toi, mais tu préfères te taper une fille avec un penis. Il rit.
— Alors premièrement, tu n’es pas « une fille », mais ma meilleure amie, Camille. Ensuite, tu as plus de sex-appeal que beaucoup d’autres filles ; ta garde robe est à tomber ! Tu sais exactement ce que ressent un homme, tu me connais par coeur, les discussions sont plus simples. Tu embrasses mieux que les autres filles, j’adore ta langue. La seule fois où j’ai kiffé comme ça c’est parce que la fille avait un piercing sur la langue. En plus on s’amuse, tu aimes jouer autant que moi. Bref, tu me plais énormément et aucune fille ici ne pourrait m’attirer plus que toi !
Vous imaginez ma réaction à l’écoute de ses mots, je suis toute sourire, heureuse. Pourtant pas entièrement convaincue par ce beau parleur, je veux tester sa sincérité :
— Tu es plutôt convainquant et tu sais séduire une femme. Mais, oses me dire que le fait que je sois plate ne te dérange pas ! Je hausse un sourcil.
— Honnêtement, te dire que j’aime ça serait mentir même si depuis que j’ai vu nos jus gicler dessus, en y repensant ça m’excite. Oui j’adorerais pouvoir caresser les seins d’une femme en parcourant ton corps mais franchement, la vision de ton cul compense largement !
— Quel charmeur. On rit. Je penses pas que tu parles comme ça aux autres. C’est vrai que j’aime redécouvrir notre complicité dans ce jeu de séduction.
L’après-midi file à toute vitesse entre bronzette, discussions et baignades. Jusqu’à ce qu’un groupe prenne la scène non loin de là. Je trouve que plus ma peau bronze, plus mon bikini blanc me rend sexy. Nico nous ramène deux Sex On the Beach bien frais tandis que le soleil baisse dans le ciel. On s’assied en tailleur en face l’un de l’autre et on trinque.
— Camille, je ne t’ai pas tout dit. Son regard est perçant, comme s’il était épris de moi. Je ne t’ai pas dit à quel point tu es féminine à mes yeux. Tu assumes tes cheveux pourtant pas si longs, en réussissant à les coiffer de manière hyper féminine, ton visage est fin, tes yeux légèrement en amande son envoûtants. J’aime ton petit nez, tes lèvres naturellement rougies, que tu saches mettre ton visage en valeur avec si peu de maquillage quand d’autres filles tentent de se cacher derrière.
Il prend mes mains.
— Tes mains sont fines, comme tes bras, ton vernis les met parfaitement en valeur, avec tes bijoux. Sur ton cou, je défi quiconque de deviner ta glotte. Il est fin et long. Tes épaules sont celles d’une femme et que dire de ton ventre, de tes hanches creusées, de ton dos, de tes jambes longues et fines, de tes pieds parfaitement dessinés et vernis, de tes fesses rebondies, délicieuses. Tu es plus femme à mes yeux que n’importe laquelle sur cette plage.
Un silence parmi tout ce vacarme. Mes yeux le dévorent ! Je suis éperdument amoureuse de lui ! Je me place sur mes genoux et mes bras passent derrière sa nuque, nos yeux se dévorent. Je lui offre mes lèvres dans un baiser passionné. Quel pied, je l’aime ! Comme je ne me suis jamais sentie amoureuse, ou amoureux avant tout cela d’ailleurs.
— Tu me rends heureuse Nico !
Deux, puis trois cocktails. La nuit tombe, la plage est pleine de fêtards déchaînés et déjà ivres. On décide de ne pas repasser par l’hôtel. Je porte ma robe d’été rouge et blanche par-dessus mon bikini blanc. Lui est en short de bain et t-shirt plutôt moulant. On enchaine les cocktails en dansant, on s’embrasse encore et encore. Il y a du monde partout autour de nous. Nos caresses sont de plus en plus osées, alcool aidant. On en oublie qu’on est pas seuls. Et puis j’ai l’impression que tous ces jeunes sont aussi chauds que nous…
— Nico, tu veux bien qu’on s’éloigne un peu ? Lui demande-je à l’oreille.
Il acquiesse, et nous marchons un peu plus loin de la fête sur la plage. Des jeunes sont en plein bain de minuit, on éclate de rire. On marche encore un peu, et on se pose là sur la plage, personne à moins de cinquante mètres environ, il fait noir. Il s’allonge et je viens sur lui, on se roule pelle sur pelle et l’excitation est à son comble. Ses mains se balladent sur mes fesses, fermement. Je me stoppe et le regarde dans les yeux :
— Guide-moi, le supplie-je.
Son souffle se coupe, il déglutine et ose, la voix tremblante :
— Lève-toi et retire ton bikini.
Je lui souris, me lève lentement. Il tourne la tête à droite, à gauche, pour s’assurer que personne ne vienne. Moi, je le fixe, le reste n’a aucune importance ! Je retire le haut facilement sans retirer ma robe, puis le bas, qui tombe jusque sur mes chevilles, je laisse le tout tomber non loin de nous sur notre sac de plage et reprend ma position sur lui. Je suis assise sur son sexe que je sens raide. J’attends ses instructions.
— Baisse mon short sur mes cuisses. Sa voix est toujours timide, étouffée par l’excitation.
Je me baisse un peu et tire sur l’avant du short pour éviter l’objet de mes désirs, et abaisse le short d’une vingtaine de centimètres libérant son membre gonflé. Je le fixe avec la lueur de la nuit.
— Branle-moi.
Mes deux mains enserrent le dard aussitôt et je sens sa nervosité, ses veines, son gland, ses couilles. Je rêve de le prendre en moi. Je se mord les lèvres, son corps se raidit.
— Viens m’embrasser comme avant ! Le ton est plus assuré, plus directif.
Je viens à nouveau sur lui, à genoux, et sens cette fois sa queue virile se lover contre la mienne, tendue et humide. Mon bassin les frotte l’une contre l’autre. Nos langues ne se quittent plus.
— Même ta queue n’enlève en rien à ta féminité, je te sens excitée et ça m’excite encore plus Camille. Lèche mes doigts !
Il amène deux doigts à ma bouche, je les suce comme si c’était sa queue. C’est salé : l’eau de mer… Nos bouches se retrouvent, sa main gauche relèvent ma robe offrant mon cul à ses doigts humides. Il caresse mon entrée, et ramène ses doigts vers moi. Je lèche et prends soin d’y laisser le plus de salive possible cette fois.
— Remonte un peu, chuchotte-t-il.
— Oui mon amour, je murmure.
Seules mes couilles touchent encore son gland, il embrasse mes genoux en caressant mon trou. Il y insère un doigt lentement, je le veux ! Rapidement le deuxième me pénètre. Il exerce quelques va-et-vient et se retire encore. Sa main arrive à ma bouche, je suce ses doigts avec envie, les deux, et je parviens à sucer et lécher les deux autres. Ce sont ses quatres doigts que je couvre de salive. Il semble apprécier. Il m’enfile rapidement les doigts entre les fesses. Je gémis. Jusqu’à les retirer et m’ordonner :
— Crache sur ma queue et empale-toi dessus Camille. Son ordre ressemble plus à une supplique. Celle de m’offrir à lui.
Je redescends et laisse couler toute ma salive sur son membre tendu, nervuré, gonflé, j’adore sa queue, elle doit faire plus de vingt centimètres sur cinq. La peau de ses couilles est tendue, ses boules dessinées. La vision de son boxer ce matin me revient. Serait-ce possible ? Je connais cette queue et son goût, j’en suis presque sûre. Elle est trempée de salive, je reviens sur lui, crache dans ma main et mouille encore ma chatte, prête pour Nico.
— Vas-y lentement je veux profiter de ce moment à fond ma chérie.
Je me saisi de son membre, et caresse mon entrée avec son gland avant de pousser dessus. Ses mains remontent mes cuisses sous la robe et caressent mon ventre et mon torse. Puis se saisissent de mes hanches. Mes mains écartent mes fesses pour mieux m’offrir à lui. Je m’assieds lentement la bouche grande ouverte, je tente de ne pas crier. Lui gémit assez discrètement. Quelques secondes et me voici, les fesses au contact de son bas ventre, son sexe au plus profond de moi, qui pourfend mes entrailles. Je ne bouge plus et approchant ma tête de la sienne, le fixant du regard, je lui demande :
— Avoues ! Il semble perdu… C’était toi, je viens de le comprendre, avoues Nico !
— Moi ? Tu veux dire… comment tu ? Sa voix tremble.
— Ton boxer dans la chambre, tu l’as changé avant de t’allonger sur le lit n’est-ce pas ?
— Tu l’as compris quand ? Il a l’air de se sentir bête.
— En regardant ta bite, c’est donc toi que j’ai avalé hier, dis-le !
— Oui Camille c’était moi, je voulais te protéger et quand je t’ai vu aller dans cette cabine… Je pouvais pas laisser un autre mec te souiller. Je crois que je suis amoureux de toi Camille…
Son regard est coupable, et amoureux en même temps. En commençant de lents va-et-vient sur son chibre, je lui murmure en souriant :
— J’ai sucé mon meilleur pote, je l’ai avalé. Je gémis.
— Tu m’as fait jouir avec tes jambes. Il gémit. Et maintenant je te fais l’amour ma chérie.
— Nico, c’est trop bon, je suis en train de tomber amoureuse de toi chéri c’est parfait. Caresse-moi !
Ses mains parcourent mon corps, ma nuque, mon torse, mon ventre, mes cuisses, mes hanches, mes chevilles. Je me sens femme, je me sens aimée, sa copine, sa meuf ! Sa queue m’encule sans retenue sous mes gestes, mes mains relèvent son t-shirt caressant ses abdos et remontant sur ses pectoraux. Je me mords les lèvres je prends mon pied. Quand tout à coup Nico se raidit et tente de remonter son short au maximum, il me demande d’arrêter de bouger. Je me stoppe.
Une lumière approche, une lampe torche. Un homme s’approche « Holà ». Mon homme feinte une simple embrassade. La lumière nous éclaire clairement. L’homme semble assurer la sécurité. Il passe et s’éloigne. Je retrouve le regard de mon amant, on explose de rire. Et bien vite le rire laisse place à l’excitation intense de notre première étreinte. On fait l’amour en s’embrassant, en se caressant. Nos souffles sont coupés, saccadés. Mon sexe se voit frotter par nos ventres et nos mouvements. L’effet est plus qu’efficace. Je suis sur le point de jouir par les sensations sur ma queue. Je me relève, assise et continue mes coups de reins de plus belle en m’empalant sur son chibre tout du long. J’espèrerais que cela m’empêcherait de gicler mais c’est peine perdue, trop tard ! Mes couilles se serrent, ma bouche s’ouvre, je baise mon amant en lui offrant mon cul. Mon gland heurte son ventre à chaque coup de reins…
— Nico je… jouis ! J’ai l’impression de le hurler à cet instant !
Nico amène sa main subitement sur mon sexe en relevant ma robe et le branle frénétiquement, je gicle sur son ventre, sur son torse, sur son t-shirt. Mes jambes se resserrent sur son corps, mes ongles aggripent ses cuisses. Un orgasme anal me parcoure le corps et a raison de moi.
Pas le temps de reprendre mes esprits, il attrape mes fesses, me relève de quinze centimètres, me basculant en avant et me pilonne de toutes ses forces. Il m’encule si fort que le puissant orgasme semble revenir en moi, je me contracte contre lui, me rattrapant sur son torse humide, mes ongles l’aggrippent à nouveau. Je hurle :
— Oui, oui, encore chéri t’arrêtes pas ! Ouiiiiii !
D’un coup je suis envahie par un orgasme puissant, alors que mon sexe n’a plus de vigueur. Un orgasme anal dévastateur qui me fait m’écrouler sur lui, sans force. Je tente de reprendre mes esprits et quand enfin je me remet à quatre pattes, je lui avoue :
— C’est la première fois que je ressens autant de plaisir, désolée de pas assurer…
— Ton cul est incroyable, je prends mon pied moi aussi ! Mais maintenant que toute la plage à entendu qu’une femme prenait son pied, je veux que tu me libère comme au glory hole.
— Dans ma bouche ?
— Non, tu as souillé mon t-shirt, je veux souiller ton visage !
Il se relève à genoux, je reste à quatre pattes, me cambre bien, et lui offre ma bouche. Je suce sa queue comme une salope affamée en le branlant d’une main. Elle vient se caller au fond de ma gorge puis je retire la tête :
— Souille-moi chéri, donne-moi ton jus, je veux vider tes couilles ! Le supplie-je.
Je le branle à fond en léchant ses couilles, et me demande comment il peut tenir aussi longtemps alors qu’il a jouit si vite entre mes lèvres hier :
— T’es endurant quand tu veux Nico !
— Vas-y prépare-toi ça vient, je vais juter sur ta face Camille !
— Ouiiiii vas-y gicle !
Je le branle à fond, sa main dégage la mienne et prend le contrôle juste avant de jouir, il a juste le temps de diriger son gland vers mon front et je sens son foutre s’écraser sur la base de mes cheveux, il gicle ensuite sur mon nez. Je ferme les yeux. Un jet encore puissant arrose ma bouche, puis sur ma joue, et encore sur le haut de mon visage. Son éjaculation est sur-puissante, j’en ai dans la bouche, trop bon ! Il râle et passe sa main derrière ma tête en me calant sa bite dans la bouche :
— Suce-la bien vas-y !
Il baise ma gorge, je tente de rouvrir les yeux et les lèvent vers lui, il prend son pied ! Je lèche le membre tout du long et tête son gland pour le calmer. Enfin je me sens sienne. Nos regards se croisent et on se met à rigoler bêtement :
— Et comme ça tu me trouves toujours aussi belle ?
Je me lave avec le linge, j’en ai plein les cheveux et la robe, tant pis ! Son jus montre mon appartenance à mon mec. Je suis heureuse !
— Allons danser ! On rentrera plus tard, dit-il.Je me sens épuisée, satisfaite, femme comme jamais, aimée… Je me rhabille et la soirée continue… A très vite !
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